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Métapo infos - Page 643

  • Nietzsche poète...

    Les éditions Les Belles Lettres viennent de publier sous le titre de Poèmes complets, un recueil regroupant l'ensemble de la poésie de Friedrich Nietzsche

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    " « Rien qu’un fou ! Rien qu’un poète ! » Nietzsche, Dithyrambes de Dionysos De cet avertissement, de cette confession, l’histoire de la philosophie ne fera rien. Si les rapports du penseur à la musique sont l’objet de riches réflexions, ses épigrammes, ses aphorismes, ses sentences gnomiques, ses dialogues, ses poèmes en prose, ses paraboles, ses pastiches, bref son art poétique de philosopher n’ont pas retenu l’attention. Et pour cause. Sans équivalent dans d’autres langues, la présente édition bilingue réunit, pour la première fois dans sa totalité, une production dont on découvre qu’elle fut ininterrompue depuis les poèmes de jeunesse, inconnus en français. Elle donne ainsi l’accès à un continent à explorer. En ce sens, elle est appelée à faire date. "

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  • Une politique économique d’intérêt national, vite !...

    Nous reproduisons ci-dessous un la deuxième partie d'un point de vue d'Hervé Juvin, cueilli sur son site personnel et consacré à la question de l'intérêt national en économie.

    Économiste de formation, vice-président de Géopragma, Hervé Juvin est notamment l'auteur de deux essais essentiels, Le renversement du monde (Gallimard, 2010) et La grande séparation - Pour une écologie des civilisations (Gallimard, 2013). Candidat aux élections européennes sur la liste du Rassemblement national, il a publié récemment un manifeste intitulé France, le moment politique (Rocher, 2018).

     

    hervé juvin, europe, états-unis, identité nationale, protectionnisme, souveraineté

    Une politique économique d’intérêt national, vite !

    Responsabilité Nationale des Entreprises, propriété nationale des infrastructures, fonds souverain de la vie, modèle coopératif pour un capital-risque national ; et si l’intérêt national était le secret de la nouvelle économie ?

    Tous les pays défendent leurs intérêts

    Intérêt national, le terme en fait un gros mot. Tous les autres pays européens protègent jalousement leurs intérêts nationaux. Exemples ? SAAB en Suède : protégé de toute incursion américaine. L’aéroport de Schiphol et Damen aux Pays Bas. Le secteur aérospatial en Allemagne, avec OHB imperméable à toute entreprise étrangère (et les Allemands préfèrent un lanceur américain à Ariane Espace !) Les hélicoptères en Italie. Inutile de citer les États-Unis, farouchement protectionnistes pour eux-mêmes, l’Inde, impénétrable sans entente avec les familles régnantes, la Chine bien sûr, et tous les autres.

    France : liquidation générale…Quid de l’intérêt national ?

    Victime de la naïveté avec laquelle ses élites auto-désignées adhèrent à l’idéologie européenne de l’ouverture, et en rajoutent sur les traités de libre-échange, la France abandonne ses actifs stratégiques pour de vaines promesses politiques, alors qu’elle avait constitué des géants de dimension mondiale dans tous les grands secteurs industriels où se jouent puissance et souveraineté (énergie, télécoms, nucléaire, armement, construction navale, aéronautique et spatial, etc.).

    Et la liquidation continue ; après les autoroutes (que les forces de l’ordre ne pouvaient emprunter en mars dernier en raison du coût des péages que les sociétés concessionnaires exigent des policiers, comme des gendarmes et des pompiers), au tour des aéroports d’ADP (les services de sécurité s’alarmaient récemment de la réduction des surfaces réservées aux douanes qui seront allouées au commercial, rentabilité du m2 oblige).  

    Intérêt national : ce qui prime l’économie, le rendement financier, et le droit. Ce qui a été rendu indéfendable, par la double soumission à l’idéologie européenne, si bien imposée à l’ENA par Mme Loiseau au détriment du corpus administratif et juridique français, et à un individualisme ravageur, que résume la formule de Mme Thatcher ; «  la société, ça n’existe pas ». Ce qui est devenu invisible, depuis que tout a été mélangé, brouillé, travesti, pour que les liquidations successives de nos outils stratégiques ne soient pas perçues par le peuple français. D’Alstom à Airbus et du Rafale à Morpho (Safran), n’apparaissent que des éléments épars d’un tout qui n’est jamais montré.

    Alcatel, Alstom, Technip, Areva, les autoroutes hier, aujourd’hui Airbus, ADP, et demain qui ? L’agro-alimentaire, le BTP, le système éducatif, d’abord, contre lesquels des ONG et des géants de l’Internet américains préparent l’offensive, après eux, les côtes, les espèces animales et végétales endémiques, notre patrimoine vivant, que restera-t-il à brader pour fournir des mandats aux banques d’affaires et des cibles aux capitaux nomades ?

