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macron - Page 9

  • Feu sur la désinformation... (413) : Macron lâché par ses médias ?

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, et Floriane Jeannin.

     

                                              

    Au sommaire :

    Cette semaine dans I-Média, Jean-Yves Le Gallou et Floriane Jeannin reviennent sur l’entretien d’Emmanuel Macron de mercredi dernier et ses retombées médiatiques dans la presse française et internationale. Une interview avec Marie-Sophie Lacarrau et Julian Bugier à 13h, un créneau “rassurant” pour parler à ses électeurs : les retraités. Un discours et des petites phrases qui ont inspiré les unes des journaux qui passent désormais du léchage au lynchage.

    Dans la revue de presse, I-Média revient sur la future visite royale de Charles à Versailles et sur les Champs-Élysées dans un contexte risqué et plus que tendu, avec une rediffusion de "Secrets d’histoire" bien à propos le 15 mars dernier sur la fuite à Varennes, en plein 49.3. Au programme également, l'événement géopolitique majeur de la semaine : le bouleversement géopolitique russo-chinois. Mais aussi Julien Bellver, le journaliste de Quotidien, militant qui déclare faire “ce qu’il veut”, le "Journal météo climat" ou la piqûre de propagande climatique de France Télévisions, l’association des journalistes antiracistes racisés et les photos de campagne de candidates du parti "Égalité Europe Ecologie", plus que retouchées pour des législatives partielles à venir.

    Enfin pour conclure, un coup de chapeau à l'essayiste Christophe Guilluy sur Europe 1 qui parle de la diabolisation pouvant même toucher le Dalaï-lama, c’est dire !

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  • Feu sur la désinformation... (412)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, et Floriane Jeannin.

     

                              

    Au sommaire :

    Cette semaine dans "I-Média", Jean-Yves Le Gallou et Floriane Jeannin reviennent sur les déclarations de Bruno Le Maire, notre ministre de l’économie ou l’homme qu’il ne faut jamais croire quand il annonce une bonne nouvelle. Quelques heures après ses déclarations, largement reprises par la presse sur l’absence de risque existant en France de faillite de la Silicone Valley Bank, patatra, les bourses européennes se sont misent à trembler. Un exercice de contrôle des esprits désormais habituel chez les ministres de la Macronie.

    Pour l’image du jour, nous reviendrons sur la poignée de main manquée entre un imam et la princesse de Galles, une “gaffe” de la future reine selon la presse féminine, toujours prompte à se soumettre à un islam conquérant.

    Dans la revue de presse enfin, nous évoquerons le débordement des poubelles et des rats en ville, l’affaire du drone américain, Léa Salamé face à Sonia Mabrouk dans “Quelle époque !”, le retour du match Macron-Le Pen avec L’Express, un féminicide féminin, la discrimination positive pas sympathique de l’Opéra, le Covid et les médias en Allemagne versus en France, le film de BHL à moins de 1 000 entrées, et le grand vieillissement des spectateurs de la télévision.

    Sans oublier un coup de chapeau à Pierre Conesa pour son livre, “Vendre la guerre – Le complexe militaro-intellectuel”, aux éditions de l’Aube.

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  • Un parfum de fin de règne...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Michel Geoffroy, cueilli sur Polémia et consacré à la déliquescence du pouvoir macronien.

    Ancien haut-fonctionnaire, Michel Geoffroy a publié le Dictionnaire de Novlangue (Via Romana, 2015), en collaboration avec Jean-Yves Le Gallou, et deux essais, La Superclasse mondiale contre les Peuples (Via Romana, 2018), La nouvelle guerre des mondes (Via Romana, 2020), Immigration de masse - L'assimilation impossible (La Nouvelle Librairie, 2021) et dernièrement Le crépuscule des Lumières (Via Romana, 2021).

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    En France, un parfum de fin de règne

    Il flotte sur la France un parfum de fin de règne. Bien sûr, la « réforme des retraites » y est pour quelque chose : cette réforme, imposée de l’extérieur, mal pilotée, mal défendue et ressentie comme une injustice par le plus grand nombre, a réussi à dresser contre le gouvernement une majorité de Français et à ressouder le front syndical. Mais l’arbre de la « réforme des retraites » cache la forêt du grand déclassement français. Et de la révolte qui s’étend.

