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Métapo infos - Page 28

  • La dédiabolisation, un piège à c...?

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Julien Dir cueilli sur Breizh-Info, qui, à l'occasion de la victoire de Donald Trump, obtenue malgré l'hostilité de la quasi-totalité du système politico-médiatique, évoque la faute grave que constitue la stratégie de dédiabolisation du RN...

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    Victoire de Trump aux USA : la preuve que la dédiabolisation est un piège à c…

    La réélection fracassante de Donald Trump à la présidence américaine, face à une gauche agonisante et empêtrée dans ses contradictions, sonne comme un avertissement tonitruant. Le peuple américain, fatigué par des décennies de soumission aux dogmes du gauchisme, du wokisme, et de l’immigration incontrôlée, a finalement pris position, préférant un dirigeant droit dans ses bottes, imperméable aux injonctions du politiquement correct et aux sourires mielleux du système. Contrairement à Marine Le Pen et au Rassemblement National, qui persistent à s’aplatir devant les médias bien-pensants et à caresser les élites dans le sens du poil, Trump, lui, n’a fait aucune concession. Et cette posture de confrontation, loin de lui nuire, l’a mené à une victoire historique.

    L’illusion de la dédiabolisation

    Qu’est-ce que le Rassemblement National n’a pas encore tenté pour « adoucir » son image ? La dédiabolisation, ce concept creux qui n’est qu’un piège tendu par les médias et les élites progressistes, a réduit le RN à une pâle imitation de ce qu’il était. Convaincu que se conformer aux codes de la bienséance politique lui offrirait la clef du pouvoir, le RN s’est trahi, désarmant son propre électorat, brouillant son message, édulcorant son discours. Ce qui devait être une stratégie de conquête s’est révélé un aveu de faiblesse. Trump, en revanche, a pris le chemin inverse, choisissant l’affrontement, la confrontation frontale. Loin de chercher l’approbation du système, il s’est lancé dans une guerre ouverte contre le gauchisme et le wokisme, refusant toute compromission.

    Trump et Musk : la guerre contre le système

    Trump a compris que le monde est en guerre idéologique, une guerre totale menée contre les peuples par une élite cosmopolite et ses alliés gauchistes. Dans cette lutte, il a trouvé un allié puissant en la personne d’Elon Musk, visionnaire libre-penseur, qui, lui aussi, a osé s’affranchir des dictats du progressisme et du politiquement correct. Ensemble, ils ont entrepris de démanteler les piliers du système gauchiste : Musk avec ses positions radicales en faveur de la liberté d’expression, Trump avec sa promesse de démanteler les politiques d’immigration qui menacent les fondements mêmes de la civilisation occidentale. Cette alliance électrise, et elle inquiète aussi. Elle effraie les chiens de garde du système, car elle met en lumière leur impuissance face à un homme qui n’a pas peur de dire ce qu’il pense et de faire ce qu’il dit.

    Gauche et wokisme : les armes de la destruction civilisationnelle

    Le gauchisme et le wokisme, masques d’un progressisme destructeur, sont des outils de subversion, une arme idéologique massive dont l’objectif est clair : saper les bases de la nation, fragmenter l’identité, éradiquer l’héritage. En Amérique, le peuple l’a compris, préférant se tourner vers un leader qui incarne la résistance et la fermeté. Trump ne recule pas devant les accusations, les invectives, et les tentatives de diabolisation. Il ne cherche pas à plaire, il vise à dominer. C’est cette approche qui a galvanisé les électeurs, fatigués de voir leur pays devenir le laboratoire des folies progressistes, envahi par une immigration sans frein, où la morale traditionnelle est bafouée au nom d’une tolérance perverse.

    RN : un contresens historique

    Marine Le Pen, Jordan Bardella et le RN devraient tirer une leçon de cette élection. Le « trumpisme » a triomphé non pas parce qu’il s’est couché devant le système, mais parce qu’il a attaqué ses fondations sans peur ni honte. La dédiabolisation est une soumission masquée, une erreur de calcul qui, loin de séduire, aliène les vrais patriotes. À force de vouloir être aimé, on finit par se renier. Mais le RN persiste dans ce contresens historique, convaincu que des courbettes et des concessions lui ouvriront les portes du pouvoir. C’est une impasse. Trump, lui, montre la voie : rester droit, frapper fort, et ne jamais transiger.

    La victoire de Trump nous rappelle qu’il est possible de vaincre sans se travestir, sans édulcorer son message. Le RN doit cesser de chercher l’aval des médias et des élites, et redevenir une opposition implacable aux dérives du gauchisme. Trump et Musk, en s’attaquant frontalement aux fondements mêmes de ce système, montrent qu’il n’est pas nécessaire de faire des compromis pour s’imposer. Ce duo atypique a réussi en affirmant haut et fort leurs convictions, en rejetant le politiquement correct et en combattant chaque tentative de censure. Leur approche n’a pas divisé leur base : elle l’a renforcée.

    Le RN devrait s’inspirer de cette leçon : il faut pourfendre le gauchisme sans relâche, dénoncer l’immigration massive comme une menace existentielle, défendre sans concession l’identité nationale. Les peuples ne veulent pas des demi-mesures ni des compromis ; ils aspirent à un leader qui prenne des positions claires et radicales, sans peur du jugement des élites. Le moment est venu de trancher avec le statu quo et de renouer avec une ligne résolument anti-système, un nationalisme sans concession, un discours sans filtre.

