Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Métapo infos - Page 7

  • Jean-Yves Le Gallou : « La grande faiblesse de la droite, c’est le lâchage... »

    Le 7 juin 2025, Gabrielle Cluzel recevait Jean-Yves Le Gallou sur la chaîne de Boulevard Voltaire pour évoquer avec lui les Mémoires identitaires qu'il vient de publier chez Via Romana.

    Ancien haut-fonctionnaire, président de la Fondation Polémia, Jean-Yves Le Gallou a, notamment, publié La tyrannie médiatique (Via Romana, 2013),  Immigration : la catastrophe - Que faire ? (Via Romana, 2016), Européen d'abord - Essai sur la préférence de civilisation (Via Romana, 2018) et Manuel de lutte contre la diabolisation (La Nouvelle Librairie, 2020).

     

                                             

    Lien permanent Catégories : Entretiens, Multimédia 0 commentaire Pin it!
  • Les Colonnes infernales...

    Les éditions Tallandier viennent de rééditer dans leur collection de poche Texto une étude d'Anne Rolland-Boulestreau intitulée Les Colonnes infernales - Violences et guerre civile en Vendée (1794-1795).

    Anne Rolland-Boulestreau est professeure à l’université catholique de l’Ouest. Elle a publié plusieurs livres sur la période révolutionnaire, parmi lesquels Punir et détruire en Vendée (Fayard, 2023).

     

    Rolland-Boulestreau_Les colonnes infernales.jpg

    " En janvier 1794, les troupes républicaines du général Turreau sont déployées en Vendée, où la guerre fait rage depuis 1793. Ces colonnes incendient et détruisent les derniers foyers insurrectionnels de la région et consignent un bilan terrible, des dizaines de milliers de morts. Elles resteront dans l’histoire sous le nom de « colonnes infernales ».

    Leur objectif est de soumettre les groupes épars d’insurgés. Tragique répétition de massacres de population civile, d’embuscades, d’incendies et de destructions de villages, cette phase de la guerre de Vendée montre la brutalité d’une armée en campagne et ses avatars : la peur, la vengeance, la fureur.

    Quelles sont les responsabilités de ces hommes, leurs représentations de l’ennemi et de la nation ? À partir de sources jusqu’alors inexploitées, Anne Rolland-Boulestreau s’intéresse à chaque général, chaque officier, pour nous livrer l’histoire des colonnes infernales et revisiter une tragédie de l’histoire de la Révolution. "

    Lien permanent Catégories : Livres 0 commentaire Pin it!
  • Royaume-Uni : selon une étude, les Blancs britanniques seront minoritaires dans 40 ans...

    Nous reproduisons ci-dessous un article de Samuel Martin, cueilli sur Boulevard Voltaire et consacré au Grand Remplacement qui est en train de se réaliser au Royaume-Uni.

     

    UK_Islamisation.jpg

    Royaume-Uni : selon une étude, les Blancs britanniques seront minoritaires dans 40 ans

    Ce 10 juin, Sadiq Khan a été fait chevalier par Charles III. Maire de Londres depuis 2016, Khan a salué cet honneur en rappelant ses racines : « Évidemment, étant donné mon origine, étant fils d’immigrés, mes parents étant venus du Pakistan, c’est un événement important pour nous. » Une réussite familiale et individuelle qu’on ne peut s’empêcher de confronter aux chiffres et aux projections qui font le constat d’un bouleversement de la population du Royaume-Uni d’ici à une génération.

    72 écoles sans Blancs britanniques

    Concernant 21.500 écoles primaires et secondaires, les statistiques scolaires que vient de publier le ministère de l’Education nationale sont éloquentes. Pour en tirer l’essentiel :

    Les élèves britanniques blancs sont minoritaires dans une école sur quatre, où la majorité des élèves, soit est « Blancs non britanniques », soit appartient « à une minorité ethnique » (on mesure toute la limite d’un concept de minorité ethnique… majoritaire) : noire, indienne, pakistanaise, bangladaise, etc.