    La France lanterne rouge

    Car plus rien ne fonctionne correctement dans notre pays et toutes les « catégories socio-professionnelles » sont désormais en crise, en doute ou en révolte.

    À la crise de l’hôpital public, révélée par le Covid, s’ajoute désormais celle de toutes les professions médicales ainsi que les pénuries de médicaments. Les sanctions contre la Russie comme les folies du « marché européen de l’énergie » ont fait apparaître au grand jour le scandale de la destruction de la filière nucléaire française et de la déstabilisation d’EDF. Et la hausse des prix qui en résulte frappe toute la population, sauf bien sûr les oligarques. Les violences à l’école se multiplient, de même que les violences antichrétiennes. L’insécurité et la violence s’étendent.

    Dans presque tous les domaines, la France est désormais la lanterne rouge de l’Europe : numéro 1 pour le poids des impôts, numéro 1 pour l’insécurité et les homicides, numéro 1 pour le nombre de « réfugiés », numéro 1 pour la dette publique, avant-dernière place devant la Grèce pour la part de l’industrie dans le PIB.

    Le déficit du commerce extérieur, conséquence de la désindustrialisation, ne cesse d’augmenter, et la France, hier seconde puissance exportatrice mondiale, importe désormais une quantité croissante de produits agricoles, accentuant sa dépendance vis-à-vis de l’étranger. Pendant que la terre de France échappe de plus en plus aux agriculteurs, au profit des grands groupes ou de l’étranger.

    La catastrophe diplomatique

    Bien sûr, Emmanuel Macron et son gouvernement ne sont pas responsables de tout.

    Mais ils sont ceux par qui le scandale arrive, en quelque sorte. En outre, on ne peut pas dire que leur action ait contribué à inverser la spirale mortifère dans laquelle sombre notre pays, bien au contraire. En fait ils ont tout raté et n’ont rien réussi de ce qu’ils ont entrepris.

    Sur le plan international, qui est le « domaine réservé » du président de la République, la catastrophe est totale et, surtout, visible.

    Dans le conflit qui se déroule en Ukraine, Emmanuel Macron a réussi la performance de se décrédibiliser tant vis-à-vis de la Russie que de Kiev. La liste des pays avec lesquels il s’est brouillé, par ses bourdes ou ses initiatives intempestives, ne cesse d’ailleurs de s’allonger : Hongrie, Pologne, Italie, Espagne, Algérie, Maroc et un nombre croissant de pays africains francophones.

    Emmanuel Macron est en passe de réussir la performance de déconstruire la présence séculaire de la France en Afrique !

    La France vassale

    La guerre en Ukraine a aussi montré au plus grand nombre que la France avait perdu son statut de puissance d’équilibre, qu’elle avait acquis difficilement au début de la Cinquième République.

    Rallié à l’OTAN (merci, Sarkozy), soumis en tout à l’Union européenne et à l’Allemagne, en rajoutant constamment sur les directives de la Commission, notre pays est tout simplement en train de perdre son indépendance et son statut privilégié de membre permanent du Conseil de sécurité des Nations unies, acquis par le sang français versé durant la Seconde Guerre mondiale.

    Et on aurait tort de penser que les Français, qui voyagent quand même à l’étranger, ne se rendent pas compte de la perte d’influence de leur pays et de sa vassalisation.

    Et voici qu’on lance à grands coups de trompette une opération Orion destinée à prouver que notre armée, exsangue, serait capable de mener un « conflit à haute intensité ». Ce qui ne peut signifier qu’une chose : la fin de notre dissuasion nucléaire autonome qui visait justement à nous éviter d’avoir à conduire ce genre de conflit… Le président russe ne s’y trompe d’ailleurs pas, qui, dans son allocution du 21 février dernier, a réclamé l’inclusion de la dissuasion nucléaire française (et anglaise) dans les accords Start passés avec les États-Unis, puisque notre pays n’est manifestement plus une puissance non alignée.

    Bravo, Jupiter !

