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  • Pourquoi le rire est passé à droite ?...

    Le nouveau numéro de la revue Éléments (n°209, août 2024 - septembre 2024) est en kiosque!

    A côté du dossier consacré au retour du rire à droite, on découvrira l'éditorial, les rubriques «Cartouches», «Le combat des idées» et «Panorama» , un choix d'articles variés et des entretiens, notamment avec Wolfgang Streeck, Jeremy Carl, Victor Davis Hanson, David Engels, Vali Nasr, Morgan Sportès, Yves Christen, Olivier Eichenlaub et Henri Levavasseur, Julien Hervieux, Greg Tabibian et Karine Dubernet ...

    Et on retrouvera également les chroniques de Xavier Eman, d'Olivier François, de Laurent Schang, de Nicolas Gauthier, d'Aristide Leucate, de David L'Epée, de Bruno Lafourcade, de Guillaume Travers, d'Yves Christen, de Bastien O'Danieli, d'Ego Non, de Slobodan Despot, de Michel Marmin et de Julien Rochedy...

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    Au sommaire :

    Éditorial
    Se passer du passé ? Par Alain de Benoist

    Agenda, actualités

    L’entretien
    Wolfgang Streeck face à la crise du capitalisme contemporain. Propos recueillis par Thomas Hennetier

    Cartouches
    L’objet disparu : les collections de timbres. Par Nicolas Gauthier

    Une fin du monde sans importance. Par Xavier Eman

    Cinéma : les vices de Sergio Martino. Par Nicolas Gauthier

    La lumière de Jean-François Mattéi. Par Christopher Gérard

    Curiosa Erotica : La Fontaine, fabuliste moralisant ou conteur immoral ? Par David L’Épée

    Champs de bataille : Finis Hungariae ? (2/2). Par Laurent Schang

    Uranie, uchronie woke (1). Par Bruno Lafourcade

    Le droit à l’endroit : le recours à la légitime défense. Par Aristide Leucate

    Économie. Par Guillaume Travers

    Années 1930, la nouvelle grande peur des bien-pensants. Le regard d’Olivier François

    Bestiaire : corneilles pythagoriciennes. Par Yves Christen

    Sciences Par Bastien O’Danieli

    Le combat des idées
    Le RN et la France bleu-blanc-jaune : la revanche des « ploucs émissaires». Par François Bousquet

    L’immigration au secours du capitalisme. Par Guillaume Travers

    Vers un « génocide culturel » ? Le racisme anti-blanc vu par Jeremy Carl. Propos recueillis par Ethan Rundell

    Histoire et prospective des civilisations avec Victor Davis Hanson. Propos recueillis par Laurent Schang

    Leçon d’hespérialisme avec David Engels. Propos recueillis par Pierre Saint-Servant

    Les ressorts messianiques de la colonisation israélienne. Par Daoud Boughezala

    La géopolitique du Moyen-Orient décryptée par Vali Nasr. Propos recueillis par Daoud Boughezala

    Le décapant tour des immondes avec Morgan Sportès. Propos recueillis par Daoud Boughezala

    La dénonciation de l’écofascisme, un épouvantail bien pratique. Par David L’Épée

    Ernst Haeckel, père de l’écologie vu par Yves Christen. Propos recueillis par Thomas Hennetier

    Hommage à Jean-François Michaud. Par ses amis et ses enfants

    Olivier Eichenlaub et Henri Levavasseur présentent le Pôle Études de l’Institut Iliade. Propos recueillis par François Bousquet

    Drôle d’histoire : Julien Hervieux présente l’Odieux Connard. Propos recueillis par Laurent Schang

    Jack Kerouac, un réac chez les hippies. Par François-Xavier Consoli

    Dossier
    Humour : la droite qui rit, la gauche qui pleure

    Pourquoi l’humour et la transgression sont-ils passés à droite ? Par François Bousquet

    Greg Tabibian, Monsieur « J’suis pas content ». Propos recueillis par Daoud Boughezala

    Le rire périphérique : humour des villes contre humour des champs. Par Xavier Eman