    Les succès industriels ont été le résultat de projets nationaux intégrés à une politique de puissance et d’indépendance, ancrés sur des territoires et sur l’unité des Français. Qu’en reste-t-il aujourd’hui ?

    La liste est longue et ne cesse de s’allonger. Quelques-uns des plus beaux fleurons industriels et technologiques français ont été vendus, dépecés, mis sous contrôle, et il n’en reste rien. Récemment encore, l’obsession financière a fait vendre Morpho, pépite du futur, elle a failli sacrifier Alstom transport, elle liquide les Chantiers de l’Atlantique et peut réduire à la portion congrue Naval Group, nouveau nom de DCNS.

    L’Allemagne s’intéresse à un réseau bancaire français en Afrique, les banques françaises quasiment toutes devenues systémiques depuis que l’obsession centralisatrice a détruit les banques régionales de plein exercice quittent l’une après l’autre les pays non alignés ; pas besoin de les racheter, le terrorisme du droit américain servi par la militarisation du dollar suffit à les tenir sans débourser un dollar de capital (soyons clairs ; une banque soumise au monitor américain, aux cabinets de conseil en conformité et aux lawyers américains n’est plus une banque française). Et jusqu’aux services de sécurité français qui, au nom du prix le plus bas et de la meilleure offre, confient leurs données à Palantir, une filiale de la CIA !

    Les rodomontades du ministre Bruno Lemaire n’y changent rien. Le pillage de la France se poursuit. Industrie, technologies, infrastructures, bientôt les terres, demain la vie ; ceux qui jugent la réussite de leur politique à la fortune de leurs amis, de leurs financiers ou de leurs donateurs exploitent la France comme n’importe quelle colonie ; puisqu’être Français n’a plus de sens, puisqu’il n’y a plus ni culture, ni identité nationale !

    Si les frontières doivent s’ouvrir, si chaque femme, chaque homme est appelé à poursuivre le bonheur là où ses pas le portent, si les Nations sont appelées à se dissoudre dans le grand tout mondial, l’intérêt national n’existe pas, et chacun n’a pour loi que celle de son intérêt individuel. Voilà pourquoi Alain Madelin interdisait que soit prononcé le mot de « stratégie industrielle ». Voilà pourquoi le commissariat au Plan a été transformé en une vague commission de la prospective. Voilà pourquoi les outils de l’expertise publique et de la définition de politiques économiques cohérentes ont été démantelés, privés de pouvoir, ou simplement supprimés.

    Voilà pourquoi le gouvernement d’Emmanuel Macron travaille à remplacer les fonctionnaires d’Etat par les salariés d’Agences investies de missions publiques, mais ne bénéficiant pas de l’indépendance apolitique que permet le statut de fonctionnaire, donc plus aisément soumis aux lobbys et aux pressions des financiers. Et voilà pourquoi pullulent les autorités administratives indépendantes, pendant que les traités internationaux sont soustraits aux tribunaux pour être jugés par des cours privés d’arbitrage, de manière à ce que les intérêts économiques et financiers échappent aux lois, aux tribunaux nationaux, à la volonté populaire et au suffrage démocratique.

    Les Français comme les Européens doivent y réfléchir. Toutes les innovations qui font la force des États-Unis, comme aujourd’hui de la Chine, ont été financées par la recherche militaire, portées et imposées par l’autorité publique. Être fort chez soi est le préalable à la puissance extérieure. À long terme, il n’y a pas de différence de nature entre dépenses civiles et militaires, entre intérêt privé et intérêt national. À long terme, nous gagnerons tous, ou nous serons esclaves.

    Hervé Juvin (Site officiel d'Hervé Juvin, 9 mai 2019)

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  • Leurs guerres perdues...

    Les éditions du Rocher viennent de publier un roman de David Desgouilles intitulé Leurs guerres perdues. Chroniqueur à Causeur et au Figaro Vox, David Desgouilles est déjà l'auteur de deux romans.

     

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    " Et si la vie politique, de la seconde présidence de François Mitterrand à l'accession d'Emmanuel Macron à l'Élysée, était le plus picaresque des romans ? Héros de cette fresque à rebondissements, trois militants nés au début des années 70. À droite : Sandrine Deprayssac. À gauche : les frères Simonetti, Nicolas et Sébastien. Ils se croisent, s'aiment, se quittent, se retrouvent, se déchirent. Année après année, David Desgouilles raconte les meetings, les universités d'été, les élections, les empoignades, les ralliements et les trahisons. Chirac ou Sarkozy ? Séguin ou Pasqua ? Chevènement ou Philippe de Villiers ? Marine Le Pen ou Florian Philippot? Ils sont tous là, au coeur de l'histoire.
    Leurs guerres perdues, roman choral et générationnel, restitue avec brio les bouleversements et lignes de fracture idéologiques de ces trente dernières années. "

     

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  • S'enraciner ici et maintenant...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous une vidéo de Julien Langella consacrée à la question de l'enracinement, ou du ré-enracinement. Membre fondateur de Génération identitaire, Julien Langella est déjà l'auteur de deux essais, La jeunesse au pouvoir (Rubicon, 2015) et Catholique et identitaire (DMM, 2017).

