Vous pouvez découvrir ci-dessous l'entretien donné à Sylvain Durain sur Tocsin par Piero San Giorgio, à l'occasion de la sortie de son essai Survivre à la peur (Culture & racines, 2024), et par Laurent Obertone, son préfacier.
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Vous pouvez découvrir ci-dessous l'entretien donné à Sylvain Durain sur Tocsin par Piero San Giorgio, à l'occasion de la sortie de son essai Survivre à la peur (Culture & racines, 2024), et par Laurent Obertone, son préfacier.
Les éditions Culture & Racines viennent de publier le premier tome du nouvel ouvrage de Piero San Giorgio intitulé Survivre à la peur, avec une préface de Laurent Obertone.
Figure de proue dans le monde francophone d'une forme de survivalisme ou de décroissance identitaire, Piero San Giorgio est notamment l'auteur de Survivre à l'effondrement économique (Le Retour aux sources, 2011 et Culture & Racines, 2022) et de Rues barbares (Le Retour aux sources, 2012 et Culture & Racines, 2020).
Guerres, inflation, crises financières, pandémies, violences, pénuries, insécurité chronique... Voilà de quoi l’avenir semble être fait. Il y a effectivement de quoi flipper ! Avez-vous suffisamment de contrôle sur vous-même pour survivre à une crise majeure ? Savez-vous vraiment maîtriser votre PEUR ?
Depuis la crise sanitaire, beaucoup d’entre nous ont perdu confiance dans les institutions. La défiance vis-à-vis d’un État de plus en plus incompétent et spoliateur est en augmentation constante. Mais cette séquence aura également révélé notre incapacité à dominer notre PEUR. Ce qui a provoqué aveuglement, désorganisation, crédulité, aliénation, sujétion, hystérie, exclusion, guerre civile larvée, fanatisme, voire folie et illusion… et cela pourrait être pire la prochaine fois !
Alors, à quoi bon se préparer si on ne peut pas faire face en tant qu’individu ni en tant que collectif ? Et si le pouvoir instrumentalisait nos PEURS contre nos intérêts ? Et si nous devions d’abord nous survivre à nous-mêmes pour mieux survivre aux catastrophes ? Ce sont ces interrogations qui ont motivé le présent ouvrage, fruit de plusieurs années de travail et de réflexion.
Piero SAN GIORGIO nous plonge aux origines de la PEUR et il ne nous épargne rien ! D’abord au travers d’une étude alliant considérations neurologiques, biologiques et historiques afin de mieux appréhender nos craintes parfois irrationnelles. Son propos est ensuite agrémenté par des entretiens avec des spécialistes de renommée mondiale. Enfin, il propose plusieurs méthodes qui vous permettront d’affronter votre PEUR, de la transformer puis de la dépasser pour… y survivre !
Les éditions de La Nouvelle Librairie viennent de publier un recueil de chroniques polémiques de Bruno Lafourcade intitulé L'Intervalle entre le marchepied et le quai.
Écrivain talentueux, à la plume incisive, chroniqueur de la revue Éléments, Bruno Lafourcade a publié ces dernières années, plusieurs romans, L'ivraie (Léo Scheer, 2018), Saint-Marsan (Terres de l'ouest, 2019), Tombeau de Raoul Ducourneau (Léo Scheer, 2019) et Le Portement de la Croix (Jean-Dézert, 2022), trois pamphlets, Les nouveaux vertueux (Jean-Dézert, 2017), Une jeunesse, les dents serrées (Pierre-Guillaume de Roux, 2019), et La Littérature à balles réelles (Jean Dézert, 2021), un polar, Le Hussard retrouve ses facultés (Auda Isarn, 2019) et deux recueils de chroniques ou de pièces brèves, Les Cosaques & le Saint-Esprit (La Nouvelle Librairie, 2020) et Sac de frappe (Jean Dézert, 2022).
