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Métapo infos - Page 5

  • XXIe siècle : le compte à rebours énergétique...

    Le nouveau numéro de la revue Éléments (n°216, octobre - novembre 2025) est en kiosque!

    A côté du dossier consacré à la question énergétique au XXIe siècle, on découvrira l'éditorial, les rubriques «Cartouches», «Le combat des idées» et «Panorama» , un choix d'articles variés, un entretiens, notamment avec Eli Barnavi et un débat entre Fabien Bouglé et Philippe Charlez...

    Et on retrouvera également les chroniques de Xavier Eman, d'Olivier François, de Laurent Schang, de Nicolas Gauthier, d'Aristide Leucate, de David L'Epée, de Bruno Lafourcade, de Guillaume Travers, d'Yves Christen, de Bastien O'Danieli, d'Ego Non et de Bernard Rio...

     

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    Au sommaire :

    Éditorial
    Réflexions sur les guerres en cours? par Alain de Benoist

    Agenda, actualités

    L’entretien
    Élie Barnavi : « Israël se condamne à des guerres sans fin », propos recueillis par Daoud Boughezala

    Cartouches
    L’objet disparu : les vignettes Panini, par Nicolas Gauthier

    Une fin du monde sans importance, par Xavier Eman

    Cinéma : Dracula, cent ans de cinéma, par Nicolas Gauthier

    Curiosa Erotica : Don Juan et Calimero, les deux fanfarons, par David L’Épée

    Champs de bataille : au bonheur du fana mili (III/III), par Laurent Schang

    Uranie, la délivrance (VIII), par Bruno Lafourcade

    L’Inde britanique d’Abir Mukherjee, par Gérard Landry

    Le droit à l’endroit : la liberté d’expression ne peut pas être conditionnelle, par Aristide Leucate

    Économie, par Guillaume Travers

    Le cinéma à fleur de peau : Images d’Archibald Ney, par Olivier François

    Bestiaire : le don et le contre-don chez les cétacés , par Yves Christen

    Sciences, par Bastien O’Danieli

    Le combat des idées
    La démission européenne selon Peter Sloterdijk, chronique d’un continent sans nerf, par Thomas Hennetier

    Le capitalisme face à ses limites : deux visions des limites d’un système, par Guillaume Travers

    Le stade Qatar du capitalisme : oasis artificielle sous perfusion gazière, par Guillaume Travers

    Steak et châtiments : les viandards sont-ils des Bidochon ?, par David L’Épée

    Du Bureau ovale à Thucydide : le réalisme dans les relations internationales, par Olivier Battistini

    Loi Duplomb : quand la droite s’empoisonne elle-même, par François de Voyer

    OK Boomer ! Soixante-huitards à perpétuité, par Alexandre de Galzain

    Ardisson et lumières : mort d’un marquis voyageur, par Christophe A. Maxime

    Éloge de l’élégance masculine : en finir avec notre déchéance vestimentaire, par Nicolas Gauthier

    Serge Reggiani : l’art de jouer sans effet et de chanter sans artifice, par Thomas Hennetier

    Bardamu mon amour : Émeric Cian-Grangé, le Petit Futé du célinisme, par François Bousquet

    Les romans à lire ou à jeter : la sélection tranchée de la rédaction d’Éléments, par Anthony Marinier et Daoud Boughezala

    Paul Valéry l’Européen : un regard sur le monde actuel, par Jean Montalte

    Dossier
    XXIe siècle : le compte à rebours énergétique

    Vive les crises ! Les dilemmes énergétiques du XXIe siècle, par François de Voyer

    Fabien Bouglé et Philippe Charlez : deux iconoclastes contre l’idéologie verte, débat animé par Daoud Boughezala

    Transition écologique : la dernière ruse du capitalisme. Décroissance ou désastre, par Guillaume Travers

    La Chine, dragon vert ou ogre noir ? Entre productivisme aveugle et dépendance fossile, par Daoud Boughezala

