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Métapo infos - Page 7

  • Les snipers de la semaine... (299)

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    Au sommaire cette semaine :

    - sur Hashtable, H16 allume les médias européens qui ne pipent mot des informations de plus en plus troublantes qui commencent à apparaître sur les effets indésirables de certains vaccins...

    Les insistantes questions de l’Amérique sur ses vaccins

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    - sur le site de l'Observatoire du journalisme, Adélaïde Motte dézingue les médias de grand chemin sur leur traitement du meurtre raciste d'Irina Zarutska...

    Iryna Zarutska, le meurtre raciste anti-blanc dont on ne parle pas assez

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  • Feu sur la désinformation... (530) : A Londres, une mobilisation XXL contre l'immigration...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou et Floriane Jeannin.

     

                                                

    Au sommaire cette semaine :

    L'image de la semaine : Manifestations historiques contre l'immigration au Royaume-Uni
    Si les médias s’accordent sur la mobilisation d’ampleur inégalée, certains commentateurs se sont attardés sur la couleur de peau des manifestants, à priori tous trop blancs…

    Le dossier du jour :  Les bobards médiatiques autour de la mort de Charlie Kirk
    Entre les inexactitudes avouées pour déformer les propos de Charlie Kirk et les mensonges sur l’appartenance idéologique wokiste de Tyler Robinson, son assassin, les médias s’en sont donné à cœur joie !

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    Pastilles de l’info:

    • La blague de Pierre-Edouard Stérin : sa holding de tête porte désormais le nom d'un journaliste de L'Humanité
    • Matthieu Pigasse sur France 2 : conflit d'intérêt et partialité médiatique de Caroline Roux
    • CNews/Europe 1 vs Radio France et le service public : la guerre des médias est déclarée
    • Léa Salamé, Glucksmann, "taxe Zucman" : omniprésence médiatique et conflits d'intérêts

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    Portrait piquant (en partenariat avec l’OJIM) : Ivanne Trippenbach... Le cas édifiant de cette journaliste du Monde et ses approximations journalistiques.

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  • On a tué Huey Long !...

    Les éditions 10/18 viennent de publier une enquête de Jean-Marie Pottier intitulé Qui a tué Huey Long ?.

    On rappellera que le sénateur Huey Long avait, avant d'être assassiné, fondé un vaste mouvement populiste destiné à soutenir sa candidature à l'élection présidentielle. Huey Long a inspiré le personnage du politicien Willie Stark dans Les Fous du Roi, le formidable roman de Robert Penn Warren.

     

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    " Il était le " Kingfish ", le gros poisson de la politique en Louisiane. Certains de ses partisans l'imaginaient déjà défier le président Roosevelt pour conquérir la Maison-Blanche en 1936. Le 8 septembre 1935, le sénateur Huey Long est tué par balles dans les couloirs du Capitole de l'État, à Baton Rouge. À l'époque, le suspect numéro un du meurtre est vite identifié : Carl Weiss, un médecin qui aurait cherché à se venger de l'éviction, par Long, de son beau-père d'un siège de juge. Ce jour-là, il aurait tiré sur le sénateur lors d'une échauffourée avant d'être abattu par ses gardes du corps. Ce qui n'empêche pas des théories alternatives de vite émerger, liées au possible destin politique national de Long ou à ses relations avec la mafia de la Nouvelle-Orléans, sur fond d'explosion du business des machines à sous. Et si Long avait en fait été abattu, plus ou moins accidentellement, par un de ses gardes du corps ? Et si la police locale avait ensuite enterré l'affaire ? "

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  • Quand la gauche protège les meurtriers et diabolise les victimes...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous la chronique de David Engels sur Ligne droite, la matinale de Radio Courtoisie, datée du 15 septembre 2025 et consacrée au curieux traitement par les médias de gauche américains du meurtre raciste d'une jeune ukrainienne par un individu d'origine africaine et de l'assassinat d'un influenceur conservateur par un jeune gauchiste...