" Après Les Cosaques & le Saint-Esprit, Bruno Lafourcade récidive avec un deuxième et décapant volume de chroniques. Les événements des dernières années et leur cortège d’inanités prêtent le flanc à une satire mordante qu’accompagne une profondeur d’analyse bienvenue. « Prenez garde à l’intervalle entre le marchepied et le quai » pourrait résumer notre époque absurde : alors que les peurs légitimes sont ramenées à des fantasmes, nous sommes bombardés de mises en garde contre des risques dérisoires. C’est le paradoxe du temps : du lactose au gluten, tout est dangereux, sauf nos ennemis déclarés, les terroristes qui assassinent, les criminels que l’on absout. De notre civilisation en train d’imploser, l’auteur tire cette morale implacable : la société du care est une société du crime. "
Nous reproduisons ci-dessous un point de vue d'Hervé Juvin, cueilli sur son site personnel et consacré au risque lié aux dérives de l'écologie...
Économiste de formation et député européen, Hervé Juvin est notamment l'auteur de deux essais essentiels, Le renversement du monde (Gallimard, 2010) et La grande séparation - Pour une écologie des civilisations (Gallimard, 2013). Il a également publié un manifeste localiste intitulé Chez nous ! - Pour en finir avec une économie totalitaire (La Nouvelle Librairie, 2022).
Le risque écologique
Qui ne l’aperçoit ? L’écologie devient haïssable. Les écologistes la rendent haïssable. Ils ont fait de la science à laquelle ils se réfèrent abusivement la plus grande menace que la majorité des Européens voit peser sur son mode de vie, sur sa joie de vivre, et sur cette beauté qui continue d’être son privilège quotidien. À force d’agresser ceux qui aiment la viande, roulent en voiture et prennent des bains chauds, les Verts font tout pour dégoûter les Français comme les Européens de l’écologie. Et le résultat sera là cet hiver ; devant une crise du pouvoir d’achat et du mode de vie, largement imputables aux folies anti-nucléaires, tout électrique et globalistes, les citoyens européens vont massivement rendre à raison les Verts responsables, et bien à tort, l’écologie complice de leurs malheurs quotidiens. En clair ; les Verts sont devenus les premiers ennemis de l’écologie. Toute politique écologique nationale se fera contre eux, au nom de la science qu’est l’écologie, au nom du bien vivre sur son territoire qui est le sens du combat écologique, au nom des limites et des frontières qui sont les conditions indépassables de la survie des écosystèmes !
Quatre dangers menacent de ruine l’écologie, science de l’environnement, savoir calme du bien vivre chez soi, patient apprentissage d’être d’ici et des siens.
Hold up de l’ultra gauche
Le premier est le hold up que l’ultra gauche a entrepris et réussi à ce jour, sur l’écologie. Le mélange entre les choix politiques de l’ultragauche et l’écologie est exécrable, et d’abord parce qu’il est une négation de l’écologie humaine. L’écologie, science des systèmes vivants complexes, ne peut être favorable aux mouvements incontrôlés de population. Les afflux de population dans un écosystème donné sont porteurs d’une pression accrue sur les ressources limitées dont il dispose. Ils sont une négation des biens communs, cet héritage de générations qui transmettent aux leurs ce qu’ils ont conquis pour eux.
La mobilité des populations à travers les frontières nie le rapport intime, unique d’un homme avec la terre sur laquelle il est né. Elle est la fourrière de l’artificialisation des conditions de vie — de la fabrique de l’homme hors sol. Un système vivant ne subsiste que parce qu’à travers la membrane, la peau ou la frontière, il trie ce qui de l’extérieur lui apporte, ce qui de l’extérieur le menace. L’idéologie migratoire participe à l’artificialisation des relations entre les hommes et le climat, le territoire, les saisons, qui est une négation de l’écologie. L’égalitarisme des « droits à… » est lui aussi profondément antinomique avec la priorité écologique. Non, 60 millions de Français ne peuvent avoir accès à toutes les plages de France !
La préservation des biens communs suppose le contrôle des accès et des usages, la priorité aux communautés locales, un droit des résidents supérieur à celui des nomades ou des nouveaux arrivants. Les socialistes devraient davantage y réfléchir ; sauf à reconnaître le droit des communautés à contrôler leur territoire et ses ressources, la seule régulation vient de l’argent — plages payantes, parking payants, immobilier hors de prix pour les populations locales, etc. Est-ce le modèle que nous voulons pour la France ?
