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etats-unis - Page 69

  • Hollande à Washington : était-ce bien nécessaire ?...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Jean-Paul Baquiast, cueilli sur Europe solidaire et consacré à la piteuse visite de François Hollande aux États-Unis...

     

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    Hollande à Washington. Était-ce bien nécessaire?

    Les visites d'Etat sont un rite utile dans toute diplomatie qui se respecte. Elles permettent au chef d'Etat visiteur de rappeler l'indéfectible amitié qui lie les deux pays. Elles permettent à ce même chef d'Etat visiteur de rappeler aux nationaux expatriés que la maison-mère ne les oublie pas...et que le gouvernement en exercice compte le moment venu sur leurs votes. Elles sont enfin l'occasion de contacts commerciaux, voire d'accords, dont certains déboucheront peut-être un jour.

    La visite de François Hollande à Barack Obama n'a pas manqué à cette tradition. Nous avons notamment eu droit une énième fois au rappel de la contribution de La Fayette à la révolution américaine, sans mentionner d'autres amabilités de cette sorte.

    Nous pouvons nous demander cependant si cette visite, précisément en ce début 2014, était bien nécessaire,. Elle aurait pu être repoussée un peu. Ou alors elle aurait du permettre à François Hollande de ne pas s'afficher en allié docile, se bornant à suivre voire précéder les Etats-Unis dans tous les méandres d'une politique internationale incohérente et dangereuse.

    Or rien n'a été dit, que nous sachions, de cette question. Ni concernant l'avenir du conflit syrien, ni concernant les relations (incestueuses) de l'Amérique avec les monarchies du Golfe, ni enfin concernant les manœuvres permanentes que mène Washington pour opposer la Russie aux Etats qui constituaient traditionnellement sa frontière occidentale. En Ukraine, il ne s'agit plus de manœuvres mais d'une véritable guerre soft. Que diraient les américains ou les européens si l'homologue russe de John Kerry débarquait chez eux pour y aider les oppositions à renverser les gouvernements en place?

    En dehors de l'Ukraine, l'Amérique conduit des politiques plus « covert » mais semblables, en direction de la Biélorussie, la Moldavie, la Géorgie, l'Arménie et l'Azerbaïdjan. Ceci avec l'aide des Etats de l'Union européenne les plus anti-russes. La France qui, quoique l'on en pense, pèse encore d'un certain poids en Europe, n'a-t-elle pas son mot à dire pour calmer le jeu ?

    En ce qui concerne la question diplomatique majeure résultant de l'espionnage des pays européens par la NSA, Obama avait déjà fait savoir que le sujet ne sera pas discutée avec Hollande, d'autant plus qu'il avait précédemment dit clairement aux services secrets américains et au Congrès qu'il n'avait en rien l'intention de limiter les intrusions américaines chez les « alliés ».

    Pour le reste, coopération économique internationale, négociations de libre échange, défense de l'environnement et lutte contre l'effet de serre ..., il est clair également que Obama ne fera rien pour tenir compte des points de vue de la France. Aussi bien d'ailleurs, il est également clair que Hollande n'a abordé ces questions que par des allusions discrètes.

    Une faute grave.

    En prenant un peu de recul, on peut se demander ce que Hollande cherche en affichant un si total accord avec ce lame duck ou canard boiteux qu'est devenu Obama. Très fragilisé lui-même, il ne verra pas son poids international s'en accroître.

    Dans le même temps, faut-il le rappeler, le Président de la République française avait refusé de se rendre à l'inauguration des Jeux Olympiques de Sotchi formulée par Vladimir Poutine. Il ne s'agit pas d'une bagatelle, ni même d'une erreur, mais d'un faute grave. Non seulement la France s'affiche ce faisant au premier rang de ceux qui de par le monde font du Poutine bashing une politique systématique; mais la France heurte directement les quelques amis qu'elle avait pu conserver en Russie.

    Ceci à un moment où elle aurait le plus intérêt à contribuer au rapprochement de la Russie avec l'Europe. Nous avons plusieurs fois ici exprimé l'opinion que dans un monde de plus en plus en crise, des partenariats stratégiques avec les pays du BRIC s'imposaient à l'Europe. Or au sein du BRIC la Russie est la plus proche de nous. Si une Eurasie se construit, et si la France continue à jouer le caniche de l'Amérique, nous n'en ferons pas partie.

    Jean-Baquiast (Europe solidaire, 11 février 2013)

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  • L’Ukraine, nouvelle étape dans la stratégie de domination américaine ?...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous une analyse de la crise ukrainienne par Aymeric Chauprade, cueillie sur Realpolitik.

    Aymeric Chauprade a récemment publié une nouvelle édition de son ouvrage Chronique du choc des civilisations.


