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Métapo infos - Page 3

  • Esthétique et érotisme nazis...

    Les éditions universitaires de l'UMons viennent de publier une enquête d'Arnaud de la Croix intitulée Esthétique et érotisme nazis.

    Philosophe de formation, Arnaud de La Croix est enseignant à l'Académie des Beaux-Arts de Bruxelles et est l'auteur de plusieurs essais historiques dont L'érotisme au Moyen-Age - Le corps, le désir, l'amour (Tallandier , 2003), Hitler et la franc-maçonnerie (Tallandier, 2014) ou Hergé occulte - La ligne sombre.(Camion noir, 2021).

     

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    " Nazisme et érotisme, les deux termes peuvent sembler contradictoires. Pourtant, ils ne le sont pas et l’on va découvrir, au fil de cette enquête détaillée et illustrée, quelles formes variées a pu développer le régime hitlérien dans les domaines du plaisir et du désir sexuel. Jamais auparavant l’érotisme nazi n’avait été envisagé dans ses différentes manifestations. Celles-ci, souvent ambiguës, revêtent toujours un sens politique, que l’auteur explore avec précision et qui doit nous interpeller aujourd’hui. L’homosexualité et les différentes manifestations contemporaines d’érotisation du nazisme dans le domaine cinématographique ne sont pas ignorées non plus. Un livre qui fera date. "

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  • L'OTAN, levier stratégique au service des Etats-Unis...

    Dans cette émission, diffusée par TV Libertés, Alain Juillet, ancien directeur du renseignement de la DGSE, et Claude Medori reçoivent Christophe Gomart, député européen et ancien directeur du renseignement militaire. Ensemble, ils analysent comment l’OTAN est devenu un levier stratégique au service des intérêts américains, imposant ses choix et redéfinissant les équilibres internationaux. Ils approfondissent la question d’une Europe en quête de souveraineté, encore trop dépendante d’alliances qu’elle ne maîtrise plus totalement.

     

                                                

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  • Après la révolution américaine...

    Nous vous signalons la parution du numéro 104 (Solstice d'été) de la revue Terre & Peuple, dirigée par Jean-Patrick Arteault, dont le dossier est consacré aux effets de la révolution provoquée par la réélection de Trump.

    Vous pouvez commander cette revue sur le site de Terre & Peuple.

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  • Quand la magistrature devient tyrannique...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Julien Dir, cueilli sur Breizh-Info et consacré, au travers du cas de Matteo Salvini, au développement de la tyrannie judiciaire en Europe.

     

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    Quand la magistrature devient tyrannique : l’affaire Salvini et la dictature judiciaire…en Italie…comme en France

    Le cas Salvini en Italie n’est pas un fait divers judiciaire. C’est un symptôme. Celui d’une maladie gangrenant toutes les démocraties européennes : la tyrannie des juges.

    L’Europe se meurt lentement, mais sûrement, étranglée non par les coups d’État militaires ou les révolutions de rue, mais par les caprices glacés d’une magistrature hors de tout contrôle. L’affaire Matteo Salvini, vice-président du Conseil italien, acquitté pour avoir défendu les frontières de son pays, puis de nouveau traîné devant les tribunaux par des procureurs acharnés, en est une nouvelle démonstration. Une de plus. Une de trop.

    Un acquittement ? Qu’à cela ne tienne. On rejoue.

    En décembre 2024, Salvini est blanchi par la justice italienne dans l’affaire dite Open Arms. Le tribunal reconnaît qu’il n’a fait que son devoir : empêcher un navire ONG – qui avait déjà ignoré plusieurs ports sûrs – de forcer le territoire italien avec 147 clandestins à bord. Le droit de la mer était de son côté, la Constitution italienne aussi. Fin de l’histoire ? Non. Car dans l’Europe post-démocratique, le droit n’est plus une boussole : c’est une arme, brandie au gré des humeurs militantes de certains magistrats.

    Voilà donc que le parquet de Palerme, incarné par le procureur Maurizio de Lucia, décide de passer outre l’appel pour se pourvoir directement en cassation. Un recours per saltum, rare, exceptionnel, mais devenu désormais l’outil des juges militants pour contourner la loi lorsqu’elle ne va pas dans leur sens. Ce n’est plus de la justice, c’est du sabotage politique. C’est un coup d’État rampant.

    Les juges n’ont de comptes à rendre à personne. C’est cela, le vrai scandale.

    Dans une démocratie normale – si tant est que cela existe encore en Europe de l’Ouest –, les magistrats seraient responsables de leurs actes. Ils devraient rendre des comptes sur leurs décisions, sur leurs éventuelles erreurs, sur leurs engagements politiques ou idéologiques. Ils devraient être évalués, contrôlés, révoqués s’ils trahissent leur serment d’impartialité. Mais aujourd’hui, ils sont tout-puissants et irresponsables. Ils peuvent détruire des vies, ruiner des réputations, renverser des ministres… sans jamais en répondre. Et surtout, sans jamais être élus.

