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macron - Page 6

  • Gilets jaunes, extrême gauche, retraites : violences politiques ou violence du politique ?...

    Samedi 1er avril 2023, Mathieu Bock-Côté recevait François Bousquet dans son émission sur CNews pour évoquer avec lui la "giletjaunisation" des manifestations dans la France périphérique, les risques d’embrasement et la spécificité des violences de l’extrême gauche...

     

                                             

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  • Marine Le Pen à l’Élysée, c’est pour quand ?...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous une chronique de François Bousquet dans l'émission Ligne Droite sur Radio Courtoisie, datée du 29 mars 2023, dans laquelle il évoque l'étude de Luc Rouban, La vraie victoire du RN (Presses de Sciences-Po, 2022)...

    Journaliste, rédacteur en chef de la revue Éléments, François Bousquet a aussi publié Putain de saint Foucauld - Archéologie d'un fétiche (Pierre-Guillaume de Roux, 2015), La droite buissonnière (Rocher, 2017), Courage ! - Manuel de guérilla culturelle (La Nouvelle Librairie, 2020) et Biopolitique du coronavirus (La Nouvelle Librairie, 2020).

     

     

                                            

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  • Réforme des retraites ? Non, retraite de la démocratie...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Michel Geoffroy, cueilli sur Polémia et consacré à la crise politique et démocratique déclenchée par le passage en force de la réforme des retraites.

    Ancien haut-fonctionnaire, Michel Geoffroy a publié le Dictionnaire de Novlangue (Via Romana, 2015), en collaboration avec Jean-Yves Le Gallou, et deux essais, La Superclasse mondiale contre les Peuples (Via Romana, 2018), La nouvelle guerre des mondes (Via Romana, 2020), Immigration de masse - L'assimilation impossible (La Nouvelle Librairie, 2021) et dernièrement Le crépuscule des Lumières (Via Romana, 2021).

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    Réforme des retraites ? Non, retraite de la démocratie

    La crise liée à la réforme des retraites illustre avec éclat les limites de notre démocratie « représentative ». Si l’on en croit les sondages et les manifestations, une très grande majorité de nos concitoyens rejette en effet cette réforme ainsi que le gouvernement qui la soutient. Selon un récent sondage Elabe, 68 % des personnes interrogées voteraient une motion de censure contre le gouvernement si elles le pouvaient, y compris 53 % des électeurs LR[1] ; 71 % rejettent le recours au vote bloqué du 49.3, etc. Pourtant, le gouvernement continue d’affirmer que le « processus démocratique » doit aller à son terme et engage sa responsabilité pour que la réforme passe en force à l’Assemblée nationale. Et la motion de censure n’est pas adoptée. Le décalage entre le pays réel et le pays légal – le pays gouvernemental, parlementaire et médiatique – apparaît une nouvelle fois dans toute son ampleur, comme sous les deux républiques précédentes. Avec à la clef, sans doute, les mêmes catastrophes.

    La crise de la démocratie représentative

    C’est en réalité la démocratie représentative à la française qui est le carburant de cette crise. Parce que les élus sont à la fois impuissants et déconnectés de la volonté populaire.

    La démocratie représentative, comme son nom l’indique, repose sur l’élection de parlementaires censés représenter leurs électeurs. Elle se distingue en cela de la démocratie directe qui donne au citoyen la possibilité de trancher lui-même de certaines questions, comme en Suisse ou comme autrefois en Grèce.

    Mais dans la démocratie représentative, comme « le mandat impératif est nul[2] », le soir de son élection le député ou le sénateur change miraculeusement de nature : il n’est plus le mandataire de ses électeurs, il devient un « élu de la nation », censé représenter tout le monde, y compris donc ses adversaires politiques d’hier. Touché par la grâce représentative, notre élu est alors censé se consacrer pleinement au bien commun.

    En d’autres termes, il lui est désormais loisible de trahir les promesses faites à ses électeurs, et l’expérience prouve, depuis bientôt plus de 200 ans, qu’il ne s’en prive pas, qu’il soit de gauche ou de droite.

    La démocratie présidentielle de la Ve République

    Les défauts inhérents à ce système représentatif, que nous subissons en France depuis 1789, sont bien documentés.

    Ils sont accentués en outre par le scrutin majoritaire, inspiré du parlementarisme britannique, qui permet de se faire élire même si on ne représente qu’une minorité des électeurs inscrits, notamment lorsque l’abstention est élevée. Ainsi, de nos jours, ceux que les médias s’obstinent à présenter comme la « majorité » de l’Assemblée nationale – relative au surplus – n’ont rassemblé aux dernières législatives que… 16,4 % des inscrits. Vive la « représentation nationale » !

