Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

macron - Page 7

  • Macron pour l’expulsion des immigrés… mais en province !

    Vous pouvez découvrir ci-dessous une chronique de François Bousquet dans l'émission Ligne Droite sur Radio Courtoisie, datée du 31 mai 2023, dans laquelle il évoque la méthode Macron pour lutter contre l'immigration clandestine...

    Journaliste, rédacteur en chef de la revue Éléments, François Bousquet a aussi publié Putain de saint Foucauld - Archéologie d'un fétiche (Pierre-Guillaume de Roux, 2015), La droite buissonnière (Rocher, 2017), Courage ! - Manuel de guérilla culturelle (La Nouvelle Librairie, 2020) et Biopolitique du coronavirus (La Nouvelle Librairie, 2020).

     

                                                 

    Lien permanent Catégories : Multimédia, Points de vue 0 commentaire Pin it!
  • Feu sur la désinformation... (422)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, et Floriane Jeannin.

     

                                              

    Sommaire :

    La météo de l’info : Entre humidité et sécheresse

    L’image de la semaine : Macron au Japon, nippon et mauvais

    Le dossier : La fabrique du mensonge, une enquête qui porte bien son nom

    Le dossier bis : L’interdiction de l'hommage à Dominique Venner

    -------------------------------------

    Les pastilles de l’info

    Novlangue - Guerre et vocabulaire de guerre

    Décryptage - La surveillance et le meilleur des mondes

    Propagande, propagande - Genre : Les visionnaires du Monde

    Top ou Flop - Aphatie chez les ricaneurs de Quotidien

    Carton rouge - Bruno Le Maire et son “dilaté comme jamais” dans “Quelle époque”

    Ça décoiffe - Complément d’enquête / Hanouna : c’est la guerre

    -------------------------------------

    Portrait piquant : Charline Vanhoenacker

    Lien permanent Catégories : Décryptage, Manipulation et influence, Multimédia 0 commentaire Pin it!
  • Dominique Venner, dernière victime de la dictature Macron...

    Dans cet article cueilli sur Polémia, Camille Galic revient sur la scandaleuse interdiction de la réunion d'hommage à Dominique Venner, organisée par l'Institut Iliade, qui aurait dû se tenir à Paris dimanche dernier. Analyse d'une dérive liberticide qui devient de plus en plus inquiétante...

    Venner_Interdiction.jpg

    Dominique Venner, dernière victime de la dictature Macron

    Venus tout spécialement – pour certains de Bretagne ou de Provence – nous nous réjouissions d’assister ce dimanche 21 mai à Paris à l’hommage qui, sous l’égide de l’institut Iliade et de la Nouvelle Librairie — et fort peu clandestin puisqu’il avait été constamment annoncé depuis une quinzaine sur plusieurs sites, dont celui de Polémia —, devait être rendu à Dominique Venner, qui s’était donné la mort voici dix ans tout juste à Notre-Dame dans l’espoir de « réveiller les consciences » européennes. Mais, arrivés devant le Pavillon Wagram, nous avons trouvé porte close et une police présente en nombre. Arrivés, et ensuite repartis en compagnie de l’équipe des bolchos de Quotidien, les flics nous sommèrent de nous disperser. Motif : par arrêté n° 2023-00540, sciemment diffusé trop tard pour que le référé-liberté aussitôt déposé puisse être examiné par le tribunal administratif, le préfet de police de Paris Laurent Nuñez avait souverainement (et scandaleusement) interdit la réunion, certes politique mais aussi littéraire, le fondateur d’Europe Action puis de La Nouvelle Revue d’histoire (où écrivit notamment la grande helléniste et académicienne Jacqueline de Romilly) ayant été un écrivain et un essayiste majeur, d’ailleurs couronné par l’Académie française.

    Nuñez démission !

