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Métapo infos - Page 16

  • Vers la fin des états-nations en Europe ?...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous la chronique de David Engels sur Ligne droite, la matinale de Radio Courtoisie, datée du 27 septembre 2024 et consacrée à la bascule de pouvoir, en train de se produire, des capitales des États européens vers Bruxelles.

     

                                                

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  • Traité Néoréactionnaire...

    Les éditions Hétairie viennent de publier un essai de NIMH intitulé Traité Néoréactionnaire - Penser l'accélérationnisme. NIMH est un des animateurs du site du collectif RAGE, qui distille une vision du monde prométhéenne et accélérationniste.

     

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    " L’accélération des technologies et des processus sociaux ne cesse de redéfinir les contours de notre monde. L’œuvre que vous tenez entre les mains s’inscrit dans cette dynamique de questionnement et d’exploration des forces qui modèlent notre avenir. Le « Traité Néoréactionnaire » offre une réflexion passionnante sur l’accélérationnisme, une idée qui transcende les clivages idéologiques traditionnels pour proposer une vision radicalement nouvelle de notre rapport à la technologie et à la société. Les idées de l’auteur, bien que provocatrices, sont d’une pertinence indéniable au moment où la vitesse du changement dépasse souvent notre capacité à en saisir les implications. L’accélérationnisme défini par des penseurs comme Nick Land et Curtis Yarvin, nous invite à regarder au-delà des progrès technologiques pour comprendre les transformations profondes de nos structures sociales et économiques
    Ce traité propose également des pistes de réflexion pour repenser notre monde en pleine mutation. La néoréaction, loin d’être une simple réaction nostalgique, est un outil puissant pour naviguer dans les eaux troublantes de la modernité technologique. Je vous invite à aborder cette lecture avec un esprit ouvert et critique. Les questions soulevées touchent au cœur de nos existences et aux choix que nous devons faire pour façonner un futur qui n’aurait pas besoin de nous. Ce traité est une invitation à repenser nos certitudes et à envisager de nouvelles voies pour l’humanité. "

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  • La fin de l’illusion de l’État de droit : le contrat social est rompu en République française...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Julien Dir cueilli sur Breizh-Info et qui évoque la faillite de l’État de droit...

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    La fin de l’illusion de l’État de droit : le contrat social est rompu en République française

    Depuis des décennies, les élites politiques françaises ne cessent de brandir le terme « État de droit » comme une bannière sacrée. Ce concept, qui serait l’incarnation ultime de la justice et de la sécurité, nous est vendu comme le fondement de la République. Pourtant, derrière ce fantasme d’un État omnipotent et bienveillant, se cache une réalité tout autre : celle d’un contrat social rompu, d’un peuple trahi et d’une nation en déliquescence.

    Un État central pour protéger ses citoyens, en théorie…

    Historiquement, l’État centralisé s’est imposé en France, souvent de force, avec la promesse de protéger ses citoyens. En échange de cette soumission à une autorité centrale et de l’acceptation (parfois contrainte) de rendre ses armes à la République, les Français devaient obtenir trois choses essentielles : la sécurité, la santé et la prospérité. Ce contrat implicite, inscrit dans la tradition régalienne, a longtemps permis de justifier l’autorité de l’État sur ses citoyens. La sécurité des personnes et des biens, la protection contre les menaces extérieures et intérieures, mais aussi l’accès à des soins de qualité et à une éducation digne de ce nom constituaient le socle de cette entente.

    Or, que constate-t-on aujourd’hui ? La réalité de 2024 est à l’opposé de ces promesses. L’immigration incontrôlée, que l’État semble incapable, voire réticent, de gérer, fait peser sur la population une insécurité croissante. On en voit les conséquences tous les jours. Les Français, pourtant habitués à la douceur d’un modèle social protecteur, découvrent à présent que se soigner devient un parcours du combattant. Enfin, loin de la prospérité tant vantée, la pauvreté ne cesse de gagner du terrain, plongeant des millions de citoyens dans une précarité inquiétante.

    La sécurité : une promesse non tenue

    Première et plus fondamentale mission de l’État : assurer la sécurité de ses citoyens. Or, force est de constater que cet engagement est aujourd’hui un échec patent. L’explosion de la violence, en grande partie liée à une immigration massive et incontrôlée, est désormais le quotidien de nombreux Français. Les agressions, les meurtres, les actes terroristes ne sont plus des exceptions, mais des réalités que l’État de droit prétend combattre, sans jamais y parvenir. Les zones de non-droit, véritables enclaves étrangères sur notre propre sol, prolifèrent. Pendant ce temps, le citoyen français est désarmé, moralement comme légalement, incapable de se défendre, forcé de compter sur un État qui ne remplit plus son rôle.

    En vérité, les citoyens ont été dépossédés de leur droit naturel à se défendre. Pourtant, face à la démission de l’État, ne devraient-ils pas reprendre ce droit ? Quand l’autorité légitime faillit à protéger les siens, ne serait-il pas juste que les Français reprennent en main leur propre sécurité, rétablissant ainsi l’équilibre rompu par l’incapacité étatique ?

    Santé et prospérité : un modèle en déclin

    Le système de santé français, autrefois fleuron de la République, est aujourd’hui en ruine. La faute à une gestion déplorable notamment en matière de formation et de recrutement, à une surcharge due à une immigration massive, et à une politique d’austérité déguisée qui étrangle les services publics. Les citoyens, ceux qui travaillent et paient des impôts, peinent à obtenir des soins dignes de ce nom. Pendant ce temps, l’État de droit consacre des sommes colossales à des populations auxquelles il n’a jamais été demandé par le peuple souverain de venir s’installer ici.