La rente de la peur
Le second est le catastrophisme irresponsable d’ONG, d’associations, et aussi d’élus, qui attisent les peurs et comptent sur des paniques collectives pour réaliser leur agenda. Jouer sur les peurs est toujours la recette des totalitarismes. Nous sommes loin du « catastrophisme éclairé » cher à Jean-Pierre Dupuy (2009) ! Quand elles s’adressent à des mineurs ; « la planète brûle, papa que fais-tu ? » et poussent des enfants de dix ans à se réveiller en pleurant d’angoisse, ces opérations sont des manipulations indignes et doivent être condamnées. Les apostrophes de Greta Thunberg — qui est Greta Thunberg ? — appellent cette seule question ; qui l’a fabriquée ? Qui la finance ? Quels intérêts emploient cette marionnette, et déjà remisée au rang des accessoires ? Les usines de la peur ne sont pas moins dangereuses quand elles s’adressent aux populations. Dans la mesure où elles diffusent des informations fausses, exagérées ou tronquées, elles mettent en risque toute la crédibilité de la science qu’est l’écologie — rappelons Georges Steiner ; une affirmation qui ne peut pas être contredite n’est pas scientifique.
Comme elles sont généralement incapables de proposer des solutions à la hauteur des problèmes évoqués — ce n’est pas en prenant des douches froides que le problème de l’eau sera résolu, et l’Europe est bien placée pour savoir que les énergies dites renouvelables ne sont pas la solution, mais une partie du problème ! Le temps n’est pas loin où la complicité de trop d’organisations « vertes » avec des intérêts privés obligera chacun à se poser la question ; et si la prétendue « écologie » n’était que le moyen d’une politique de la peur, au service d’intérêts privés évidents ? Evidents, comme ceux qui ont détruit la suprématie de l’industrie automobile allemande et française au profit d’Elon Musk — l’homme le plus riche du monde ! —, comme ceux qui interdisent l’exploitation des algues en France, pour ne pas concurrencer l’oligopole allemand de l’alimentation animale et des engrais, comme ceux qui ont mobilisé la population allemande contre le nucléaire, moyen incontournable d’une indépendance énergétique qui aurait consacré la primauté mondiale de l’industrie allemande, comme ceux qui utilisent les migrations de masse pour en finir avec l’unité ethnique des peuples d’Europe et saper la volonté de se battre de nos Nations.
L’atlantisme vert
Le troisième est lié à l’atlantisme forcené des partis dits « Verts » au parlement européen et dans la vie nationale. Les Verts sont les premiers à faire la leçon sur les droits humains, la protection des minorités, etc. Les premiers à entretenir la guerre en Ukraine, à justifier les ingérences des Fondations et ONG, à soumettre les Nations à l’universalisme frelaté de Wall Street de la City. Il en est qui chérissent les tribus brésiliennes pour mieux punir les Français. Il en est qui, au nom de la juste défense de l’indépendance nationale de l’Ukraine, se font les complices des trusts et des mafias qui ont assuré le contrôle du tiers environ de toutes les terres arables ukrainiennes, les meilleures du monde, aux oligarques américains, des Kerry aux Biden ! Et de promouvoir le « biofuel », carburant « vert », qui détruit des millions d’hectares de forêts en Asie, en Afrique et en Amérique latine pour enrichir leurs financiers !
D’autres défendent l’intégrité territoriale de Taiwan ou de l’Ukraine, mais n’ont pas un mot pour le pillage du gaz et du pétrole syrien par le corps expéditionnaire américain, ou pour l’escroquerie qui peut priver demain le Liban de ses ressources gazières et bloque déjà ses comptes bancaires! Il en est qui font la leçon à l’Europe sur les migrants, mais servent le marché européen à un Elon Musk qui revendique ouvertement des coups d’État là où des gouvernements élus le privent de ses mines de lithium (comme Evo Morales en Bolivie) !