    Historien, essayiste, enseignant chercheur à l'Instytut Zachodni à Poznan, à l'Institut Catholique de Vendée ainsi qu'au Mathias Corvinus Collegium de Bruxelles, David Engels est l'auteur de trois essais traduits en français, Le Déclin - La crise de l'Union européenne et la chute de la République romaine (Toucan, 2013), Que faire ? - Vivre avec le déclin de l'Europe (La Nouvelle Librairie, 2024) et, dernièrement, Défendre l'Europe civilisationnelle - Petit traité d'hespérialisme (Salvator, 2024). Il a  également dirigé deux ouvrages collectifs, Renovatio Europae - Plaidoyer pour un renouveau hespérialiste de l'Europe (Cerf, 2020) et Aurë entuluva! (Renovamen-Verlag, 2023), en allemand, consacré à l’œuvre de Tolkien.

     

                                              

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  • Guide de la Terre du Milieu...

    Les éditions Bragelonne viennent de publier un ouvrage de référence de Robert Foster consacré à l’œuvre de J. R. R. Tolkien, le Guide de la Terre du Milieu, publié pour la première fois en 1971 et régulièrement révisé et tenu à jour depuis cette date. Robert Foster est philologue et spécialiste de l'histoire de la littérature américaine.

     

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    " Ouvrage de référence, le Guide de la Terre du Milieu réunit l'ensemble des connaissances sur la Terre du Milieu, disponibles dans Le Hobbit, Le Seigneur des Anneaux et Le Silmarillion.

    3000 entrées et notices.
    Tous les lieux, peuples, personnages, batailles, langues et contes de l'univers.
    Plus de 50 illustrations, signées par Ted Nasmith, certaines totalement inédites.

    Pour J.R.R. Tolkien, chaque mot revêtait un sens profond, chaque nom avait une étymologie élaborée, chaque créature, un rôle à jouer. Il a conçu un monde vaste et fécond, d'une complexité saisissante. "

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  • Badinter au Panthéon, c’est non !...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Jean-Yves Le Gallou, cueilli sur Polémia et consacré à la panthéonisation de Robert Badinter, un des personnages les plus nuisibles de l'ère Mitterrand...

    Un dossier lui sera consacré par Polémia tout au long des prochaines semaines.

     

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    Badinter au Panthéon, c’est non !

    Non, la patrie n’a pas à être reconnaissante à Badinter. Encore moins les Français victimes de sa politique.
    L’explosion de l’insécurité ? C’est lui, comme garde des Sceaux de François Mitterrand de 1981 à 1986.
    L’invasion migratoire incontrôlée ? C’est lui, comme président du Conseil constitutionnel de 1986 à 1995.
    Le mépris du peuple ? C’est encore lui, avec un ensemble de décisions prises à l’opposé des volontés populaires.
    Badinter, un grand homme ? Voire. Mais surtout un oligarque morgueux, un grand avocat fortuné et progressiste, se moquant comme d’une guigne des préoccupations des Français et conduisant une politique antidémocratique, à rebours de leurs aspirations.
    En 1981, 60 % des Français étaient favorables à la peine de mort : il leur tord le bras et l’abroge. C’est son titre de gloire. Pire : il abroge la peine capitale sans créer de peine de substitution, sapant ainsi la hiérarchie des peines. Garde des Sceaux, Badinter s’appuie sur le syndicat de la magistrature pour repenser le code pénal et placer le délinquant au cœur de ses préoccupations, au lieu et place de la victime. Quarante ans plus tard, la situation est hors de contrôle : racailles et narcotrafiquants imposent leur loi.
    À peine sorti de la Place Vendôme, Badinter prend la tête du Conseil constitutionnel : il va s’ériger en super législateur et s’ingénier à créer des jurisprudences rendant impossible tout contrôle réel de l’immigration.
    Alors, Badinter, les Français ne lui disent pas merci ! Le faire entrer au Panthéon, c’est un bras d’honneur de la gauche progressiste aux Français, aux gueux. C’est une manière de leur dire : « Votre avis ne compte pas, seules importent nos lubies idéologiques. » Quant aux politiques qui s’associeraient à l’hommage ou regretteraient de ne pas y avoir été invités, ils perdraient tout crédit pour redresser la situation migratoire comme la situation sécuritaire.
    Pour nous, Badinter au Panthéon, c’est non !

