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Métapo infos - Page 4

  • Les snipers de la semaine... (300)

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    Au sommaire cette semaine :

    - sur Polémia, Valentin des Loges allume Robert Badinter et révèle le vrai visage de ce grand bourgeois parisien plein de morgue et coupé du peuple...

    Robert Badinter, bourgeois de salon, loin des réalités de la France qui souffre

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    - sur Hashtable, H16 dézingue Lecornu et son enfumage sur le budget...

    Nos dirigeants méprisent le peuple et ne feront donc aucune économie

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  • Feu sur la désinformation... (532) : Les médias fabriquent-ils l'opinion ?...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou et Floriane Jeannin.

     

                                               

     

    Au sommaire cette semaine :

    L'image de la semaine : Affaire Sarkozy

    Après l’acharnement judiciaire, l’acharnement médiatique qui à droite comme à gauche aura offert un traitement souvent biaisé.

    Le dossier du jour : La fabrique de l'opinion

    Comment les médias et les instituts de sondages construisent et promeuvent le candidat Raphaël Glucksmann ?

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    Pastilles de l’info:

    • Affaire Claire Geronimi : une féministe en parle enfin… pour dénoncer l’extrême-droite
    • CNEWS dans le viseur de l’ARCOM et de Delphine Ernotte
    • Un article de France Bleu en partenariat avec les antifascistes et l'extrême gauche !
    • Qui sort son épingle du jeu médiatique ?
    • Nord Stream : un nouvel accusé ukrainien fait discrètement surface dans la presse
    • Six cadavres dans la Seine mais chut, le suspect est un Tunisien islamiste radical !

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    Portrait piquant (en partenariat avec l’OJIM) : Apolline de Malherbe, la journaliste politique d’Apolline Matin sur BFM...

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  • Voyage au cœur de la plus haute spiritualité européenne...

    Les éditions Déterna viennent de rééditer un ouvrage célèbre d'Otto Rahn intitulé La Cour de Lucifer, avec une préface d'Arnaud d'Apremont. Écrivain et archéologue allemand, membre de la SS, spécialiste de la légende du Graal, Otto Rahn se serait suicidé en montagne en 1939.

     

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    " Lucifer n’en finit pas de faire peur, d’être calomnié. Confondu avec Satan, le diable, on a oublié qu’il était un être lumineux, et même étymologiquement, « le porteur de lumière ».

    La Cour de Lucifer, ce sont tous ces hommes et toutes ces femmes qui, au cours de l’histoire, ont cherché la lumière et se sont mis en quête d’un mythe, d’un Graal. Et bien souvent, pour ces mêmes raisons, ils ont été traités d’hérétiques, pourchassés, persécutés, brûlés.

    Au cours de sa brève existence, l’érudit allemand Otto Rahn est parti à la recherche de ces êtres et des mythes qui les soutenaient. Il a parcouru l’Europe en tous sens, d’Espagne en Islande, en passant par l’Italie, la Suisse, la France. Il a ravivé l’engouement pour l’Occitanie cathare. Le tourisme ariégeois actuel lui doit beaucoup.

    Ses deux ouvrages, Croisade contre le Graal et La Cour de Lucifer, sont devenus des livres-culte. Et, comme il se doit, ils sont, au choix et simultanément, discutés, décriés, appréciés, honnis…

    Rahn est mort comme il a vécu : mystérieusement, comme dans une symphonie d’ombres et de lumières. Tel un moderne Parsifal, il a couru après le Graal. Il l’a approché et, comme le héros arthurien, il n’a pu l’atteindre. Il appartenait sans doute à un autre Galaad de le faire.

