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Métapo infos - Page 28

  • Soulèvement en Slovaquie : un coup de force téléguidé par l'UE ?...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous la chronique de David Engels sur Ligne droite, la matinale de Radio Courtoisie, datée du 31 janvier 2025 et consacrée aux étranges opérations de déstabilisation qui visent différents gouvernements européens, comme la Slovaquie, dont l'alignement avec la politique de l'UE n'est pas parfait.

    Historien, essayiste, enseignant chercheur à l'Instytut Zachodni à Poznan, à l'Institut Catholique de Vendée ainsi qu'au Mathias Corvinus Collegium de Bruxelles, David Engels est l'auteur de trois essais traduits en français, Le Déclin - La crise de l'Union européenne et la chute de la République romaine (Toucan, 2013), Que faire ? - Vivre avec le déclin de l'Europe (La Nouvelle Librairie, 2024) et, dernièrement, Défendre l'Europe civilisationnelle - Petit traité d'hespérialisme (Salvator, 2024). Il a  également dirigé deux ouvrages collectifs, Renovatio Europae - Plaidoyer pour un renouveau hespérialiste de l'Europe (Cerf, 2020) et Aurë entuluva! (Renovamen-Verlag, 2023), en allemand, consacré à l’œuvre de Tolkien.

     

                                                

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  • Carl von Clausewitz : soldat, réformateur et stratégiste...

    Les éditions La Nouvelle Librairie, en partenariat avec l'Institut Iliade, viennent de publier un essai de Laurent Schang intitulé Carl von Clausewitz - Soldat, réformateur, stratégiste.

    Écrivain, chroniqueur et éditeur militaire, Laurent Schang a à son actif plusieurs récits et recueils de nouvelles, comme Le constat d'Occident (Alexipharmaque, 2007), Kriegspiel 2014 (Le Mort-qui-Trompe, 2009) ou Le bras droit du monde libre (Alexipharmaque, 2019), et des biographies, telles Maître Morihei Ueshiba (Pygmalion, 2004) ou Von Rundstedt - Le maréchal oublié (Perrin, 2020).

     

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    " Qui fut vraiment Carl von Clausewitz, cet officier et théoricien militaire prussien ? Son œuvre majeure, De la guerre, est considérée par beaucoup comme le classique des classiques de la pensée stratégique européenne et même occidentale. La tentation est souvent grande toutefois de réduire le livre à cette unique formule : « la guerre est la continuation de la politique par d’autres moyens. »

    C’est à un examen minutieux de la vie et de l’œuvre de ce grand penseur de la stratégie que nous invite Laurent Schang dans cette monographie. Or, si certaines pages de Clausewitz ont quelque peu vieilli, l’auteur nous rappelle que d’autres sont d’une « vérité éternelle ». L’homme demeurant lui-même à travers les siècles, ses finalités politiques restent inchangées, aujourd’hui comme en 1832. Partant, la guerre sera toujours un horizon possible du politique. C’est pourquoi il demeure essentiel de lire son principal théoricien. "

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  • Élection de Trump : l’oligarchie progressiste face à une révolution ?...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Michel Geoffroy, cueilli sur Polémia et consacré aux fissures provoquées dans l'oligarchie par l'élection de Trump...

    Ancien haut-fonctionnaire, Michel Geoffroy a publié le Dictionnaire de Novlangue (Via Romana, 2015), en collaboration avec Jean-Yves Le Gallou, ainsi que plusieurs essais, dont La Superclasse mondiale contre les Peuples (Via Romana, 2018), La nouvelle guerre des mondes (Via Romana, 2020), Immigration de masse - L'assimilation impossible (La Nouvelle Librairie, 2021), Le crépuscule des Lumières (Via Romana, 2021), Bienvenue dans le meilleur des mondes (La Nouvelle Librairie, 2023) et, dernièrement Occident go home ! - Plaidoyer pour une Europe libre (Via Romana, 2024).

     

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    Élection de Trump : l’oligarchie progressiste face à une révolution ?

