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Métapo infos - Page 128

  • Tour d'horizon... (254)

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    Au sommaire cette semaine :

    - sur Antipresse-audio, Slobodan Despot lit un texte d'Eric Werner consacré au terrorisme...

    Pour en finir avec le terrorisme

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    - sur Conflit, Michel Gandilhon évoque les ravages provoqués par le Fentanyl, l'opioïde de synthèse qui détrône l'héroïne...

    Fentanyl : des États-Unis à l’Europe ? Entretien avec Michel Gandilhon

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  • Feu sur la désinformation... (447)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, et Floriane Jeannin.

     

                                             

    Sommaire:
    Vigilance orange inondation, alerte rouge dans les médias
    Douche froide pour Darmanin
    Confusion ou dérive autoritaire, le sort d'Academia Christiana en jeu
    ‐-‐-----------
    Les pastilles de l’info :
    Crépol vs Romans : deux jeunesses ou deux France ?
    Manifestation pour Thomas interdites - Jean-Eudes Gannat
    Une semaine historique pour Cnews
    Conduite au volant à 15 ans = accident : encore un ange ?
    ‐-‐-----------
    Conclusion
    Portrait piquant : Laurence Haïm
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  • Le combat culturel...

    La Nouvelle Librairie, en partenariat avec l'Institut Iliade, vient de publier un essai de Lothar Fritze intitulé Le combat culturel - Affirmer son identité face à l'universalisme moral

    Philosophe et politologue allemand, Lothar Fritze a été, de 1993 à 2019, collaborateur scientifique à l’Institut Hannah-Arendt de recherche sur le totalitarisme, un institut attaché à l’Université technique de Dresde.

    philosophe et un politologue allemand. De 1993 à 2019, il a été collaborateur scientifique à l’Institut Hannah-Arendt de recherche sur le totalitarisme, un institut attaché à l’Université technique de Dresde.

     

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    " Un combat culturel particulièrement vigoureux caractérise la situation intellectuelle de notre époque. Deux camps politico-idéologiques y prennent place et s’y opposent : l’un prônant l’individualisme et l’universalisme, l’autre le particularisme et la défense du bien collectif. Les combats culturels ne sont pas de vaines querelles intellectuelles. Ils portent véritablement des visions du monde contradictoires qui détermineront l’orientation du développement d’une société sur le long terme. L’enjeu est donc d’autant plus grave qu’il s’agit aussi bien d’assurer les bases de notre existence en tant que peuple que de préserver les acquis de la civilisation européenne. Les aspirations morales et universalistes ne connaissent en effet pas de limites et peuvent rapidement se transformer en une mise en danger de soi-même. L’impulsion morale de prendre en compte de manière égale les intérêts de tous les hommes a donc besoin d’un complément, à savoir la volonté de s’affirmer.
    Lothar Fritze entreprend d’analyser ce combat culturel et s’interroge sur la voie à emprunter : celle de l’universalisme moral ou de l’affirmation de soi ? Écrit en Allemagne, cet essai décrit une guerre idéologique qui a cours dans toute l’Europe et mérite, de ce fait, une plus large diffusion. C’est pourquoi l’Institut Iliade a tenu à le porter à la connaissance du public français. "

    Un combat culturel particulièrement vigoureux caractérise la situation intellectuelle de notre époque. Deux camps politico-idéologiques y prennent place et s’y opposent : l’un prônant l’individualisme et l’universalisme, l’autre le particularisme et la défense du bien collectif. Les combats culturels ne sont pas de vaines querelles intellectuelles. Ils portent véritablement des visions du monde contradictoires qui détermineront l’orientation du développement d’une société sur le long terme. L’enjeu est donc d’autant plus grave qu’il s’agit aussi bien d’assurer les bases de notre existence en tant que peuple que de préserver les acquis de la civilisation européenne. Les aspirations morales et universalistes ne connaissent en effet pas de limites et peuvent rapidement se transformer en une mise en danger de soi-même. L’impulsion morale de prendre en compte de manière égale les intérêts de tous les hommes a donc besoin d’un complément, à savoir la volonté de s’affirmer.

    Lothar Fritze entreprend d’analyser ce combat culturel et s’interroge sur la voie à emprunter : celle de l’universalisme moral ou de l’affirmation de soi ? Écrit en Allemagne, cet essai décrit une guerre idéologique qui a cours dans toute l’Europe et mérite, de ce fait, une plus large diffusion. C’est pourquoi l’Institut Iliade a tenu à le porter à la connaissance du public français.

    Un combat culturel particulièrement vigoureux caractérise la situation intellectuelle de notre époque. Deux camps politico-idéologiques y prennent place et s’y opposent : l’un prônant l’individualisme et l’universalisme, l’autre le particularisme et la défense du bien collectif. Les combats culturels ne sont pas de vaines querelles intellectuelles. Ils portent véritablement des visions du monde contradictoires qui détermineront l’orientation du développement d’une société sur le long terme. L’enjeu est donc d’autant plus grave qu’il s’agit aussi bien d’assurer les bases de notre existence en tant que peuple que de préserver les acquis de la civilisation européenne. Les aspirations morales et universalistes ne connaissent en effet pas de limites et peuvent rapidement se transformer en une mise en danger de soi-même. L’impulsion morale de prendre en compte de manière égale les intérêts de tous les hommes a donc besoin d’un complément, à savoir la volonté de s’affirmer.