    Panthéonisation de Badinter : une provocation ultime du bloc centriste

    La décision de faire entrer Robert Badinter au Panthéon en octobre 2025, sous l’impulsion du pouvoir macroniste, s’apparente à une ultime provocation du bloc centriste. Cet acte, présenté comme un hommage national, n’a rien d’un geste d’unité. Il consacre une figure adulée par la gauche progressiste mais ignorée, voire détestée, par une partie croissante de la population française, lassée d’une justice perçue comme laxiste et déconnectée.
    Badinter, ancien ministre de la Justice sous François Mitterrand, incarne une idéologie antipénale qui, sous couvert d’humanisme, a contribué à l’affaiblissement de l’appareil judiciaire, à la mise sur un piédestal des criminels et au mépris des victimes.
    Badinter est aussi l’homme qui a imposé l’abolition de la peine de mort contre l’avis d’une majorité de Français.
    Cette panthéonisation, orchestrée par un exécutif en fin de règne, sert à la fois de diversion dans un contexte de fragilité du camp présidentiel et d’imposition d’une figure emblématique du laxisme, à l’heure où l’aspiration populaire penche clairement en faveur d’une rupture avec le laxisme judiciaire. Comment des figures gouvernementales comme le garde des Sceaux Gérald Darmanin et le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau pourront-ils prôner la fermeté tout en célébrant l’apôtre du laxisme ?

    Un symbole national détourné au profit d’une petite élite de gauche

    Loin d’être un acte d’unité nationale, cette consécration s’apparente à une appropriation partisane. Badinter, architecte de l’abolition de la peine de mort en 1981, est célébré pour un « humanisme » qui a sacrifié la protection des citoyens sur l’autel d’un idéal élitiste.
    Si la peine de mort est le grand fait d’armes attribué à l’ancien garde des Sceaux, sa responsabilité dans l’affaire du sang contaminé est complètement tue par les médias de grand chemin.
    Pire : Badinter est célébré pour ce qu’il n’a pas fait. En 1982, avec la « loi Forni », il égalise l’âge de la majorité sexuelle à 15 ans pour les relations homosexuelles et hétérosexuelles, supprimant ainsi le « délit d’homosexualité » qui pénalisait les relations homosexuelles avec des mineurs de plus de 15 ans. Ce texte sera à tort invoqué comme une dépénalisation de l’homosexualité, qui remonte en réalité au code pénal de 1791, sous la monarchie constitutionnelle, et non pas « en République », comme aimait dire le ministre.
    Docile avec les criminels, le personnage savait aussi être rigide pour les crimes d’expression !
    Sa lutte contre le racisme et l’antisémitisme a ainsi ouvert la voie à des lois liberticides, étouffant la liberté d’expression sous prétexte de combattre l’intolérance.
    En sanctifiant Badinter, le pouvoir actuel ne rend pas hommage à la France, mais glorifie un symbole de la gauche, responsable de la déliquescence de la justice. Cette démarche renforce l’idée d’une justice confisquée par une élite vivant en sécurité, au détriment d’une population qui, elle, subit de plein fouet l’héritage de Robert Badinter.

    Le Panthéon, sanctuaire des héros de la gauche, pas de la France

    Le Panthéon, censé honorer les grandes figures qui ont façonné la nation, devient une nouvelle fois, sous cette panthéonisation, un outil de propagande idéologique. Badinter rejoint ainsi une liste de figures principalement issues de la gauche, comme le communiste arménien Missak Manouchian. Cette instrumentalisation traduit une volonté de légitimer une vision progressiste au détriment d’une histoire nationale plus large.
    L’héritage de Badinter, marqué par une « culture de l’excuse » qui dédouane les criminels de leur responsabilité, contraste avec les attentes d’une société confrontée à l’insécurité. En effaçant les victimes au profit des coupables, il a inversé les priorités de la justice, un déséquilibre que cette panthéonisation vient figer dans le marbre. Le Panthéon n’est plus le temple de la France – si tant est qu’il le fût jadis – mais celui de la gauche.

    Jean-Yves Le Gallou et l’équipe de Polémia (Polémia, 8 septembre 2025)

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