    L’humour explosif de Karine Dubernet. Propos recueillis par Marielle et Christophe Belleval

    Le rire contre le ricanement : persistance du sarcasme français. Par Christophe A. Maximel

    Panorama
    L’œil de Slobodan Despot

    Reconquête : Avalon. Par Slobodan Despot

    La leçon de philo politique : Feliks Koneczny et la guerre des civilisations. Par Ego Non

    Un païen dans l’Église : Notre-Dame de Bruyères-et-Montbérault. Par Bernard Rio

    Anachronique littéraire : Regulus et Don César de Bazan. Par Michel Marmin

    Rochedytorial : la grande sensiblerie. Par Julien Rochedy

    Éphémérides


     

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  • François Bousquet, une vie d'homme-Livre...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous sur TV Libertés  une conversation entre Paul-Marie Coûteaux et François Bousquet au cours de laquelle ce dernier évoque son parcours intellectuel et métapolitique.

    Journaliste, rédacteur en chef de la revue Éléments, François Bousquet a aussi publié Putain de saint Foucauld - Archéologie d'un fétiche (Pierre-Guillaume de Roux, 2015), La droite buissonnière (Rocher, 2017), Courage ! - Manuel de guérilla culturelle (La Nouvelle Librairie, 2020) et Biopolitique du coronavirus (La Nouvelle Librairie, 2020).

     

                                             

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  • le Futurisme politique...

    Les éditions des livres noirs viennent de publier un recueil de textes de Filippo Tommaso Marinetti intitulé Le Futurisme politique.

    Écrivain, Filippo Tommaso Marinetti (1876-1944) a été le fondateur et le chef de file du futurisme.

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    " Au début du XXe siècle, un mouvement d’avant-garde naquit en Italie qui secoua la vieille Europe et mena sa révolution culturelle comme une rafle de police : le Futurisme.

    Le Futurisme n’est pas qu’une école de peinture ou un courant littéraire. C’est une philosophie de la violence et du dépassement, un nationalisme incendiaire, une voie héroïque à l’usage exclusif de l’homme moderne.

    Cet ouvrage, qui rassemble dix-huit textes écrits entre 1909 et 1937 par le père du mouvement (Filippo Tommaso Marinetti), vise à mettre en lumière les fondements de la pensée politique du Futurisme au XXe siècle. Nous espérons que sa lecture insufflera dans quelques esprits une dynamique nouvelle : un vent de haine et de fureur au service d’une foi aveugle en l’avenir ! "

     

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  • Ariane 6, l'Europe et l'espace...

    Nous reproduisons ci-dessous un entretien donné par Olivier Mousis, professeur d'astrophysique, et une tribune de Clarisse Angelier et de l'Association Nationale de la Recherche et de la Technologie, cueillis sur Figaro Vox et consacrés au décollage de la fusée Ariane 6 et à la politique spatiale européenne.

     

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    Espace : « En dépit du succès d’Ariane 6, l'Europe est en passe d'appartenir à l'histoire »

    FIGAROVOX. – Avant le lancement d'Ariane 6, l'Agence spatiale européenne (ESA) ne disposait plus d'aucun accès à l'espace depuis un an. Quels étaient les freins de l'Europe dans le domaine spatial ?Olivier MOUSIS. – Le projet Ariane 6 n'est pas tout à fait un succès : les problèmes techniques et l'organisation à Kourou en Guyane, ont retardé le lancement. C'est une bonne nouvelle si l'Europe détient son propre lanceur, mais il ne faut pas en tirer un fait de gloire. Cet événement a permis de démontrer la complexité de la machine européenne. En effet, du côté américain et du côté chinois, les avancées en matière spatiale sont majeures. Selon moi, si elle continue ainsi, l'Europe est en passe d'appartenir à l'histoire. Pour conjurer le sort, il nous faudrait une vision et de la volonté, afin d'entraîner les jeunes générations. Malheureusement, elles ne s'intéressent plus au domaine spatial.