    La victoire est à ceux qui osent

    L’élection de Trump prouve que la victoire appartient à ceux qui osent : oser défier les tabous, oser briser le mur de la censure médiatique, oser incarner une alternative sans compromis. Trump a fait le choix de ne pas plaire, et c’est précisément cette audace qui l’a rendu irrésistible aux yeux des électeurs fatigués des trahisons et des promesses non tenues. Si le RN persiste dans la dédiabolisation et les courbettes, il continuera à tourner en rond, incapable de canaliser la colère légitime de ceux qui voient leur pays sombrer.

    À l’heure où la France est minée par les mêmes maux que les États-Unis — le wokisme, l’immigration incontrôlée, la perte d’identité —, il est temps de cesser les demi-mesures et de passer à l’offensive. Le RN, pour s’imposer, devra rompre avec la tentation du consensus, reprendre son rôle de pourfendeur du gauchisme, et surtout, cesser de croire aux mirages de la dédiabolisation. L’Histoire nous enseigne que seuls les plus audacieux, les plus intransigeants, finissent par triompher

    Julien Dir (Breizh-info, 6 novembre 2024)

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  • Les snipers de la semaine... (282)

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    Au sommaire cette semaine :

    - sur Hashtable, H16 dézingue la politique économique désastreuse poursuivie par les gouvernements successifs...

    Et maintenant l'effondrement français

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    - sur le site La Sociale, Jacques Cotta allume le déplacement calamiteux de Macron et de sa cour au Maroc...

    A tout seigneur, tout honneur !

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  • Feu sur la désinformation... (489) : Après la victore de Trump, les médias en PLS !

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou et Lucas Chancerelle.

     

                                               

    Au sommaire cette semaine :

    Dossier du jour : la victoire de Trump et la grosse déconvenue des médias français !...

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    Pastilles de l’info :

    1) Inondations en Espagne : le pouvoir chassé

    2) Nicolas, un nouveau francocide ?

    3) Conférence Polémia : J-9

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    Portrait piquant (en partenariat avec l’OJIM) : Marine Turchi, journaliste à Mediapart aux basses méthodes...

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  • L'histoire falsifiée : les historiens ripostent !...

    Le numéro 80 du mensuel conservateur L'Incorrect est en kiosque. On peut notamment découvrir à l'intérieur un dossier central consacré à la falsification de l'histoire, avec la participation de huit historiens réputés, mais aussi les rubriques habituelles "L'époque", "Politique", "Monde", "Idées", "Culture", et "La fabrique du fabo"...

    Le sommaire complet est disponible ici.

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  • Guerre civile en approche ?...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un entretien donné par Laurent Obertone à Thinkerview, consacré à la situation de notre pays et à la menace de guerre ethnique qui monte...

    Journaliste, Laurent Obertone est l'auteur de trois enquêtes essentielles, La France Orange mécanique (Ring, 2013), La France Big Brother (Ring, 2015) et La France interdite (Ring, 2018), qui ont contribué à fissurer l'édifice du politiquement correct, ainsi que du récit Utøya (Ring, 2013). Après des essais comme Game over - La révolution antipolitique (Magnus, 2022) ou Raisonnablement sexiste (Magnus, 2023), il vient de publier Guerre - Le combat dont vous êtes enfin le héros (Magnus, 2024).

     

                                                

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  • Rebarbe à Campagnol...

    Les éditions Jean-Cyrille Godefroy viennent de publier un nouveau roman de Christian Combaz intitulé Rebarbe à Campagnol. Romancier et journaliste, Christian Combaz est notamment l'auteur de Gens de Campagnol (Flammarion, 2012), de Portrait de Marianne avec un poignard dans le dos (Le retour aux sources, 2018) et de La France de Campagnol (La Nouvelle Librairie, 2020). On peut suivre ses chroniques de La France de Campagnol sur sa chaîne Youtube Campagnol tvl.

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    " Une génération après Gens de Campagnol” (Flammarion), Christian Combaz nous raconte avec Rebarbe à Campagnol la façon dont un village ordinaire a pris de plein fouet l’hystérie sanitaire mondiale et la dérive dépensière des élites françaises sous influence étrangère, la séparation de la population en deux clans qui s’inspirent une méfiance mutuelle, le prétendu confinement que personne n’observe au milieu des champs, mais aussi les rancoeurs, les délations, le rôle micro-stalinien des élites locales, le tout en toile de fond d’une pièce de théâtre truculente à la Don Camillo. Les personnages principaux de la chronique vidéo que l’auteur a décrits pendant plus de cinq ans , au fil de mille livraisons de la France de Campagnol se retrouvent ici plongés dans une série d’aventures inédites, qui tissent une véritable trame romanesque et donnent à chacun une profondeur imprévue: l’abonné au Monde, éternel défenseur de l’ordre parisien, Suzanne la jeune femme un peu disgraciée amoureuse d’un ancien moine bénédictin, Christiane la psychiatre en milieu gériatrique suspendue pour non conformisme vaccinal, son mari Jules qui collectionne les Jaguar, Vladimir le jeune ukrainien arrivé en France en 1993 à six ans après le remariage de sa mère, Gustave l’ancien anarchiste qui vend des livres d’occasion qu’il a tous lus, Roger l’’éleveur de brebis de 80 ans, son jeune ami Frédéric, aristocrate à la recherche du père, sa soeur Lucette, le cafetier, le maire, les personnages de passage pendant les vacances, les vendeurs de voitures et de vérandas, les gens qui disparaissent parce qu’lis doivent de l’argent à tout le monde, ce livre est comme les albums de notre enfance qui dressaient des paysages de papier plié, des collines et des villages en perspective quand on déployait la double page centrale. "

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