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Métapo infos - Page 2

  • Itinéraire d'un célinien gâté...

    Les éditions Douro viennent de publier un témoignage d'Emeric Cian-Grangé intitulé Itinéraire d'un célinien gâté.

    Passionné de Céline, Émeric Cian-Grangé a publié Céline's big band (Pierre-Guillaume de Roux, 2015) et D'un lecteur l'autre (Krisis, 2019) et dirige la collection "Du côté de Céline" aux éditions de La Nouvelle Librairie.

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    " Aux antipodes des publications savantes, des grands vacherins universitaires indigestes, ou des essais-puddings étouffants, on lira ce récit vitriolique avec la curiosité d'un enfant, ou l'avidité d'un célinien libre, ce qui devrait-être un pléonasme... Émeric Cian-Grangé nous propose ici d'enfin dévoiler le dessous des cartes. Celles de ses rages d'antan, celles de ses amours meurtries, mais encore celles de ses combats. Celui que l'auteur aura mené avec persévérance, endurance et ouverture d'esprit : avoir donné la parole au lectorat. Une spécificité d'autant plus légitime s'agissant de Céline, qui précisément aura façonné sa prose dans les faubourgs, au Passage Choiseul, en lisant Dabit. Enrichie de nombreuses annexes inédites, cette collection de portraits et de règlements de comptes du plus anonyme lecteur aux plus illustres céliniens sonne le glas des compromis, mais peut au moins claironner son authenticité. Ce livre retrace donc l'itinéraire d'une passion née au lycée, mais qui réfutera sans faillir l'esprit lycéen que critiquait Céline. "

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  • Les oligarchies contre les peuples, la menace du totalitarisme en Europe...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Michel Festivi cueilli sur EuroLibertés et consacré à l'étranglement progressif de la liberté des peuples en Europe...

    Avocat honoraire et ancien bâtonnier de l'ordre, Michel Festivi est l'auteur de plusieurs ouvrages historiques consacrés à l'Espagne de la première moitié du XXe siècle.

     

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    Les oligarchies contre les peuples, la menace du totalitarisme en Europe

    Partout en Europe, dans une Europe passoire sans frontières protégées, submergée au demeurant par une immigration incontrôlée, le plus souvent illégale, gangrenée par une violence exponentielle, et livrée aux narcotrafics, les États profonds et les technostructures mondialisées recherchent par tous les moyens à empêcher la libre expression populaire, qui tente de s’opposer à la disparition de la civilisation millénaire, qui depuis Athènes et Rome, en passant par le Christianisme bâtisseur de nos Cathédrales, avaient façonné nos pays, nos lois, nos mœurs, nos coutumes, nos traditions et ont apporté au monde les splendeurs absolues de la littérature, de la peinture, des arts, de l’architecture, la France étant de surcroit  « mère des arts, des armes et des lois », comme la décrivait Joachim du Bellay dans son recueils Les Regrets en 1558 .

    Dans une envolée lyrique dont il avait le secret, Charles de Gaulle avait déclaré : « Il ne peut y avoir d’autre Europe que celle des États en dehors des mythes, des fictions, des parades ». Il avait rajouté : « Je ne crois pas que l’Europe puisse avoir aucune réalité vivante si elle ne comporte pas la France avec ses Français, l’Allemagne avec ses Allemands, l’Italie avec ses Italiens, etc, Dante, Goethe, Chateaubriant appartiennent à toute l’Europe, dans la mesure même où ils étaient respectivement et éminemment Italien, Allemand et Français. Ils n’auraient pas beaucoup servi l’Europe s’ils avaient pensé et écrit en quelque espéranto ou volapük intégré ». (Conférence de presse du 15 mai 1962).

    Mais depuis, les temps ont bien changé. Désormais, c’est tout le contraire qui est entrepris, pour broyer les peuples, les supprimer, les nier, pour les agglomérer dans un magma informe et infect. Cette politique totalitaire se retrouve partout. En Roumanie, avec le scandale des annulations des élections qui allaient porter au pouvoir un anti-européiste convaincu largement gagnant dès le premier tour de scrutin. En Pologne, où la mobilisation bruxelloise a fini par faire revenir Tusk au pouvoir, mais heureusement n’a pas pu empêcher la victoire, à la présidentielle, du nationaliste Karol Nawrocki. En Géorgie, où tout est entrepris pour forcer la main mise de Bruxelles. En France, avec des tripatouillages électoraux entre les deux tours, qui ont empêché la victoire du RN en 2024, et la prise de pouvoir de juges non élus, qui entendent phagocyter la libre expression des citoyens par des révolutions institutionnelles et juridiques des plus dictatoriales, retoquant certaines lois sur des motifs les plus stupéfiants, et interdisant à certains candidats capables de parvenir au plus haut, de se présenter. Il faudra surveiller de près les prochaines élections en Moldavie, et l’an prochain en Hongrie, où les appareils internationaux se mobilisent comme jamais. La Grande Bretagne, pays à la pourtant longue tradition des libertés publiques, malmène ses opposants, n’hésitant pas à les emprisonner pour de simples délits d’opinion, même un comique, qui n’avait pas l’heur de plaire au pouvoir, avait été appréhendé à sa descente d’avion.