    À l’origine de la Ve République, les limites de la démocratie représentative étaient pourtant compensées de plusieurs façons.

    D’abord parce que les pouvoirs du Parlement avaient été fortement limités, en réaction à ce qui s’était produit sous la IVe République. Ensuite, l’élection du président de la République au suffrage universel devait lui donner une légitimité populaire nationale qui faisait défaut aux parlementaires, seulement élus dans les limites de leur circonscription. Enfin, le référendum permettait au peuple de trancher par-dessus les parlementaires et les partis.

    Mais ce bel édifice s’est effondré à la fin du xxe siècle.

    Les institutions tournent à vide

    En effet, du fait des transferts de souveraineté à l’Union européenne, nos institutions tournent désormais à vide car elles ne prennent plus les vraies décisions : les vrais décideurs se trouvent à Bruxelles, à Francfort, à Strasbourg, à Washington, au forum de Davos et dans les conseils d’administration des grandes entreprises mondialisées et des grandes banques, mais pas à Paris. Pendant que les juges cooptés se sont arrogé le droit de mettre sous tutelle les législateurs élus.

    C’est ce que comprennent nos concitoyens qui s’abstiennent aux élections.

    Ensuite la légitimité du président de la République, de plus en plus mal élu, n’a plus rien à voir avec ce qu’elle était au début de la Ve République. Ainsi Emmanuel Macron, le président impopulaire[3] qui ne rate jamais une occasion d’afficher son mépris de la France et des Français, n’a été élu que par 38 % des inscrits en 2022. Encore faudrait-il dans ce résultat apprécier la part réelle du soutien au président sortant, par rapport au rejet de son concurrent, Marine Le Pen… Un tel président de la République n’est en tout cas plus perçu comme un arbitre mais comme le représentant d’un clan minoritaire qui accapare les institutions.

    Enfin, la classe politique a tué le référendum, qui menaçait son monopole. Non seulement on n’y a plus recours, mais le dernier, celui de 2005, a été trahi par les parlementaires qui se sont empressés d’adopter en 2007 un traité qui avait été explicitement refusé par une majorité de Français !

    C’est d’ailleurs parce qu’il n’y a plus de référendum, que la revendication du RIC – le référendum d’initiative citoyenne notamment théorisé par Étienne Chouard – s’est développée depuis la révolte des Gilets jaunes.

    La retraite de la démocratie ?

    La réforme des retraites emprunte manifestement le même chemin que le référendum de 2005 sur le traité de l’Union européenne. Ou de la guerre de l’OTAN contre la Russie.

    Les Français n’en veulent pas ? Pas de problème ! On la leur impose via le jeu parlementaire : le recours au 49.3, le soutien des LR à la Macronie défaillante, et les pressions et menaces contre ceux qui envisageaient de voter une motion de censure. La politique politicienne dans toute sa splendeur, donc.

    Il est de plus en plus visible que nos institutions ne sont plus au service du bien commun des Français. La réforme des retraites en apporte une nouvelle preuve.

    La vie politique et parlementaire française n’est plus qu’un théâtre d’ombres, déconnecté des vrais enjeux et des vrais rapports de pouvoirs et maintenu en soins palliatifs par les médias. Pour cette raison aussi, l’élection de députés du RN n’a rien changé à ce spectacle.

    Mais notre vie politique emporte aussi dans son naufrage la liberté des Français. Car dans la postdémocratie européenne, le peuple est souverain mais à condition de se taire et de se faire vacciner quand Big Pharma l’exige. Sinon, il aura droit aux matraques, aux « interpellations », aux canons à eau et aux tribunaux.

    À moins que nous nous réveillions de notre dormition, la démocratie risque donc bientôt de prendre, aussi, sa retraite.

    Michel Geoffroy (Polémia, 21 mars 2023)

     

    Notes :

    [1] Sondage Elabe pour BFMTV, réalisé les 18 et 19 mars 2023.
    [2] Article 27 de la Constitution de la Ve République.
    [3] Dans la dernière enquête de l’IFOP pour le JDD, Emmanuel Macron ne recueille que 28 % d’opinions favorables

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  • Feu sur la désinformation... (413) : Macron lâché par ses médias ?

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, et Floriane Jeannin.

