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Métapo infos - Page 30

  • La cage d'acier de Weber et le néo-totalitarisme libéral-démocratique...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Tiberio Graziani, cueilli sur le site Euro-Synergies et consacré au néo-totalitarisme libéral-démocratique qui sévit en Europe...

     

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    La cage d'acier de Weber et le néo-totalitarisme libéral-démocratique

    Dans le contexte contemporain, caractérisé par l'omniprésence croissante des nouvelles technologies de la communication dans les processus de formation de l'opinion et de prise de décision, les réflexions sociologiques de Max Weber sur la « cage d'acier » s'avèrent être un outil fructueux pour comprendre les avertissements de ce que l'on peut définir comme les dérives du système néo-libéral-démocratique.

    En effet, le lien entre rationalisation technocratique, éthique utilitariste et conformisme social et culturel, bien décrit par Weber, trouve aujourd'hui un nouveau souffle dans l'instrumentalisation croissante du phénomène de l'intelligence artificielle, la montée du politiquement correct et la transformation des démocraties occidentales en régimes présentant des traits de néo-totalitarisme.

    L'intelligence artificielle : la face rationnelle de la cage d'acier

    L'intelligence artificielle (IA), appliquée aux processus industriels, représenterait en quelque sorte l'apogée de la rationalisation théorisée par le penseur allemand. Il s'agit essentiellement d'une technologie qui promet - et permet - l'efficacité et l'optimisation, mais - si elle n'est pas gérée de manière critique et appropriée - au prix d'une aliénation croissante et généralisée. En effet, les décisions automatisées, basées sur des algorithmes, pourraient réduire la capacité de l'individu à influencer les résultats des processus sociaux : du point de vue de la critique du pouvoir, l'utilisation de ces algorithmes semble renforcer une structure bureaucratique qui se nourrit d'elle-même, contribuant à la création d'une « cage d'acier » numérique. Cette « cage d'acier » numérique, apparemment neutre, imposerait ainsi une logique instrumentale qui vide les valeurs humaines de leur sens, poussant les classes dirigeantes vers un contrôle de plus en plus prononcé, envahissant et déshumanisant des sociétés.

    L'IA - telle qu'elle est gérée actuellement - se présente comme un instrument supplémentaire de consolidation du pouvoir des classes dirigeantes des États les plus avancés sur le plan technologique et des groupes de pouvoir au sein des grandes sociétés financières et industrielles, produisant des inégalités structurelles dans les sociétés et les sphères de travail. L'accès aux technologies les plus avancées est réservé à quelques acteurs mondiaux, tandis que les citoyens ordinaires deviennent de simples rouages d'un système qu'ils ne semblent pas comprendre. La promesse de liberté, typique du discours néolibéral, se transforme en une forme d'« esclavage algorithmique », où la capacité d'autodétermination est de plus en plus limitée.

    Le politiquement correct : symptôme du néo-État éthique occidental

    Le politiquement correct, souvent perçu et surtout véhiculé comme un progrès civilisé, peut être interprété - dans le contexte de la critique du comportement social actuel et de l'évolution politique de la société occidentale - comme un symptôme concret de l'affirmation d'un État éthique occidental. Par un contrôle rigide du langage et de l'opinion, on tente de conformer la société à un ensemble de valeurs considérées comme universelles, mais qui reflètent en réalité l'idéologie des classes dirigeantes. Ce phénomène, loin d'être une forme d'émancipation, devient un instrument d'homologation culturelle.

    L'imposition du politiquement correct ne restreint pas seulement la liberté d'expression, mais trahit une hétérogénéité des finalités. Les démocraties libérales, nées pour protéger le pluralisme et la diversité, finissent par adopter des pratiques totalisantes qui visent à éliminer la dissidence. C'est ainsi que se réalise une nouvelle forme de totalitarisme doux, dans lequel le consensus se construit par la pression sociale et l'isolement des « déviants », à travers, entre autres, des formes sophistiquées de mise au pilori médiatique (la fameuse « machine à boue »), l'attribution de liens, de relations et de comportements perçus comme embarrassants, socialement et politiquement répréhensibles, et même susceptibles d'être sanctionnés par la coercition.

    Totalitarisme et hétérogénéité des fins

    La pensée démocratique néolibérale, qui met l'accent sur le marché, les droits individuels et le progrès technologique, semble donc incarner l'apogée de la modernité. Cependant, elle se révèle paradoxalement, dans son explicitation pratique, comme l'aboutissement du cycle historique libéral-démocratique. La recherche incessante de l'efficacité, liée à la concentration croissante du pouvoir économique et financier entre les mains de quelques groupes, comme l'a bien décrit Alessandro Volpi, a conduit à un système qui restreint de plus en plus la liberté réelle, transformant les citoyens en sujets d'un ordre rationalisé et globalisé, dans lequel le débat démocratique, là où il s'exerce encore, prend au mieux le caractère d'un simple rituel sclérosé, au pire, compte tenu de la virulence polarisante croissante qui le caractérise actuellement, d'une forme singulière de névrose.

