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Métapo infos - Page 19

  • Feu sur la désinformation... (483) : francocide, le déni médiatique ?

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Michel Geoffroy et Lucas Chancerelle.

     

                                             

     

    Au sommaire cette semaine :

    L'image de la semaine :  le meurtre de Philippine et son traitement médiatique.

    Dossier du jour : la transition ministérielle et déjà les premiers dérapages de communication !

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    Pastilles de l’info :

    1) Plus d’Opinel, plus de champignons !
    2) Interdire le RN : en dehors de l’arc républicain ?
    3) Les locaux de l’ISSEP incendiés : le silence médiatique
    4) Burn-out chez les salariés de Quotidien

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    Portrait piquant (en partenariat avec l’OJIM) : Geoffroy Lejeune, le Rastignac de la droite !

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  • Le monde nazi...

    Les éditions Tallandier viennent de publier Le monde nazi 1919-1945, un essai historique de Johann Chapoutot, Christian Ingrao et Nicolas Patin. Les auteurs, historiens, sont trois des meilleurs spécialistes français de l'Allemagne national-socialiste.

    Johann Chapoutot est l'auteur de plusieurs ouvrages importants comme Le national-socialisme et l'antiquité (Puf, 2008), La loi du sang (Gallimard, 2015) et La Révolution culturelle nazie (Gallimard, 2017).

    Christian Ingrao a pour sa part publié Les chasseurs noirs (Perrin, 2006), une étude originale consacré à la Brigade Dirlewanger, unité spéciale de la Waffen SS, spécialisée dans la lutte contre les partisans et recrutée parmi les condamnés pour braconnage, puis Croire et détruire (Fayard, 2010),  une synthèse sur le parcours des élites du SD et de la SS, et enfin La promesse de l'Est - Espérance nazie et génocide 1939-1943.

    Nicolas Patin, quant à lui, a publié Krüger, un bourreau ordinaire (Fayard, 2017).

    Chapoutot-Ingrao-Patin_Le monde nazi.jpg

    " Le 30 janvier 1933, Adolf Hitler est nommé chancelier du Reich. Les nazis avaient développé, depuis 1919 et le traumatisme de la Grande Guerre, une vision du monde qui n’avait d’original que sa cohérence raciste et son élan utopique. Ils surent exploiter le contexte d’une crise majeure, celle de 1929, pour subjuguer les consciences et accéder au pouvoir.

    Le pouvoir leur fut donné, avec une inconséquence sidérante, par les élites en place qui pensaient que Hitler ne tiendrait que quelques semaines et que ses partisans seraient « domestiqués ». Or les nazis prirent immédiatement le contrôle du pays avant de le conduire à la destruction, réduisant finalement le continent tout entier à un immense charnier. Le monde intérieur nazi, cet imaginaire politique pétri de haine, d’angoisse et d’utopie, avait donné naissance en l’espace de douze années à un monde infernal ; un monde qui impliquait la mort de dizaines de millions de personnes, dont la majorité des Juifs du continent.

    Dans cet ouvrage, trois historiens du nazisme proposent un récit inédit, une histoire totale du national-socialisme, de sa naissance en 1919 à son effondrement en 1945. En se fondant sur les renouvellements de l’historiographie internationale de ces trente dernières années ainsi que sur une pratique constante des sources, Johann Chapoutot, Christian Ingrao et Nicolas Patin analysent le nazisme de l’intérieur : le système de croyances, les émotions fanatiques et la culture militante des années 1920 ; la nature du « Troisième Reich » comme « dictature de la participation » fondée sur un consentement massif de la population ; enfin, la « guerre génocide » de 1939-1945, apocalypse raciale qui réalise les potentialités de l’eschatologie nazie. "

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  • Pourquoi les soulèvements populaires vont se multiplier ?...

    Le 23 juillet 2024, Pierre Bergerault recevait, sur TV libertés, Michel Maffesoli à l'occasion de la réédition au format poche de son essai intitulé L'ordre des choses (Lexio, 2024).

    Penseur de la post-modernité, ancien élève de Julien Freund et de Gilbert Durand, Michel Maffesoli a publié ces dernières années  Les nouveaux bien-pensants (Editions du Moment, 2014) , Être postmoderne (Cerf, 2018), La force de l'imaginaire - Contre les bien-pensants (Liber, 2019), La faillite des élites (Lexio, 2019),  L'ère des soulèvements (Cerf, 2021) ou encore, ces derniers mois, aux éditions du Cerf, Le Temps des peurs et Logique de l'assentiment.

     

                                              

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  • Le témoignage d'un lieutenant du Baron Ungern...