    Cette mesure d’interdiction est aussi révoltante que misérable par son argumentation. Bien incapable de la justifier, compte tenu du lieu choisi et de la parfaite honorabilité des orateurs annoncés dont Jean-Yves Le Gallou ou l’historien Philippe Conrad, par le classique risque de trouble à l’ordre public, M. Nuñez excipait en effet du passé évidemment nauséabond à ses yeux de Dominique Venner, qui fut « condamné à 18 mois de prison pour appartenance à l’Organisation Armée secrète (OAS), organisation terroriste clandestine proche de l’extrême droite ». Si bien que sa « célébration ne signifie pas un simple hommage » à l’auteur du Cœur rebelle, mais « une incitation à l’émeute » et à « allumer des feux ».

    Faut-il rappeler à celui qui fut secrétaire d’État à l’Intérieur sous la houlette du ministre Castaner de 2018 à 2020, et donc en première ligne contre les Gilets jaunes, avec le cortège de violences et de mutilations qui s’ensuivit, que les crimes de l’OAS (simple délit dans le cas de Venner dont la peine fut insignifiante au regard des multiples condamnations à mort ou à la réclusion perpétuelle ensuite prononcées) furent amnistiés par les lois des 17 juin et 31 juillet 1968 et que les évoquer hors contexte historique entraîne automatiquement le délit de diffamation comme Le Nouvel Observateur en fit l’expérience quand il fut condamné pour avoir souligné la participation de Louis de Condé à l’attentat du Petit-Clamart et la lourde condamnation qui lui avait été infligée ? Faut-il rappeler à M. Nuñez que certains chefs de l’OAS, tel le capitaine Pierre Sergent, n’avaient jamais été « proches de l’extrême droite » mais se référaient à la Résistance, à laquelle ils avaient appartenu ? Faut-il lui rappeler enfin que, préfet de police, il resta impavide le 23 mars dernier, « journée d’action » contre la réforme des retraites, devant les innombrables feux allumés — non pas métaphoriquement, mais réellement — un peu partout par les Black Blocs dans maintes villes, dont Paris ? Ainsi sur les Grands Boulevards où un arbre récemment planté fut brûlé en face du théâtre du Gymnase… sans qu’aucun écolo s’en émeuve.

    Un Teknival non autorisé mais très chouchouté

    Cet abus de pouvoir est d’autant plus inqualifiable que, simultanément, se déroulait près d’Issoudun une gigantesque rave-party qui, interdite par le préfet de l’Indre, mobilisa nonobstant quatre jours durant plus de 30 000 participants attroupés sur des champs, dont le propriétaire n’avait pas été averti de ce débarquement massif. Que croyez-vous qu’il arriva dans ce cas ? Les pouvoirs publics se bornèrent à déployer toujours plus de gendarmes, près de 400, et, dans ce territoire qui est un désert médical, autant de pompiers et de soignants. Histoire de venir en aide aux précieux festivaliers transformés en zombies par la musique techno, camés ou ivres-morts car toutes sortes de drogue circulaient à l’envi et l’alcool coulait à flots. D’où moult évacuations et hospitalisations en urgence — dont nous devrons payer la note. Mais un Teknival, c’est sacré. Pas question donc d’employer des canons à eau ni de saisir l’impressionnant matériel de sonorisation utilisé par les organisateurs de cette « fête », que seule a troublée l’apparition de vipères perturbées par la foule et l’infernal boucan.

    À la remorque de Mediapart

    Tandis qu’étaient tacitement autorisé le Teknival et interdit l’hommage à Dominique Venner, Gérald Darmanin soignait, lui, sa stature internationale en participant à Washington puis à New-York (où, selon Europe 1, il a été « reçu en grande pompe, par les plus hautes instances policières des États-Unis ») à une réunion sur les thèmes plutôt mystérieux « de la coopération policière et de la décolonisation ». Mais on ne peut évidemment l’exonérer de la décision inique prise par le préfet de Paris, bien entendu avec l’aval de son ministre, lequel n’avait vu d’ailleurs aucun inconvénient à la conférence faite en mars dernier à la faculté de Bordeaux par l’ancien terroriste Jean-Marc Rouillan, assassin en chef d’Action directe, à la faculté de Bordeaux.

