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Métapo infos - Page 2

  • Les snipers de la semaine... (302) : Alerte sur la liberté d'expression !

    julien dir,jean-eudes gannat,liberté d'expression,délit d'opinion

    Au sommaire cette semaine : les menaces sur la liberté d'expression...

    - sur Hashtable, H16 analyse l'affaire Gannat et ce qu'elle implique en terme de restriction de la liberté d'expression

    Affaire Gannat : caméra interdite au rayon migrants

    Gannat_Vidéo.jpg

    - sur Breizh-Info, Julien Dir dénonce avec force le retour du délit d'opinion...

    France 2025 : le retour du délit d’opinion

    Liberté d'expression 2.jpg

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  • Feu sur la désinformation... (538) : Commémoration, émotion… manipulation !

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou et Floriane Jeannin.

     

                                              

    Au sommaire cette semaine :

    L'image de la semaine : L'insécurité, les voitures et les couteaux fous !

    Alors que la France subit une nouvelle attaque à la voiture bélier sur l'île d'Oléron par un caucasien radicalisé et que le Royaume-Uni fait face à une attaque au couteau choquante dans un train, les médias ont écarté immédiatement la thèse terroriste....

    Le dossier du jour : Les commémorations françaises instrumentalisées. 

    Le 11 novembre, les Français ont boudé la cérémonie avec Macron sur les Champs Elysées. Une nouvelle preuve de l'immense défiance populaire envers un président qui, un jour où l’on célèbre la paix, réussit à agiter la guerre. Pour commémorer les attentats du 13 novembre, la récupération est cette fois encore centrée sur l’émotionnelle, occultant ainsi toutes responsabilités aux dirigeants et à la caste médiatique....

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    Pastilles de l’info:

    • Les prisons débordées par les détenus d'extrême droite ? La réalité des chiffres !
    • Macron et les réseaux sociaux : en marche vers la censure !
    • Inégalités salariales : le scandale des prélèvements obligatoires !
    • Climat : les Talibans pas invités à la COP 30 ?
    • Municipales : la menace des ingérences russes réelle ou fantasmée ?
    • Nantes : un escalier arc-en-ciel vandalisé ?

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    Portrait piquant (en partenariat avec l’OJIM) : Benjamin Duhamel, le petit dernier de la famille des médias !...

     

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  • La fin de la Yougoslavie...

    Les éditions de l'Artilleur viennent de publier un essai de Frédéric Saillot intitulé La fin de la Yougoslavie - 1991-1999 - Vraies causes et conséquences des guerres des Balkans.

    Frédéric Saillot est journaliste. Il a fait partie du Comité de rédaction de Balkans-Infos de 2005 à 2014, puis a créé le site internet eurasiexpress.fr. Il est l'auteur de deux ouvrages sur la désinformation : Katyn et Racak, publiés chez L'Harmattan en 2010.

     

    Saillot_La fin de la Yougoslavie.jpg

    " Trente ans après la signature des accords de Dayton, la situation est très dégradée en Bosnie-Herzégovine et au Kosovo. Les tensions entre les communautés serbes et les autres groupes de ces deux républiques atteignent des niveaux inquiétants. La guerre peut-elle éclater à nouveau dans les Balkans, au risque cette fois d’entraîner une conflagration plus large qu’en 1991-1999 dans le contexte inflammable du conflit en Ukraine ? Comment expliquer qu’après tant de drames atroces et après un accord qui prétendait y mettre fin, l’affrontement soit de nouveau si proche ?

    Spécialiste des Balkans, Frédéric Saillot propose ici un récit complet de la tragédie que furent les guerres balkaniques entre 1991 et 1999 et, en ayant le courage de mettre au jour les responsabilités de toutes les parties, il permet de comprendre les causes, souvent mal connues ou cachées par les médias, de l’engrenage qui y conduisit.