    Europe : comment recharger nos batteries ? Penser la puissance autrement, par Vincent Renard

    Plan Mattei : la realpolitik énergétique gagnant-gagnant de Meloni, par Lionel Rondouin

    La ruée vers l’Arctique. Nouvel Eldorado, par Laurent Schang

    Les damnés du CO2. Transition écologique ou antisociale ?, par Xavier Eman

    Panorama
    La leçon de philo politique : Hans-Hermann Hoppe à l’assaut de la démocratie, par Ego Non

    Pourquoi une philosophie politique civilisationnelle ?, par Frédéric Saint Clair

    Un païen dans l’Église : excréments et sacrements à Notre-Dame à Grâces, par Bernard Rio

    À poil, Éléments ! Naturisme : réponse à David L’Épée, par Hubert Calmettes

    Éphémérides

     

     

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  • Pourquoi l’OMS déclare la guerre au vin ?...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous la chronique de David Engels sur Ligne droite, la matinale de Radio Courtoisie, datée du 22 septembre 2025 et consacrée à l'offensive de l'OMS contre le vin...

    Historien, essayiste, enseignant chercheur à l'Instytut Zachodni à Poznan, à l'Institut Catholique de Vendée ainsi qu'au Mathias Corvinus Collegium de Bruxelles, David Engels est l'auteur de trois essais traduits en français, Le Déclin - La crise de l'Union européenne et la chute de la République romaine (Toucan, 2013), Que faire ? - Vivre avec le déclin de l'Europe (La Nouvelle Librairie, 2024) et, dernièrement, Défendre l'Europe civilisationnelle - Petit traité d'hespérialisme (Salvator, 2024). Il a  également dirigé deux ouvrages collectifs, Renovatio Europae - Plaidoyer pour un renouveau hespérialiste de l'Europe (Cerf, 2020) et Aurë entuluva! (Renovamen-Verlag, 2023), en allemand, consacré à l’œuvre de Tolkien.

     

                                             

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  • La France allemande et ses journaux...

    Les éditions des Belles Lettres viennent de publier une étude historique de Pierre-Marie Dioudonnat intitulée La France allemande et ses journaux. Historien de la presse, Pierre-Marie Dioudonnat est notamment l'auteur d'un essai important intitulé Je suis partout, 1930-1944 - Les maurassiens devant la tentation fasciste (La Table Ronde, 1973).

     

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    " Le 14 juin 1940, la Wehrmacht entre dans Paris. La capitale devient, pour quatre années, celle de la France allemande et le théâtre des rivalités entre les pouvoirs qui s’y installent au nom du vainqueur : administration militaire, services de propagande, polices et SS, ambassade. Le projet de l’Allemagne est d’exploiter le pays vaincu au mieux de ses buts de guerre et de le coloniser, la persécution antisémite s’y affirmant, au fil des mois, comme une préoccupation majeure.
    Foisonnante avant la guerre, la presse est une puissance que les occupants ciblent avec gourmandise. Le trust qu’ils bâtissent avec des concours quelquefois surprenants, dirigé par un fonctionnaire nazi, Gerhard Hibbelen, compte plus de vingt sociétés de droit français : liées par des participations croisées et gérées par un personnel d’hommes de confiance français, elles proposent une gamme étendue de publications dont Pierre-Marie Dioudonnat débrouille minutieusement l’écheveau.
    Son analyse fine du monde de la presse et de ses personnages aux destins contrastés ouvre le propos sur l’histoire globale du XXe siècle français. Elle montre que la période de l’Occupation n’est pas une parenthèse dans l’histoire de la France mais s’inscrit dans son continuum. Elle permet de dresser un tableau coloré de l’entre-deux-guerres, où Pierre Laval se positionne déjà comme l’homme de tous les possibles, et qui connait une presse bouillonnante où le millionnaire franco-américain Raymond Patenôtre joue une partie singulière aux enjeux mystérieux, où une société change en profondeur par la modernisation des techniques, la transformation des modes de vie, le mouvement des idées et leur confrontation. Réinsérant dans le temps long l’histoire des années noires, Pierre-Marie Dioudonnat rappelle que, dans la France occupée, l’autonomie des pouvoirs autochtones se réduit comme peau de chagrin : c’est l’occupant qui fixe les règles, même si l’autorité suprême dont il est détenteur se fractionne entre centres décisionnaires concurrents. "

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  • Culture de l’excuse : Robert Badinter, apôtre du laxisme judiciaire...