    Otto Rahn aurait-il échoué dans sa quête ? N’aurait-il pas été digne du Graal ? Pourquoi ? Parce qu’il aurait, un jour de 1936, revêtu un uniforme trop noir ? Personne ne connaîtra probablement jamais la réponse. La Cour de Lucifer se présente comme un journal de voyage, un journal fantastique, une quête, au cœur de l’Europe, de ses mythes, de ses légendes, de ses rêves…

    Au fil des pages, Otto Rhan livre les clés pour retrouver le chemin du royaume de l’elfe Lorin. Ce domaine, c’est aussi l’Asgard des dieux nordiques, le château de la Belle au bois dormant, les terres du milieu émergeant des féeries de Tolkien et un souvenir de l’Âge d’Or. Bon voyage ! "

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  • "Grosse poularde gavée d'aliments toxiques" : autopsie du citadin contemporain...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous,  sur Ligne droite, la matinale de Radio Courtoisie, la chronique du 23 septembre 2025 de Romain Petitjean consacrée au citadin contemporain et à sa coupure du monde réel.

    Romain Petitjean est coordinateur du développement de l'Institut Iliade.

     

                                              

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  • Monte Verità...

    Les éditions de La Baconnière viennent de publier un récit de souvenirs d'Ida Hofmann intitulé Monte Verità - Vérité sans poésie. Pianiste et professeur de musique, Ida Hofmann a participé à la fondation de la communauté Monte Verità au début du XXe siècle.

    Ceux qui veulent en savoir plus sur la communauté de Monte Verità pourront se reporter à l'article de Lionel Baland, « De la bohème munichoise de Schwabing au Tessin », publié sur le site de la revue Éléments, et, surtout, à l'étude très fouillée de Philippe Baillet, « Monte Verità (1900-1920) : une "communauté alternative" entre mouvance völkisch et avant-garde artistique », publiée naguère dans la revue Nouvelle École (n°52, mars 2001).

     

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    " Un groupe d’artistes, d’intellectuels et d’anarchistes se rassemble en 1900 en Suisse italienne, à la recherche d’un mode de vie «plus sain et plus naturel». Au cours des premières décennies du XXe siècle, la colline où ils s’installent, rebaptisée Monte Verità, devient emblématique des nouvelles utopies; en cherchant des alternatives aux conventions sociales, la colonie se tourne vers le végétarisme, la frugalité, le féminisme, et un nouveau rapport à la nature, au corps et à la nudité. De nombreux artistes y séjournent et elle devient, à partir de 1913, le berceau de la danse moderne en accueillant, entre autres, Isadora Duncan, Émile Jaques-Dalcroze et Rudolf Laban.
    Ida Hofmann, cofondatrice de cette colonie avec son compagnon Henri Oedenkoven, témoigne dans ce récit des conditions de sa création et de la tension permanente entre idéalisme et réalité qui a caractérisé cette expérience. Elle passe en revue les principaux acteurs et actrices qui l’ont animée sans cacher les conflits internes et les désillusions, offrant ainsi une vision complexe de leur recherche de vérité et de beauté.
    Dans une prose incisive, non dénuée d’ironie, Ida Hofmann invite le lecteur à considérer le Monte Verità comme une illustration des défis auxquels nous sommes confrontés dans notre quête d’authenticité et de sens. Ce témoignage précieux est inédit en français. "

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  • Privatiser l’audiovisuel public : une si bonne idée ?...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Nicolas Gauthier cueilli sur le site de la revue Éléments et consacré à la polémique qui enfle autour de la mainmise de la gauche sur le service public de l'audiovisuel et à l'idée d'une privatisation intégrale comme unique remède...

     

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    Privatiser l’audiovisuel public : une si bonne idée ?

    Notre gauche médiatique, c’est un peu comme les sportifs anglais, qui ne font preuve de fairplay que lorsqu’ils gagnent. Ainsi, nos donneurs de leçons aiment tourmenter leurs adversaires politiques, mais ne supportent pas de se trouver à leur tour dans la tourmente. Jurisprudence France Inter ?

    Normalement, selon leurs calculs (comme disent les technocrates), la chasse à courre devrait obéir à des règles immuables. En bonne logique, Mediapart lance l’affaire, avant d’être tôt relayé par Libération et L’Humanité. Puis, Le Monde et France Inter se chargent de l’onction officielle. Les loups chassent en meute ; les rats aussi, semble-t-il. Seulement voilà, la gauche n’a plus le monopole du fric et de la rancœur. La preuve par Vincent Bolloré, par exemple, qui, à droite, a le portefeuille et le cœur. Et qui vient les chatouiller sur leur propre terrain, avec leurs propres méthodes. Car lui aussi, sait chasser en meute et faire sien le principe d’opportunité. La vidéo de L’Incorrect, où l’on voit Thomas Legrand et Patrick Cohen expliquer comment ils vont influer en même temps sur les municipales à Paris (en s’occupant de Rachida Dati) et sur l’élection présidentielle à venir (en faisant la retape de Raphaël Glucksmann contre Jean-Luc Mélenchon).

