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guerre - Page 53

  • La guerre romaine...

    Les éditions Tallandier viennent de publier La guerre romaine, une étude de Yann Le Bohec. Professeur à la Sorbonne, Yann Le Bohec est un des meilleurs spécialistes de l'histoire romaine. Il a déjà publié, notamment, César, chef de guerre (Rocher, 2001), une Histoire militaire des guerres puniques (Rocher, 2011) et une Géopolitique de l'Empire romain (Ellipses, 2014).

     

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    " L'armée romaine a été l'armée la plus efficace non seulement de l'Antiquité mais encore de toute l'histoire. En cinq siècles elle a conquis un empire immense ; elle a su le garder pendant cinq autres siècles ; et, après sa disparition, elle n'a laissé que des regrets. Pourquoi et comment, les réponses se trouvent dans ce livre. Sait-on que Rome, qui a tant fait la guerre, ne rêvait que de paix ? Les Romains avaient mis en place de nombreux garde-fous religieux et juridiques pour éviter la confrontation armée : la littérature actuellement disponible l'ignore. Mais, une fois engagée sur le chemin de la guerre, Rome ne concevait pas de s'arrêter sinon sur une victoire claire et nette. Sait-on aussi que les Romains ont inventé la logistique, le génie militaire, la médecine militaire et le " deuxième plus vieux métier du monde ", le renseignement ? Ils ont pratiqué toutes les formes de combat, la bataille en rase campagne, le siège, et aussi la gesticulation, le combat en milieu urbain et en montagne, la bataille de nuit et la contre-guérilla (sur un modèle ressuscité vingt siècles plus tard par David Galula) ; et n'oublions pas le combat naval. Ils ont même inventé la guerre biologique et chimique. Et ils ont eu une stratégie ; une " petite stratégie ", certes, mais une vraie stratégie. Et, fait étonnant, cette armée exemplaire a nourri en son sein des déserteurs et des traîtres ! "

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  • Les tueurs de la République...

    Les éditions Fayard viennent de publier une enquête de Vincent Nouzille intitulée Les Tueurs de la République. Journaliste d'investigation, spécialiste des dossiers économiques et des enquêtes historiques, Vincent Nouzille est notamment l'auteur de Députés sous influences : Le vrai pouvoir des lobbies à l'Assemblée Nationale (Fayard, 2006) et de, en deux tomes, Les dossiers de la CIA sur la France 1945 - 2010 (Fayard, 2009 et 2010).

     

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    " C'est l'un des secrets les mieux gardés de la République : en son nom et sur ordre des plus hautes autorités, des tueurs sont disponibles à tout moment pour éliminer des personnes jugées dangereuses pour la sécurité nationale ou conduire des guerres secrètes contre des ennemis présumés.
    Oui, la France tue parfois pour régler des comptes. Oui, la France mène clandestinement depuis des décennies, au nom de la protection de ses intérêts, du Moyen-Orient à la Françafrique, des actions meurtrières inavouables : vengeances d'État, assassinats en série, attentats commandités par l'Élysée, guérillas sanglantes, éradication de chefs terroristes, emploi de mercenaires sulfureux ou de services secrets alliés peu regardants...
    Pour ce faire, la DGSE dispose de son Service Action et, en marge de celui-ci, d'une cellule clandestine dont ce livre retrace l'histoire. Ses agents et des commandos des forces spéciales sont entraînés pour mener à bien ces exécutions ciblées, appelées "opération Homo" (pour homicide), ainsi que des opérations plus vastes de "neutralisation", souvent en marge des conflits déclarés. Les présidents successifs de la Ve République, de De Gaulle à Hollande, ont, chacun à leur manière, recouru à ce type d'actions, même s'ils s'en sont défendus.
    Au cours d'une enquête de plusieurs années, Vincent Nouzille a recueilli des témoignages exclusifs et des documents inédits. Des acteurs clés qui ont donné ou obtenu ce "permis de tuer" éclairent ici cette face sombre du pouvoir. "

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  • La France redécouvre la violence politique...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Valentin Moret, cueilli sur le site de Philitt et consacré au retour de la violence politique en France.

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    Charlie Hebdo : quand la France redécouvre la violence politique

    L’histoire de France est violente. Assassinats, émeutes et coups d’État la jalonnent. Depuis les attentats anarchistes de 1910 jusqu’aux mouvements skinheads des années 1980 et 1990 en passant pas la mort de Jean Jaurès, la crise du 6 février 1934, les agissements du FLN et de l’OAS, la France s’est faite dans le sang. Aujourd’hui, beaucoup s’obstinent à expliquer l’attentat de Charlie Hebdo par la folie. Cet acte relève pourtant de la stricte violence politique.    