     

     

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    Culture de l’excuse : Robert Badinter, apôtre du laxisme judiciaire

    Une vision aux conséquences graves

    La philosophie pénale de Robert Badinter, centrée sur la réinsertion et la compréhension des causes sociales de la délinquance, a profondément marqué la justice française contemporaine. Si elle se veut humaniste, cette approche est également à l’origine d’une culture de l’excuse, affaiblissant la responsabilité individuelle et la fonction dissuasive de la peine.

    Robert Badinter, figure emblématique du droit français, a durablement influencé la politique pénale par son engagement pour une justice tournée vers la réhabilitation plutôt que vers la répression. Ministre de la Justice de 1981 à 1986, il a porté une vision pénale inspirée par des idées progressistes, notamment celles de Marc Ancel et de son concept de Défense sociale nouvelle. Cette philosophie, qui met l’accent sur la réadaptation du délinquant et la compréhension des facteurs sociaux de la criminalité, a été saluée pour son humanisme, mais critiquée pour avoir contribué à un laxisme judiciaire perçu comme une menace pour l’ordre public. Cet article explore comment la pensée de Badinter, en s’appuyant sur des théories « humanistes », a désarmé l’appareil judiciaire en marginalisant la notion de responsabilité individuelle.

    Les racines de la pensée de Badinter : une justice centrée sur l’individu

    Robert Badinter s’enracine dans une vision humanitariste qui privilégie la réinsertion du délinquant à la punition pure. Dans son ouvrage L’Exécution (1973), il dénonce les excès d’une justice répressive, racontant l’expérience traumatisante du procès de Roger Bontems, condamné à mort malgré un rôle qu’il considère comme secondaire dans un crime. Ce texte, empreint d’émotion, illustre sa conviction que la peine doit viser à comprendre et à réhabiliter plutôt qu’à détruire. L’auteur donne ici la primeur aux sentiments et à l’émotion, alors que la matière juridique induit un formalisme rationnel.
    Dans Liberté, libertés (1976), Robert Badinter plaide pour une justice qui tienne compte des circonstances sociales et psychologiques du délinquant, arguant que la prison doit être un lieu de transformation, non de vengeance. Cette approche s’inscrit dans un courant plus large, celui de la Défense sociale nouvelle de Marc Ancel, qui prône une politique criminelle humanitariste. Badinter, en tant qu’avocat et ministre, a fait de ces idées un pilier de sa réforme du système pénal, cherchant à remplacer la logique punitive par une logique de réadaptation. Aujourd’hui, cette vision est unanimement partagée à gauche de l’échiquier politique.

    La Défense sociale nouvelle de Marc Ancel, source d’inspiration de Badinter

    Publiée en 1954, l’œuvre de Marc Ancel, La Défense sociale nouvelle, marque une rupture avec les conceptions classiques du droit pénal. Ancel y propose une approche centrée sur la réadaptation du délinquant, en s’appuyant sur une analyse des causes sociales et psychologiques de la criminalité.
    Selon lui, la société doit protéger à la fois le corps social et l’individu délinquant, en respectant sa dignité humaine. Cette doctrine, traduite en plusieurs langues et largement débattue à l’international, rejette la peine comme simple châtiment au profit de mesures éducatives et préventives. Ancel critique le légalisme rigide des philosophes du XVIIIe siècle, comme Beccaria, dont l’influence aurait retardé l’émergence de cette vision qu’il considère comme humaniste. Il souligne que des réformes fragmentaires, dès le XIXe siècle, avaient commencé à répondre aux préoccupations de la Défense sociale, mais c’est au XXe siècle, après les expériences des régimes totalitaires, que le mouvement prend son essor.
    La création de la Société internationale de défense sociale en 1949 et du Centre d’études de défense sociale en 1953 témoigne de cette dynamique. Cependant, l’analyse d’Ancel n’est pas sans nuance et il insiste toujours sur la nécessité d’un équilibre : la réadaptation ne doit pas sacrifier la protection de la société.