    Le lancement d'Ariane 6 en Guyane, ce mardi 9 juillet, a été un succès. Cette réussite permet-elle à l'Europe de retrouver une forme de souveraineté spatiale ?

    Le lanceur Ariane 6 représente un outil d'indépendance, mais ne nous permet pas de retrouver notre souveraineté spatiale. L'hégémonie de la France date des années 1990-2000, avec le lanceur Ariane 5. Mais le déclin commence lors de l'échec du programme Hermès (ce projet de navette spatiale européenne abandonné). Et le lancement d'Ariane 6 ne change pas la donne. Thomas Pesquet n'a pas été lancé par une Ariane 6, mais par l'entreprise SpaceX. Tout est dit. Le lancement d'Ariane 6 arrête simplement et brièvement l'hémorragie, mais ne met pas un terme au problème européen d'indépendance dans le domaine spatial. Pour ce faire, il faudrait un sursaut supranational, c'est-à-dire un sursaut européen.

    Le contexte géopolitique a-t-il accentué les vœux d'indépendance de l'Europe dans ce domaine ?

    En effet, la guerre en Ukraine a bouleversé le continent européen, et sa stratégie en matière spatiale. Le soutien au pays envahi a nécessité des fonds. Je ne remets pas du tout en cause l'aide française et européenne à l'Ukraine, je la soutiens. Mais le contexte géopolitique complexifie et affaiblit les ambitions spatiales européennes, vis-à-vis de nos concurrents, c'est-à-dire les États-Unis et la Chine.La concurrence américaine, en la personne d'Elon Musk et de son entreprise SpaceX, peut-elle limiter les aspirations européennes ? Est-elle la seule ?

    SpaceX écrase tout le marché. Cette année, l'entreprise d'Elon Musk doit réaliser près de 150 lancements, soit près de trois par semaine. De plus, grâce au recul que nous avons aujourd'hui, nous savons que leurs lanceurs fonctionnent et qu'ils sont d'une grande fiabilité. De l'autre côté de la planète, la Chine organise sa stratégie spatiale sur le long terme : ils élaborent des feuilles de route, et présentent des plans quinquennaux. La Chine a décidé de faire du spatial un enjeu stratégique. Selon moi, elle pourrait potentiellement se rendre sur la lune avant les États-Unis. Au-delà des concurrents extra-européens, la France subit aussi une compétition à l'intérieur de l'Europe. L'Allemagne en est le meilleur exemple : elle n'a jamais joué un rôle très clair avec la France.

    Il y a trois ans, vous disiez dans nos colonnes : «La stratégie des Européens se résume à un rôle de second couteau, de bon suiveur ». La réussite du lancement d'Ariane 6 a-t-elle fait évoluer votre jugement ?

    Non, mon jugement n'a pas changé. Ariane 6 a seulement permis à l'Europe de maintenir son écosystème et d'alimenter les entreprises afin de préserver leurs expertises. Mais le système français reste complexe : la surcharge administrative étouffe les ambitions et décourage les petites entreprises qui souhaiteraient se lancer dans l'aventure spatiale. De plus, il existe aussi un problème de latence. En Europe, entre une décision stratégique et sa réalisation, le temps passe trop lentement.

    La France et l'Europe manquent d'ambition. À l'époque, Hubert Curien, ministre l'Enseignement supérieur et de la Recherche de France de 1988 à 1993, avait largement contribué à pousser les projets spatiaux français et européens. Aujourd'hui, la France manque d'hommes de cette envergure. La recherche est un enjeu stratégique, or l'insuffisant investissement dans la recherche contribue à l'insuffisance de la France et de l'Europe en matière spatiale. Nous obtiendrons l'indépendance spatiale lorsque nous enverrons un astronaute européen dans l'espace par nos propres moyens. Alors, nous parlerons d'égal à égal avec les Américains et les Chinois. L'espoir n'est pas mort, mais il dépend d'investissements financiers importants et d'une vision à long terme qui n'est plus présente dans notre paysage politique. En l'absence d'un tel sursaut, la France et l'Europe appartiendront au passé.