     

                                              

    Au sommaire :

    Cette semaine dans I-Média, Jean-Yves Le Gallou et Floriane Jeannin reviennent sur l’entretien d’Emmanuel Macron de mercredi dernier et ses retombées médiatiques dans la presse française et internationale. Une interview avec Marie-Sophie Lacarrau et Julian Bugier à 13h, un créneau “rassurant” pour parler à ses électeurs : les retraités. Un discours et des petites phrases qui ont inspiré les unes des journaux qui passent désormais du léchage au lynchage.

    Dans la revue de presse, I-Média revient sur la future visite royale de Charles à Versailles et sur les Champs-Élysées dans un contexte risqué et plus que tendu, avec une rediffusion de "Secrets d’histoire" bien à propos le 15 mars dernier sur la fuite à Varennes, en plein 49.3. Au programme également, l'événement géopolitique majeur de la semaine : le bouleversement géopolitique russo-chinois. Mais aussi Julien Bellver, le journaliste de Quotidien, militant qui déclare faire “ce qu’il veut”, le "Journal météo climat" ou la piqûre de propagande climatique de France Télévisions, l’association des journalistes antiracistes racisés et les photos de campagne de candidates du parti "Égalité Europe Ecologie", plus que retouchées pour des législatives partielles à venir.

    Enfin pour conclure, un coup de chapeau à l'essayiste Christophe Guilluy sur Europe 1 qui parle de la diabolisation pouvant même toucher le Dalaï-lama, c’est dire !

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  • Feu sur la désinformation... (412)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, et Floriane Jeannin.

     

                              

    Au sommaire :

    Cette semaine dans "I-Média", Jean-Yves Le Gallou et Floriane Jeannin reviennent sur les déclarations de Bruno Le Maire, notre ministre de l’économie ou l’homme qu’il ne faut jamais croire quand il annonce une bonne nouvelle. Quelques heures après ses déclarations, largement reprises par la presse sur l’absence de risque existant en France de faillite de la Silicone Valley Bank, patatra, les bourses européennes se sont misent à trembler. Un exercice de contrôle des esprits désormais habituel chez les ministres de la Macronie.

    Pour l’image du jour, nous reviendrons sur la poignée de main manquée entre un imam et la princesse de Galles, une “gaffe” de la future reine selon la presse féminine, toujours prompte à se soumettre à un islam conquérant.

    Dans la revue de presse enfin, nous évoquerons le débordement des poubelles et des rats en ville, l’affaire du drone américain, Léa Salamé face à Sonia Mabrouk dans “Quelle époque !”, le retour du match Macron-Le Pen avec L’Express, un féminicide féminin, la discrimination positive pas sympathique de l’Opéra, le Covid et les médias en Allemagne versus en France, le film de BHL à moins de 1 000 entrées, et le grand vieillissement des spectateurs de la télévision.

    Sans oublier un coup de chapeau à Pierre Conesa pour son livre, “Vendre la guerre – Le complexe militaro-intellectuel”, aux éditions de l’Aube.

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  • Un parfum de fin de règne...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Michel Geoffroy, cueilli sur Polémia et consacré à la déliquescence du pouvoir macronien.

    Ancien haut-fonctionnaire, Michel Geoffroy a publié le Dictionnaire de Novlangue (Via Romana, 2015), en collaboration avec Jean-Yves Le Gallou, et deux essais, La Superclasse mondiale contre les Peuples (Via Romana, 2018), La nouvelle guerre des mondes (Via Romana, 2020), Immigration de masse - L'assimilation impossible (La Nouvelle Librairie, 2021) et dernièrement Le crépuscule des Lumières (Via Romana, 2021).

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    En France, un parfum de fin de règne

    Il flotte sur la France un parfum de fin de règne. Bien sûr, la « réforme des retraites » y est pour quelque chose : cette réforme, imposée de l’extérieur, mal pilotée, mal défendue et ressentie comme une injustice par le plus grand nombre, a réussi à dresser contre le gouvernement une majorité de Français et à ressouder le front syndical. Mais l’arbre de la « réforme des retraites » cache la forêt du grand déclassement français. Et de la révolte qui s’étend.

    La France lanterne rouge

    Car plus rien ne fonctionne correctement dans notre pays et toutes les « catégories socio-professionnelles » sont désormais en crise, en doute ou en révolte.

    À la crise de l’hôpital public, révélée par le Covid, s’ajoute désormais celle de toutes les professions médicales ainsi que les pénuries de médicaments. Les sanctions contre la Russie comme les folies du « marché européen de l’énergie » ont fait apparaître au grand jour le scandale de la destruction de la filière nucléaire française et de la déstabilisation d’EDF. Et la hausse des prix qui en résulte frappe toute la population, sauf bien sûr les oligarques. Les violences à l’école se multiplient, de même que les violences antichrétiennes. L’insécurité et la violence s’étendent.