Et ceux qui entendent interdire de parole toute critique du Green Deal, du Farm to Fork, du « tout électrique » et autres fantaisies européennes dictées d’outre-Atlantique, sont sourds aux cris qui montent de partout ; laissez-nous vivre ! Selon nos mœurs, nos traditions, nos goûts ! Selon nos choix, nos préférences collectives, et ces particularités remarquables qui font la richesse de nos Nations ! Le débat est existentiel. La vision américaine de la protection de l’environnement — le wilderness, interdit aux hommes ; et tout le reste, livré au développeurs ! — est antinomique avec le savoir vivre millénaire du paysan français et européen qui façonne son environnement autant qu’il est façonné par lui. Le progrès n’est pas la séparation entre les hommes et ce que l’on appelle à tort « « environnement », et qui est notre foyer — la source intarissable de ces bonheurs quotidiens qui ne s’achètent pas. Il est dans une réconciliation aux antipodes de l’amour américain pour les « fake things », le plastique et le béton.
La nouvelle religion
La quatrième est d’une tout autre nature. Le 6 septembre dernier, Radio France annonçait sa décision de devenir verte. Plus de place sur les ondes pour le débat sur le changement climatique, la promotion des conclusions du GIEC est de rigueur, et la conversion des journalistes aux règles de sobriété environnementales est exigée. En clair ; une vérité officielle est proclamée, et il n’y a pas place ni de parole en dehors d’elle. La question n’est pas celle de la validité des travaux du GIEC, objet de la plus large association de scientifiques jamais réalisée, et d’ailleurs à peine contestée à ses marges. La question n’est pas non plus celle de la réalité d’un dérèglement climatique partout attesté, des rizières de Madagascar aux forestiers d’Alaska, et du Pacifique à la Méditerranée ! Que ceux qui n’ont jamais vu la couche de pollution à l’atterrissage sur Delhi, Pékin ou Paris, nient l’impact des activités humaines sur l’air et le climat !
La question est que la méthode est celle des régimes totalitaires. La question est celle des vérités officielles, qui suscitent d’elles-mêmes défiance, contestation et refus — que les enseignants chargés de faire l’histoire de la Seconde Guerre mondiale en témoignent ! Elle signale un affaiblissement démocratique considérable ; nous en avons bien fini avec le libre examen, la liberté de conscience et d’opinion ! et elle place l’écologie en tant que cible ; plus une science, dont chaque affirmation doit être prouvée, éprouvée et démontrée sans cesse, mais une religion, qui relève du sacré, et dont les articles de foi ne peuvent être questionnés sans sacrilège !
A quand des fatwas contre ceux qui ne s’alignent pas sur la vérité écologique proclamée par WWF, Greta Thunberg, Oxfam et Escrocs Inc ? A proclamer des vérités officielles, l’écologie suit une pente qui sape sa crédibilité, fait d’elle la cible des esprits libres, et peut lui aliéner cette majorité de la population qui constate où la conduisent les mensonges d’État qui lui sont assénés — écoutez le Président Emmanuel Macron justifier la fermeture de Fessenheim par la proximité avec l’Allemagne ! Le chemin détestable suivi par les lois mémorielles nous conduit à la suppression progressive de toutes les libertés de conscience et d’expression. La menace du juge écrase le débat politique. Il est grave que l’écologie entre dans ce processus qui dénie le propre de l’homme — la capacité de se faire son opinion. Par lui-même et pour lui-même.
Les Zuckerbeg, Bezos ou Attali sentent bien la menace ; et si les Français pensaient par eux-mêmes ! Et tous les moyens du totalitarisme numérique se mobilisent pour revenir sur l’un des acquis décisifs des révolutions ; la liberté d’opinion ! L’autonomie est le refus de toute vérité révélée, la capacité à remettre en question tous les dogmes et toutes les figures sacrées, qu’elles soient historiques (les « lois mémorielles » utilisées pour empêcher le débat et terroriser les opposants), religieuses (la fatwah contre Salman Rushdie a son équivalent dans les persécutions subies par tous ceux qui contestent les nouveaux dogmes, qu’ils soient LGBT, immigrationnistes ou européens) ou sanitaires (les mesures de licenciement abusif, d’enfermement administratif, voire de privation de liberté, dont ont été victimes ceux qui refusaient le prétendu « vaccin » contre le COVID témoignent d’un nouveau champ du sacré, lié au corps, à la santé, et au refus éperdu de la maladie et de la mort).