    Pourquoi cette répression sélective ? Sans doute la Place Beauvau veut-elle se concilier l’ultragauche qui, par ses outrances, rend de signalés service à la Macronie : le 19 mai, quelques heures avant l’annonce de l’arrêté préfectoral, Le Monde, toujours aussi cafard, s’inquiétait « des risques sérieux pour que, à l’occasion de cet hommage, des propos incitant à la haine et à la discrimination (…) soient tenus ». Et, surtout, le site Mediapart du camarade Edwy Plenel avait mis en ligne un article de Nicolas Lebourg où était longuement exposée l’extrême dangerosité de l’homme Venner (comment Lebourg s’est-il procuré l’analyse psychiatrique suivant l’arrestation de 1961 ?) et, partant, de ses idées et de son enseignement, plus que jamais actuels et suivis par la jeunesse française, en raison de sa capacité à « mobiliser des mémoires dans le cadre d’une méditation sur la décadence », qui était sa hantise. Tâche poursuivie par l’institut Iliade, propulsé donc comme ennemi numéro un de la République et de notre belle démocratie.

    Darmanin veut-il la guerre civile ?

    Mais, connaissant la perversité du ministre de l’intérieur, il n’est pas exclu qu’en interdisant systématiquement des manifestations par nature pacifiques tels les hommages à Jeanne d’Arc et à Dominique Venner — et pourquoi pas, demain, à Louis XVI, à Charette et aux victimes de la Grande Révolution ? — que Darmanin veuille convaincre les jeunes Français écœurés par la décadence de leur pays que, les voies légales étant coupées, il n’est d’autre recours pour se faire entendre que la violence aveugle. Transformer les contestataires en desperados redoutés et haïs par le marais, ne serait-ce pas le meilleur moyen d’en finir avec l’ultradroite, l’extrême droite, et même la droite pas encore totalement couchée ?

    Nous sommes conscients de la gravité de cette question mais, devant la dérive liberticide de l’État-Macron, dictature dénoncée ici dès 2019, elle mérite, nous semble-t-il, d’être posée.

    Camille Galic (Polémia, 22 mai 2023)

    Lien permanent Catégories : Points de vue 0 commentaire Pin it!
  • Feu sur la désinformation... (419)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, et Floriane Jeannin.

     

                                              

     

    Sommaire :

    La météo de l’info : Un peuple sorti de l’histoire

    L’image de la semaine : L'attaque de drones sur le Kremlin

    Le dossier : Black Blocs et instrumentalisation médiatique

    -------------

    Les pastilles de l’info :

    Désintox - De l'hypocrisie femen à la vérité sur l’immigration

    T’as qu’à bosser - Ces ministres qui écrivent des livres érotiques

    L’idiot du village global - Laurent Neumann : les soignants suspendus, un "mauvais signal"

    Décryptage - Le Figaro sur les “postures médiatiques” de la gauche

    Ça décoiffe - L’ancien Maire de Sarcelles sur le Grand remplacement

    Carton rouge - Macron à la finale de la Coupe de France

    Le coup de chapô - Alice Cordier invitée dans Morandini Live

    -------------

    Portrait piquant : Raphaël Glucksmann

    Lien permanent Catégories : Décryptage, Manipulation et influence, Multimédia 0 commentaire Pin it!
  • Des casseroles ne feront pas démissionner Macron...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Michel Geoffroy, cueilli sur Polémia et consacré à la crise politique et démocratique qui se poursuit après le passage en force de la réforme des retraites.