    Mais c’est en Allemagne, où les éléments se déchainent avec le plus de force contre le peuple allemand. Et c’est l’AfD qui est au centre de toutes les attentions mortifères, pour l’éliminer, la dégager, et l’empêcher d’exister. Depuis sa création en 2013, elle est au centre d’une incroyable série de procédures policières, administratives et juridiques, car elle gène, elle dérange et ses immenses succès électoraux ravivent les intentions d’ostracisme à son égard.

    J’ai décrit ici même, comment dans l’Ouest du pays, elle avait il y a quinze jours, triplée son score précédent à des élections locales en Westphalie. L’excellent site Breizh-Info nous apprend, qu’à Ludwigshafen, ville industrielle de Rhénanie-Palatinat, elle a été interdite de se présenter par le conseil municipal. L’argument sempiternellement avancé « la défense de la démocratie » ! Belle litote au demeurant, rejoignant celle du guillotineur Saint-Just, et préfigurant toutes les dictatures rouges « Pas de liberté pour les ennemis de la liberté ». Par tous les moyens, l’État allemand, avec la bénédiction des instances européennes, entend paralyser l’action de l’AfD, qui n’a qu’un tort, se présenter librement au suffrage des Allemands et y recueillir de plus en plus de succès, en luttant contre l’immigration invasive, la délinquance qui se multiplie, les escrologies climatiques et environnementales qui détruisent les industries, l’appauvrissement de ceux qui travaillent, la gabegie généralisée.   

    Le 2 mai 2025, l’Office de protection de la Constitution (sic), chargé du renseignement intérieur, a classé l’AfD comme un mouvement « extrémiste de droite confirmé », avec comme motif « les indices selon lesquels l’AfD aurait des aspirations contre l’ordre fondamental libéral et démocratique », sont devenus des « certitudes », pour cette police de la pensée, digne du ministère de la Vérité d’Orwell, dont son récit d’anticipation, 1984, n’a jamais été aussi près de la réalité. L’AfD a contesté cette décision, qui a été suspendue pendant la procédure d’appel, mais le risque est immense. En dernier ressort, c’est la Cour constitutionnelle de Karlsruhe qui tranchera.

    Gageons que le combat, en Allemagne, comme partout en Europe est loin d’être fini. Les coups bas vont continuer à tomber comme à Gravelotte. Ainsi, on vient juste de l’apprendre, un tribunal du land de Berlin vient d’ordonner à l’AfD de quitter son siège national, donnant raison au propriétaire qui invoquait la violation par l’AfD de ses obligations lors de la soirée électorale de février 2025, célébrant son succès aux élections législatives. L’AfD devrait quitter les lieux à la fin de 2026, le motif invoqué, l’AfD avait projeté son résultat exceptionnel et son logo sur un des murs du bâtiment. Mais l’AfD a fait savoir, qu’elle avait acquis désormais de nouveau locaux. (En février 2025 L’AfD avait augmenté son score de 10,4%, passant à 20,80%, obtenant 152 députés contre 69 auparavant et devenant avec plus de 10 millions de voix le second parti du pays).

    C’est le stalinien Bertolt Brecht, qui après la révolte ouvrière berlinoise du 17 juin 1953, réprimée dans le sang par les communistes de Berlin-Est, avait renouvelé son soutien au parti communiste Est-allemand, le SED, et dans une lettre adressée au tyran Walter Ulbricht avait affirmé : « puisque le peuple vote contre le gouvernement, il faut dissoudre le peuple ». C’est cette continuité historique qui se développe partout actuellement en Europe et singulièrement en Allemagne. Espérons que les peuples ne se laisseront pas faire.

    Michel Festivi (EuroLibertés, 30 septembre2025)

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  • Les snipers de la semaine... (300)

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    Au sommaire cette semaine :

    - sur Polémia, Valentin des Loges allume Robert Badinter et révèle le vrai visage de ce grand bourgeois parisien plein de morgue et coupé du peuple...