    Quand l'Union européenne, alors en gestation, l'Allemagne et la France étaient profondément divisées sur le sujet, notamment sur la question des frontières, l’auteur montre comment les États-Unis prirent le relais et firent des choix dont les conséquences se font sentir aujourd’hui. Ce qui n'ôte rien aux responsabilités des leaders nationalistes musulmans, croates, et serbes, également examinées dans ce livre.

    Trente ans après les accords signés à Dayton en décembre 1995 et vingt-six ans après l’adoption par le Conseil de sécurité de la résolution 1244 sur le Kosovo, il est urgent de se demander comment éviter de nouveaux conflits dévastateurs dans les Balkans, qui feraient inévitablement exploser l’Europe. "

     

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  • Jean-Yves Camus et Jean-Yves Le Gallou : le choc des mémoires politiques...

    Vous pouvez écouter ci-dessous dans le cadre du Libre journal de la civilisation européenne, animé par Romain Petitjean, un débat entre le politologue et spécialiste des radicalités Jean-Yves Camus et Jean-Yves Le Gallou, autour des Mémoires identitaires que ce dernier a récemment publié.

     

                                                          

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  • Le retour des seigneurs ?...

    Les éditions L'Harmattan viennent de publier un essai de Félix Rouleaud intitulé Féodalisme et démocratie locale : une possibilité politique ?.

    Autodidacte, Félix Rouleaud a étudié les sciences politiques pendant dix ans, en se spécialisant sur le fonctionnement des systèmes démocratique et aristocratique. Ses rencontres avec des enseignants-chercheurs dans les universités de Tours et de Reims lui ont permis d’acquérir la méthodologie universitaire nécessaire à l’écriture de cet ouvrage, qui est à mi-chemin entre un essai militant et une thèse universitaire.

    L'introduction de ce livre est accessible ici.

    Rouleaud_Féodalisme et démocratie locale.jpg

    Depuis les années 1960, il est courant, chez les économistes et les politologues, de parler du retour du féodalisme. Et ce retour semble aller de pair avec un recul progressif de la démocratie. Nos sociétés sont en proie à la privatisation au profit des grandes fortunes et des entreprises technologiques. Nous parlons, à ce compte, de « reféodalisation de la sphère publique » ainsi que de « technoféodalisme ». Or, ce retour inévitable du féodalisme est-il résolument incompatible avec la démocratie en tant que système de valeurs ?
    Répondre à cette question impliquera, dès lors, le développement du concept hybride de féodalisme démocratique.

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  • « Immigration subie » vs « immigration choisie » : l’escroquerie libérale...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Xavier Eman, cueilli sur le site de la revue Éléments et consacré à l'hypocrisie de la droite libérale sur la question de l'immigration "choisie"...

     

    La colère des livreurs UberEats sans-papiers contre le capitalisme de  plateforme - Élucid

    « Immigration subie » vs « immigration choisie » : l’escroquerie libérale

    « Quand nous arriverons, ils partiront ! » clamait le Front National des années 80, slogan peut-être simpliste mais sur lequel a largement capitalisé le parti patriote et dont même le RN « dédiabolisé » continue de bénéficier, même s’il feint de s’en offusquer. Car, FN comme RN, le vote pour la flamme tricolore reste, quoi qu’on dise, massivement lié au rejet de l’immigration. C’est le cri de colère et d’espérance d’un peuple dépossédé de sa culture et de son identité, agressé quotidiennement dans son âme et sa chair, insulté, moqué et réduit à un rôle de victime impuissante face à la transformation brutale de son environnement culturel et social. Cela ne fait peut-être pas un programme politique cohérent, ni un projet révolutionnaire, mais c’est un fait, un constat implacable, une réalité indiscutable. De larges pans de la population, souvent les plus précaires, n’en peuvent tout simplement plus d’une « cohabitation » imposée qui tourne toujours à leur désavantage, des agressions de rue aux subsides publiques détournées au profit des nouveaux arrivants.

    Mais à cette colère mêlée de désespoir, plus personne ne répond.

