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Métapo infos - Page 12

  • Feu sur la désinformation... (486) : Musk - Trump, une "dream team" contre les médias ?

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou et Lucas Chancerelle.

     

                                               

    Au sommaire cette semaine :

    L'image de la semaine : les prodiges technologiques d’Elon Musk avec le lancement d’une fusée innovante et des robots du futur. 

    Dossier du jour : la présidentielle américaine avec Donald Trump qui bénéficie d’une dynamique favorable avec son allié Elon Musk.

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    Pastilles de l’info :

    1) Affaire Depardieu : manipulation de Complément d’enquête

    2) Doliprane : vente d’un fleuron français aux américains

    3) Zemmour adapte le suicide français pour Canal+

    4) Emily in Kaboul

    5) Les bobo-boomers aiment l’immigration !

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    Portrait piquant (en partenariat avec l’OJIM) : Glenn Greenwald, un journaliste lanceur d'alerte américain courageux...

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  • La République romaine et son empire...

    Les éditions Armand Colin viennent de publier un ouvrage de Michel Humm intitulé La République romaine et son empire. Professeur d’histoire romaine à l’Université de Strasbourg, Michel Humm dirige l’Institut d’histoire romaine.

     

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    " La République romaine commence son histoire vers 509 av. J.-C. par l’expulsion du « roi » Tarquin le Superbe. S’en suivit la mise en place d’un gouvernement de type oligarchique qui laissa le pouvoir à quelques grandes familles aristocratiques. Cinq siècles plus tard, les déchirements politiques qui divisèrent son aristocratie précipitèrent la fin de la République après l’avoir entraînée dans des conflits sociaux et des guerres civiles interminables. Entre temps, la « république » avait constitué un « empire » qui s’est étendu à l’ensemble du monde méditerranéen ainsi qu’à ses territoires périphériques grâce à des institutions politiques et sociales lui permettant d’associer un peuple de citoyens à son aristocratie.
    Cette profonde solidarité d’intérêts au sein de la société romaine favorisa une expansion territoriale exceptionnelle tant d’un point de vue historique que géographique. Toutefois, l’expansion impérialiste finit par révéler l’inadéquation entre les structures institutionnelles et l’univers socio-culturel d’une cité-État, et le mode de gestion d’un empire aux dimensions exceptionnelles. L’incapacité à surmonter cette contradiction mit un terme au régime aristocratique qui définissait la nature de la République romaine. "

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  • « Sois un attentat vivant contre la médiocrité !...»

    Le 30 septembre 2024, Martial Bild recevait, sur TV libertés, Laurent Obertone pour évoquer avec lui son dernier essai intitulé Guerre (Magnus, 2024).

    Journaliste, Laurent Obertone est l'auteur de trois enquêtes essentielles, La France Orange mécanique (Ring, 2013), La France Big Brother (Ring, 2015) et La France interdite (Ring, 2018), qui ont contribué à fissurer l'édifice du politiquement correct, ainsi que du récit Utøya (Ring, 2013). Il a publié récemment un essai intitulé Game over - La révolution antipolitique (Magnus, 2022).

     

                                               

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  • La menace néo-conservatrice...

    Les éditions de La Nouvelle Librairie en collaboration avec l'OJIM viennent de publier une enquête de Rodolphe Cart intitulée La menace néo-conservatrice - Une France et une Europe sous influence, avec une préface de Claude Chollet.

    Partisan d'un nationalisme populaire et identitaire, Rodolphe Cart, qui, après avoir réussi des études juridiques, a exercé la profession de charpentier, est déjà l'auteur de trois essais, Georges Sorel, le révolutionnaire conservateur (La Nouvelle Librairie, 2023), Feu sur la Droite nationale ! (La Nouvelle Librairie, 2023) et Faire légion - Pour un réveil des autochtones (Hétairie, 2024).