    Nul besoin d’avoir lu Hobbes pour enfoncer cette porte ouverte : « L’homme est un loup pour l’homme ». La violence est inscrite au patrimoine de l’humanité depuis le péché originel. Mais le Vieux Continent, plus encore que le reste du monde occidental, a voulu bannir toute violence de son territoire, en la rangeant systématiquement du côté du mal. Une mentalité qui marque jusqu’à notre façon d’être et de faire la guerre : peu de morts, peu de dommages collatéraux. Aujourd’hui, une bonne guerre est une guerre où tous nos soldats rentrent vivants. Nous sommes loin de 1914 et de la valorisation du combattant tombé sous le feu ennemi. La modernité se veut pacifiste et pacifiée, elle méconnaît le phénomène de la violence comme instance de régulation des conflits. Pour l’anecdote, le dernier duel en France s’est déroulé en 1967.

    La réalité est pourtant toute autre : la violence n’a pas disparu du territoire. L’analyse du sociologue de la guerre Gaston Bouthoul permet de dresser le portrait des deux France qui s’expriment à travers les évènements récents. Du fait d’un grand écart démographique et culturel, le pays est clivé : d’un côté, une France des quartiers où la forte natalité et la figure patriarcale rendent la mise en péril de la vie acceptable – c’est le mythe d’Abraham – et, de l’autre, une France bourgeoise où la faible natalité aboutit à la domination des valeurs féminines et hédonistes qui, selon Bouthoul, sont plus enclines à la préservation de la vie. Une fracture qui trace la frontière entre ceux qui comprennent et usent de la violence et ceux qui en rejettent l’idée même. C’est parce qu’une grande partie de la population ignore la violence qu’elle n’admet pas qu’elle puisse être politique.

    Violence et politique

    « Il faut être intellectuel et violent », disait Charles Maurras. Aujourd’hui l’un exclut l’autre de facto, comme si la violence appartenait nécessairement au domaine de la passion, de la réaction. Comme si la novlangue s’était emparée des concepts de violence et d’intelligence pour les rendre incompatibles. On ne conçoit pas qu’on puisse être intellectuellement violent sans être un « idéologue dangereux », un « manipulateur », un « agitateur de la haine ». On ne conçoit pas non plus qu’on puisse être violent dans ses actes en les ayant pensés, réfléchis, prémédités et menés en conscience. C’est pourtant ce qui arrive.

    À déplorer la violence comme on déplore la folie, on tombe dans la petite réaction émue, hystérique et inutile. Aveu d’impuissance : l’émotivité comme seule façon de penser et d’agir est la méthode des professionnels de l’indignation qui s’insurgent contre les idées violentes. Pleurer ne sauve pas. Un paradoxe que le criminologue Xavier Raufer appelle « aveuglement ». Aveuglement face à des menaces omniprésentes sur les réseaux sociaux et jusque dans les gestes réalisés par certains devant les caméras de télévision. L’aveuglement empêche de déceler le moment du passage à l’acte. Car on ne peut prévoir le passage à l’acte d’un fou. Celui d’un idéologue, si.

    « La guerre est la poursuite de la politique par d’autres moyens. » Carl von Clausewitz

    Tout le monde s’accorde sur le terme de terrorisme pour décrire l’attentat de Charlie Hebdo. Et pourtant, beaucoup veulent réduire cet acte à un délire. C’est méconnaître la définition même du terrorisme : une violence politique en temps de paix, sporadique et isolée, certes, mais néanmoins politique.

    Au vu des revendications des auteurs, nous aurions tort de ne pas accepter cette conception clausewitzienne, politique, de la violence. L’un des deux terroristes a fait, à plusieurs reprises, entendre ses revendications : « On a vengé le prophète ». Le discours est clair, et calmement déroulé. L’auteur défend sa cause en affirmant qu’il n’a pas été « assoiffé de sang » durant les deux jours de traque qui ont suivi l’attentat. Il avait un objectif, il l’a rempli, et n’avait alors plus qu’à mourir en martyr. Cet objectif est éminemment politique : contraindre au silence les auteurs, les dessinateurs et les journalistes qui s’attaquent à l’Islam. Le discours était celui d’un « extrémiste », pas d’un fou.

    Pourtant,  la France ne découvre pas la violence politique en 2015. Et nul n’avait pensé qualifier de fous les terroristes du GIA, du FLN ou d’Action directe. Les réactions d’aujourd’hui sont le signe de cette fracture entre deux France qui ne se connaissent et ne se comprennent plus. La rencontre d’un pays sécularisé en guerre permanente contre le Moyen-Orient et d’une violence politique exercée au nom de l’Islam.