    Les éditions du Verbe Haut viennent de publier un ouvrage intitulé Baron Ungern : un officier témoigne, un mystérieux témoignage d'un lieutenant de Ungern-Sternberg découvert (?!...) par Paul Serey, avec une préface de Laurent Schang. Ecrivain, Paul Serey est déjà l'auteur d'un roman intitulé Le carrousel des ombres (Équateur, 2019).

     

    Serey_Baron Ungern - Un officier témoigne.png

    " Voici un livre qui ravira les inconditionnels, et nous les savons nombreux, du « Baron », ainsi qu’ils le nomment entre eux, sans précision supplémentaire, comme on prononce une évidence. Un livre qui en intriguera aussi plus d’un, tant le texte qu’on va lire, surgi de nulle part – quoique, pas tout à fait – alors qu’on avait cessé d’espérer l’exhumation d’un tel trésor, est de nature à susciter la méfiance du lecteur le moins rompu aux subtilités de l’herméneutique.

    Ce livre, unique et inédit, nous le devons à Paul Serey. Sa découverte, aux confins de la Transbaïkalie, tient presque du miracle. Serey raconte :

    « C’est alors que commença une longue discussion. Le Baron… Ce Baron que je traquais depuis des semaines… Oh, il le connaissait bien ! On aurait pu jurer qu’il l’avait rencontré. Il en parlait avec des accents terribles. Il citait des noms, lieux, officiers, soldats… Et les Rouges, et les Blancs… Et la guerre, et le sang… Les massacres, les tortures, et toutes les turpitudes de la guerre civile. 1921, Ungern.

    Je le quittai étourdi… Je revins le lendemain. Il ne semblait pas étonné. L’œil asiate me dévisagea et l’homme prit un air grave. Il se pencha, ouvrit un tiroir et en sortit un document relié. Voilà, me dit-il.

    Tu peux regarder. Je pris le manuscrit et commençai à lire. Noudatoff. L’officier Noudatoff. Russe blanc repenti. L’officier repenti Noudatoff, témoin de l’épopée du Baron fou ! Un témoignage ! »

    C’est le fruit de cette découverte que le lecteur tient actuellement entre ses mains. Un document exceptionnel, répétons-le, un trésor. "

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  • BHL Souverain Pontife...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de l'Observatoire du journalisme cueilli sur son site et consacré à BHL, à l'occasion de sa reconduction, pour un huitième mandat, à la tête du conseil de surveillance d'Arte.

     

    BHL_Arte.jpg

    BHL Souverain Pontife
    BHL Souverain Pontife

    BHL Souverain Pontife

    Habemus Papam ! Vous n’avez pas vu la fumée blanche se perdre dans l’azur franco-allemand ? Certes, la mode est à déboulonner les statues, mais nous pourrions également en ériger. Arte, évitant un tel tapage, et en toute discrétion, a modifié ses statuts afin de pouvoir maintenir à sa tête Bernard-Henri Lévy. Ce dernier, entame ainsi son huitième mandat comme président du conseil de surveillance de la chaîne. Vous reprendrez bien un peu de Bernard-Henri Lévy ? Bernard-Henry Lévy, 75 ans, est président du conseil de surveillance d’Arte, depuis 31 ans soit dit en passant. En quoi ça vous concerne ? Cette chaîne ne doit, c’est vrai, son financement à l’argent public qu’à hauteur de 95%. Autant dire des broutilles…

    Entropie spirituelle

    Nous vivons une époque où tout s’évente vite, se dilue, se perd. Une époque d’entropie spirituelle, une époque « métaphysiquement épuisée » aurait ajouté Spengler. À cela un remède est simple. Les défaillances, versatilités, turpitudes et doutes des hommes peuvent trouver leur refuge et remède dans l’infaillibilité d’un homme, fût-il souverain pontife d’après la mort de Dieu, selon le mot de Nietzsche. Vous pensez que j’exagère sans doute. Ce simple fait vous fera réfléchir : monsieur Lévy a prétendu que des stigmates sont apparus sur son corps, les stigmates du Christ tout bonnement, à l’exemple de Padre Pio, qui doit être flatté – de là où son âme nous surplombe — d’un lien confraternel si sublime.

    L’anecdote a été confiée au micro de Christophe Barbier pour L’Express le 8 février 2010. Barbier qui suggère à Bernard-Henri Lévy qu’un tel événement doit changer un homme, le rendre mystique, croyant à tout le moins, s’entend rétorquer pour toute réponse : « non ». Puis un développement verbeux, une logorrhée sur l’essence de l’homme qui réside non dans la chair, les muscles et autres propriétés secondaires, mais dans le signifiant. L’homme est fait de mots, et ces mains du philosophe qui saignent, ce sont des mots qui saignent. Au regard de ces révélations, je suis tenté de corriger : Habemus Christum convient sans doute davantage que le trop modeste Habemus Papam.

