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  • Daimôn...

    Les éditions des Belles Lettres viennent de publier un essai de Vinciane Pirenne-Delforge intitulé Daimôn - Modalités de l’action des dieux en Grèce ancienne. Vinciane Pirenne-Delforge occupe au Collège de France la chaire Religion, histoire et société dans le monde grec antique depuis 2017. Ses principaux champs d’investigation sont la religion grecque antique, le fonctionnement des systèmes polythéistes antiques et l’historiographie des religions.

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    Les mythes grecs parlent de dieux et de héros, et les cités étaient pleines de sanctuaires où les honorer. Mais la poésie archaïque fait apparaître ce qui semble être un troisième type de puissance divine, à savoir le daimōn.
    Que recouvre précisément cette notion dans les textes poétiques des périodes archaïque et classique ? A-t-elle par ailleurs une portée cultuelle ? C’est là l’objet de cet ouvrage. Plus précisément, l’autrice analyse les occurrences de daimōn – radicalement différent de notre démon moderne – dans la poésie épique, tragique, mélique, tout en le cherchant aussi dans les pratiques rituelles.
    Il apparaît alors que si le terme daimōn, au pluriel, peut désigner les dieux, le mot employé au singulier renvoie à une action divine dont l’être humain pris pour cible, en bien ou en mal, ne peut identifier la source. De manière poétique, il désigne la distribution des biens et des maux qui caractérise la vie humaine. Le recours au terme de daimōn souligne ainsi la part d’incertitude constitutive d’un système polythéiste, pluriel et foisonnant, dont la présente étude permet de mieux appréhender la complexité, tant en matière de représentations que de pratiques.

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  • Feu sur la désinformation... (524) : chaîne TNT 23, petites magouilles entre amis...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou et Floriane Jeannin.

     

                                              

    Au sommaire cette semaine :

    L'image du jour : Les piscines éclaboussées par l’insécurité

    Incivilités, violences, évacuations d’individus par le PSIG (Peloton de surveillance et d'intervention de la Gendarmerie), fermetures… Les centres aquatiques sont littéralement débordés par l’insécurité qu’y font régner quelques racailles que les médias refusent de nommer.

    Le dossier du jour : Un scandale et des millions : l’arnaque de la chaîne 23!

    Didier Maïsto revient exclusivement pour nous sur le scandale de l’attribution de la chaîne de TNT numéro 23 en 2012 à Pascal Houzelot, le discutable propriétaire de Pink TV, "La chaîne Gay-friendly" qui diffusait en fait du porno homosexuel payant. Après seulement 2 ans et demi d’exploitation de la chaîne 23, lui ayant été attribuée gratuitement par le CSA, soit l’actuel ARCOM, il l’a revend pour plus de 70 millions d’euros. Une attribution opaque et une vente douteuse qui lui valent aujourd’hui d’être mis en examen pour trafic d’influence actif, escroquerie et abus de confiance.

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    Pastilles de l’info:

    • Pour ARTE Junior, les bébés sont moches et chiants et c’est financé par vos impôts !
    • Sandrine Rousseau bientôt de retour sur X ?
    • Omar Sy, son chien et la SNCF : passagers ≠ stars, le deux poids deux mesures
    • Les cathos prennent le contrôle ? Décryptage d'une enquête Mediapart surréaliste
    • CRIF, Licra, SOS Racisme, plus d’argent public et plus de pouvoir pour censurer le net avec Aurore Bergé 

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    Portrait piquant (en partenariat avec l’OJIM) : Mathieu Gallet, l'ancien patron de Radio France au microscope...

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  • Canicule mentale...

    Nous reproduisons ci-dessous un coup de gueule de Julien Dir, cueilli sur Breizh-Info et consacré au sectarisme écolo-gauchiste.