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    " Depuis le déclenchement des conflits russo-ukrainien puis israélo-palestinien, le spectre d’une troisième guerre mondiale n’a jamais paru si menaçant. À l’heure où la France et l’Europe sont impuissantes à influer sur la destinée du monde, les néo-conservateurs saturent l’espace médiatique et nous poussent, au nom d’un Occident qui peine à faire le deuil de son hégémonie, toujours davantage vers une intervention contre la Russie, la Chine et le monde arabe. Mais qui sont ces « faucons » ? D’où viennent-ils ? Et pourquoi sont-ils si influents et si offensifs ? Rodolphe Cart s’attache à analyser l’influence de ce courant à l’origine du changement de cap de notre diplomatie, opéré depuis des décennies, qui engage désormais la France dans la « voie atlantiste », au détriment de son indépendance nationale. "

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  • Pour en finir avec l’égalitarisme : une utopie destructrice...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Julien Dir cueilli sur Breizh-Info, qui évoque la question de l'égalitarisme...

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    Pour en finir avec l’égalitarisme : une utopie destructrice

    Il est temps de mettre un terme au mythe qui gangrène nos sociétés : celui de l’égalitarisme. Depuis des décennies, la gauche, aidée par les élites globalistes, nous vend l’idée absurde selon laquelle tous les hommes seraient égaux, que les différences biologiques, culturelles et historiques entre les individus n’existeraient pas, et que nous devrions tous aspirer à une société où règne une égalité parfaite. Cette idéologie gauchiste n’est pas seulement une illusion, elle est une machine de destruction massive qui sape les fondements mêmes de notre civilisation.

    L’égalité homme-femme : un mensonge qui déstructure nos sociétés

    Parmi les plus grandes aberrations de ce mythe égalitariste, figure l’idée selon laquelle hommes et femmes seraient identiques en droits, en capacités et en rôles sociaux. Ce mensonge, devenu mantra féministe, nous a menés à la déstructuration complète des rôles traditionnels, fondement de nos sociétés depuis des siècles.

    Depuis la nuit des temps, l’humanité a prospéré grâce à la complémentarité des sexes. Ce n’est pas en niant la réalité biologique que nous améliorerons notre société. Les hommes et les femmes sont différents. Ils sont complémentaires. Le rôle protecteur et bâtisseur des hommes et celui de nourricière et d’éducatrice des femmes ont été les piliers sur lesquels se sont construits les plus grandes civilisations. Mais aujourd’hui, en prônant une égalité absolue et absurde, nous avons déraciné ces rôles. Résultat : désordre familial, délitement de l’autorité et effondrement des structures sociales. Cette négation de la complémentarité des sexes ne mène qu’à la confusion et à la décadence.

    La vérité est simple : hommes et femmes ne sont pas égaux. Pas parce qu’une catégorie est supérieure à l’autre, mais parce qu’ils ont des rôles naturels différents qui, ensemble, garantissent l’équilibre et la prospérité de la société. Vouloir gommer ces différences est une entreprise suicidaire.

    L’éducation : un nivellement par le bas au nom de l’égalité

    L’égalitarisme a également frappé de plein fouet l’éducation, ce qui entraîne une tiers-mondisation généralisée de nos sociétés. Au lieu de promouvoir l’excellence, de pousser les individus vers le haut, on nivelle par le bas. Le système éducatif, autrefois orienté vers l’excellence et le mérite, a été transformé en un terrain où l’on favorise les moins bons au détriment des plus capables. Pourquoi ? Pour que tout le monde soit « égal ». Le résultat est sans appel : un effondrement du niveau général, un rejet des exigences académiques et une production de citoyens ignorants et inaptes à affronter les défis de la modernité.

    Les réformes éducatives successives, dictées par une idéologie égalitariste, n’ont eu pour effet que de détruire la transmission du savoir. Ce qui était autrefois une source de fierté et d’accomplissement personnel, la réussite scolaire, est aujourd’hui dénigré sous prétexte de « lutte contre les inégalités ». Il n’y a pourtant rien de plus naturel que l’inégalité dans l’apprentissage : tous les enfants n’ont pas les mêmes aptitudes, et ce n’est pas un crime. Vouloir ignorer cette vérité conduit inexorablement à l’échec collectif.

    L’immigration et l’assimilation : un autre échec de l’égalitarisme

    Le mythe de l’égalitarisme va encore plus loin en tentant d’assimiler l’idée que tous les peuples seraient également aptes à s’intégrer de la même manière au sein des nations européennes. Il faut le dire sans détour : tous les peuples ne sont pas assimilables de la même manière. L’idée que l’on pourrait créer une société homogène à partir de cultures fondamentalement différentes est une chimère dangereuse.