    La prise de pouvoir de l’oligarchie mondialiste en Occident a reposé sur la financiarisation de l’économie, en raison des avantages qu’elle procurait à une petite minorité d’investisseurs fortunés et progressistes puisque, pour eux, la déconstruction néo-libérale des sociétés et la mondialisation étaient effectivement « heureuses ». La plupart des dirigeants occidentaux, et singulièrement européens, provenaient pour cette raison du monde la banque[1] et de la finance. Mais pour le reste de la population, confrontée au sous-emploi, aux « bullshit jobs », à la précarité, à l’immigration et à l’insécurité culturelle, il en allait tout autrement, y compris aux États-Unis.
    Jusqu’alors, l’oligarchie mondialiste n’avait donc que les peuples autochtones, les classes moyennes et les patrons de PME comme opposants : mais elle pouvait en triompher facilement grâce à son appareil de propagande et de censure – les médias qu’elle avait achetés – et grâce à la répression des dissidents – puisque les Etats occidentaux faisaient désormais, sous sa direction, la guerre à leurs propres peuples.
    Mais, bonne nouvelle, ce rapport de forces inégal en en train de changer, ce qui rouvre les perspectives historiques en Occident.

    Un retour en force de l’économie réelle

    L’élection présidentielle américaine propulse en effet à la tête de la plus grande puissance occidentale des responsables qui rejettent ouvertement le politiquement correct et elle place un nouveau patronat, incarné par le charismatique Elon Musk, du côté des peuples autochtones.

    Trump et Musk incarnent en effet un retour en force de l’économie réelle et de l’esprit de création, aux dépens du monde irréel de la finance, du numérique et de l’idéologie hors sol des progressistes.
    Elon Musk n’est pas un financier, bien qu’il soit l’homme le plus riche du monde, mais un manager, un industriel, un créateur et un visionnaire. Et il a renié depuis longtemps le crédo progressiste en usage chez les milliardaires de la Silicon Valley.

    Elon Musk fait rêver l’Amérique car il incarne le rêve qui manquait au mouvement MAGA. On l’a bien vu au soir de l’investiture de Donald Trump lorsqu’ il a évoqué la perspective prochaine d’astronautes américains sur Mars.
    Et il montre surtout que le futur et les lendemains qui chantent ne se situent désormais plus à gauche.

    La contestation s’étend

    Mais le mouvement n’est pas que nord-américain.
    Un peu partout en Occident, la contestation de la doxa progressiste s’installe, au grand dam des oligarques, chez les décideurs publics ou privés.

    En Argentine la politique de Javier Milei, le président à la tronçonneuse, produit ses premiers résultats positifs : avec une baisse spectaculaire des dépenses publiques, de la dette et de l’inflation qu’aucun « expert » de plateau télé n’estimait possible, évidemment.

    Le mouvement s’étend aussi à l’Europe, même s’il n’a pas encore trouvé une issue politique générale en raison de la gouvernance totalitaire de l’UE, devenue prison des peuples.
    Mais la parole des représentants de l’économie réelle se libère également, y compris en France.

    Même en France les patrons se révoltent

    Cela a commencé avec Jean-Bernard Levy président d’EDF, dénonçant ouvertement à l’Assemblée nationale les incohérences de la politique nucléaire du gouvernement français et les folies du « marché européen de l’énergie ». Et confirmant par là même tout ce que disaient les dissidents de la transition énergétique.

    Puis ce sont les dirigeants de l’industrie automobile, rejoints par leurs collègues européens, qui dénoncent les folies du « pacte vert » et l’irréalisme de l’interdiction de vente des voitures thermiques en 2035 qui ouvre une voie royale à la concurrence chinoise. Pendant que les dirigeants agricoles mettent de même en cause un libre-échange qui les met en concurrence avec des producteurs qui ne sont pas soumis aux mêmes contraintes.

    Et voici même Bernard Arnault, le Français le plus riche du monde et ami de Macron, qui déclare qu’en France « tout ce qui bouge on le taxe, ce qui bouge encore on le réglemente ; tout ce qui ne bouge plus on le subventionne »[2]. Un beau résumé du mal français !

    Sans oublier bien sûr ces patrons qui financent des médias en rupture avec la doxa politiquement correcte.

