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Métapo infos - Page 4

  • Les idées à l'endroit...

    Les éditions Ars Magna viennent de rééditer Les idées à l'endroit, un recueil de textes essentiels d'Alain de Benoist publié initialement en 1979, à l'issue de la campagne médiatique sur la Nouvelle Droite. A l'occasion de cette publication, Alain de Benoist avait été invité sur le plateau d'Apostrophe, l'émission de Bernard Pivot.

    Philosophe et essayiste, directeur des revues Nouvelle École et Krisis, Alain de Benoist a récemment publié Le moment populiste (Pierre-Guillaume de Roux, 2017), Contre le libéralisme (Rocher, 2019),  La chape de plomb (La Nouvelle Librairie, 2020),  La place de l'homme dans la nature (La Nouvelle Librairie, 2020), La puissance et la foi - Essais de théologie politique (La Nouvelle Librairie, 2021), L'homme qui n'avait pas de père - Le dossier Jésus (Krisis, 2021), L'exil intérieur (La Nouvelle Librairie, 2022), Nous et les autres - L'identité sans fantasme (Rocher, 2023) et, dernièrement, Martin Buber, théoricien de la réciprocité (Via Romana, 2023).

     

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    " Les Idées à l’endroit est un livre de circonstance. Un livre publié pour répondre à une demande créée par l’événement, en l’occurrence la grande campagne de presse autour de la « Nouvelle Droite » qui s’est déroulée durant l’été 1979.

    Dans pareil contexte, il fut nécessaire de publier un livre présentant au public les idées de la ND avec précision et objectivité, ou du moins de permettre à ceux qui entendaient dire tout et n’importe quoi sur la ND de juger sur pièce.

    Pour ce faire, Alain de Benoist réunit, en toute hâte, une vingtaine de textes qu’il considérait comme représentatifs de ce qu’il avait écrit jusque-là. Le titre du livre, , lui fut suggéré par Louis Pauwels.

    Près d’un demi-siècle plus tard, les textes de cet ouvrage sont toujours d’actualité et donnent toujours aux jeunes générations des pistes de réflexion et des conseils de maintien. "

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  • Israël, Iran, USA : vers la 3e guerre mondiale ?...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous Le samedi politique de TV Libertés, diffusé le 28 juin 2025 et présenté par Élise Blaise, qui recevait Caroline Galactéros pour évoquer la situation géopolitique provoquée par le conflit au Proche et Moyen-Orient...

    Docteur en science politique, Caroline Galactéros est l'auteur de  Manières du monde, manières de guerre (Nuvis, 2013) et de Vers un nouveau Yalta (Sigest, 2019). Elle a créé en 2017, avec Hervé Juvin, entre autres, Geopragma qui veut être un pôle français de géopolitique réaliste.

     

                                            

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  • L'écrou mystérieux...

    Les éditions Auda Isarn viennent de publier, dans leur collection de polars du "Lys noir" un court roman policier de A. C. Duchaux intitulé L'écrou mystérieux. Un roman datant de 1943, écrit sous pseudonyme, pour une collection comptant Henry Coston parmi ses auteurs : une curiosité, donc !

     

    Duchaux_L'écrou mystérieux.png

    " Un matin, dans une belle maison berrichonne de La Châtre, on retrouve l’inventeur Darminier pendu à l’espagnolette d’une fenêtre. La Police conclut rapidement au suicide vu qu’il n’y a aucune trace d’infraction. Mais tel n’est pas l’avis de sa fille et de son époux.

    Le commissaire Moreau décide alors d’y regarder de plus près, et il comprend bientôt que la victime n’avait aucune raison de se suicider puisqu’il était aimé de ses proches, et heureux en affaire avec son usine de pièces automobiles. Dès lors, qui a bien pu commettre cet assassinat via cette macabre mise en scène ?

    Enraciné dans l’Indre et se déroulant sous l’Occupation, ce roman policier de A.C. Duchaux parut dans la collection « Rouge Gorge », série de romans policiers à la tonalité collaborationniste où le mauvais rôle était invariablement tenu par des francs-maçons, des gaullistes, des Anglais… "

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  • La liberté d’expression menacée en Europe : une crise civilisationnelle...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de David Engels cueilli sur le site de la Fondation Patriotes pour l'Europe et consacré aux menaces qui pèsent sur la liberté d'expression en Europe.

    Historien, essayiste, enseignant chercheur à l'Instytut Zachodni à Poznan, à l'Institut Catholique de Vendée ainsi qu'au Mathias Corvinus Collegium de Bruxelles, David Engels est l'auteur de trois essais traduits en français, Le Déclin - La crise de l'Union européenne et la chute de la République romaine (Toucan, 2013), Que faire ? - Vivre avec le déclin de l'Europe (La Nouvelle Librairie, 2024) et, dernièrement, Défendre l'Europe civilisationnelle - Petit traité d'hespérialisme (Salvator, 2024). Il a  également dirigé deux ouvrages collectifs, Renovatio Europae - Plaidoyer pour un renouveau hespérialiste de l'Europe (Cerf, 2020) et Aurë entuluva! (Renovamen-Verlag, 2023), en allemand, consacré à l’œuvre de Tolkien.