    L’Europe, bâtie sur des siècles d’histoire, de tradition et de valeurs, est confrontée à une immigration de masse qui, loin de renforcer la cohésion sociale, la fracture de plus en plus. Les faits sont là : un Africain, un Asiatique, un Européen ne partagent pas les mêmes codes culturels, les mêmes visions du monde, les mêmes comportements sociaux. Pourquoi s’acharner à vouloir fondre ces différences dans un même moule alors que les conséquences de cette folie égalitariste se font sentir chaque jour : montée de l’insécurité, communautarismes, tensions ethniques.

    Là encore, le rêve égalitariste échoue à affronter la réalité. Une société forte n’est pas celle qui cherche à tout prix à niveler les différences, mais celle qui valorise ce qui la rend unique, et qui comprend que l’assimilation de certaines populations est non seulement difficile, mais parfois impossible.

    L’inégalité : moteur de la réussite

    En vérité, l’inégalité est non seulement naturelle, mais bénéfique. Ce sont les différences entre les individus qui ont permis l’essor de notre civilisation. L’inégalité pousse chacun à se surpasser, à atteindre l’excellence. C’est grâce à elle que nous avons produit des esprits brillants, des inventeurs, des leaders, des bâtisseurs. L’égalitarisme, à l’inverse, tue l’ambition, éteint le génie, et entraîne une homogénéisation vers la médiocrité.

    Ce n’est qu’en réhabilitant la notion de mérite, de hiérarchie et de responsabilité individuelle que nous pourrons redresser notre civilisation, plongée dans un déclin accéléré par cette utopie gauchiste de l’égalitarisme.

    Il est temps de mettre un terme à cette dangereuse illusion. L’égalitarisme n’est pas un idéal à atteindre, mais une idéologie destructrice qui mène nos sociétés à la ruine. Hommes et femmes ne sont pas égaux, mais complémentaires. Tous les individus ne sont pas faits pour les mêmes choses, et tous les peuples ne s’assimilent pas de la même manière. Reconnaître ces vérités, aussi impopulaires soient-elles, est la première étape vers la reconstruction de notre civilisation.

    Julien Dir (Breizh-Info, 2 octobre 2024)

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  • Les Marines : un mythe américain...

    Les éditions Perrin viennent de publier un livre de Nicolas Aubin intitulé Les Marines - Un mythe américain. Agrégé d'histoire, Nicolas Aubin est spécialiste de la Deuxième Guerre Mondiale et contribue à de nombreuses revues d'histoire militaire.

    Aubin_Les Marines.jpg

    " Le présent ouvrage permet au lecteur de découvrir la riche histoire d’un corps d’élite devenu incontournable et pourtant totalement méconnu. En effet, personne en France ne connaît ses cent cinquante premières années avant 1918 et la bataille du bois Belleau, personne ne sait qu’il a d’abord été méprisé, brocardé pour ses performances médiocres, réduit à portion congrue, menacé de dissolution avant de devenir un corps d’élite, un mythe, et la seule unité militaire dont l’existence est garantie par un texte de loi voté en 1952. Au cours de ses recherches, l’auteur a découvert que la légende des Marines avait précédé leur excellence militaire. Pour ne pas disparaître, ces derniers ont inventé le lobbying moderne, infiltrant les partis politiques, recrutant des chargés de communication civils, idéalisant leur histoire pour devenir incontournables. La légende a donc été fabriquée par quelques chefs de corps (Henderson, Lejeune), avec des valeurs choisies pour s’enraciner au plus profond de la culture américaine : mythe chrétien, mythe de la frontière, mythe pionnier, avant d’être à ce point assimilé par les Marines eux-mêmes, qu’ils ont été tenus de se montrer à la hauteur de leurs devanciers… fantasmés. Cette légende a ensuite imprégné la culture populaire devenant le sanctuaire de l'esprit américain. Voilà comment s’invente un corps d’élite.
    Au-delà du récit des combats, Nicolas Aubin convoque les apports de la sociologie, de l’ethnologie, de l’histoire culturelle, de l’histoire politique, de l’histoire des mentalités et même de la sociologie des organisations, le tout pour une lecture passionnante et un livre novateur. "

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