    Et son système, calque de celui de ses adversaires politiques, d’aussitôt tourner en boucle : Cnews fait enfler la polémique, aussitôt relayée par le JDNews, ensuite reprise par Europe 1 et qui fait la une du Journal du dimanche. Du beau boulot. À gauche, on n’aurait pas mieux fait.

    Delphine Ernotte acculée…

    D’où une Delphine Ernotte, femelle blanche de plus de 50 ans, matriarche du service public, et qui, bousculée par la vague médiatique, est désormais tenue de se justifier. Bon, elle ne le fait pas n’importe où, mais dans Le Monde, gardien vespéral des élégances démocratiques, ce 18 septembre. Sa stratégie ? Simple comme bonjour : « La galaxie de Vincent Bolloré veut la peau de l’audiovisuel public, réclame sa privatisation et l’exprime avec violence. (…) On a besoin de toutes les bonnes volontés républicaines de ce pays pour s’élever contre cette violence verbale de nature presque politique».  Allons bon. Comme si l’audiovisuel public n’en faisait pas, lui, de la politique. Passons.

    D’ailleurs, si l’on résume : le méchant Bolloré attaquant le gentille Ernotte vaudrait donc brevet de bonne conduite « républicaine » pour ce service public censé être au service de la nation. Pauvre Marianne qui, à force de se voir embrigadée de force par tel ou telle, doit aujourd’hui peiner à s’asseoir, à force d’avoir mal au fion.

    Rachida Dati ou la « diversité » à géométrie variable…

    Après la lecture des Évangiles, le sermon, publié dans Le Monde, quatre jours plus tard, dans un éditorial anonyme. Et là, il y en a pour tout le monde. Rachida Dati, ministre de la Culture (jusqu’à quand ?) : « En multipliant les propos dévalorisants, la ministre de tutelle de l’audiovisuel préfère se joindre à la curée au lieu de défendre et de mettre en avant ses réussites, comme les audiences record de Radio France». Hormis les relents nauséabonds de misogynie et de marocanophobie, on ajoutera que ce n’est pas parce qu’une émission cartonne qu’elle est forcément bonne. Autrement, Cyril Hanouna serait à la place d’une Léa Salamé, la nouvelle speakerine de France 2, et Christine Kelly à celle de Delphine Ernotte.

    Et la même tribune d’en appeler ensuite aux mannes géopolitiques : « Trop de précédents étrangers disent ce que peut recouvrir une attaque en règle contre un service public de l’information par un courant politique sous le couvert de la lutte pour la liberté d’expression : un démantèlement suivi par la mise en place d’une parole monolithique. En France, la transformation des médias privés rachetés par Vincent Bolloré, traduite par la purge de leurs rédactions, a d’ailleurs suivi ce modèle».  Si France Inter se retrouve prise dans son propre piège, c’est donc à la faute de Cnews. La dialectique est un peu courte, madame.

    Quand France Inter n’était ni de gauche et ni de droite…

    Ou de l’art de peindre des diables sur les murs pour ensuite faire mine d’y croire, comme si la parole de Radio France n’était-elle pas, elle aussi, de longue date « monolithique ». Ce qui ne fut d’ailleurs pas toujours le cas, il convient de le noter. Ainsi, au siècle dernier, sur France Inter, un certain Jean-François Chiappe, époux de Marina Grey, fille du général Denikine, chef de la contre-révolution russe ayant manqué de peu de battre l’Armée rouge, fut l’un des principaux animateurs des émissions historiques diffusées par le service public. Dans le même temps, il assurait la formation politiques des militants du Front national d’alors. Et personne n’y trouvait rien à y redire, même ses homologues communistes ayant également leurs ronds de serviette dans ce qui s’appelait alors l’ORTF, avant qu’un Valéry Giscard d’Estaing ne vienne y mettre mauvais ordre en procédant à son démantèlement.