    Macroner ne suffit plus

    Dans ce climat de plus en plus pesant, les vieilles recettes du pouvoir fonctionnent de moins en moins.

    Bien sûr, la propagande marche à plein, mais son efficacité semble moins grande qu’avant, ne serait-ce que parce que l’audience des médias mainstream diminue constamment, comme leur crédibilité. « Bloquer le pays » ne fait plus peur qu’à la Macronie !

    Le discours présidentiel, cette insupportable logorrhée qu’on nous impose depuis 2017, ne passe plus. Macroner, comme disent les médias ukrainiens – c’est-à-dire parler pour ne rien dire et surtout ne rien faire – ne suffit plus. Les sondages, comme les indicateurs, sont tous à la baisse.

    En 2023, le « gendre idéal » a pris un gros coup de vieux, comme on le voit bien sur les photos officielles.

    Sans majorité absolue à l’Assemblée nationale, Emmanuel Macron paraît désormais aux yeux de tous comme un président en sursis, face à un pays en révolte larvée et à un monde qu’il ne comprend pas.

    On attend le dénouement de cette triste farce.

    Michel Geoffroy (Polémia, 9 mars 2023)

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  • Les mystères d’une faillite absolument générale de la puissance publique...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Maxime Tandonnet, cueilli sur son blog personnel et consacré à l'absolue déliquescence de la puissance publique française.

    Ancien haut-fonctionnaire, spécialiste des questions d'immigration, et désormais enseignant, Maxime Tandonnet a été conseiller à l’Élysée sous la présidence de Nicolas Sarkozy. Il a donné un témoignage lucide et éclairant de cette expérience dans Au cœur du volcan (Flammarion, 2014). Il a également publié des biographies d'André Tardieu (Perrin, 2019) et de Georges Bidault (Perrin, 2022).

     

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    Les mystères d’une faillite absolument générale de la puissance publique

    Les statistiques de la délinquance sont désastreuses pour 2022: +15% des coups et blessures, +11% des violences sexuelles, + 8% des cambriolages, etc. Celles de l’immigration sont encore plus dramatiques. +320 000 premiers titres de séjour et + 150 000 demandeurs d’asile, un record historique absolu.

    Mais dernièrement la guerre en Ukraine a mis en lumière l’état délétère de l’armée française, tout juste capable d’aligner 200 chars lourds, dont certains hors d’usage (contre des milliers pour l’Allemagne…).

    Le niveau scolaire s’effondre: la France est avant dernière de l’OCDE du classement Timss en mathématiques et 23e en lecture et écriture selon PISA, submergée par les problèmes d’indiscipline et de violences à l’école.

    La crise sanitaire a révélé la faillite de son système médical et hospitalier, incapable de fournir des masques quand il en fallait et d’accueillir plus de 5000 places en réanimation au plus fort de l’épidémie.

    Son industrie est en plein effondrement à en juger par les records européens des déficits de son commerce extérieur (120 milliards annuellement).

    Sa politique sociale est un échec avéré au regard de près de 10 millions de personnes qui vivent en dessous du seuil de pauvreté selon l’INSEE, 5 millions de personnes privées d’emploi et 2 millions d’allocataires du RSA.

    Même sur le plan énergétique, notre pays qui s’est longtemps targué de son leadership nucléaire est frappé de plein fouet par les pénuries et hausse de prix astronomiques.

    Pis: son Etat de droit et ses libertés ont montré d’inquiétants signes d’effondrement pendant la crise sanitaire, dévastés par l’Absurdistan bureaucratique et liberticide. Et même la démocratie française connaît une crise sans précédent quand on songe que le taux de participation aux législatives ne dépasse pas les 46% et les 30% aux dernières législatives partielles.

    Ce qui est absolument sidérant, c’est le caractère général d’une faillite qui touche tous les secteurs de la vie collective.

    Autre étrangeté: cet écroulement général va de pair avec une gabegie d’argent public. les services publics (école, sécurité, hôpital, armée…) s’effondrent alors que la planche à billet fonctionne à plein régime. La France bat tous les records européens de prélèvements obligatoires, impôt et cotisations sociales (46%). Mais en outre, sa dette publique explose, pulvérise elle aussi tous les records: +560 milliards en deux ans selon la Cour des Comptes dont 140 milliards liés à la crise sanitaire soit une dette publique de 3000 milliards € c’est-à-dire 113% du PIB.