    Olivier Mousis, propos recueillis par Gilbert Clarisse (Figaro Vox, 12 juillet 2024)

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    Espace : «Disposer d'un lanceur, c'est bien, restaurer l’unité européenne, c'est mieux !»

    Avec le lancement réussi d'Ariane 6 en ce 9 juillet, notre continent accède de nouveau à l'espace de façon autonome et sort enfin d'une période de fébrilité, marquée par l'absence de lanceurs. Cette dizaine de mois a laissé l'Europe spatiale dans un état de crispation, tendant le dialogue entre partenaires. Pourtant, les signes de fragmentation sont autant de vecteurs de fragilisation, alors qu'il est urgent de restaurer l'unité européenne pour garantir son avenir extra-atmosphérique.

    Ses capacités de lancement recouvrées, l'Europe peut à nouveau se projeter et remettre sur le métier l'élaboration urgente d'une stratégie continentale pour l'espace. Disposer d'un lanceur, c'est bien ; définir une stratégie pour son usage au-delà de cette décennie, c'est mieux.

    Ces dernières années, de nombreux États européens se sont dotés de stratégies spatiales nationales précises (Italie en 2020, Allemagne en 2023), à l'inverse de la France où l'élaboration d'un tel document est toujours en chantier, ainsi que le soulignait récemment le rapport du sénateur Jean-François Rapin sur le financement de la recherche spatiale. Or, pour le citer encore, les stratégies spatiales sont des outils à même de «renforcer l'engagement public vis-à-vis des citoyens, des pays partenaires et des investisseurs privés» dont il serait présomptueux de se passer, à l'heure d'une compétition spatiale accrue. Aux États-Unis, la planification stratégique en matière d'espace est un effort constant, auquel s'est même jointe la US Space Force qui vient de publier sa stratégie commerciale. En Chine, les ambitions spatiales sont réglées sur le métronome des plans quinquennaux et l'Inde a présenté sa stratégie courant 2023.

    Du côté de l'Europe, cet effort de planification existe. L'Union européenne dispose par exemple d'une stratégie pour le spatial de défense, et l'Agence spatiale européenne (ESA) avait missionné en 2022-2023 un comité de haut niveau sur le thème de l'exploration spatiale. Mais il manque par-dessus tout cette stratégie d'ensemble, lisible et claire d'une Europe réellement engagée vers l'avenir spatial ; la ligne de conduite d'une Europe qui ne s'excuse pas de pouvoir devenir une puissance spatiale et qui le manifeste dans un document coordonné et officiel qui engage les parties prenantes. Cette coordination devra harmoniser les forces composites d'une Europe spatiale, riche d'un tissu industriel et scientifique reconnu ; challengée par la dualité ESA-UE.

    Pour être efficace, une stratégie spatiale européenne doit se déployer pleinement sur quatre piliers : l'accès à l'espace, fondamental pour l'autonomie ; les télécommunications stratégiques et les données spatiales, nécessaires à la souveraineté économique ; l'exploration de l'espace dont la Lune, outil de coopération et de diplomatie scientifique ; et enfin, la présence active dans les instances multilatérales élaborant l'avenir du droit et de la gouvernance spatiale. Les accords Artémis initiés par les États-Unis ont démontré que la fabrique de la norme était un domaine stratégique à part entière. En s'engageant sur ces quatre fronts, l'Europe peut redevenir pleinement le troisième pôle de la coopération spatiale internationale, en parallèle des États-Unis et de la Chine. Car il faut bien avoir en tête ce mouvement de rebipolarisation du spatial mondial, ce dont témoigne la constitution de deux blocs autour des programmes lunaires Artémis de la NASA d'un côté, et ILRS de la Chine de l'autre. L'Europe spatiale du XXIe siècle doit être la troisième voie, jouant sur un tissu de coopérations agiles regardant vers les deux blocs dominants mais aussi vers les États non alignés. C'est aussi sur le socle d'une autonomie stratégique solide que notre continent pourra déployer ses ambitions dans le domaine de l'exploration spatiale, et en particulier vers la Lune.