    L’influence de Badinter : une justice moins punitive, mais à quel prix ?

    En tant que ministre, Badinter a traduit ces idées en politiques concrètes, notamment à travers l’abolition de la peine de mort (1981) et la promotion de peines alternatives à l’incarcération. Son discours au Sénat en 1981, publié dans Contre la peine de mort (2006), illustre son rejet d’une justice fondée sur la vengeance : « La justice de la France ne peut être une justice qui tue. » Il défend une approche où la peine doit servir à réintégrer le délinquant dans la société, en s’attaquant aux causes profondes de la délinquance, comme la pauvreté ou l’exclusion. Cependant, cette attention portée au criminel et à ses motivations a conduit à une relativisation de la faute. En mettant l’accent sur les circonstances atténuantes, la pensée de Badinter a fini par justifier le crime par des facteurs externes, créant ce que certains critiques appellent une « culture de l’excuse », où l’on excuse les fautes des criminels en les justifiant par un contexte jugé criminogène (pauvreté, enfance difficile…).
    Cette approche a influencé les magistrats, qui désormais privilégient des peines légères ou des mesures de réinsertion au détriment de sanctions fermes.

    Une responsabilité individuelle affaiblie

    La principale critique adressée à la pensée de Badinter est qu’elle a sapé la notion de responsabilité individuelle. En insistant sur les déterminismes sociaux, cette philosophie tend à dédouaner le délinquant de ses choix. Or, comme le soulignent les néoclassiques, la peine a une fonction de prévention collective : en infligeant une souffrance proportionnée, elle dissuade les potentiels criminels et renforce le sentiment de justice dans la société. S’il admet que la peine-châtiment reste parfois nécessaire, celle-ci se perd dans l’application pratique des réformes qu’il a pu inspirer. La concentration sur la réadaptation a conduit à une justice moins sévère, où les peines d’emprisonnement sont souvent écourtées au profit de mesures alternatives. Cette évolution a alimenté un sentiment d’impunité parmi les délinquants et une frustration chez les victimes, qui estiment que la justice ne joue plus son rôle protecteur.

    Un laxisme judiciaire aux conséquences sécuritaires et morales dramatiques

    La « culture de l’excuse » attribuée à la pensée Badinter a des répercussions profondes sur le système judiciaire et la société. En réduisant la portée dissuasive de la peine, cette approche favorise la récidive. La justice, en cherchant à comprendre le délinquant, néglige les attentes des citoyens en matière de sécurité. La multiplication des aménagements de peine et des libérations conditionnelles, encouragées par les réformes de Badinter, a renforcé l’idée d’une justice « molle ». Si l’objectif était de favoriser la réinsertion, le manque de moyens pour accompagner ces mesures (suivi psychologique, programmes de formation) a souvent conduit à des échecs, laissant les délinquants livrés à eux-mêmes et les citoyens désabusés. Outre la conséquence sécuritaire, le sentiment de ne pas être protégé par la justice favorise par ailleurs le rejet de l’institution judiciaire.

    La pensée de Robert Badinter a cherché à humaniser la justice pénale en plaçant la réinsertion au cœur du système. Cependant, en marginalisant la responsabilité individuelle et la fonction dissuasive de la peine, elle a contribué à une situation de laxisme judiciaire. Pour répondre aux défis actuels, il est nécessaire de repenser cet équilibre : une justice humaniste doit aussi être humaniste pour les victimes et garantir la protection de la société tout en offrant des chances de rédemption. Les idées de Badinter, empreintes d’idéalisme et d’humanitarisme, ont finalement désarmé la justice face à la criminalité.