     

                                      

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  • La mort, l'au-delà et les autres mondes

    Les éditions Imago ont publié en début d'année une nouvelle étude de Claude Lecouteux intitulée La mort, l'au-delà et les autres mondes. Professeur de civilisation du Moyen-âge à la Sorbonne, Claude Lecouteux s'est spécialisé dans les mythes, les contes et les légendes et a publié de nombreux ouvrages comme Démons et Génies du terroir au Moyen Âge (Imago, 1995), Fées, Sorcières et Loups-garous au Moyen Âge (Imago, 2012) ou son Dictionnaire de mythologie germanique (Imago, 2014).

     

    Lecouteux_La mort, l'au-delà et les autres mondes.jpg

    " Squelette creusant une tombe, spectre aux yeux caves ou créature encapuchonnée dérobant son visage, la mort, armée d’une faux ou d’une lance, peut surgir à tout moment. Chacun le sait, tôt ou tard, il faut lui payer son tribut. Mors certa, hora incerta, disaient les Anciens.
    Depuis longtemps, Claude Lecouteux s’est attaché à étudier la mort et ses représentations dans les mentalités médiévales. Dans cet ouvrage, il nous entraîne cette fois dans une exploration de l’outre-tombe, et suit les défunts dans leurs différents périples. De l’Antiquité à nos jours, s’appuyant sur les mythologies, les contes, les traditions populaires et les romans de chevalerie, il met au jour la permanence d’antiques croyances sous une vision plus chrétienne de l’au-delà.
    Il souligne en outre — et nul ne l’avait établie jusqu’alors — l’étonnante proximité des images venues d’un lointain passé avec les témoignages de ceux qui, lors de comas ou de catalepsies, ont vécu des expériences de mort imminente (Near Death Experience), montrant ainsi que l’homme n’a jamais cessé d’imaginer son ultime voyage… "

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  • Pour un transhumanisme de droite ?...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Romain d'Aspremont, cueilli sur le site de Rage et consacré au transhumanisme. Romain d'Aspremont est l'auteur d'un essai intitulé Penser l'homme nouveau - Pourquoi la droite perd la bataille des idées, disponible sur Amazon.

    romain d'aspremont

    Pour un transhumanisme de droite

    Le conservatisme standard est inefficace contre la gauche

    Le fait que la droite ignore la révolution technologique en gestation n’a rien de surprenant : qu’elle soit en retard sur l’avenir, voilà après tout sa marque de fabrique. 

    Néanmoins, manquer la révolution transhumaniste – l’ingénierie génétique et la cyborgisation – pourrait coûter à la droite bien plus que ses précédents échecs. Cette fois, les périls sont plus élevés qu’ils ne l’ont jamais été : c’est la nature humaine elle-même qui s’apprête à être transformée. Aussi est-il impératif que la droite trouve autre chose à rétorquer que « No pasarán ! »

    Car la révolution transhumaniste se produira, peu importe l’ardeur dont les conservateurs feront preuve pour l’endiguer.

    La droite est victime du paradigme conservateur : ralentir l’allure du « progrès de gauche » au lieu de proposer une nouvelle piste. Cette posture est politiquement suicidaire car elle implique d’abandonner l’écriture de l’histoire. Si l’histoire était un livre, les progressistes tiendraient la plume, les réactionnaires la gomme, et les conservateurs se battraient pour repousser l’écriture du prochain chapitre.

    Le philosophe, Luc Ferry, écrit que le transhumanisme découle en partie de la contre-culture des années 60 :« féministe, écologiste, égalitariste, libertarienne et déconstructionniste ».

    Les « progressistes » sont enclins à embrasser les nouveaux horizons ouverts par la science. Ils luttent constamment pour transformer la réalité – économique, sociale, biologique – tandis que les conservateurs rechignent à salir leurs mains, au point d’en perdre l’usage.

    Comme tout « progrès » passé, le Transhumain sera d’abord perturbé et ralenti par la mobilisation des conservateurs. Mais, comme avec le mariage homosexuel, la procréation médicalement assistée et la gestation pour autrui, il finira par voir le jour, façonné par les gauchistes et les libéraux.