    Alors que devient l’argent ainsi créé dans des proportions astronomiques et qui ne sert pas le bien commun? Où est-il passé et qui peut le dire?

    Face à cette débâcle historique, les dirigeants politiques n’ont d’autre souci que de fabriquer des leurres:

    -Grand-Guignol narcissique facilité par le système élyséen;

    -quête du bouc émissaire (sans dents, Gaulois réfractaires, gilet jaune ou « non vacciné »);

    -déchirer la société, cultiver les crises et les conflits sociaux à l’image de l’actuelle réforme des retraites (le chiffon rouge des 64 ans est largement inutile dès lors que le nombre d’annuités nécessaire pour toucher une retraite à taux plein est de 43 ans pour un âge moyen du premier emploi à 22 ans et 5 mois – sauf pour frapper les personnes ayant travaillé avant l’âge de 21 ans ce qui revient à l’alinéa précédent);

    -gesticulations chauvines autour de gloires sportives aussi vaines que grotesques.

    Le pouvoir actuel depuis 2017 n’est évidemment pas seul en cause dès lors que nous vivons les conséquences d’une faillite qui remonte sans doute à plusieurs décennies (1981?) Cependant, sa caractéristique et son authentique talent est de porter à la perfection l’art de l’enfumage.

    Alors, l’imposture des impostures serait de prétendre que du jour au lendemain, il est possible de remédier à cet état de fait. La démagogie absolue est de préconiser des remèdes qui consistent à amplifier toujours davantage les méthodes qui ont conduit au désastre, par exemple la gabegie d’argent public par la distribution de chèques sans provision.

    Mais avant de prétendre engager une œuvre de redressement, sur des décennies, il faudra commencer par changer d’état d’esprit : substituer le choix de la vérité à celui de l’esbroufe et faire la clarté sur ce qui reste un mystère: où est passé l’argent du bien commun qui a servi à tout autre chose? Et ouvrir sans tabou une réflexion sur les raisons profondes de cette effarante débâcle de plusieurs décennies – sans laquelle aucun renouveau n’est envisageable.

    Maxime Tandonnet (Blog de Maxime Tandonnet, 1er février 2023)

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  • Feu sur la désinformation... (405) : Quand la presse marche au pas !

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, et Jules Blaiseau.

    Au sommaire :

    • 1 - L'image de la semaine
      Cette semaine, une image que vous avez tous vu et une que les médias vous ont délibérément caché. Quelle est cette manifestation que les médias n'osent pas traiter ?
    • 2 - Axelle Dorier, l'inacceptable verdict
      Jean-Yves Le Gallou revient sur le dénouement du procès du meurtre d'Axelle Dorier par Youcef Tebbal à Lyon. Entre apparitions médiatiques des avocats et accusations mensongères de journalistes locaux, le traitement médiatique de cette affaire s'est prouvé aussi catastrophique que le verdict du procès.
    • 3 - Revue de presse
      Diabolisation, censure, Julien Pain à Davos et sondages bidonnés au programme dans notre revue de presse hebdomadaire.
    • 4 - Macron et ses éditorialistes : "Bon appétit messieurs"
      Les 10 éditorialistes les plus influents de la capitale déjeunaient, dans le plus grand secret, avec le chef d'État mardi dernier. Ou plutôt lui mangeaient-ils les éléments de langage dans la main ?

     

                                          

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  • Guerre en Ukraine : Et après ?...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous Le samedi politique de TV Libertés, diffusé le 7 janvier 2023 et présenté par Élise Blaise, qui recevait le général Vincent Desportes, pour évoquer le conflit en Ukraine et ses implications sur les équilibres mondiaux...

    Spécialiste de la stratégie, le général Desportes est notamment l'auteur de Comprendre la stratégie (Economica, 2001), de Décider dans l'incertitude (Economica, 2004) et, dernièrement, de Entrer en stratégie (Robert Laffont, 2019).

                                              

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