    Quant à la prospérité, elle est devenue une chimère pour de nombreux Français. Les classes moyennes, pilier de la société, sont écrasées par une pression fiscale asphyxiante et voient leur pouvoir d’achat fondre comme neige au soleil. Les emplois se précarisent, les salaires stagnent, et la colère monte. Loin d’assurer la prospérité de son peuple, l’État français le mène droit vers une paupérisation générale.

    L’État éducateur : une machine à fabriquer des “soldats républicains”

    Le système éducatif, autrefois garant de l’ascension sociale et de la transmission des valeurs, est aujourd’hui un instrument d’endoctrinement républicain. Dès le plus jeune âge, les enfants sont façonnés pour devenir de parfaits petits soldats du progressisme : « valeurs républicaines », multiculturalisme imposé, remise en cause systématique de notre histoire et de nos racines. Tout cela sous prétexte de former des citoyens égaux, ouverts, tolérants, et, bien sûr, désarmés intellectuellement face aux réalités du monde.

    Les Français n’ont jamais été consultés sur ces bouleversements, que ce soit sur l’immigration de masse ou sur les réformes éducatives. Pourtant, on leur impose un modèle de société qui nie leur identité, leur histoire, et leurs aspirations légitimes à vivre en paix dans un environnement sûr et prospère. Ce même État de droit, si fier de ses principes égalitaires, ne fait qu’accentuer le fossé entre une élite protégée et un peuple en souffrance.

    Le contrat social est rompu

    Dans une telle situation, il est légitime de se poser une question : si l’État ne protège plus ses citoyens, pourquoi ces derniers continueraient-ils à lui obéir ? Le contrat social est fondé sur une réciprocité : protection contre obéissance. Or, aujourd’hui, l’État n’offre plus la protection promise, mais impose toujours plus de contraintes, de taxes, de lois liberticides. Cet État, qui prétend défendre un « État de droit », n’a plus aucune légitimité populaire.

    Il est temps de rompre avec cette illusion. Les Français, abandonnés par leur propre gouvernement, ont non seulement le droit mais aussi le devoir de reprendre en main leur destin. Cela implique de se réapproprier leurs libertés, leur sécurité, et leur identité. Le véritable État de droit est celui qui repose sur la légitimité populaire, pas sur des élites déconnectées et des dogmes idéologiques.

    Julien Dir

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  • Tour d'horizon... (269)

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    Au sommaire cette semaine :

    - sur le site de l’École de guerre économique/Infoguerre, Mathieu Gilbert évoque la stratégie de guerre informationnelle du nationalisme hindou contre l'islam...

    Le nationalisme hindou en guerre contre l’Islam

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    - sur Cairn, un article de Karsten Harries, tiré de la revue Les études philosophiques, qui propose une lecture "dépassionnée" et "explicitante" du fameux Discours de rectorat de Heidegger...

    Le Discours de rectorat et le « national-socialisme privé » de Heidegger

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  • Feu sur la désinformation... (484) : francocide, le déni médiatique ?

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou et Lucas Chancerelle.

     

                                             

     

    Au sommaire cette semaine :

    L'image de la semaine :  un nouveau francocide après celui de Philippine, cette fois il s’agit de Killian, un jeune boxeur tué par un Algérien à coups de couteau devant une boîte de nuit.

    Dossier du jour : le style médiatique du nouveau gouvernement avec le discours de politique générale et la stratégie bulldozer de Bruno Retailleau contre le politiquement correct.

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    Pastilles de l’info :

    1) Liban/Moyen-Orient : le début de la 3ème guerre mondiale ?
    2) Musk dénonce la possible fraude des élections américaines !
    3) L'affaire des assistants parlementaires du RN
    4) Quotidien, Léon Marchand bon géniteur ?
    5) Un candidat LFI violeur et pédophile

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    Portrait piquant (en partenariat avec l’OJIM) : Yann Barthès , le prince des bobos !

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  • Les nationalismes russes...

    Les éditions Calmann lévy viennent de publier un essai de Jules Sergei Fediunin intitulé Les nationalismes russes - Gouverner, mobiliser, contester dans la Russie en guerre.

    Politiste et docteur en sciences politique de l’Inalco, Jules Sergei Fediunin est chercheur à l’université d’Oslo et a enseigné à Sorbonne Université ainsi qu'à l’Inalco.

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    " Vladimir Poutine ne semble plus aujourd’hui avoir d’autre objectif que de regagner tous les « territoires historiques » de l’ex-URSS. Le pragmatisme de ses débuts a-t-il laissé place au projet de réunir l’ensemble des communautés du « monde russe » au sein d’un même État ?

    Jules Sergei Fediunin décrit le paysage du nouveau nationalisme russe dans toutes ses nuances : depuis sa version ethnoculturelle qui exalte les valeurs propres de la nation russe, jusqu’à la tradition impériale qui rêve de restaurer la puissance de l’État. Il montre comment la guerre en Ukraine a radicalement transformé cette « galaxie nationaliste », lui donnant à la fois une nouvelle vigueur et de nouveaux visages.

    Après avoir longtemps alterné répression et cooptation des nationalistes, Poutine s’est désormais approprié leur discours. Ce recyclage lui a permis de construire la figure du grand ennemi des Russes :
    « L’Occident collectif » contre qui il peut s’assurer d’un soutien populaire à l’intérieur et justifier son agression à l’extérieur.
    Pour combien de temps encore ?

    Au-delà du seul cas russe et de l’issue de la guerre en Ukraine, Les Nationalismes russes contredit certaines naïvetés qui persistent en Europe et rappelle que ni les nationalismes, ni les guerres entre États ne sont près de disparaître. "
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