    Ancien haut-fonctionnaire, Michel Geoffroy a publié le Dictionnaire de Novlangue (Via Romana, 2015), en collaboration avec Jean-Yves Le Gallou, et deux essais, La Superclasse mondiale contre les Peuples (Via Romana, 2018), La nouvelle guerre des mondes (Via Romana, 2020), Immigration de masse - L'assimilation impossible (La Nouvelle Librairie, 2021) et dernièrement Le crépuscule des Lumières (Via Romana, 2021).

     

    je-suis-un-gros-c-j-ai-vote-macron-florilege-de-slogans-de-manifestants-1675248729.jpg

    Des casseroles ne feront pas démissionner Macron

    Depuis le lancement de la réforme des retraites, la France vit dans une sorte de métavers politicien, où la réalité a cédé la place à l’illusion. Aujourd’hui, on pense même qu’en tapant sur des casseroles on fera reculer l’oligarchie ! L’opposition à la réforme des retraites nous a fait entrer de plain-pied dans l’illusionnisme politique, avec le concours actif des médias mainstream. Il serait temps de se réveiller.

    D’abord l’illusionnisme de gauche

    La gauche se dit vent debout contre la réforme et fait crier « Macron démission » sur l’air des lampions. Mais comment oublier que cette même gauche l’a fait élire, deux fois de suite en outre : en 2017 comme en 2022 ?

    Comment croire aussi à la pérennité de notre système de retraites dans un pays qui se désindustrialise, qui a moins d’enfants et qui « accueille » de plus en plus d’immigrants inactifs ? Autant de sujets sur lesquels cette même gauche reste dans le déni le plus obtus, à l’image d’un Fabien Roussel affirmant qu’il serait pétainiste d’évoquer la natalité française.

    Et puis crier « Macron démission » n’a aucun sens, sinon de servir de défouloir à l’impuissance politique.

    Macron ne démissionnera pas

    Macron ne démissionnera pas et il l’a dit.

    Abrité derrière les institutions de la Ve République qui, faut-il le rappeler, donnent la prééminence à l’exécutif et permettent même au président de la République d’imposer une suspension exceptionnelle de la légalité (article 16), Emmanuel Macron ne craint ni la rue ni l’impopularité.

    Si nos armées manquent de munitions, ce n’est pas le cas de nos « forces de l’ordre » qui seront toujours là pour protéger le pouvoir. Et les policiers et gendarmes supplémentaires que l’on se prépare à recruter pour les Jeux olympiques ne seront certainement pas licenciés ensuite.

    « La république a bien de la chance, elle peut tirer sur le peuple », jugeait, désabusé, le roi Louis-Philippe exilé.

    Gageons qu’Emmanuel Macron ne s’en privera pas, si nécessaire. Les Gilets jaunes éborgnés peuvent en témoigner.

    L’illusionnisme de droite

    Faire croire aussi que les parlementaires engageront une procédure de censure du gouvernement, voire, comme l’affirment certains, de destitution du président de la République ou d’abolition de la loi sur les retraites, manque également de sérieux.

    Jamais les élus LR ou NUPES ne s’associeront aux initiatives du RN, dont la dédiabolisation ne concerne qu’une partie de l’opinion, pas les appareils politiciens.

    Et tous, plus ou moins bien élus, n’ont de toute façon aucunement l’envie de retourner devant leurs électeurs plus tôt que prévu.

    Donc ces prétendues menaces parlementaires n’inquiètent pas le président de la République.

    L’État de droit, chien de garde du pouvoir

    Il y eut aussi l’épisode du Conseil constitutionnel et du référendum d’initiative partagée. Un beau suspense médiatique, mais, une nouvelle fois, bidon.

    Les prétendus « sages » ne sont pas des juristes mais des politiques. Et le Conseil constitutionnel a approuvé toutes les mesures liberticides prises pendant le covid. Avec lui, la macronie ne risque donc rien.