     

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    La liberté d’expression menacée en Europe: une crise civilisationnelle

    Selon une enquête menée en Allemagne en 2023, 44 % des personnes interrogées estimaient qu’il fallait faire attention à ce qu’on dit en politique, tandis que seuls 40 % déclaraient pouvoir s’exprimer librement – soit le chiffre le plus bas depuis 1990, où 78 % se sentaient encore libres de s’exprimer. Ce sondage en dit long sur l’état de la liberté d’opinion au sein même du moteur politique et économique de l’UE. Des résultats similaires sont observés dans d’autres pays d’Europe occidentale.

    Les sujets controversés restent toujours les mêmes : immigration de masse, islamisation, revendications LGBTQ+, ou encore ingérence de l’Union européenne. Toute personne osant remettre en cause le récit promu par les élites politiques et les médias officiels est rapidement disqualifiée comme étant d’« extrême droite » – avec des conséquences parfois graves, non seulement pour la démocratie, mais aussi pour les libertés individuelles, comme l’a récemment souligné J.D. Vance lors de la conférence sur la sécurité de Munich.

    Une censure sans censeurs : comment l’Europe fait taire sans le dire

    Si les représailles politiques restent moins brutales que dans des pays comme la Chine ou la Russie, on observe néanmoins une inquiétante montée en puissance de la répression : suppression de comptes sur les réseaux sociaux, campagnes de diffamation, licenciements, clôtures de comptes bancaires, sanctions financières, résiliations de bail, interdictions d’association, poursuites pour « discours de haine », voire emprisonnements. Toute personne ayant ne serait-ce qu’un lien lointain avec des cercles conservateurs ou patriotes peut citer des exemples concrets. Et durant la période du COVID, chacun a pu constater jusqu’où le système en place était prêt à aller pour imposer ses choix.

    La nouvelle orthodoxie : quand les “valeurs européennes” justifient l’intolérance

    Certes, des cas similaires ont été recensés en Pologne sous Kaczyński ou en Hongrie sous Orbán, visant cette fois la gauche. Mais le déséquilibre reste manifeste, au détriment des opinions qualifiées de « droitières ». Pourquoi, et comment ? Ces deux questions sont étroitement liées : la gauche a réussi, à travers sa lente conquête des médias, de la bureaucratie et du monde éducatif, à imposer sa vision du monde dans toutes les institutions-clés.

    Résultat : des concepts aussi larges que la liberté, la démocratie, l’égalité, l’État de droit ou la justice sont désormais interprétés à travers une grille de lecture gauchisante, présentée comme seule légitime , et toutes les autres sont disqualifiées comme « racistes », « nationalistes », « fondamentalistes », « réactionnaires » ou « patriarcales ».

    Une fois ces valeurs redéfinies idéologiquement, leur défense est appliquée avec un zèle implacable via les leviers juridiques et judiciaires , avec parfois des conséquences absurdes : la dignité humaine justifie l’avortement, la tolérance religieuse justifie l’islamisation, la liberté d’expression justifie des lois censurantes, le droit d’asile justifie l’immigration de masse, la démocratie justifie l’exclusion des partis dits populistes, la protection de l’environnement justifie la désindustrialisation, la laïcité justifie l’effacement du christianisme, l’égalité des chances justifie l’endoctrinement scolaire, et la lutte contre la haine justifie le démantèlement des États-nations.

    Depuis au moins deux décennies, d’innombrables institutions ont été créées pour faire appliquer cette nouvelle orthodoxie : ONG, censeurs sur les réseaux sociaux, administrations complexes, sans parler de la multitude d’agences européennes (comme tout récemment le « Conseil européen des services de médias »), tous prétendument créés pour défendre la démocratie, mais œuvrant à restreindre le débat public à un seul cadre idéologique.

    Reconquérir le débat : pourquoi les patriotes doivent gagner la guerre culturelle

    Comment alors résister à cet autoritarisme feutré – et au nom de quelles valeurs ? Paradoxalement, la première question est plus facile à trancher que la seconde. Depuis deux générations, la droite politique a perdu de vue l’importance fondamentale de la guerre culturelle : sauf en cas extrême, les lois ne font que consacrer un changement de mentalité déjà advenu, jamais l’inverse.

    C’est pourquoi il faut d’abord changer les esprits, avant d’espérer réformer les institutions : avant de bâtir une nation, il faut d’abord rebâtir un peuple. C’est dans cette reconquête culturelle et identitaire que les forces patriotiques doivent investir leur énergie, bien plus que dans les campagnes électorales ou les manœuvres de coulisse.

    La seconde question, elle, divise : faut-il défendre les valeurs européennes selon une lecture libérale ou chrétienne ? L’Europe doit-elle être pensée comme un projet de souveraineté ou comme une civilisation ? L’économie doit-elle obéir à une logique libertarienne ou sociale ? Ces choix structurent non seulement la manière de mener la bataille culturelle, mais aussi la conception même de la liberté d’expression. Même si l’on résiste à la tentation d’imposer le silence aux adversaires, la question du fond reste entière : reconnaît-on l’existence de valeurs absolues, et doit-on gouverner en fonction d’elles ?