    L'Ukraine, nouvelle étape dans la stratégie de... par realpolitiktv

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  • La résistance indienne aux Etats-Unis...

    « Il est de coutume, dans les milieux libéraux, de dire que la grande supériorité de la Révolution Américaine sur la Révolution française, c'est qu'elle n'a pas fait de victimes. La Terreur en France fit 42 000 morts ; le génocide indien dix millions.

    Alors, mesdames et messieurs, honneur aux vrais Américains ! Honneur à Powathan, le roi des Algonquins ! Honneur à Petite Tortue, chef des Indiens Miamis ! Honneur au Chef Joseph, le Nez-Percé, mort en déportation ! Honneur à Tecumseh, chef des Shawnees et fédérateur des tribus ! Honneur à Geronimo, mort en prison ! Honneur à Cochise, mort dans " sa réserve " ! Honneur à Chaudron Noir, le Cheyenne, sabré par les troupes de Custer à la Washita ! Honneur à Cheval Fou, dont le cour est enterré à Wounded Knee ! Honneur à Nuage Rouge ! Honneur à Taureau Assis ! »

    Alain de Benoist (Actes du XXVème colloque national du GRECE, 1992, Etats-Unis : danger !)

     

    Les éditions Gallimard viennent de rééditer dans leur collection de poche Folio un ouvrage d’Élise Marienstras, publié initialement en 1979 et intitulé La résistance indienne aux États-Unis. Professeur d'université, Elise Marienstras est historienne et spécialiste des débuts des Etats-unis.

     

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    " Ce livre raconte «une autre histoire» : parcourant cinq siècles, il présente, à partir aussi bien de textes d'une actualité proche que de récits plongeant dans les temps immémoriaux du mythe, la résistance d'un peuple à la négation de son existence. Le récit de leur résistance tenace à la colonisation et à la tentative d'extermination permet d'entendre directement leur parole, de les observer dans l'action, de les retrouver comme les partenaires d'une histoire commune où Euro-Américains et Amérindiens ont chacun joué leur rôle. Vus sous cet angle, les Amérindiens paraissent exemplaires : ils se sont opposés avec constance au vol de leurs terres, à la violence exterminatrice, à l'anéantissement de leurs structures sociales et de leurs cultures, saisissant les armes les plus propices - guerre, guérilla, recours légal, usage inversé de l'acculturation, ressourcement aux racines de la spiritualité ancestrale. Exemplaires dans leur refus de séparer la lutte pour la survie du combat pour l'identité, les Amérindiens concrétisent, par l'affirmation de leurs propres valeurs, le doute qui saisit le monde actuel sur le bien-fondé des civilisations technologiques, l'exploitation abusive des ressources naturelles, l'enfermement de l'homme blanc dans une vie consacrée au seul profit matériel. "

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  • Contre le partenariat transatlantique !...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Jean-Paul Baquiast, cueilli sur le site Europe solidaire, qu'il anime, et consacré au traité de partenariat transatlantique. Jean-Paul Baquiast est également le responsable du site d'informations scientifiques Automates intelligents.

     

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    Contre le partenariat transatlantique

    Les négociations entre l'Union européenne et les Etats-Unis sur le Partenariat transatlantique de commerce et d'investissement (PTCI) ont débuté cet été, malgré les réserves, tout au moins en France, de nombreux représentants politiques, chefs d'entreprise et dirigeants de syndicats. Ils considèrent cette démarche comme un abandon de plus des compétences européennes face à une concurrence américaine "libre et non faussée" qui ressemble de plus en plus à une mise en coupe réglée, compte tenu des différences de forces entre les futurs partenaires. Il n'empêche. Avec l'implication personnelle du président de la Commission européenne, Jose Manuel Barroso qui en espérerait le soutien américain pour une promotion dans une institution internationale, le mouvement s'accélère. Le gouvernement français pour sa part semble étrangement indifférent. Ceci pourtant au moment où les révélations de Edward Snowden montrent l'ampleur de la guerre économique menée par les Etats-Unis, via la NSA et d'autres agences, aux dépens des industries et des économies européennes. Certains objectent que le TTIP (Transatlantic Trade and Investment Partnership ) ou PCTI (Partenariat transatlantique de commerce et d'investissement) favoriserait symétriquement les divers partenaires à l'échange. C'est évidemment faux. Les intérêts français n'atteignent en aucun cas la taille critique leur permettant de se battre à égalité. Ceci non seulement dans le domaine économique mais dans le domaine politique et diplomatique, où leurs futurs partenaires américains bénéficient d'un soutien sans faille du Département d'Etat et du Ministère de la Défense, grand acheteur comme l'on sait. Certes, en Europe, une partie du patronat européen et de la banque, bien représentée dans les média, espère qu'à l'occasion de ce partenariat transatlantique seront démantelées les diverses mesures mises en place depuis 30 ans pour maintenir un reste d'équilibre entre l'investissement public et l'investissement privé, comme plus généralement entre le social et l'économique. La table-rase actuellement imposée à la Grèce par l'UE et la Banque centrale pourrait ainsi être généralisée dans l'ensemble de l'Europe. Mais ce soutien représente une raison de plus pour rejeter les négociations. L'indépendance et les perspectives de relance de l'Europe auront tout à y perdre – sauf à admettre que les entreprises et les banques européennes sont vouées à devenir de simples succursale de leurs concurrentes américaines. On fait également valoir que les Asiatiques sont moins frileux que les Européens, puisqu'ils semblent s'engager avec enthousiasme dans l'équivalent du TTIP pour la zone Pacifique, le TPP. Mais d'une part la taille et la compétitivité des entreprises asiatiques sont malheureusement en général sans comparaison avec celles des entreprises européennes. D'autre part, même en Chine, des réticences commencent à se faire sentir. La véritable colonisation des secteurs de pointe chinois par des entreprises et capitaux américains commence à alerter les opinions. On fait enfin valoir que les Européens n'ont pas de raison de s'inquiéter, parce que le soutien donné au TTIP et au TPP par les Américains semble s'effriter. Les membres du Congrès, notamment, découvriraient que beaucoup de leurs électeurs dans les secteurs économiques traditionnels ne partagent pas l'enthousiasme de la Maison Blanche, en perdition dans tous les autres domaines, pour une rapide conclusion des négociations.