    Pendant que le parquet national financier, si prompt à s’intéresser aux affaires de François Fillon, a des semelles de plomb quand il s’agit d’instruire les dossiers visant le président de la République, ses comptes de campagne ou ses ministres.

    Dans son allocution du 17 avril dernier, Macron a donc pu dire que « l’État de droit est notre socle » en toute sérénité.

    Impopulaire, et alors ?

    Certes, la popularité d’Emmanuel Macron et de son gouvernement n’est manifestement pas bonne[1]. Et à bien des égards la réforme des retraites a été, pour beaucoup, l’initiative de trop. Mais qu’est-ce que cela change vraiment ?

    Pas grand-chose car de toute façon Emmanuel Macron ne peut briguer un nouveau mandat. Et ce ne sont que des sondages, pas des bulletins de vote. À l’Assemblée nationale, il finira toujours par trouver une majorité de rencontre, grâce à la gauche et aux LR, toujours prêts à aller à la gamelle.

    De toute façon, dans la postdémocratie européenne l’État n’a plus pour fonction de répondre aux besoins et attentes de la population, mais d’imposer les changements que souhaite l’oligarchie. Il n’a plus qu’un rôle coercitif.

    La politique des casseroles

    Dernière idée en date censée ébranler la macronie : le concert de casseroles pour conspuer le gouvernement et le président de la République. C’est plutôt drôle, il est vrai, surtout de voir les préfets prendre des arrêtés anti-casseroles le plus sérieusement du monde. Et cela fait beaucoup rire les journalistes étrangers.

    Mais cela rappellera aux plus âgés, malheureusement, les casseroles de l’Algérie française : à cette époque aussi, on a tapé sur des casseroles, mais cela n’a nullement empêché de brader l’Algérie. Avis aux amateurs.

    Car, pendant qu’on tape sur des casseroles, les choses sérieuses se passent ailleurs, comme si de rien n’était : à Bruxelles qui programme une nouvelle ouverture des frontières à l’immigration, de nouvelles taxes sur la viande et l’énergie ou une entrée de la Turquie dans l’UE ; à l’OTAN qui continue consciencieusement d’agiter la muleta ukrainienne devant le taureau russe ; à Washington qui entend bien se battre contre le monde polycentrique jusqu’au dernier Européen.

    Comme l’écrivait si bien Alain de Benoist, en France « ce ne sont pas les extrémistes qui manquent, ce sont les révolutionnaires[2] ». Et encore, il s’agit bien souvent d’extrémistes 2.0., bien au chaud derrière leur écran, qui confondent tweets et pavés, vidéos et révolution, casseroles et grande politique.

    Il serait temps de revenir dans le monde réel.

    Michel Geoffroy (Polémia, 25 avril 2023)

     

    Notes :

    [1] Le dernier sondage BVA pour RTL révèle que seulement 26 % des personnes interrogées déclarent avoir une bonne opinion d’Emmanuel Macron, comme au temps des Gilets jaunes.
    [2] Alain de Benoist, L’Exil intérieur – Carnets Intimes, La Nouvelle Librairie, « Krisis », 2022.

    Lien permanent Catégories : Points de vue 0 commentaire Pin it!
  • Feu sur la désinformation... (417)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, et Floriane Jeannin.

     

                                              

    Sommaire :

    La météo de l’info

    L’image de la semaine : Le concerto Macron

    Le dossier : Marlène Schiappa, la Marianne des fonds troubles

    Les pastilles de l’info : Ça décoiffe - De l’IA et des fake news

    Le coup de chapô - Truth GPT

    La novlangue - Réécriture de l'œuvre d'Agatha Christie

    Carton rouge - Hugo Clément vilipendé

    Le super bobard - Julien Pain et Maître Gims

    Coup de chapô - Alain de Benoist face à Rioufol

    Portrait piquant - Benjamin Duhamel le jeu des 7 familles

    Lien permanent Catégories : Décryptage, Manipulation et influence, Multimédia 0 commentaire Pin it!