    L'hétérogénéité des fins - le principe selon lequel des actions conçues et entreprises dans un but précis aboutissent plutôt à des résultats opposés impensables - est clairement évidente dans la pratique de la démocratie libérale contemporaine. Les démocraties, telles que nous les connaissons sur notre continent au moins depuis la Révolution française jusqu'à aujourd'hui, nées pour protéger l'individu de l'arbitraire du pouvoir, se sont transformées, en l'espace de quelques décennies, en systèmes qui contrôlent largement la vie des citoyens. Les mécanismes de surveillance, la censure implicite et la manipulation de l'information constituent quelques-uns des instruments d'un pouvoir qui ne se présente plus visiblement comme autoritaire, mais parodiquement paternaliste et salvateur, enveloppé dans une superstructure rhétorique empruntée aux réflexions de Popper.

    La nécessité et l'urgence d'une nouvelle critique de la modernité

    Raisonner sur la métaphore de la « cage d'acier » de Weber, actualisée au contexte d'aujourd'hui, permet de réfléchir aux dérives du modèle néolibéral-démocratique que nous connaissons actuellement. L'instrumentalisation de l'intelligence artificielle, le politiquement correct et la dynamique d'hétérogénéité des finalités sont des symptômes clairs de la trajectoire d'un système autoréférentiel qui semble se diriger vers l'effondrement.

    Pour contenir et échapper à cette nouvelle forme de totalitarisme, il est nécessaire et urgent de retrouver la valeur de la pensée critique et la pratique de l'action collective. Ce n'est qu'en reformulant les rapports entre technologie, éthique et politique qu'il sera peut-être possible de construire un avenir qui ne soit pas dominé par la logique impersonnelle de la « cage d'acier », mais qui redonne une place centrale à l'être humain et à sa dignité.

    Tiberio Graziani (Euro-Synergies, 24 janvier 2025)

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  • Le retour des dieux...

    Le nouveau numéro de la revue Éléments (n°212, février - mars 2025) est en kiosque!

    A côté du dossier consacré au renouveau païen en Europe, on découvrira l'éditorial, les rubriques «Cartouches», «Le combat des idées» et «Panorama» , un choix d'articles variés et des entretiens, notamment avec Stephen Smith, Marcelo Gullo Omodeo, Rod Dreher ou Denis Collin...

    Et on retrouvera également les chroniques de Xavier Eman, d'Olivier François, de Laurent Schang, de Nicolas Gauthier, d'Aristide Leucate, de David L'Epée, de Bruno Lafourcade, de Guillaume Travers, d'Yves Christen, de Bastien O'Danieli, d'Ego Non et de Michel Marmin...

     

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    Au sommaire :

    Éditorial
    Le concret, le réel, par Alain de Benoist

    Agenda, actualités

    L’entretien
    France et Afrique : l’oraison funèbre de Stephen Smith, propos recueillis par Daoud Boughezala

    Cartouches
    L’objet disparu : le roman de gare, par Nicolas Gauthier

    Une fin du monde sans importance, par Xavier Eman

    Pourquoi la France rate-t-elle ses adaptations ? Par Nicolas Gauthier

    Curiosa Erotica : le strip-tease est-il en voie d’ubérisation ? Par David L’Épée

    Champs de bataille : l’autre bataille de Fontenoy (II/II), par Laurent Schang

    Uranie, le camp (4), par Bruno Lafourcade

    Le droit à l’endroit : politique et justice, l’éternel retour du juge, par Aristide Leucate

    La femme est l’avenir du djihad, par Daoud Boughezala

    Économie, par Guillaume Travers

    Bestiaire : les chimpanzés tiennent à leur réputation, par Yves Christen

    Sciences, par Bastien O’Danieli

    Le combat des idées
    BlackRock et les fonds « passifs », nouveaux maîtres de la finance, par Guillaume Travers

    Marcelo Gullo Omodeo : « L’Espagne a stoppé le génocide perpétré par les Aztèques », propos recueillis par Daoud Boughezala

    Perturbateurs endocriniens : quand la pilule passe mal, par David L’Épée

    Marché des pulsions : comment la publicité manipule un certain homoérotisme latent ? Par Hubert Calmettes

    Quand le nationalisme corse oublie ses racines européennes, par Nicolas Battini

    Marc Bloch au Panthéon, l’étrange reset, par Christophe A. Maxime

    D’une salope l’autre : Vénus, vice et volupté, par Michel Marmin

    Quand le progrès rend malade, le diagnostic implacable d’Ivan Illich, par Thomas Hennetier