    Quand on parle d’élèves britanniques blancs minoritaires, ils le sont parfois dans une proportion écrasante : le Telegraph compte 454 écoles où ils représentent moins de 2 % des effectifs. Et même 72 écoles où il n’y a aucun Blanc inscrit. C’est le cas, par exemple, de la Rockwood Academy de Birmingham.

    Londres ne s’est pas défaite en un jour. Déjà, en 2012, des chiffres officiels montraient que « les enfants blancs nés en Grande-Bretagne sont désormais minoritaires dans de nombreuses écoles londoniennes ». Qu’ont fait les conservateurs, aux manettes de 2010 à 2022, pour enrayer la tendance ? Les Cameron, May, Johnson, Sunak ? Rien. La pression migratoire et nataliste n’a fait que s’accroître et se répandre au-delà de Londres : Birmingham, Manchester, Bradford, Leicester, sont des villes maintenant fortement concernées par cette disparition progressive des Blancs des photos de classe.

    La projection à long terme

    Fin mai, est parue une étude de Matthew Goodwin qui, par projections, donne une image du grand remplacement à moyen et long terme. « Les Britanniques blancs deviendront une minorité d’ici à 2063. Les personnes nées à l’étranger et leurs enfants seront majoritaires d’ici 2079. Et environ 1 personne sur 5 sera musulmane d’ici 2100 », a synthétisé sur X cet ancien professeur de l’université de Buckingham. Les Blancs britanniques ne se contenteront pas d’être minoritaires. Ils le seront de plus en plus. En 2100, ils ne représenteront plus que 33,7 % de la population. Ce que Matthew Goodwin appelle « des changements considérables et sans précédent dans la composition de sa population ».

    Sur les réseaux sociaux, le Pr Goodwin tient un discours politique : ni droite, ni gauche, trumpiste, anti-woke. Cela infirme-t-il son étude démographique ? Il ne semble pas. Elle a été publiée par le Centre for Heterodox Social Science, dont il est professeur invité et qui dépend de l’université de Buckingham : un gage de sérieux. De plus, ses projections sont « raccord » avec les chiffres publiés depuis par le ministère de l’Éducation : comment en irait-il autrement du Royaume-Uni dans une génération dès lors qu’il y a de moins en moins d’enfants blancs dans les écoles ? Car tout cela, c’est « d’ici à 2063 ». Cela paraît loin, mais c’est dans 38 ans. Autant dire très peu de temps avant que « ces îles n’aient une apparence et une perception profondément différentes », dit encore M. Goodwin.

    Starmer, Badenoch… ou Farage ?

    Les projections ne valent que si on laisse les choses courir en l’état, en accueillant toujours plus de population extra-européenne et sans relancer une politique nataliste. Un changement de cap les modifierait. Mais qui donnera ce coup de barre ? Les paroles martiales de Keir Starmer, pris il y a quelques semaines d’une frénésie de contrôle des frontières, se concrétiseront-elles ? Les bonnes intentions de Kemi Badenoch feront-elles oublier les années où les conservateurs n’ont rien fait ?

    Reste Nigel Farage, député depuis un an et dont le parti Reform UK est sorti renforcé des élections locales de début mai, avec 677 sièges gagnés, tandis que droite et gauche traditionnelles s’effondraient. Les Britanniques font confiance à 37 % à Reform UK, devant tous les autres partis, pour réformer. Ça tombe bien, c’est son nom. A condition de se dépêcher. A l’horloge du grand remplacement, il est minuit moins cinq.

    Samuel Martin (Boulevard Voltaire, 11 juin 2025)

    Lien permanent Catégories : Points de vue 0 commentaire Pin it!
  • Les snipers de la semaine... (296)

    Alpini.jpg

    Au sommaire cette semaine :

    - sur Polémia, Michel Geoffroy rafale les magistrats, gardiens du Système...

    Les juges-Calimero face aux critiques légitimes

    Magistrature_Caste.jpg

    - sur Breizh-Info, Audrey D’Aguanno dézingue les médias qui enfument l'opinion publique avec une prétendue menace d'ultra-droite...