    Pire : cette magistrature se permet de définir ce qu’est une politique migratoire légitime, en niant toute notion de souveraineté, en piétinant la volonté populaire, en criminalisant ceux qui osent dire non à l’invasion migratoire. Refuser un débarquement illégal devient un crime. Défendre ses frontières, une séquestration. Exiger des juges qu’ils ne fassent pas de politique ? Une hérésie.

    Alors que faire ? Reprendre la main.

    Il est temps, grand temps, que les gouvernements dits démocratiques rétablissent une hiérarchie claire : celle du pouvoir politique sur la magistrature. Il faut un contrôle parlementaire mais aussi populaire des juges. Un examen de leur neutralité. Une traçabilité de leurs décisions. Et, en cas d’abus, des sanctions : blâmes, suspensions, radiations. Oui, même la radiation à vie. Car une erreur judiciaire n’est pas une faute technique, c’est une trahison du peuple.

    Et s’ils refusent l’examen, s’ils persistent dans leur volonté de faire de la justice un instrument d’idéologie mondialiste, alors peut-être faut-il aller plus loin. Oui, songer à robotiser la justice. À remplacer les juges par des algorithmes, des IA impartiales, infaillibles, insensibles aux pleurnicheries des ONG et des avocats militants. Car au moins, un robot ne se prend pas pour Robespierre.

    Et que dire de la féminisation accélérée de la magistrature ?

    En France, plus de 70 % des magistrats de première instance sont désormais des femmes. Ce changement radical de sociologie n’est jamais interrogé. Pourtant, il modifie profondément la façon de rendre la justice. L’émotion peut remplacer la rigueur. La compassion systématique pour les minorités remplace l’équilibre. La perception subjective prime sur l’ordre légal. Et les hommes – pères, maris, chefs d’entreprise – sont de plus en plus nombreux à se demander si la justice rendue en leur nom l’est encore à égalité.

    Ce constat n’a rien de misogyne. Il est factuel, observable. Et il appelle une réflexion : peut-on confier les clés de l’autorité judiciaire à une institution qui n’est plus ni représentative, ni contrôlée, ni même soumise au peuple ?

    L’Europe est devenue une oligarchie judiciaire. Une dictature froide, qui n’a pas besoin de chars ni de prisons : elle a des robes noires et des codes. Si les dirigeants politiques ne reprennent pas le contrôle sur cette caste, alors la démocratie ne sera plus qu’un souvenir. Un mot vide. Une illusion.

    L’affaire Salvini n’est pas un accident. C’est une alerte. La dernière, peut-être.

    Julien Dir (Breizh-Info, 22 juillet 2025)

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  • Les grands complots de l'histoire...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un numéro hors série de la Revue d'Histoire Européenne, consacré aux grands complots de l'histoire… 

    Il est possible de se procurer la revue en kiosque ou en ligne sur le site de la Librairie du collectionneur.

     

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    " Cet ouvrage présente 22 complots politiques, allant de la Grèce antique à l’année 1981. Il s’agit d’un choix arbitraire, concernant essentiellement l’histoire de France, mais pas seulement : la Grèce, Rome, l’empire autrichien, l’Irlande, l’Allemagne, l’Espagne et les États-Unis sont aussi traités. Nous avons omis l’Amérique latine, connue pour ses coups d’état innombrables, mais bien lointains de chez nous. Idem pour l’Asie, l’Afrique ou la Russie. Près de la moitié des complots décrits ont échoué ou ont été sans lendemain. L’assassinat de César par les sénateurs a certes réussi à l’empêcher de devenir roi, mais les comploteurs l’ont chèrement payé et Octave est devenu empereur peu après. D’autres complots n’ont jamais existé, ce qui ne les a pas empêché d’avoir un rôle politique important : le faux complot des Templiers, le faux coup d’état fasciste du 6 février 1934, en sont quelques exemples.

    Certains complots ont échappé à leurs commanditaires et sont allés beaucoup trop loin : la Saint-Barthélemy ou l’attentat de Sarajevo en 1914 ne devait pas aboutir à de tels massacres. Enfin, certains complots ont été accomplis par des hommes seuls, comme l’assassinat de Kennedy et dans une certaine mesure, la conjuration de Malet. Si la prostitution est le plus vieux métier du monde, il semble que comploter soit une activité encore bien plus ancienne… "

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  • La débilocratie en marche...

    Dans cette émission du Plus d’Éléments, diffusée par TV Libertés, l'équipe du magazine se penche, à l’occasion de la sortie du nouveau numéro sur la bêtise contemporaine. Bêtise wokiste ou militante, technoïde ou victimiste, sociale ou universitaire : partout, elle prospère, règne et mutile la pensée. Un panorama décapant d’une société en marche forcée vers la débilocratie.

    Au menu également :  immersion dans les hauteurs de la pensée avec Jean-Claude Milner, philosophe inclassable et saboteur du prêt-à-penser.

    On trouvera sur le plateau, autour d'Olivier François, Xavier Eman, rédacteur en chef, Daoud Boughezala , Rodolphe Cart et François-Xavier Consoli...

     

                                               

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