Que l’écologie devienne la source de nouveaux dogmes, devant lesquels il n’y a qu’à s’incliner avec une pieuse révérence, sans les questionner, les interroger, et les confronter à l’expérience, signifie que l’écologie n’est plus une science. Cette dénaturation est de grande importance. L’écologie comme fabrique d’une vérité officielle devient haïssable, elle perd son autorité légitime, et sera combattue comme escroquerie instrumentalisée — car nous n’échapperons pas à la question ; qui gagne à l’escroquerie écologique européenne qu’est le « Green Deal » ? L’écologie comme parti peut tuer l’écologie comme science. Il est à craindre que ce crime parfait soit déjà bien engagé, pour qui est conscient de la somme d’absurdités à laquelle la couleur « verte » a servi d’habillage, de l’assujettissement de l’Europe aux injonctions venues des États-Unis à la préférence irrationnelle pour le moteur électrique, de la casse du nucléaire à la destruction des mécanismes de prix pour l’énergie.
L’écologie doit redevenir ce qu’elle est ; la science du bien vivre chez soi parmi les siens. Science de l’apaisement du rapport à notre foyer, la terre, la vie animale et végétale, et la succession des générations. Science de l’apprivoisement réciproque entre ceux que nous sommes et toutes les formes de vie qui nous avoisinent, qui partagent notre vie, et sans lesquelles nous ne serons pas. Et par-dessus tout, science de l’émerveillement devant le temps qui passe, la succession des saisons, la vie et la mort, et tout ce qui n’a de prix sur aucun marché du monde.
Hervé Juvin (Site officiel d'Hervé Juvin, 8 septembre 2022)
Au sommaire cette semaine :
- sur Hashtable, H16 dézingue le gouvernement qui réenclenche la politique de la peur...
- sur son blog personnel, Maxime Tandonnet allume les responsables de la débâcle de notre poliytique énergétique depuis plus de dix ans...
Le nouveau numéro de la revue Conflits (n°32, mars-avril 2021), dirigée par Jean-Baptiste Noé, vient de sortir en kiosque. Le dossier central est consacré à la peur, dans sa dimensin géopolitique.
Au sommaire de ce numéro :
ÉDITORIAL
Sept ans de regard sur le monde, par Jean-Baptiste Noé
CHRONIQUES
LE GRAND ENTRETIEN
Catherine Poujol. Asie centrale : l'appétit des puissances
IDÉES
Amilcar Cabral, la révolution en pensée et en action, par Gérard Chaliand
PORTRAIT
Klaus Schwab et le reset de Davos, par Michel Faure
ART ET GEOPOLITIQUE
Stratégies de manipulation des milieux intellectuels et artistiques ; peur, sidération et confusion (1947-1991), par Aude de Kerros
ENJEUX
GRANDE STRATÉGIE
La guerre en ville. Stratégies obsidionales, par Pierre Santoni
HISTOIRE BATAILLE
Bannockburn (23-24 juin 1314). Qui s'y frotte s'y pique, par Pierre Royer
GÉOPOLITIQUE ET ENTREPRISE
RIEN QUE LA TERRE
VUE SUR LA MER
CHRONIQUES
CHEMINS DE FRANCE
LIVRES
GÉOPO-TOURISME
LIRE LES CLASSIQUES
DOSSIER
La peur : un élément de la géopolitique qui structure les sociétés et les peuples
La peur comme origine des États et de l'ordre social, par Thibaut Gress
Les grandes peurs des temps modernes, par Sylvain Gouguenheim
Quand le peuple fait peur, par Paul Godefrood
La rumeur et la peur : le plus vieux média du monde, par Laurent Gayard
Les lieux qui font peur, par Thierry Buron
Les peurs environnementales : du froid au chaud, par Jean-Baptiste Noé
La Russie, l'épouvantail de l'Europe occidentale, par Hadrien Desuin
La Chine : la grande peur des hérétiques, par Emmanuel Dubois de Prisque