    Mais il ne faut pas compter la-dessus. Le Big Business et la grande banque américaine ne seront pas fâchés de se débarrasser à la fois de la concurrence européenne et des lourdeurs de certains secteurs traditionnels provenant de l'Amérique profonde. Ils ne renonceront donc pas à mener et tenter de gagner la « guerre des Traités ».
    Il n’empêche. Tous les arguments présentés ici, et bien d'autres, pour refuser les négociations ou les faire indéfiniment traîner en longueur, semblent se heurter à un mur d'indifférence, tant à Bruxelles qu'à Paris. Il faudra s'y résigner. Il ne s'agira que d'une nouvelle phase dans le suicide de l'Europe.

    Jean-Paul Baquiast (Europe solidaire, 11 janvier 2014)

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  • Tour d'horizon... (60)

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    Au sommaire cette semaine :

    - sur Marianne, Jack Dion revient sur la conduite des négociations de l'accord de partenariat transatlantique...

    L'agent du néolibéralisme fou

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    - sur le site de l'OJIM, on peut découvrir un panorama particulièrement intéressant dde l'histoire et des évolutions idéologiques du quotidien Libération...

    40 ans de Libération : des maos aux bobos

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  • Bonne année aux sots !...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Jean-Paul Baquiast, cueilli sur le site Europe solidaire et consacré aux révélations d'Edward Snowden sur la mise au point par la NSA d'un ordinateur quantique, véritable graal dans le domaine de la recherche en informatique...

    Jean-Paul Baquiast est l'animateur du site Europe solidaire, ainsi que du remarquable site d'actualité technoscientifique Automates intelligents

     

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    L'ordinateur quantique de la NSA

    Dès janvier 2004, nous présentions en détail (1) les promesses et les difficultés de réalisation d'un ordinateur quantique pleinement développé. Nous indiquions également que, pour assurer sa cohésion et sa croissance, l'Europe, qui en a les moyens, devait s'inscrire dans cette course au Saint Graal de la science et de la technique. Il n'est pas de difficultés qui ne se résolve quand on fait l'effort nécessaire. A preuve le succès du premier homme sur la Lune, inenvisageable sérieusement au début du 20e siècle. Cet article, bien que lu par plusieurs centaines de milliers de personnes, selon nos statistique, n'avait suscité en France aucune réaction. Sans doute parce que personne n'avait la culture politico-technologique pour en comprendre la portée - encore que cette culture, ne nous vantons pas, était , comme le montre notre exemple, à la portée de presque chacun.