    Si l’on considère que la vie commence à la conception, que l’Europe est une civilisation chrétienne, qu’il n’existe que deux sexes, ou que la propriété individuelle est inviolable, il devient difficile d’imaginer financer des ONG ou des médias qui défendent l’inverse. Bien sûr, on peut (et on doit) faire preuve de magnanimité à l’égard des opinions divergentes, mais après des années de radicalisation croissante, est-il encore réaliste de croire à un retour au statu quo ante des années 1980, avant la révolution woke, comme certains l’espèrent ?

    Il nous faudra sans doute, un jour, renoncer à pleurer l’âge d’or du libéralisme des années 1970–1980, né dans des conditions historiques et économiques très spécifiques, qui ne reviendront pas. Quand le « centrisme radical » des baby-boomers aura disparu, les trois forces idéologiques majeures – islam, wokisme et patriotisme – pourront-elles coexister pacifiquement, sans que nos sociétés n’explosent au préalable, révélant à tous les mensonges et les illusions ? Pour l’heure, tous les signes pointent vers une aggravation des tensions. Et si cette dynamique se poursuit, les conflits qui traverseront l’Europe de demain seront bien différents des débats d’aujourd’hui sur la liberté d’expression…

    David Engels (Fondation Patriotes pour l’Europe, 29 juin 2025)

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  • Wandervogel : Histoire d'un mouvement de jeunesse...

    Les éditions des Amis de la Culture européenne viennent de publier les deux tomes d'un ouvrage de Hans Blüher intitulé Histoire d'un mouvement de jeunesse. Hans Blüher (1888-1955) était Wandervogel, écrivain et philosophe. Il était considéré comme le théoricien du mouvement de jeunesse et également comme une figure de la Révolution conservatrice.

     

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    " Dans ce premier volume, Blüher retrace les origines du Wandervogel, né en 1895 dans le milieu lycéen de Berlin. Ce mouvement, empreint de romantisme, prônait un retour à la nature et une quête de liberté, rompant avec les conventions rigides de l'époque. À travers des descriptions vivantes et détaillées, l'auteur nous fait revivre les premières excursions, les idéaux et les aspirations de ces jeunes en quête d'authenticité. Ce livre offre une immersion dans l'esprit d'une jeunesse avide de renouveau et de connexion avec la nature. "

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    " Ce second volume explore la période de gloire du mouvement, suivie de son déclin. Blüher analyse les facteurs internes et externes qui ont conduit à l'évolution du Wandervogel, mettant en lumière les dynamiques sociales, culturelles et politiques de l'époque. Il aborde également les tensions internes, les divergences idéologiques et les défis auxquels le mouvement a été confronté en grandissant. Ce tome offre une réflexion profonde sur la pérennité des idéaux de jeunesse face aux réalités du monde adulte.

    L'œuvre de Hans Blüher est essentielle pour comprendre l'émergence des mouvements de jeunesse en Allemagne et leur impact sur la société. Son analyse perspicace et sa narration immersive font de ces deux volumes une lecture incontournable pour les passionnés d'histoire, de sociologie et de culture allemande. "

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  • Feu sur la désinformation... (523) : Patrick Cohen, journaliste militant de l’extrême centre sur le service public...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou et Floriane Jeannin.

     

                                             

     

    Au sommaire cette semaine :

    Le dossier du jour : Patrick Cohen, symbole du journalisme militant

    Alors que Stéphanie, la mère du jeune Elias, tué il y a quatre mois à coup de machette à Paris, est invitée de CNEWS, elle revient sur le traitement médiatique du meurtre de son fils notamment par Patrick Cohen. Le journaliste a sous-entendu que si Elias avait donné son téléphone, il serait encore en vie alors même que les conclusions de l’enquête n’ont pas été rendues. Pour Monsieur Cohen, la victime c’est toujours le coupable, comme à Crépol avec Thomas…

    L'image du jour : Canicule et incompétence publique et politique !

    Les conseils du gouvernement brassent de l’air à défaut de nous rafraîchir : Catherine Vautrin incite à "boire de l’eau" et à se mouiller la peau et les vêtements. Sur BFMTV, Agnès Pannier-Runacher parle des dangers de réchauffement à cause de la climatisation... sous une clim, quand François Bayrou a besoin qu’on lui souffle les réponses !

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    Pastilles de l’info:

    • La gauche voudrait contrôler le récit du réel sur l'audiovisuel !
    • Louis Sarkozy sur RMC à la rentrée : et un média de plus !
    • Jordan Bardella et sa rencontre pas si secrète avec Nicolas Sarkozy…
    • Barbara Butch, après la Cène des JO, nommée chevalier des arts et des lettres
    • Appel téléphonique Macron-Poutine : LCI entre téléphone rouge et téléphone Arabe !
    • Faire un Don… à l'État ? L'étrange article de BFMTV !

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    Portrait piquant (en partenariat avec l’OJIM) : Apolline de Malherbe...

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