    Dans presque tous les domaines, la France est désormais la lanterne rouge de l’Europe : numéro 1 pour le poids des impôts, numéro 1 pour l’insécurité et les homicides, numéro 1 pour le nombre de « réfugiés », numéro 1 pour la dette publique, avant-dernière place devant la Grèce pour la part de l’industrie dans le PIB.

    Le déficit du commerce extérieur, conséquence de la désindustrialisation, ne cesse d’augmenter, et la France, hier seconde puissance exportatrice mondiale, importe désormais une quantité croissante de produits agricoles, accentuant sa dépendance vis-à-vis de l’étranger. Pendant que la terre de France échappe de plus en plus aux agriculteurs, au profit des grands groupes ou de l’étranger.

    La catastrophe diplomatique

    Bien sûr, Emmanuel Macron et son gouvernement ne sont pas responsables de tout.

    Mais ils sont ceux par qui le scandale arrive, en quelque sorte. En outre, on ne peut pas dire que leur action ait contribué à inverser la spirale mortifère dans laquelle sombre notre pays, bien au contraire. En fait ils ont tout raté et n’ont rien réussi de ce qu’ils ont entrepris.

    Sur le plan international, qui est le « domaine réservé » du président de la République, la catastrophe est totale et, surtout, visible.

    Dans le conflit qui se déroule en Ukraine, Emmanuel Macron a réussi la performance de se décrédibiliser tant vis-à-vis de la Russie que de Kiev. La liste des pays avec lesquels il s’est brouillé, par ses bourdes ou ses initiatives intempestives, ne cesse d’ailleurs de s’allonger : Hongrie, Pologne, Italie, Espagne, Algérie, Maroc et un nombre croissant de pays africains francophones.

    Emmanuel Macron est en passe de réussir la performance de déconstruire la présence séculaire de la France en Afrique !

    La France vassale

    La guerre en Ukraine a aussi montré au plus grand nombre que la France avait perdu son statut de puissance d’équilibre, qu’elle avait acquis difficilement au début de la Cinquième République.

    Rallié à l’OTAN (merci, Sarkozy), soumis en tout à l’Union européenne et à l’Allemagne, en rajoutant constamment sur les directives de la Commission, notre pays est tout simplement en train de perdre son indépendance et son statut privilégié de membre permanent du Conseil de sécurité des Nations unies, acquis par le sang français versé durant la Seconde Guerre mondiale.

    Et on aurait tort de penser que les Français, qui voyagent quand même à l’étranger, ne se rendent pas compte de la perte d’influence de leur pays et de sa vassalisation.

    Et voici qu’on lance à grands coups de trompette une opération Orion destinée à prouver que notre armée, exsangue, serait capable de mener un « conflit à haute intensité ». Ce qui ne peut signifier qu’une chose : la fin de notre dissuasion nucléaire autonome qui visait justement à nous éviter d’avoir à conduire ce genre de conflit… Le président russe ne s’y trompe d’ailleurs pas, qui, dans son allocution du 21 février dernier, a réclamé l’inclusion de la dissuasion nucléaire française (et anglaise) dans les accords Start passés avec les États-Unis, puisque notre pays n’est manifestement plus une puissance non alignée.

    Bravo, Jupiter !

    Macroner ne suffit plus

    Dans ce climat de plus en plus pesant, les vieilles recettes du pouvoir fonctionnent de moins en moins.

    Bien sûr, la propagande marche à plein, mais son efficacité semble moins grande qu’avant, ne serait-ce que parce que l’audience des médias mainstream diminue constamment, comme leur crédibilité. « Bloquer le pays » ne fait plus peur qu’à la Macronie !

    Le discours présidentiel, cette insupportable logorrhée qu’on nous impose depuis 2017, ne passe plus. Macroner, comme disent les médias ukrainiens – c’est-à-dire parler pour ne rien dire et surtout ne rien faire – ne suffit plus. Les sondages, comme les indicateurs, sont tous à la baisse.

    En 2023, le « gendre idéal » a pris un gros coup de vieux, comme on le voit bien sur les photos officielles.

    Sans majorité absolue à l’Assemblée nationale, Emmanuel Macron paraît désormais aux yeux de tous comme un président en sursis, face à un pays en révolte larvée et à un monde qu’il ne comprend pas.

    On attend le dénouement de cette triste farce.

    Michel Geoffroy (Polémia, 9 mars 2023)

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