    Polémia (Polémia, 20 septembre 2025)

     

    Bibliographie
    Contre la peine de mort, Robert Badinter, 2006

    L’Exécution, Robert Badinter, 1973
    La Défense sociale nouvelle, un mouvement de politique criminelle humaniste, Marc Ancel, 1954
    Des délits et des peines, Beccaria, 1764
    https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/les-80/les-80-de-nicolas-demorand-du-jeudi-22-fevrier-2024-7416864
    https://www.vie-publique.fr/parole-dexpert/276987-abolition-peine-de-mort-1981-questions-robert-badinter
    https://www.philomag.com/articles/entretien-exceptionnel-avec-robert-badinter-comment-fonder-philosophiquement-labolition

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  • Repentance et victimisation, la maladie auto-immune de l'Occident ?...

    Les éditions de l'Aube ont récemment publié un essai de Pierre Conesa intitulé Repentance et victimisation, la maladie auto-immune de l'Occident ?.

    Agrégé d'histoire et énarque, Pierre Conesa a fait partie dans les années 90 de la Délégation aux affaires stratégiques du Ministère de la défense. Il est l'auteur de plusieurs essais, dont, notamment, Dr. Saoud et Mr. Djihad - La diplomatie religieuse de l'Arabie saoudite (Robert Laffont, 2016), Hollywar - Hollywood, arme de propagande massive (Robert Laffont, 2018), Le lobby saoudien en France - Comment vendre un pays invendable (Denoël, 2021), Vendre la guerre - Le complexe militaro-intellectuel (L'aube, 2022) et État des lieux du salafisme en France (L'aube, 2023).

     

    Conesa_Repentance et victimisation, la maladie auto-immune de l'Occident.jpg

    " L’Occident est triomphant au début du XXe siècle : ­révolution industrielle, grandes démocraties colonisatrices au nom de la civilisation. Mais il donne naissance aux pires régimes dictatoriaux (nazisme et communisme), se rend coupable de deux guerres mondiales (20 et 50 millions de morts), du génocide de la Shoah et de la répression des luttes de décolonisation… L’Occident est donc accusé, par ses victimes mais aussi par ses propres intellectuels, de tous les maux de la planète et fait pénitence. Mais les autres civilisations ont-elles le même passif de massacres, exterminations, oppression culturelle… ? Et, si oui, ont-elles reconnu leur responsabilité et exprimé une repentance ?

    Selon Pierre Conesa, le comparatisme est la seule voie de sortie d’un débat très occidentalocentré qui permettra aux grandes démocraties, non pas de se dédouaner de leurs responsabilités, mais d’enfin comprendre les nouvelles règles de la vie internationale et de dépasser la crise de conscience qui la ronge et l’empêche d’avancer. C’est ce à quoi il s’attelle dans cet ouvrage, en revenant sur des décennies de carnages… "

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  • François Bégaudeau : l'anarchisme et le vitalisme de la casse...

    Dans cette nouvelle vidéo, Ego Non, évoque l'idéologie défendue par François Bégaudeau, qui est aujourd'hui l'une des figures intellectuelles de gauche les plus en vue. Romancier et essayiste, Bégaudeau s'inscrit dans le courant anarchiste, tout en reprenant à son compte une bonne partie de la grille d'analyse marxiste. Voyant dans l'ensemble de l'ordre social des structures de domination insupportables, sa pensée conduit, au nom d'un pseudo-vitalisme, à la subversion radicale de toute institution et, partant, des fondements mêmes de la société.

    À partir du "cas Bégaudeau", Ego Non montre les impasses auxquelles conduisent les principes de la gauche. Contrairement à ce qu'estime Bégaudeau, l'ordre n'est pas un carcan qui amoindrit la "joie" et la puissance de vivre, mais le biotope qui augmente la puissance réelle.

     

                                               

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