    Rod Dreher : « Le totalitarisme doux est là », propos recueillis par Gabriel Piniés

    Curtis Yarvin, rencontre avec le père de la néoréaction, propos recueillis par Gabriel Piniés

    Patriotes sous influence étrangère, par Nicolas Gauthier

    Moeller van den Bruck, la Révolution conservatrice et la quête d’une troisième voie, par Alain de Benoist

    Être un génie ou rien : la quête de Ludwig Wittgenstein, par Jean Montalte

    Denis Collin et Marx : « La lutte des classes n’a jamais cessé », propos recueillis par Alain de Benoist

    Espions, Dry martini, belles femmes et grosses cylindrées : le monde de Ian Fleming, propos recueillis par Olivier François

    Zoltán Böszörményi : rencontre avec le patron des lettres hongroises, propos recueillis par Yann Caspar

    La mécanique Stanley Kubrick : pourquoi tout finit par déraper ? Par François-Xavier Consoli

    Dossier
    Le retour des dieux : enquête sur le renouveau païen en Europe

    Le paganisme, antidote au nihilisme contemporain ? Par Alain de Benoist

    En dévotion aux dieux : à la découverte du paganisme cultuel européen, par Benoît Rebioller

    Le paganisme se lève à l’est : Bélarus, Lituanie, Lettonie, par Maxime Cheminot

    La corrida, ultime rite païen ? Par Claude Chollet

    Quoi de neuf ? Homère ! Une nouvelle version française de l’Iliade et de l’Odyssée, par Michel Marmin

    Ismaïl Kadaré, au carrefour des mythes européens, par Guillaume Travers

    Panorama
    La leçon de philo politique : Spinoza, la liberté de penser, utile à l’État, par Ego Non

    L’esprit des lieux : rendez-vous avec le sphinx des profondeurs à Charm el-Cheikh, par Slobodan Despot

    Éphémérides

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  • Pourquoi il est vital de sauver la France de son déclin mortel...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous la chronique de David Engels sur Ligne droite, la matinale de Radio Courtoisie, datée du 24 janvier 2025 et consacrée au déclin de la France.

    Historien, essayiste, enseignant chercheur à l'Instytut Zachodni à Poznan, à l'Institut Catholique de Vendée ainsi qu'au Mathias Corvinus Collegium de Bruxelles, David Engels est l'auteur de trois essais traduits en français, Le Déclin - La crise de l'Union européenne et la chute de la République romaine (Toucan, 2013), Que faire ? - Vivre avec le déclin de l'Europe (La Nouvelle Librairie, 2024) et, dernièrement, Défendre l'Europe civilisationnelle - Petit traité d'hespérialisme (Salvator, 2024). Il a  également dirigé deux ouvrages collectifs, Renovatio Europae - Plaidoyer pour un renouveau hespérialiste de l'Europe (Cerf, 2020) et Aurë entuluva! (Renovamen-Verlag, 2023), en allemand, consacré à l’œuvre de Tolkien.

     

                                                

     

     

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  • Forgez le corps et l'esprit !...

    Les éditions L'Harmattan viennent de publier un essai de Marie Reetz intitulé Le discours fasciste au Japon 1931-1945 - « Forgez le corps et l'esprit ». Marie Reetz est docteure en linguistique et japonologue.

     

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    " Allié dans l’axe Berlin-Rome-Tokyo, l’Empire japonais mène une guerre brutale en Asie (1931-1945). Les experts du Japon restent partagés : comment caractériser ce régime ? Est-il autoritaire, fasciste ou totalitaire?
    Les attitudes, idées et actes d’un peuple se construisent par les discours (langage, rhétorique, images) qui l’entourent. C’est en étudiant le langage qui imprègne le Japon en guerre que ce livre propose une nouvelle entrée pour répondre à ces questions importantes.
    Les lettres et journaux intimes de soldats japonais analysés ici nous mettent sur la piste de discours fascistes et totalitaires. L’appel au sacrifice généralisé retentit à tous les niveaux langagiers. "

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  • L’Europe serpillière...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Julien Dir cueilli sur Breizh-Info et consacré à la faillite des dirigeants européens face à l'élan de la nouvelle équipe présidentielle américaine...

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    L’Europe serpillière face à l’audace américaine de Trump et Musk

    L’Europe de l’Ouest est en train de devenir une caricature d’elle-même. Une région autrefois moteur de la civilisation, aujourd’hui rabaissée à une serpillière mouillée, essuyant les crachats de ses propres élites et se laissant traîner par le courant sans la moindre résistance. La médiocrité qui gangrène nos dirigeants, incapables de penser au-delà des slogans creux et des postures moralisatrices, atteint des sommets. Pendant ce temps, outre-Atlantique, deux figures emblématiques, Donald Trump et Elon Musk, incarnent ce que l’Europe a oublié : la puissance, la force, et l’audace de rêver grand.