     

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    Canicule mentale : les écolos-gauchistes rêvent de notre disparition, mais s’indignent qu’on puisse mourir

    On les voit, on les entend, on les subit. En boucle, depuis des années, les sirènes du climat hurlent dans nos oreilles : « Il fait chaud, on va tous mourir ! » après le « il fait froid, c’est un signe que ça se réchauffe et qu’on va tous mourir » et le « il pleut, c’est lié au réchauffement climatique on va tous mourir ». Les thermomètres s’affolent, les journalistes transpirent, les médecins de plateau paniquent, les écolos twittent en nage. C’est le réchauffement climatique, ma brave dame, l’Apocalypse éco-responsable. Fermez les volets, arrêtez les barbecues, coupez les moteurs thermiques et hydratez-vous — de l’eau du robinet, bien sûr, surtout pas un Coca dans une bouteille plastique, assassin de tortue marine. Encore moins de la climatisation dans les écoles, et si vous allez sous les 26 degrés dans les commerces, on envoie la police de l’écologie vous mettre à l’amende.

    Mais permettez-moi une question simple : pourquoi diable ces gens s’émeuvent-ils autant à l’idée de la disparition de l’humanité, alors que c’est précisément ce qu’ils promeuvent toute l’année ?

    Ils détestent l’homme, mais redoutent sa fin

    C’est une contradiction aussi hilarante qu’abyssale : ces militants du néant, ces prédicateurs de l’extinction douce, geignent à l’idée que l’humanité puisse s’éteindre… alors même qu’ils passent leur vie à prôner son effacement. Car enfin, qui martèle à longueur de colonnes, de podcasts et de tribunes que faire des enfants est un acte écocidaire, que chaque naissance est un fardeau carbone, que l’avortement est un droit sacré, que le suicide assisté est un progrès, et que l’espèce humaine (enfin surtout l’homme blanc) est un virus sur la planète ?

    Qui, sinon eux ?

    Les mêmes qui célèbrent la stérilité comme un acte militant, la solitude comme une victoire, l’utérus comme un champ de bataille à neutraliser. Les mêmes qui transforment chaque revendication LGBT en nouveau modèle anthropologique, et qui considèrent le transhumanisme, la PMA pour toutes, l’auto-identification sexuelle et le polyamour asexué comme l’horizon d’une humanité enfin déconstruite.

    Et les voilà, pourtant, à pleurnicher à l’idée que “la planète ne nous survivra pas”, comme si cela les attristait.

    Le culte de Gaïa contre la vie

    Ne vous y trompez pas : ce ne sont pas des défenseurs de la nature, ce sont des partisans d’un ordre moral totalitaire, masqué sous un vernis verdâtre. Ils n’aiment ni les arbres ni les animaux ; ils haïssent simplement les hommes — surtout ceux qui sont blancs, ont des enfants, un barbecue, un 4×4, et un avis divergent.

    Leur écologie n’est pas une science, c’est une théologie punitive. Elle ne cherche pas à protéger la création, mais à justifier la destruction de notre civilisation. Il faut expier. Se taire. S’excuser d’exister. Et surtout, ne pas se reproduire.

    Mais alors, qu’est-ce qui les dérange tant dans le réchauffement ? Si l’humanité est un fléau, ne devraient-ils pas se réjouir qu’une canicule en finisse avec quelques boomers climato-sceptiques ? Ne serait-ce pas là une épuration naturelle, dans leur logique ? Pourquoi cette panique, si l’effacement de l’espèce est leur Graal ?

    Parce qu’au fond, ils ne veulent pas mourir. Ils veulent que vous, nous, les autres, mourions à leur place.

    Le véritable réchauffement, ce n’est pas celui du climat, c’est celui du délire idéologique. La température des cerveaux a dépassé les 42° dans les bureaux de Bruxelles, dans les salles de rédaction, et sur les bancs de la gauche morale. C’est une canicule mentale, un incendie de la raison.

    Ceux qui rêvent de mondes “dégenrés”, “décarbonés” et “posthumains” nous expliquent avec des trémolos dans la voix que la planète va mal parce qu’il y a encore des gens vivants dessus. Et ils s’affolent quand le thermomètre grimpe. Incohérence ? Non. Hypocrisie.

    Oui, il fait chaud. Et alors ?

    Le climat change ? Sans doute. Il a toujours changé. L’homme s’adapte — ou il disparaît. Mais il ne supplie pas Gaïa à genoux en récitant des mantras inclusifs.

    L’avenir n’appartient pas aux sectaires suicidaires en tongs biodégradables. Il appartient aux peuples enracinés, féconds, conscients d’eux-mêmes et debout. Pas aux effacés de l’histoire qui célèbrent leur propre extinction entre deux shots de soja tiède.