    La menace du terrorisme d’ultradroite. Ou le délire des bien-pensants déconnectés du réel en mal de sensation

    Conge_Les tueurs de l'extrême droite.jpg

    Lien permanent Catégories : Snipers 0 commentaire Pin it!
  • Feu sur la désinformation... (520)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou et Floriane Jeannin.

     

                                          

    Au sommaire cette semaine :

    Le dossier du jour :  Emmanuel Macron s'est invité au 20h de France 2 pendant que François Bayrou était sur TF1. Le premier aura réuni pour le sommet des océans, seulement 1,57 million de téléspectateurs. Un véritable échec historique des audiences, contre 4,8 millions de téléspectateurs avec le premier ministre. Une tentative de communication vite rattrapée par le réel et des faits divers explosifs accumulés depuis trop longtemps. Interrogé au sujet de ces terribles actualités, le président a estimé que les médias faisaient du "brainwashing" en empilant tous ces cas de violence répétés pour éviter de parler du fonds et des "vrais problèmes"

    ‐-‐-----------

    Pastilles de l’info:

    • La surveillante tuée à Nogent : que faire de ces élèves déjà connu pour des violences ?
    • Benoît, 17 ans, poignardé après la victoire du PSG : le discours du père censuré ?
    • Le meurtre d’Elias : sa mère alerte sur l’ensauvagement et veut réveiller les consciences
    • L'anarcho-tyrannie en action après le pèlerinage de Chartres
    • Des manifestations anti-immigration deviennent des manifestations "racistes" en Irlande : un traitement biaisé
    • Moulin, Châteaubriant : la gauche veut interdire les fêtes populaires!
    • Une journaliste de France Info prise à partie par un pro-Gaza : "France Info, facho !"

    ‐-‐-----------

    Portrait piquant (en partenariat avec l’OJIM) : Léa Salamé, symbole du journalisme déconnecté ?...

    Lien permanent Catégories : Décryptage, Manipulation et influence, Multimédia 0 commentaire Pin it!
  • Moneda...

    Les éditions du Toucan viennent de publier dans leur collection Toucan Noir un nouveau roman de Stéphane Keller intitulé Monéda. On retrouve dans ce livre le héros de Mourir en mai, Paul-Henri de la Salles, ancien lieutenant de la division Charlemagne.

    Scénariste pour le cinéma, Stéphane Keller est déjà l'auteur de trois polars politiques très noirs chez le même éditeur, Rouges parallèles, Telstar et L'affaire Silling.

     

    Keller_Moneda.jpg

    " Février 1973. Santiago du Chili.

    Les élections approchent et les tensions politiques sont de plus en fortes, tandis que le président Allende tente désespérément de repousser les manœuvres de la CIA pour le renverser.

    Dans une ville où l’atmosphère est devenue étouffante, où les grèves et les violences se succèdent, un homme part, seul, à la recherche d’une femme qu’il a aimée.

    Cet homme, c’est Sébastien Desboz, le propriétaire du Bar du Suisse, situé près du palais présidentiel de la Moneda, un lieu fréquenté par des employés et des fonctionnaires du quartier. Personne ne sait que Sébastien s’appelle en fait Paul-Henri de la Salles. Personne ne sait qui il a été véritablement et ce qu’il afait durant la dernière guerre. La jeune femme disparue se prénomme Pilar, c’est l’une des serveuses du bar, et même si leur relation a été épisodique, Paul-Henri n’a plus qu’une obsession : la retrouver.

    Au même moment, à la Maison-Blanche, le général Preston Beaulieu est reçu par le président Nixon lui-même en présence du secrétaire d’état Kissinger. Beaulieu est le chef des services spéciaux de l’armée. Nixon est catégorique, il veut définitivement la peau d’Allende.

    Alors que Pilar demeure introuvable, des crimes étranges se multiplient et l’étau qui menace la démocratie se fait plus pressant. "

    Lien permanent Catégories : Livres 0 commentaire Pin it!