    Aujourd'hui, dans la suite des révélations Snowden/NSA annoncée par le trio Snowden/Greenwald/ Poitras - dont certaines encore plus importantes seraient selon eux prêtes à être divulguées - on apprend que la NSA développe un tel ordinateur quantique. Or quand la NSA et derrière elle le système politico-industriel américain et celui dit de Sécurité Nationale, investissent des trillions de dollars dans un objectif, ils l'obtiennent. Preuve en est que la NSA, la CIA et autres agences de renseignement, associées aux entreprises américaines qui contrôlent le Net, disposent désormais dans leurs serveurs d'un univers de Big Data leur permettant de connaître et de cibler les activités de chacun d'entre nous. Il est vrai que cela ne leur suffisait pas. La découverte, par les gouvernements et les citoyens de ce nouveau « goulag électronique » a relancé les efforts de certains Etats et de certaines entreprises pour développer des investissements de cryptologie encore plus difficiles à « casser » que ceux aujourd'hui disponibles. (2)

    Il était bien évident que la NSA et le Système de Sécurité Nationale américain n'allait pas laisser faire. Nous savions dès 2007 que la Darpa et le ministère de la Défense finançaient des recherches dans le domaine de l'ordinateur quantique, en collaboration avec la firme D.Wave. (3) Clairement, ils n'allaient pas se limiter à réaliser des ordinateurs quantiques de seulement quelques q.bit. Les révélations NSA/Snowden, qui viennent d'être documentées par le Washington Post (4) puis par toute la presse (5), montrent que l'effort est d'une toute autre ampleur, et sans doute déjà en partie couronné de succès.

    Un tel outil, aux mains de la NSA, même s'il n'est pas encore complètement développé (il sera toujours perfectible) constitue déjà une menace pour le reste du monde, si du moins celui-ci veut échapper à l'emprise du Système de Sécurité Nationale américain. Non seulement il pourra ruiner tous les efforts mondiaux de cryptographie, mais il donnera à ce Système, associé au Système politico industriel, des moyens de calculs permettant d'augmenter encore leurs performances et leurs ambitions, tant dans la défense que dans les domaines spatiaux, scientifiques et technologiques. Inutile de dire que l'Europe, pour ce qui la concerne, n'aura d'autres choix que disparaitre en tant qu'entité propre, à moins d'accepter de devenir dans les domaines de faible importance stratégique un simple satellite de l'Amérique.

    Les arguments de l'incompétence

    Comme précédemment, les Européens et en tous cas les Français, gouvernement en tête, estimeront du haut de leur incompétence que le risque est très surestimé, voire illusoire. Un série d'arguments est déjà présentée en ce sens. Evoquons les principaux, en indiquant selon nous leur fausseté :

    L'ordinateur quantique ne sera pas réalisable avec des années. On cite à cet égard les éminents spécialistes que sont Seth Loyd (6) et David Deutch (7). Répondons que ceux-ci ne sont sans doute pas informés des investissements faits récemment dans ce domaine, à coups de milliards de dollars, par la NSA. Quant à notre expert national, le Prix Nobel de physique Serge Haroche, il n'a même pas voulu répondre à notre question sur ce thème.

    La NSA est en train d'être reprise en mains par Barack Obama. Il s'agit d'une illusion, comme le montrent les inquiétudes croissantes des milieux « libertariens » américains. Obama et le gouvernement fédéral ne feront rien en ce sens. Même si certaines restrictions de crédit ou d'influence étaient imposées à la NSA, elles n'atteindront en rien le coeur du système de Sécurité Nationale appuyé sur les ressources informatiques immenses accumulées. L'argument de la lutte contre le terrorisme, de toutes façons, découragera tout effort sérieux pour brider la NSA. Merci Allah.

    L'Amérique partagera. L'ordinateur quantique apportera très vite de tels bénéfices, non seulement en cryptologie, mais comme évoqué plus haut dans les domaines scientifiques et technologiques, que la course à la puissance quantique, comme précédemment la course à la Lune, deviendra un enjeu si grand que toutes les forces du pays y seront consacrées, sous la protection bienveillante de l'armée et de la police. De plus, comme dans le domaine de l'Espace, le système de pouvoir américain ne partagera avec personne, même avec les prétendus proches alliés, les succès obtenus. Quant à la Russie, la Chine et les autres BRICs, elles ne doivent se faire d'illusion. Le retard accumulé ne se rattrapera pas.

    Nous ne pouvons donc que souhaiter, en ce début janvier 2014, une bonne et heureuse années aux sots qui ne se rendent pas compte à quel point l'équilibre du monde est en train de changer, au bénéfice non pas de la prétendue Humanité, mais pour les seuls profits de l'étroite minorité qui contrôle cette Humanité, grâce à la puissance financière et scientifique accumulée. Les sots trouvent toujours moyen d'être heureux. Grand bien leur fasse.

     

    Jean-Paul Baquiast (Europe solidaire, 6 janvier 2013)

    Notes

    1) Automates Intelligents. Pour un grand programme européen, l'ordinateur quantique.

    2) Voir The Year in Crypto

    3) Voir sur le site Agoravox, qui n'a pourtant guère d'ambitions scientifiques, un article de février 2007.

    4) Voir Washington Post.

    5) Voir Le Figaro.

    6) Automates Intelligents. Seth Loys, Programing the Universe.

    7) Automates Intelligents David Deutch The Beginning on Infinity.

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