    L’oligarchie encerclée

    Le populisme stagnait car il incarnait quand même le parti des perdants de la mondialisation heureuse, des « déplorables », des « sans-dents » et des « gens de rien » que la gauche bourgeoise a toujours méprisé et matraqué.

    Mais voici que des riches et des gagnants, émanations de l’économie réelle, rejoignent le camp des peuples dans la contestation des oligarchies.
    Alors là, dans les beaux quartiers et dans les salles de rédaction, on ne rit plus du tout.
    Car, si ce mouvement se confirme, il annonce un changement majeur et bienvenu de paradigme en Occident.
    Que va devenir l’oligarchie financière progressiste, en effet, si maintenant les capitaines d’industrie rejoignent les peuples et les dissidents, dans la contestation du Système et donc de leur pouvoir ?

    C’est une révolte ? Non Sire, c’est une révolution qui s’annonce…

    Michel Geoffroy (Polémia, 30 janvier 2025)

     

    Notes :

    [1] Notamment Goldman Sachs
    [2] Présentation des résultats annuels 2024 de LVMH le 28 janvier 2025

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  • Tour d'horizon... (277)

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    Au sommaire cette semaine :

    - sur Grand Continent, une présentation des figures du techno-césarisme américain...

    Au-delà de Musk : comment l’élite techno-césariste veut rebâtir l’Amérique 

    Musk et Thiel.jpg

    - le 24 avril 1969, dans son émission Radioscopie, Jacques Chancel reçoit Henry de Monfreid...

    Radioscopie : Henry de Monfreid

     

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  • Feu sur la désinformation... (500) : Bayrou et la submersion migratoire

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou et Floriane Jeannin.

     

                                               

    Au sommaire cette semaine :

    L'image de la semaine :  Elias, fait divers ou francocide ?...

    Dossier du jour : Bayrou et son propos sur un "sentiment de submersion migratoire". Pourquoi certains sujets sont-ils tabous dans les médias traditionnels et comment les journalistes créent-ils un narratif qui pousse à interdire cette terminologie qui décrit pourtant le réel ?...

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    Pastilles de l’info:

    • Scandale EBRA : Le PDG Philippe Carli viré pour un like !
    • Star Academy : Ebony et Marine, la racialisation en question
    • Jacques Weber déchaîné sur RTL : Trump, « Ordure à Supprimer » ?
    • Musk : pourquoi cette diabolisation ?
    • Pujadas s'excuse : Le mea culpa d'un journaliste
    • Mélenchon : La réponse cinglante à Libé !
    • "Toutes pour une": La débâcle annoncée et consommée

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    Portrait piquant (en partenariat avec l’OJIM) : Léa Salamé, l'influente journaliste...

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  • Quel avenir ?...

    Le nouveau numéro de la revue Réfléchir & Agir (n°85 - Printemps 2025) est paru. Le dossier est consacré à un réflexion sur notre avenir proche...

    La revue n'est plus disponible que par abonnement.

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    Au sommaire :

    En bref

    Antipasti

    Yann Vallerie :« On file tout droit vers des formes de sécession.»

    Scènes et rustines du nationalisme

     

    DOSSIER 

    Quel avenir ?

    Les beaux draps, par Eugène Krampon

    Une plus grande France pour mille ans, par Scipion de Salm

    Que faire ? ou l'éternelle question, par Sylvain Roussillon

    Entretien avec Laurent Obertone

     

    Grand entretien

    David Alliot: « L'Occupation a été un âge d'or pour le Milieu.»

    Histoire

    Les fusillés de l’Épuration judiciaire française (1944 - 1954), par Pierre-Denis Boudriot

    Fascisme

    Le fascisme albanais, l'aigle bicéphale et le faisceau, par Sylvain Roussillon

    Politique étrangère

    Les délinquants idéologiques du Frente Obrero, par Édouard Rix

    Mythes

    M comme Mesrine, par Fabrice Seldon

    Littérature

    Gripari, un écrivain notoirement méconnu, par Anne-Martin Conrad

     

    Notes de lecture

    Les crimes du mois

    Disques

     

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