    Mais la réalisation des ambitions européennes, au-delà du ciel, a besoin d'une indéfectible coopération continentale, car un simple appel à la mobilisation solidaire ne suffit pas. L'unité européo-spatiale se disperse et se délite dangereusement, dès lors qu'il s'agit de lanceurs, mais aussi d'autres applications spatiales, notamment satellitaires. On apprenait en effet, il y a quelques jours, qu'Eumetsat a choisi, pour lancer son prochain satellite météo, une fusée SpaceX. Un choix étonnant et déstabilisant tandis qu'Ariane 6 s'apprêtait à quitter la Guyane. Ce revirement est un signal inquiétant de plus pour l'unité spatiale européenne, manifestement déjà menacée lors du dernier Sommet de Séville. Dans la capitale espagnole de l'exploration, les partenaires européens avaient eu des échanges plus que tendus sur l'avenir de la filière des lanceurs, marchandant les contributions et les coûts, au détriment d'une vision stratégique de long terme, au-delà de la fin de la décennie.

    Or tandis qu'aux États-Unis, en Chine et en Inde, l'espace est plus que jamais facteur de puissance, monnaie d'échange et de négociation diplomatique, l'Europe doit prendre position et jouer son rôle dans le deuxième acte de la conquête spatiale. Le risque est grand de ne pas faire front uni : en matière spatiale, comme dans d'autres domaines à haute intensité technologique, le passage par une stratégie européenne est la garantie de la viabilité budgétaire et de la solidité technique.

    Alors, il faut rejouer pleinement la carte continentale : privilégier les développements européens, consacrer une préférence européenne pour la passation de marchés publics, ne pas oublier les rôles clés d'une politique spatiale fondée sur des besoins stratégiques spécifiques et correctement financés, diluer les logiques exclusivement nationales pour favoriser un développement réellement européen, faire primer l'autonomie stratégique et l'innovation au service de l'intérêt général sur la seule rentabilité. Notre continent a su le faire et il peut le faire à nouveau. Le sommet ministériel de l'Agence spatiale européenne, qui aura lieu en Allemagne en 2025, sera crucial pour l'avenir continental au-delà du ciel. À nous, Européens, d'en faire le sommet le plus restructurant de ces dernières deux décennies.

    Clarisse Angelier et Alban Guyomarc'h (Figaro Vox, 15 juillet 2024)

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  • La femme, l'avenir de l'Europe...

    Nous vous signalons la parution du numéro 100 (Solstice d'été 2024) de la revue Terre & Peuple. Pierre Vial, après plus de soixante ans d'engagement (à Jeune nation, à la FEN, à Europe Action, au GRECE, au FN, au MNR,...) et après trente ans de combat identitaire à la tête de Terre & Peuple, mouvement qu'il a fondé, a décidé de passer le flambeau à Jean-Patrick Arteault.

    Ce numéro anniversaire comprend, outre un florilège des 99 premiers numéros, un dossier sur les femmes, qui portent sur leurs épaules l'avenir, notamment démographique, de l'Europe.

    Vous pouvez commander cette revue sur le site de Terre & Peuple.

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  • Feu sur la désinformation... (476) : La victoire du parti des médias ?

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, et Lucas Chancerelle.

     

                                            

    Au sommaire cette semaine :

    L'image de la semaine :  le cliché déjà historique de Trump se relevant le poing levé après la tentative d’assassinat contre lui.

    Dossier du jour :   le rôle joué par les médias dans la montée de la violence contre l’ancien président américain et les théories du complot entourant les circonstances de l’attentat.

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    Pastilles de l’info :

    1) L’extrême gauche assume et revendique le grand remplacement
    2) Le vol du patrimoine des Français pour rembourser la dette ?
    3) Cérémonie des JO : ça promet !
    4) Le gouvernement allemand censure un magazine patriote !
    5) Groupe Canal : l'inquisition de l’Arcom

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    Portrait piquant (en partenariat avec l’OJIM) : Céline Pigalle.

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