    L’insoumission appelle une réponse politique

    Le fait qu’il n’y ait plus d’équilibre, plus d’autre réponse que l’instantanée réaction émue, est problématique. Dans d’autres circonstances, dans une France moins vieillissante, nous aurions probablement vu se multiplier des réactions concrètes et rationnelles. Le surplus d’émotion télévisée semble faire l’effet d’une catharsis collective qui vient inhiber le réflexe sensé qu’a été celui du résistant sous l’Occupation. L’immense majorité des réactions, qu’elles viennent des médias ou de la population sont silencieuses, à l’image des « marches républicaines » affectées.

    Le gouvernement convainc peu également. Lorsqu’il parle d’une « guerre contre le terrorisme » sur notre territoire, il formule une ineptie juridique puisque la guerre appelle l’usage d’une violence proactive alors que l’État a seulement fait usage d’une violence réactive dans le cadre d’opérations de police. La violence, qu’elle soit politique ou non, terrorise. La France en a pourtant vu d’autres tout au long de son histoire et ne devrait pas jouer la vierge effarouchée qu’elle n’est pas.

    Valentin Moret (Philitt, 13 janvier 2015)

     

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  • Le bourreau a frappé...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous une chronique d'Éric Zemmour sur RTL, datée du 7 janvier 2015 et consacrée à l'attentat qui a frappé la rédaction du journal Charlie Hebdo et provoqué la mort de douze personnes, parmi lesquelles les principales figures du journal et deux policiers...

     


    Éric Zemmour : "Le 7 janvier 2015 est notre 11... par rtl-fr

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  • Logique de guerre...

    Nous reproduisons ci-dessous la première chronique de Richard Millet publiée sur son site personnel. Ecrivain, Richard Millet a écrit de nombreux romans ainsi que des récits, comme La confession négative (Gallimard, 2009) ou des essais comme L'opprobre (Gallimard, 2008), Arguments d'un désespoir contemporain (Hermann, 2011), Fatigue du sens (Pierre-Guillaume de Roux, 2011) ou Langue fantôme (Pierre-Guillaume de Roux, 2012). Il vient de publier Le corps politique de Gérard Depardieu (Pierre-Guillaume de Roux, 2014).

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    Logique de guerre

    Je ne cède pas seulement, en créant ce site, à l’amicale pression de rares amis non plus qu’à la seule beauté du mot site qui dit la demeure élective, à côté d’autres, maison natale ou résidence forcée ; ce site participe à une logique de guerre. Mes rapports avec la presse n'ont jamais été bons: pouvait-il en être autrement, puisque je ne me révélais pas celui qu'on voulait que je fusse, et cela dès mon premier livre, plus récemment depuis que la presse officielle, après avoir lâché ses chiens contre moi, prône le silence à mon sujet, avec de temps à autre une piqûre de rappel dénonçant l’ennemi du Bien ? Le parti dévot ne me fera pas désarmer. Je ne retournerai pas, comme le voudraient certains, à une activité "purement" romanesque par laquelle abjurer je ne sais quels péchés politiques. Je continue : essais, romans, récits, textes inclassables, et aujourd’hui ce site, non pas monument à ma gloire mais outil pour contrer les rumeurs et l’opprobre, et aussi, rompant le silence, pour rendre visibles l’ensemble de mes livres, désormais témoignages. La presse prétendue littéraire n’accomplissant plus sa tâche, les critiques remplacés par des échotiers serviles, et leurs articles uniquement lus par les attachées de presse, les auteurs et les commerciaux qui déterminent financièrement la visibilité des livres recensés (on dit plus volontiers chroniqués, ce qui est une offense à la noblesse du chroniqueur, et contre quoi il faut instaurer une contre-chronique, de la même façon qu’il y a eu la Contre-Réforme et la Contre-Révolution), on peut affirmer que cette presse n’est plus que publicitaire puisqu’elle ne parle plus que de livres pour la plupart insignifiants, donc illisibles, ce qui importe peu, d'ailleurs, en un temps où il ne s'agit plus de lire mais de consommer du Culturel.