    BHL « des lueurs plus qu’humaines », alchimiques ?
     
    « Il y a de la chimie qui est passée par là » commentait Arielle Dombasle à propos de son mari, plongeant dans ce regard habité, chargé de lueurs « plus qu’humaines » pour parler à la manière de Descartes. L’alchimie de Bernard-Henry Lévy est mille fois plus intéressante. Son corps, son âme – il en a une ! -, son esprit – tortueux et lyrique – sont à classer parmi les monuments qui font honneur au patrimoine français, sinon mondial, lui-même appartenant sans fausse pudeur aux élites mondialisées, dilatant son être dans toutes les directions qu’indique la rose des vents. Bernard-Henri Lévy se situe dans les interstices du monde. Indéchiffrable, insituable, il vogue quelque part entre Francis Huster et Louis Althusser, entre Michel Drucker et Karl Popper, à qui nous devons, entre autres, la notion de « société ouverte ».

    Un peu de Stefan Zweig

    Il me fait, parfois, penser à Walther Rathenau qui s’échinait à vouloir jeter un pont entre la mystique et les affaires, portraituré par Stefan Zweig, dans Le monde d’hier dans des termes qui pourraient s’appliquer, avec les transpositions nécessaires et sur certains points seulement – que je vous laisse le soin d’identifier — à Bernard-Henri Lévy :

    « Toute son existence n’était qu’un seul conflit de contradictions toujours nouvelles. Il avait hérité de son père toute la puissance imaginable, et cependant il ne voulait pas être son héritier, il était commerçant et voulait sentir en artiste, il possédait des millions et jouait avec des idées socialistes, il était très juif d’esprit et coquetait avec le Christ. Il pensait en internationaliste et divinisait le prussianisme, il rêvait une démocratie populaire et il se sentait toujours très honoré d’être invité et interrogé par l’empereur Guillaume, dont il pénétrait avec beaucoup de clairvoyance les faiblesses et les vanités, sans parvenir à se rendre maître de sa propre vanité. »

    « Une certaine idée de la France », mais vomissante

    Comme de Gaulle – le rapprochement est certes audacieux – Bernard-Henri Lévy s’est fait une certaine idée de la France. Elle ne lui évoque pas, sans doute, « la madone aux fresques des murs » que la Providence a créée pour « des succès achevés ou des malheurs exemplaires ». Le philosophe en a horreur et, l’examinant, elle le dégoûte, c’est pourquoi il s’en purge. Léon Bloy, reprenant un conseil de Barbey d’Aurevilly : « Il faut se vomir » complétait par un charmant « sur les autres ». Bernard-Henri Lévy a la nausée instinctive, il sait sur quoi vomir comme un virtuose de l’improvisation sait quelle note frapper :« Je ne dirais pas, nous confie-t-il, que j’ai pris plaisir à cette descente aux abîmes de l’idéologie française. J’ai eu peine, parfois, à réprimer une nausée face à ce que j’y découvrais et aux vapeurs qu’il m’y fallait respirer. »

    Idéologie française quand tu nous tiens…

    Dans sa préface à la seconde édition (janvier 1981) de L’idéologie française, Bernard-Henry Lévy expose son projet, sa thèse :

    « Le problème, à la limite, ce n’était même pas l’antisémitisme comme tel ; ce n’était pas l’énoncé de la thèse et, pour ainsi dire, le passage à l’acte ; c’était, en amont de l’énoncé, dans ce secret nocturne des textes où se fomentent les actes de pensées, l’identification d’une matrice, à la fois philosophique et littéraire, dont la plupart des éléments se perpétuent jusqu’aujourd’hui et qu’il suffit de synthétiser pour qu’apparaisse, sinon le pire, du moins son site : culte des racines et dégoût de l’esprit cosmopolite, haine des idées et des intellectuels dans les nuées, anti-américanisme primaire et refus des « nations abstraites », nostalgie de la « pureté perdue » ou de la « bonne communauté » — telles étaient les pièces de la machinerie qui, lorsqu’elle tourne à plein régime et lorsqu’elle vient, aussi, au contact de l’événement, dessine la forme française du délire, et l’accouche. »

    Et de conclure – prêtez attention à cette impayable forfaiture-boursouflure ! :

    « L’idéologie française était un livre, non d’histoire mais de philosophie. C’était un livre qui, lorsqu’il disait « pétainisme », entendait une catégorie, non du temps, mais de la pensée. »

    Filousophe or not filousophe ?