    Lothar Fritze entreprend d’analyser ce combat culturel et s’interroge sur la voie à emprunter : celle de l’universalisme moral ou de l’affirmation de soi ? Écrit en Allemagne, cet essai décrit une guerre idéologique qui a cours dans toute l’Europe et mérite, de ce fait, une plus large diffusion. C’est pourquoi l’Institut Iliade a tenu à le porter à la connaissance du public français.

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  • François Bousquet : "Le seuil critique migratoire a été atteint ! "...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un entretien donné par François Bousquet à Livre noir dans lequel, notamment, il dresse le bilan d'un demi-siècle de Nouvelle Droite et livre son analyse de la situation actuelle.

    Journaliste, rédacteur en chef de la revue Éléments, François Bousquet a aussi publié Putain de saint Foucauld - Archéologie d'un fétiche (Pierre-Guillaume de Roux, 2015), La droite buissonnière (Rocher, 2017), Courage ! - Manuel de guérilla culturelle (La Nouvelle Librairie, 2020), Biopolitique du coronavirus (La Nouvelle Librairie, 2020) et, tout récemment, Alain de Benoist à l'endroit - Un demi-siècle de Nouvelle Droite (La Nouvelle Librairie, 2023).

     

                                          

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  • Ernst Jünger, dans le ventre du Léviathan...

    Les éditions Perspectives Libres viennent de publier un essai de Claude Bourrinet intitulé Ernst Jünger - Dans le ventre du Léviathan. Ancien professeur, Claude Bourrinet est déjà l'auteur de L'Empire au cœur (Ars Magna, 2013) ainsi que d'un Stendhal (Pardès, 2014) dans la collection "Qui suis-je ? ".

     

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    " En lisant les Journaux de guerre d’Ernst Jünger, l’on découvre un auteur d’une autre nature que l’image qu’on se fait du maître de guerre des Orages d’acier. Se dessine devant nous un humaniste chrétien, ou christianisant, relisant la Bible, s’interrogeant sur la nature humaine, et prenant le contre-pied du nietzschéisme qui sévit en Allemagne. On est frappé de constater que sa vision est encore d’une actualité brûlante. Il se livre à une auscultation du nihilisme contemporain d’un point de vue conservateur. Les idéologies mortifères et la destruction universelle dues au technicisme triomphant, qu’il nomme l’américanisation, sont engendrées, comme des monstres-Léviathans, par un monde liquéfié, démantelé,
    ruiné, où l’être indifférencié impose son vide, qu’il faut absolument emplir hystériquement du culte perverti de l’Homme autocentré. A cet arasement de la personne, il oppose l’intériorité, et son prolongement naturel et religieux, le Cosmos, unis dans la vision sacrée de l’Être. "

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  • Darmanin, entre Tartarin et Torquemada...

    Nous reproduisons ci-dessous une tribune de Xavier Eman consacré à la décision liberticide prise par le ministre de l'intérieur, le pitoyable Gérard Darmanin, de dissoudre Academia Christiana, un institut de formation, à la fois laboratoire d'idées et réseau d'initiative, créé en 2013 et appartenant à la mouvance catholique identitaire.

    Animateur du site Paris Vox, rédacteur en chef de la revue Livr'arbitres et rédacteur en chef adjoint de la revue Éléments, Xavier Eman est l'auteur de deux recueils de chroniques intitulés Une fin du monde sans importance (Krisis, 2016 et la Nouvelle Librairie, 2019), d'un polar, Terminus pour le Hussard (Auda Isarn, 2019) et, dernièrement, d'Hécatombe - Pensées éparses pour un monde en miettes (La Nouvelle Librairie, 2021).

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    Darmanin, entre Tartarin et Torquemada

    D’un ministre de l’Intérieur, l’autre… Charles Pasqua, en son temps désormais lointain, voulait « terroriser les terroristes », Gérald Darmanin, lui, souhaite « éradiquer les nationalistes ». Curieuse tâche prioritaire à laquelle il s’attelle avec constance et persévérance, pour ne pas dire acharnement. Il vient d’ailleurs de franchir une nouvelle étape dans sa croisade obsessionnelle en annonçant la dissolution prochaine du mouvement de jeunesse catholique Academia Christiana. Une décision aussi inique qu’inquiétante.

    Résumons la situation. Au fil des années, la France s’enfonce toujours plus dans la barbarie, l’ensauvagement et le chaos. Pas une journée, ou presque, sans son attaque au couteau, son lynchage collectif, son émeute, son règlement de comptes sanglant. Des nonagénaires se font violer sur leur lit d’hôpital, des jeunes adolescentes découpées en morceaux ou torturées à l’aide de manches à balais, et des gamins de 16 ans sont saignés à mort à la sortie des bals de village. Sans oublier le lot d’insultes, de crachats, de menaces et de petites humiliations qui compose désormais le sombre quotidien des Français qui n’ont pas les moyens des éditorialistes de gauche pour vivre dans un monde parallèle, aseptisé et sécurisé à coups de pognon.