    Dans le même registre, et cela devrait faire honte à Delphine Ernotte, il n’est pas si lointain, le temps où un Michel Polac, avec son émission Droit de réponse, diffusé sur un TF1 pas encore privatisé par la droite chiraquienne, invitait indifféremment Claude Cabanes, de L’Humanité, Dominique Jamet du Quotidien de Paris, Jean Bourdier de Minute, et même des ludions incontrôlables tels que Jean-François Kahn, directeur des Nouvelles littéraires.

    La privatisation, nouvelle paupérisation…

    Et c’est quand TF1 fut racheté par le groupe de BTP Bouygues que ce bel éclectisme prend fin. Dans un registre similaire, et à l’époque où la télévision était tenue par l’État, les amateurs de musique y trouvaient leur compte. Pour ceux de l’opéra, il y avait Ève Rugierri. Ceux de rock pouvaient regarder Chorus, d’Antoine de Caunes ou Les Enfants du rock, de Pierre Lescure avec Jean-Pierre Dionnet et Philippe Manœuvre, tandis que ceux de chansons françaises à l’ancienne, pouvaient trouver leur miel avec La France aux chansons, de Pascal Sevran. Aujourd’hui ? Plus rien, si ce n’est du rap partout et de la chanson de qualité frelatée, façon Laurent Delahousse déroulant le tapis rouge devant une Juliette Armanet.

    Comme quoi la privatisation n’est pas forcément la solution à tout. De cette dernière, il est actuellement beaucoup question, le groupe Bolloré en ayant fait l’un de ses étendards. Mais ces positions sont-elles aussi caricaturales qu’on le dit ? Rien n’est moins sûr, un Pascal Praud se montrant bien souvent nostalgique de l’ORTF à papa. Certes, le Moloch public nous coûte « un pognon de dingues », comme dirait « l’Autre ». 4 milliards d’euros par an, ce n’est pas rien. 665 millions d’euros pour Radio France, c’est plus que l’ensemble du budget de toutes les radios privées réunies. 14 chaînes de télévision, c’en est au moins quelques-unes de trop, à l’instar de leurs 59 stations de radio. Ainsi, les partisans de la privatisation du service public ne sont pas sans arguments. Bref, il conviendrait peut-être de « dégraisser le mammouth », tel que jadis préconisé par Claude Allègre, ministre de l’Éducation de Lionel Jospin.

    Ce qu’en dit Marine Le Pen…

    Ainsi, Marine Le Pen, interrogée par Le Journal du dimanche du 21 septembre, ne semble pas tomber du cocotier vis-à-vis de la polémique en cours : « Non, je ne suis pas surprise. C’est un secret de Polichinelle que madame Ernotte est une militante très marquée à gauche. Mais là, elle franchit un cap supplémentaire. Elle n’est absolument pas dans son rôle. Et ce type de type de sortie devrait conduire à son départ. Parce qu’il ne revient pas à la présidente de France Télévision de distribuer des brevets d’honorabilité aux chaînes privées». Quant à l’éventuelle privatisation de ce qui fut naguère un joyau français, cette réponse : « Nous proposons une privatisation quasi-totale, avec quelques exceptions : garder une voix pour l’international, un canal d’urgence pour les crises et le lien avec l’Outre-mer».

    Est-ce la bonne solution ? Pas forcément, sachant qu’au lieu de réformer en profondeur l’institution en question (tâche éventuellement impossible, tant les syndicats y dictent leur loi), une Marine Le Pen entend, sans lui faire un procès d’intention, peu ou prou la brader. Mais à qui ? Des fonds d’investissement étrangers ? Des multinationales n’ayant que faire de nos contingences nationales ou de ce qui en demeure ? Vaste question, la logique de ceux qui font la politique n’étant pas toujours celle de ceux qui la commentent.

    Nicolas Gauthier (Site de la revue Éléments, 23 septembre 2025)

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