    Gauche morale et droite patronale

    A gauche, on méprise et on insulte, taxant de « racisme » le peuple qui l’est sans doute le moins au monde et qui, d’ailleurs, le paye justement assez cher, son manque de conscience ethnico-raciale étant considéré et utilisé comme une faiblesse. Car le français, à la différence de l’anglo-saxon, n’est pas raciste, il est souvent chauvin, parfois patriote, et généralement simplement, et naturellement, attaché à son mode de vie, à ses référents historiques et à son patrimoine hérité. Les idéologues radicaux d’un camp ou de l’autre pourront le lui reprocher, ils n’en changeront pas moins cette réalité anthropologique, cette capacité du français au véritable « vivre-ensemble » à condition que l’invité s’essuie les pieds avant d’entrer, boive un coup de bon cœur et n’occupe pas trop de place dans la pièce. Mais aujourd’hui, nous n’en sommes plus là, et depuis longtemps. Les crèches de Noël interdites, la disparition du porc à la cantine, les mosquées dans les villages, les émeutes, les viols, le racket… Trop, c’est trop, tout simplement. Et les crachats de la gauche moralisante atteignent de moins en moins leur cible, surtout depuis qu’elle s’embourbe dans l’incohérence la plus absolue, dérivant comme un radeau sans boussole de la défense du voile intégral  à la propagande LGBT et du véganisme militant à la promotion de l’abattage sans étourdissement…

    A droite, on feint « d’entendre le message », on dénonce vertueusement les dérives délinquantes et criminelles résultant des migrations incontrôlées, et l’on propose de remplacer une « immigration subie » par une merveilleuse « immigration choisie » permettant à tous de vivre paisibles et heureux dans le meilleur des mondes libéraux.

    Qu’est-ce que « l’immigration choisie » ? C’est la possibilité pour le grand patronat, en fonction de ses besoins circonstanciels, de puiser, n’importe où dans le monde, la main d’œuvre nécessaire à la réalisation de ses bénéfices. Cela convient très bien à la « droite libérale » qui demande seulement à ces nouveaux esclaves de faire profil bas, d’abandonner leur religion et leur identité, et de respecter à minima les règles et lois de leur pays « d’accueil » qui n’est, en réalité, qu’un pays d’emploi (sur lequel d’ailleurs, ces travailleurs importés font pression à la baisse au niveau des salaires et des conditions de travail). C’est, au final, la « flexibilité du travail » appliquée à l’échelle mondiale.

    Or si cette optique, déjà moralement hautement condamnable d’un point de vue identitaire cohérent, était encore concevable « pragmatiquement » il y a 40 ans et concernant un nombre réduit et limité de « travailleurs », dans une société homogène et de quasi plein emploi, elle est devenue une fuite en avant suicidaire depuis lors. Ce qui n’empêche pas le Medef de réclamer 3,9 millions de salariés étrangers supplémentaires d’ici 2050 pour « maintenir notre économie ».

    L’économie ou la survie identitaire ?

    Et c’est bien là que se situe le point d’achoppement fondamental : veut-on sauver l’économie ou notre peuple ? Considère-t-on l’immigration de masse comme un simple problème de « police » et une variable d’ajustement économique ou comme un enjeu civilisationnel vital ?

    Car il ne peut y avoir de lutte efficace et cohérente contre l’immigration sans remise en cause du modèle libéral-capitaliste qu’elle nourrit. Et ça, la « droite » n’est prête ni à l’entendre ni, bien sûr, à l’accepter.

    Pourtant, rappelons-le, ce ne sont ni les officines gauchistes ni les associations « immigrationnistes » qui ont provoqué l’explosion de l’immigration, c’est bien le patronat et ses domestiques politiciens « droitiers » à commencer par Valéry Giscard d’Estaing et son mortifère « regroupement familial».

    Tant que certains rêveront d’un monde « ouvert »,  hédonisto-consumériste, « uberisé »,  avec livraisons à toutes heures, produits et employés low-cost, mais le tout uniquement « sans racailles », rien ne changera. Remigration ou Deliveroo, il faut choisir.

    Xavier Eman (Site de la revue Éléments,  6 novembre 2025)

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