    Academia Christiana, un mouvement de jeunesse catholique

    Face à ce terrifiant constat, Gérald Darmanin, qui est un dur à cuire qu’on se le dise !, a décidé de prendre des mesures fortes et radicales : il va demander en conseil des ministres la dissolution d’Academia Christiana.

    Mais qu’est-ce donc que cette organisation qui trouble l’ordre public, attente à la sécurité générale et menace la République ?

    C’est un mouvement de jeunesse catholique fondé en 2013 et qui, depuis lors, organise, sans incidents, violences ni condamnations quelconques, des colloques, des séminaires de formation et de grandes universités d’été pour offrir un bagage spirituel, culturel et politique à des jeunes gens soucieux de s’engager pour la Cité et le Bien Commun. Durant ces activités, on parle d’écologie, de la Technique, d’alternative au capitalisme, de corporatisme, de don, de défense de l’identité et des traditions, de famille et de communauté. On y pratique les danses traditionnelles, l’apprentissage des premiers secours et le sport, la boxe comme le volley-ball. On y prie aussi, on y festoie également et on y rit beaucoup, plusieurs membres de la rédaction d’Éléments, invités à intervenir durant ces événements, peuvent en témoigner. Certes, on y est aussi attaché à la messe traditionnelle et opposé au wokisme et à l’immigration de masse, mais ce ne sont pas des crimes. Du moins ça ne l’était pas jusqu’à présent.

    Au regard de cette rapide description, on comprend mieux toute l’urgence de mettre au pas cette affreuse bande de nervis factieux qui mine le joyeux et paisible « vivre ensemble » et nourrit l’insécurité dans le pays. D’ailleurs qui ne s’est jamais dit, en rentrant tardivement le soir par des rues mal éclairées : « Pourvu que je ne croise pas la route de militants d’Academia Christiana ! » ?

    Cette situation ubuesque serait en effet risible si elle n’était pas par ailleurs révélatrice d’une très inquiétante dérive liberticide d’un pouvoir cherchant clairement à interdire toute opposition échappant à sa zone de contrôle et à la doxa de plus en plus totalitaire qu’il cherche à imposer. Faisant suite à de nombreuses autres mesures coercitives visant les milieux patriotes et identitaires (interdictions de manifestation, de réunion, lourdes condamnations pour des faits ridiculement mineurs tels des collages d’affiches non autorisés…), l’annonce de cette dissolution d’Academia Christiana marque une accélération dans le processus de répression, qui semble désormais sans limite tant on peine à discerner le moindre début de justification à celle-ci.

    Mobilisation générale pour la défense des libertés fondamentales

    Que nous dit le ministère de l’Intérieur ? Qu’Academia Christiana serait « connu pour ses appels à la haine et à la discrimination » ? Très vague et grotesque accusation pour quiconque s’est plongé dans les productions écrites du mouvement ou a fréquenté un tant soit peu ses militants et ses cadres. On attend bien sûr de voir quels arguments biaisés, quels amalgames spécieux et quels mensonges vont être utilisés pour monter le dossier le charge… On connaît les méthodes et l’efficacité des services du ministère dans ce domaine.

    Quoi qu’il en soit, cette nouvelle dissolution annoncée (qui pourrait être suivie par d’autres, le mini-Attila de la place Beauvau ne comptant certainement pas s’arrêter en si bon chemin…) pose une question fondamentale : la liberté politique existe-t-elle encore en France ou doit-on acter que nous vivons désormais sous un régime totalitaire ? Peut-on encore légalement s’engager, à visage découvert, pour la défense d’une France catholique et enracinée ? A-t-on encore le droit de vouloir s’opposer à l’immigration et d’en dénoncer les conséquences néfastes ?

    Si cette dissolution inique est validée par la justice, la réponse sera claire et irréfutable.

    C’est pourquoi il est de l’impérieux devoir de toutes les personnes encore attachées à la liberté de pensée et d’expression, au-delà des étiquettes, des choix partisans et des affinités, de s’opposer à cette mesure aussi injuste qu’arbitraire, non pas pour défendre les positions ou le programme d’Academia Christiana, que l’on a tout à fait en droit de ne pas partager ou même de combattre (par les idées), mais pour défendre ce qui reste de nos libertés fondamentales.

    Les patriotes français sont censés être représentés par le second groupe le plus important de l’Assemblée nationale. Il est donc grand temps que celui-ci fasse preuve d’un peu de courage politique et monte au créneau pour faire barrage à cette décision inepte et à cette politique de l’interdiction et de la persécution qui demain pourra frapper n’importe qui.

    Si le mouvement Acadamia Christiana est réellement dissout, il ne restera plus beaucoup de clous à planter dans le couvercle du cercueil de ce que l’on appelait jadis la démocratie.

    Xavier Eman (Site de la revue Éléments, 11 décembre 2023)

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