    Alors oui, il fait chaud. Qu’ils transpirent. Nous, on construit.

    Julien Dir (Breizh-Info, 1er juillet 2025)

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  • Les idées à l'endroit...

    Les éditions Ars Magna viennent de rééditer Les idées à l'endroit, un recueil de textes essentiels d'Alain de Benoist publié initialement en 1979, à l'issue de la campagne médiatique sur la Nouvelle Droite. A l'occasion de cette publication, Alain de Benoist avait été invité sur le plateau d'Apostrophe, l'émission de Bernard Pivot.

    Philosophe et essayiste, directeur des revues Nouvelle École et Krisis, Alain de Benoist a récemment publié Le moment populiste (Pierre-Guillaume de Roux, 2017), Contre le libéralisme (Rocher, 2019),  La chape de plomb (La Nouvelle Librairie, 2020),  La place de l'homme dans la nature (La Nouvelle Librairie, 2020), La puissance et la foi - Essais de théologie politique (La Nouvelle Librairie, 2021), L'homme qui n'avait pas de père - Le dossier Jésus (Krisis, 2021), L'exil intérieur (La Nouvelle Librairie, 2022), Nous et les autres - L'identité sans fantasme (Rocher, 2023) et, dernièrement, Martin Buber, théoricien de la réciprocité (Via Romana, 2023).

     

    De Benoist_Les idées à l'endroit.jpg

    " Les Idées à l’endroit est un livre de circonstance. Un livre publié pour répondre à une demande créée par l’événement, en l’occurrence la grande campagne de presse autour de la « Nouvelle Droite » qui s’est déroulée durant l’été 1979.

    Dans pareil contexte, il fut nécessaire de publier un livre présentant au public les idées de la ND avec précision et objectivité, ou du moins de permettre à ceux qui entendaient dire tout et n’importe quoi sur la ND de juger sur pièce.

    Pour ce faire, Alain de Benoist réunit, en toute hâte, une vingtaine de textes qu’il considérait comme représentatifs de ce qu’il avait écrit jusque-là. Le titre du livre, , lui fut suggéré par Louis Pauwels.

    Près d’un demi-siècle plus tard, les textes de cet ouvrage sont toujours d’actualité et donnent toujours aux jeunes générations des pistes de réflexion et des conseils de maintien. "

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  • Israël, Iran, USA : vers la 3e guerre mondiale ?...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous Le samedi politique de TV Libertés, diffusé le 28 juin 2025 et présenté par Élise Blaise, qui recevait Caroline Galactéros pour évoquer la situation géopolitique provoquée par le conflit au Proche et Moyen-Orient...

    Docteur en science politique, Caroline Galactéros est l'auteur de  Manières du monde, manières de guerre (Nuvis, 2013) et de Vers un nouveau Yalta (Sigest, 2019). Elle a créé en 2017, avec Hervé Juvin, entre autres, Geopragma qui veut être un pôle français de géopolitique réaliste.

     

                                            

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  • L'écrou mystérieux...

    Les éditions Auda Isarn viennent de publier, dans leur collection de polars du "Lys noir" un court roman policier de A. C. Duchaux intitulé L'écrou mystérieux. Un roman datant de 1943, écrit sous pseudonyme, pour une collection comptant Henry Coston parmi ses auteurs : une curiosité, donc !

     

    Duchaux_L'écrou mystérieux.png

    " Un matin, dans une belle maison berrichonne de La Châtre, on retrouve l’inventeur Darminier pendu à l’espagnolette d’une fenêtre. La Police conclut rapidement au suicide vu qu’il n’y a aucune trace d’infraction. Mais tel n’est pas l’avis de sa fille et de son époux.

    Le commissaire Moreau décide alors d’y regarder de plus près, et il comprend bientôt que la victime n’avait aucune raison de se suicider puisqu’il était aimé de ses proches, et heureux en affaire avec son usine de pièces automobiles. Dès lors, qui a bien pu commettre cet assassinat via cette macabre mise en scène ?

    Enraciné dans l’Indre et se déroulant sous l’Occupation, ce roman policier de A.C. Duchaux parut dans la collection « Rouge Gorge », série de romans policiers à la tonalité collaborationniste où le mauvais rôle était invariablement tenu par des francs-maçons, des gaullistes, des Anglais… "

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