    Je connais des mauvaises langues qui dénient à Bernard-Henry Lévy la qualité de philosophe sous prétexte qu’il n’a inventé aucun concept de toute sa vie. Nous voyons ici à quel point ces critiques se fourvoient. C’est à lui qu’on doit l’élévation à la hauteur d’une catégorie philosophique le concept de « pétainisme » qui n’a plus besoin d’être référé à une réalité précise. De quoi rassurer notre cher député Delogu qui n’aura plus à se sentir ignare sur cette question. L’ignorance historique est permise puisqu’il s’agit d’une catégorie de l’esprit, désormais applicable à tant de réalités diverses et rétroactives qui plus est. Nous apprendrons qu’elle s’applique même à Charles Péguy. Salir la mémoire et l’œuvre de Péguy, tué le 5 septembre 1914, c’est-à-dire tout au début de la première guerre mondiale, dans un livre qui traite du fascisme et du pétainisme, donc de phénomènes bien postérieurs à sa mort héroïque sur le champ d’honneur, c’est un exercice conceptuel qui exige une rare maîtrise de la logique et une absence d’inhibition morale presque complète.

    Bernard-Henri Lévy nous a rendu cet immortel service de nous apprendre à renier, voire haïr notre patrie, sans fard ni complexe. Mettre une claque à sa grand-mère est devenu une activité philosophique comme une autre, une praxis salubre de défascisation, de dénazification. Pourquoi ne pas le récompenser ? À défaut de déterrer nos ancêtres pour les balancer à la fosse commune, nous pouvons au moins modifier les statuts d’une chaîne. C’est même le minimum. Lui élever une statue suggérez-vous ? C’est à l’examen.

    Confondre pour salir

    Jacques Maritain dans Les degrés du savoir, s’employait à « distinguer pour unir », Bernard-Henri Lévy, plus aguerri, s’évertue à confondre pour salir. Voici comment il s’y prend, en évoquant la figure trouble de Mitterrand :

    « Nous avons eu un président de la République qui a pu revendiquer à la fois, et sans contradiction, son passé de pétainiste et de résistant : je l’ignorais à l’époque – mais quelle leçon ! Quelle improbable, mais implacable, illustration de ma thèse ! »

    En somme, ce qu’il fallait démontrer : résistants, collabos, tous les mêmes, parce que tous salauds. Oh, n’allez pas croire que « salaud » est une insulte, c’est une catégorie philosophique, sartrienne par surcroît. Nous avons eu vent du fait que Bernard-Henri Lévy détestait les slogans populistes du type « tous pourris » à destination des élites, qu’elles soient politiques, médiatiques ou financières. « Tous des salauds » à destination du peuple français semble le troubler beaucoup moins. Pour donner bonne mesure à cette œuvre de diabolisation qui fera des émules, le chapitre 2 s’intitule tranquillement « La patrie du national-socialisme ». Oui, vous ne rêvez pas, il parle bien de la France. Mais quand on vous dit que ce n’est pas une étude historique mais une thèse philosophique, qui peut, par là-même s’autoriser toutes les distorsions, toutes les fantaisies qui sont du goût de l’auteur et qui peuvent servir son propos, fût-il absurde et insultant par-dessus le marché… Arte, plateforme culturelle européenne, vous le voyez, a fait le bon choix…

    Observatoire du journalisme (OJIM, 20 septembre 2024)

     

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  • Plus de pardons pour les Bretons...

    Les éditions Auda Isarn viennent de rééditer un roman de Saint-Loup intitulé Plus de pardons pour les Bretons. Aventurier, journaliste engagé et écrivain, Saint-Loup, de son vrai nom Marc Augier, est l'auteur de nombreux récits et romans dont Face nord, La peau de l'Aurochs, La nuit commence au Cap Horn (Transboréal, 2015), La République du Mont-Blanc (Auda Isarn, 2020) et Nouveaux Cathares pour Montségur (Auda Isarn, 2020).

    Saint-Loup_Plus de pardons pour les Bretons.png

    " Traqué par les Anglais, Cian, le héros de la guerre de libération irlandaise (1919-1921), s’est réfugié en Bretagne. C’est là qu’il rencontre la fille aux cheveux rouges des légendes celtiques, incarnée par la mystérieuse Morigane. De leur union vont naître deux fils, l’un savant et l’autre fort, qui soutiendront leur père dans son combat pour la libération de leur patrie charnelle : la Celtie.

    Dans ce livre, conte moderne autant que roman historique, Saint-Loup a su recréer avec bonheur l’atmosphère enchantée des mythes celtiques en nous décrivant l’épopée des combattants bretons de la révolution européenne. "

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