    Nathalie Loiseau et la danse des médiocres

    Prenons Nathalie Loiseau, par exemple. Ah, la championne des postures vides et des indignations pavloviennes ! Sa rhétorique pseudo-humaniste ne cache qu’un vide abyssal. Une pensée calibrée pour ne froisser personne, un discours fait de lieux communs et de fausse vertu. Les Nathalie Loiseau, les Von der Leyen et autres technocrates en costumes grisâtre ne dirigent pas : ils gèrent. Ils gèrent la déliquescence, l’effacement et la servilité. Ces élites européennes passent leur temps à dénoncer Trump comme un « danger », Musk comme une « menace », tout en évitant soigneusement de se demander pourquoi leurs peuples en ont assez d’eux. On dirait les jalouses de la cour de récréation quand nous étions petits : pas assez de prétendants, et des résultats scolaires moyens. Donc de la jalousie à revendre.

    Les leçons de Trump et Musk

    Trump et Musk, voilà deux hommes qui terrifient cette classe dirigeante. Pourquoi ? Parce qu’ils représentent tout ce que l’Europe serpillère ne peut plus comprendre. Trump, avec son langage brut et sa volonté d’en découdre, et Musk, avec son mépris des conventions et son ambition galactique, incarnent une Amérique prête à imposer sa force, quitte à déplaire.

    Certains diront que Trump est un provocateur populiste, et que Musk est un milliardaire excentrique. Soit. Mais, au moins, ils osent. Ils osent défier les puissants, provoquer les tabous, poser des questions interdites. Musk achète Twitter et rétablit des voix bannies pour « déviance idéologique ». Trump refuse de baisser la tête face aux anathèmes médiatiques. Oui, il y a des défauts, des outrances, mais derrière tout cela se cache une vérité essentielle : la volonté de puissance.

    Que fait l’Europe face à cela ? Elle s’indigne. Elle tremble. Elle se moque d’eux avec la suffisance arrogante du faible qui sait qu’il ne peut rien faire. Pendant que Trump veut construire des murs, l’Europe ouvre ses portes à tout vent et s’effondre sous le poids de sa propre incapacité à exister. Pendant que Musk imagine des colonies sur Mars, nos dirigeants se demandent comment interdire les moteurs thermiques et plier devant des Greta Thunberg en culottes courtes.

    Daniel Cohn-Bendit, le soixante-huitard devenu vieillard grisonnant, continue d’incarner cette Europe de la soumission. Une Europe qui prêche la diversité culturelle tout en écrasant ses propres racines, qui prône la liberté tout en censurant les voix dissidentes, qui se drape dans la morale tout en piétinant la volonté populaire.

    Le retour de l’Histoire

    Trump et Musk, d’une certaine manière, incarnent le retour de l’Histoire. Après des décennies où l’homme blanc occidental a été réduit à s’excuser, à se flageller, à se renier, voilà qu’émergent des figures qui refusent de plier. Loin de les idolâtrer, nous devrions comprendre la leçon qu’ils nous offrent. Ce vent de liberté, d’audace et de force est une occasion pour l’Europe.

    Mais attention : il ne s’agit pas d’être des vassaux de Trump ou de Musk. Il s’agit de profiter de cette dynamique pour nous débarrasser de nos propres chaînes. Il est temps de vider nos poubelles : les Loiseau, les Cohn-Bendit, les Von der Leyen, les Bayrou, les  Starmer, les Tusk, et toute cette caste d’eurocrates déconnectés qui ont confisqué notre liberté.

    L’Europe doit retrouver son âme. Une Europe qui ne se soumet pas mais impose. Une Europe qui ne craint pas la controverse mais l’affronte. Une Europe viscéralement attachée à la liberté d’expression, une liberté totale, sans compromis.

    Ce n’est qu’en nous débarrassant de la médiocrité, de la gestion et de l’effacement que nous pourrons redevenir des maîtres, et non des esclaves. Si l’Europe refuse cette renaissance, alors elle continuera à ramper, à se lamenter et à disparaître, pendant que d’autres – Trump, Musk, ou qui viendra après eux – écriront les nouvelles pages de l’Histoire.

    Julien Dir (Breizh-Info, 21 janvier 2025)

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  • Les snipers de la semaine... (286)

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    Au sommaire cette semaine :

    - sur le site de la revue Eléments, François-Xavier Consoli, à l'occasion de la mort de Jean-Marie le Pen, rafale les vautours de la morale et célèbre le "punk" politique !...

    Jean-Marie Le Pen : le dernier punk politique

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    - sur Hashtable, H16 dézingue la gauche morale et sa fuite de X sous l'insoutenable pression du réel...

    HelloQuitteX, les ingérences des uns et la panique des autres

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