    Le Transhumain sera asexuel, herbivore et métissé (comme le prône la féministe transhumaniste Donna Haraway, auteur du Manifeste Cyborg, 1985).

    Comme si cela ne suffisait déjà pas, des transhumanistes tels Max Moore aspirent à modifier le caractère même de l’être humain : pacifiste, dépourvu de pulsions agressives, radicalement altruiste.

    Telle est l’étape finale de leur croisade : passer de la déconstruction des stéréotypes à la déconstruction biologique.

    Poursuivons notre diabolisation du transhumanisme et nous aurons et le Transhumain et l’Hermaphrodite, génétiquement programmé par la gauche.
    Plutôt que de s’échiner à tuer dans l’œuf ce qui est déjà virtuellement parmi nous, tâchons d’imposer notre marque à cet humain du futur : intellectuellement supérieur, plus rationnel mais toujours capable d’agressivité, physiquement et musculairement amélioré (plutôt que longiligne et androgyne).

    Physique et intellectuelle, l’amélioration doit être également de nature psychologique. La création du Surhomme nietzschéen n’est plus hors d’atteinte : un homme affirmatif, libéré du ressentiment et du pessimisme, capable d’engendrer des valeurs nouvelles.

    Nietzsche s’exprimait en ces termes :

    «L’homme est le prétexte à quelque chose qui n’est plus l’homme ! C’est la conservation de l’espèce que vous voulez ? Je dis : dépassement de l’espèce ! »

    S’il se refuse au Transhumanisme, l’Occident deviendra Tiers-Monde

    De plus, si l’Occident s’interdit au transhumanisme, les civilisations asiatiques, lesquelles embrassent déjà cette opportunité technologique, nous écraseront. Faisons en sorte de ne pas répéter nos erreurs d’antan : les transferts massifs de technologies au bénéfice de nations non-occidentales, désormais capables de nous menacer économiquement et militairement.

    Le secret d’une potentielle percée dans le domaine du transhumanisme devra être jalousement conservé. En Chine, des centres de recherche sont en train de séquencer le génome des génies en vue de générer une génération d’enfants surdoués.

    Vitupérer contre les « délires prométhéens » aboutissant à « la fin de l’humanité » est stérile.

    Ceux qui dansent au bord de l’abîme ne sont peut être pas ceux que l’on croît.

    D’abord, parce que les nations transhumanistes vont surpasser les peuples bioconservateurs dans tous les domaines (scientifique, économique, militaire et même artistique). Que l’Occident emprunte la mauvaise route et il dégénérera en un Tiers-Monde peuplé d’individus au QI obsolète.

    Le Transhumanisme comme alternative au dysgénisme induit par la modernité

    Car le transhumanisme est une urgence civilisationnelle, mais également éthique : la fin de la sélection naturelle (notamment du fait des progrès de la médecine) produit une dégénérescence de l’espèce humaine, qui ne pourra être corrigée que par la manipulation de notre génome.

    Le Prix Nobel de Médecine, Jacques Monod, écrit au sujet de nos sociétés modernes :

    « la sélection y a été supprimée [ou] du moins n’a-t-elle plus rien de « naturelle » au sens darwinien du terme [si bien qu’] aujourd’hui, beaucoup de ces infirmes génétiques survivent assez longtemps pour se reproduire [car] grâce aux progrès de la connaissance et de l’éthique sociale, le mécanisme qui défendait l’espèce contre la dégradation, inévitable lorsque la sélection naturelle est abolie, ne fonctionne plus guère que pour les tares les plus graves. »

    En d’autres termes, en l’absence d’ingénierie génétique, les mutations aléatoires – non-filtrées par la sélection naturelle – s’accumuleront. Soit la pire conséquence de l’Etat Providence : protéger les faibles et les malingres, leur permettant de propager leurs gènes défectueux.

    Monod s’alarme également du risque d’une dégénérescence intellectuelle, remarquant : « une corrélation négative entre le quotient intellectuel (ou le niveau de culture) et le nombre moyen d’enfants des couples ». Les couples au QI le plus bas faisant davantage d’enfants que ceux au QI élevé.

    Avant de conclure :

    « le danger, pour l’espèce, des conditions de non-sélection, ou de sélection à rebours, qui règnent dans les sociétés avancées est certain ».

    Rappelons que Monod, loin d’être fasciste, était un sympathisant communiste.

    S’il ne s’est jamais prononcé en faveur du transhumanisme (qu’il considérait à tort comme relevant de la science fiction), son cri d’alarme devrait au moins nous conduire à réviser notre position vis-a-vis du transhumanisme : moins une lubie prométhéenne qu’un impératif moral et civilisationnel.

    Romain d'Aspremont (Rage, 10 mai 2019)

     

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