    Robert Badinter, bourgeois de salon, loin des réalités de la France qui souffre

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    - sur Hashtable, H16 dézingue Lecornu et son enfumage sur le budget...

    Nos dirigeants méprisent le peuple et ne feront donc aucune économie

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  • Feu sur la désinformation... (532) : Les médias fabriquent-ils l'opinion ?...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou et Floriane Jeannin.

     

                                               

     

    Au sommaire cette semaine :

    L'image de la semaine : Affaire Sarkozy

    Après l’acharnement judiciaire, l’acharnement médiatique qui à droite comme à gauche aura offert un traitement souvent biaisé.

    Le dossier du jour : La fabrique de l'opinion

    Comment les médias et les instituts de sondages construisent et promeuvent le candidat Raphaël Glucksmann ?

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    Pastilles de l’info:

    • Affaire Claire Geronimi : une féministe en parle enfin… pour dénoncer l’extrême-droite
    • CNEWS dans le viseur de l’ARCOM et de Delphine Ernotte
    • Un article de France Bleu en partenariat avec les antifascistes et l'extrême gauche !
    • Qui sort son épingle du jeu médiatique ?
    • Nord Stream : un nouvel accusé ukrainien fait discrètement surface dans la presse
    • Six cadavres dans la Seine mais chut, le suspect est un Tunisien islamiste radical !

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    Portrait piquant (en partenariat avec l’OJIM) : Apolline de Malherbe, la journaliste politique d’Apolline Matin sur BFM...

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  • Voyage au cœur de la plus haute spiritualité européenne...

    Les éditions Déterna viennent de rééditer un ouvrage célèbre d'Otto Rahn intitulé La Cour de Lucifer, avec une préface d'Arnaud d'Apremont. Écrivain et archéologue allemand, membre de la SS, spécialiste de la légende du Graal, Otto Rahn se serait suicidé en montagne en 1939.

     

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    " Lucifer n’en finit pas de faire peur, d’être calomnié. Confondu avec Satan, le diable, on a oublié qu’il était un être lumineux, et même étymologiquement, « le porteur de lumière ».

    La Cour de Lucifer, ce sont tous ces hommes et toutes ces femmes qui, au cours de l’histoire, ont cherché la lumière et se sont mis en quête d’un mythe, d’un Graal. Et bien souvent, pour ces mêmes raisons, ils ont été traités d’hérétiques, pourchassés, persécutés, brûlés.

    Au cours de sa brève existence, l’érudit allemand Otto Rahn est parti à la recherche de ces êtres et des mythes qui les soutenaient. Il a parcouru l’Europe en tous sens, d’Espagne en Islande, en passant par l’Italie, la Suisse, la France. Il a ravivé l’engouement pour l’Occitanie cathare. Le tourisme ariégeois actuel lui doit beaucoup.

    Ses deux ouvrages, Croisade contre le Graal et La Cour de Lucifer, sont devenus des livres-culte. Et, comme il se doit, ils sont, au choix et simultanément, discutés, décriés, appréciés, honnis…

    Rahn est mort comme il a vécu : mystérieusement, comme dans une symphonie d’ombres et de lumières. Tel un moderne Parsifal, il a couru après le Graal. Il l’a approché et, comme le héros arthurien, il n’a pu l’atteindre. Il appartenait sans doute à un autre Galaad de le faire.

    Otto Rahn aurait-il échoué dans sa quête ? N’aurait-il pas été digne du Graal ? Pourquoi ? Parce qu’il aurait, un jour de 1936, revêtu un uniforme trop noir ? Personne ne connaîtra probablement jamais la réponse. La Cour de Lucifer se présente comme un journal de voyage, un journal fantastique, une quête, au cœur de l’Europe, de ses mythes, de ses légendes, de ses rêves…

    Au fil des pages, Otto Rhan livre les clés pour retrouver le chemin du royaume de l’elfe Lorin. Ce domaine, c’est aussi l’Asgard des dieux nordiques, le château de la Belle au bois dormant, les terres du milieu émergeant des féeries de Tolkien et un souvenir de l’Âge d’Or. Bon voyage ! "

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  • "Grosse poularde gavée d'aliments toxiques" : autopsie du citadin contemporain...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous,  sur Ligne droite, la matinale de Radio Courtoisie, la chronique du 23 septembre 2025 de Romain Petitjean consacrée au citadin contemporain et à sa coupure du monde réel.

    Romain Petitjean est coordinateur du développement de l'Institut Iliade.

     

                                              

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