    La parole critique a émigré sur les sites, les blogs, les forums généralement tenus par des écrivains ou des lecteurs, du moins ceux qui ne se laissent pas tromper par la Propaganda Staffel ni par le silence de l'opprobre. Ce silence, j’y suis habitué. Je le recherche, même, dans la mesure où il peut recevoir le nom d’anonymat, lorsque les livres que nous avons écrits finissent par dessiner de nous une figure qui nous échappe à la longue et qui est, ici bas, notre vraie gloire. C’est pourquoi je ne me suis jamais vraiment soucié de l’accueil fait à mes livres : il me suffit qu’ils paraissent et que j’aie des lecteurs ; et je me demande comment vivent les auteurs régulièrement encensés par la critique, et quel rapport de maquereautage ils entretiennent avec la presse.  Celle-ci, de droite comme de gauche, n'est plus que la voix de l’idéologie dominante, social-démocrate, antiraciste, philanthropique, antichrétienne, mondialiste, déculturée, moralisatrice; et il ne me paraît pas que les "difficultés" qu'elle connaît représentent un "danger pour la démocratie"; la disparition, même, d’un journal comme Libération serait anecdotique, voire insignifiante dans le système d'inversion générale et de mensonge qui caractérise le capitalisme mondialisé ; bien au contraire, on ne pourrait que s'en réjouir, tout comme du fait que la démocratie puisse être réellement menacée, révélant ainsi sa nature satanique : il me semble que nous sortirions de l’état d'hébétude et de servilité à quoi nous condamnent la prière quotidienne à la démocratie et la bondieuserie humaniste dans quoi le renoncement au catholicisme fait choir ceux qui ne savent plus qui ils sont. Pourquoi vouloir être informé, si cette information n’est que le bruit de la Propagande et le fond de roulement de l’inversion générale des valeurs ? Je n’ai que faire de l’opinion, qui est en grande partie prostitutionnelle, en tout cas pornographique, comme les "débats" ou les "talk shows". A l’opinion, j’ai toujours préféré la parole libre, de la même façon que je vis dans la vérité du Christ, et qu'aux tièdes post-chrétiens je préfère les moines-soldats. 

    Ce qu’on dit de moi étant généralement haineux et mensonger, je ne me contenterai plus d'en sourire. La chiennerie s'en prend à ma figure d'homme, non plus seulement à l'écrivain; d'où la nécessité de ce site. Je ne peux plus m’en tenir à un détachement olympien : n’ayant pas accès à la presse, et pour cause, je crée mon propre organe. Je le redis : je suis en guerre. J’ai appris à frapper pendant la guerre du Liban. Je suis entré dans l’impardonnable. La guerre fait partie de mes tâches, avec la prière, l'écriture et la musique. Il y a un plaisir de la guerre, que seuls connaissent ceux qui ont tenu des armes, notamment des armes automatiques.

    Je frapperai sans relâche: c'est tout autre chose que par haine, comme l'affirmait récemment un fils d'archevêque à propos de ma Lettre aux Norvégiens sur la littérature et les victimes, qu'il n'a évidemment pas lue. Je frapperai ; il y va de ma vie, c'est-à-dire de cette somme de souffrance et de joies qui m'est propre et que je dédie sans relâche à la vérité.

    Richard Millet (Site officiel de Richard Millet, 4 décembre 2014)

     

     

     

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  • Formes de guerre, stratégies et déclin de l'Occident

    Les éditions Economica viennent de publier Formes de guerre, stratégies et déclin de l'Occident, un essai d'Olivier Entraygue, préfacé par Jean-Pierre Chevènement. Officier de l'armée de terre, Olivier Entraygues est un spécialiste de l’œuvre de J.F.C Fuller, penseur de la guerre britannique non-conformiste, oublié en France au profit de son cadet Liddell Hart. Il lui a consacré une étude, Le stratège oublié (Brèches, 2012) et a traduit un de ses livres, Les fondations de la science de la guerre (Economica, 2014).

     

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    " Cet essai de stratégie théorique définit les régimes d’historicité sous-jacents à la dialectique « histoire-pensée militaire ». À l’aide d’un outil-méthodologique nouveau, le diapolème qui est la diffraction du phénomène guerre, l’auteur s’efforce de penser la guerre dans sa globalité afin d’en définir la forme, c’est-à-dire sa nature et son caractère. Pour cela, en s’appuyant sur des macrocycles stratégiques et des microcycles tactiques, cet ouvrage propose une approche didactique afin de répondre à la question : comment enseigner la guerre ? C’est aussi une analyse prospective qui enserre la pensée stratégique dans sa temporalité. Ce cheminement intellectuel conduit à la notion de rupture stratégique qui esquisse le déclin de l’Occident.

     Ce livre est également une réflexion sur la philosophie de la stratégie puisque l’auteur a opté pour une méthode de questionnement : La guerre est-elle nécessaire à l’évolution de l’Homme ? À partir des lignes de forces tirées d’une étude critique de l’histoire, le lieutenant-colonel Olivier Entraygues propose une réflexion pertinente sur l’emploi de la force dans un conflit futur. Cette vision qui conjugue la temporalité de la pensée militaire au passé, présent et futur rappelle au lecteur que la conduite de la guerre, avant d’être une science ou un art, reste un acte social."

     

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