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Métapo infos - Page 240

  • Feu sur la désinformation... (400)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, et Jules Blaiseau.

    Au sommaire :

    • 1 - L'image de la semaine
      L’image consternante de la découverte de plus d’un million et demi d’euros dans une perquisition à Bruxelles menée dans le cadre d’une enquête sur la corruption d’élus européens dans l’attribution de l’organisation de la Coupe du Monde au Qatar !.
    • 2 - France-Maroc : mais que cache le football ?
      En unique sujet de la semaine, le conflit civilisationnel qui s’est joué, pour une partie du monde arabe, derrière le match France - Maroc mercredi soir et les émeutes qui en ont découlé. Rassurez-vous, nous ne manquerons pas non plus d’évoquer les troubles suscités par la victoire antérieure du Maroc sur le Portugal.
    • 3 - Revue de presse
      Des nouvelles sur les médias, de bons articles à lire et des histoires manipulées par la presse.

     

                                                 

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  • Déconstruire l'idéologie woke...

    Les éditions Synthèse nationale viennent de publier un essai de Bernard Germain intitulé Déconstruire la woke idéologie. Bernard Germain a été ingénieur dans le domaine des télécommunications.

     

    Germain_Déconstruire la woke idéologie.jpg

    " Le « wokisme »… mot bizarre qui veut dire « éveillé », est la nouvelle idéologie qui frappe la France et l’Europe, c’est à dire la société occidentale, après s’être répandue comme une traînée de poudre aux USA. Elle y fait des ravages.

    Cette idéologie est basée sur une grille d’analyse et de lecture « révolutionnaire » de la société, ce qui ne veut nullement dire « positive » mais nouvelle, remettant en cause l’ancienne.

    Adieu la lutte des classes, maintenant place à la race, aux minorités et l’interaction de leurs luttes. L’ennemi suprême étant l’homme « blanc » qu’il faut éradiquer.

    N’allez pas croire qu’il ne s’agit que « d’idées » et qu’à ce titre la bonne attitude serait de mépriser cette « histoire de fous ». Cette idéologie « totalitaire », au sens propre du terme, est un terrible danger pour notre société occidentale et même pour l’existence et la persistance de la démocratie elle-même.

    Le wokisme a déjà obtenu des avancées significatives, remettant en cause, des principes qu’on pensait immuables et même notre éthique. Par exemple avec la PMA, la GPA et demain avec l’eugénisme. Le but du wokisme est clairement la destruction de notre société, en commençant par la déconstruire morceau par morceau. La lâcheté des gouvernants, la complicité des « progressistes » et de l’essentiel des partis politiques de « gauche » jusqu’à la « droite républicaine », lui facilitent la tâche.

    Ce livre a pour objet d’exposer ce qu’est le wokisme, au travers de l’étude de plusieurs thèmes majeurs. Le lecteur y trouvera des arguments pour combattre cette idéologie mortifère basée sur des mensonges éhontés. Mener le combat, pied à pied, contre cette idéologie est devenu une priorité absolue si nous voulons que notre civilisation européenne perdure. "

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  • Les youtubeurs de la dissidence : la sélection de la revue Éléments !...

    Dans cette émission du Plus d’Éléments, diffusée par TV Libertés, l'équipe du magazine, autour d'Olivier François, à l’occasion de la sortie du nouveau numéro, s’intéresse au phénomène des youtubeurs. Qui sont ces nouveaux influenceurs qui crèvent l’écran, pas seulement pour vendre des produits cosmétiques ou des jeux vidéo, mais des idées dissidentes ? Éléments a mené l’enquête et établi un classement des 36 youtubeurs les plus emblématiques de la dissidence.
    On trouvera sur le plateau,
    François Bousquet, rédacteur en chef, Patrick Lusinchi, directeur artistique, Christophe A. Maxime et Rodolphe Cart...

     

                                              

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  • Le Kazakhstan et le réveil de l'Eurasie...

    La revue Conflits, dirigée par Jean-Baptiste Noé, vient de sortir en kiosque son seizième numéro hors-série consacré au Kazakhstan...

    Conflits HS 16.jpg

    ÉDITORIAL

    Kazakhstan : originalités d’un pays en pleine réforme, par Jean-Baptiste Noé

    PRÉSENTATION

    HISTOIRE

    Les Scythes, peuples de la steppe, par Olivier Battistini

    Les Mongols, inventeurs de l’Eurasie, par Sylvain Gouguenheim

    Gengis Khan et la stratégie mongole, par Arnaud Blin

    Kazakhstan. Bilan social et économique, par Benoît Chamberland

    POLITIQUE

    Le Kazakhstan en Asie centrale et dans l’appétit des puissances
    Entretien avec Catherine Poujol. Propos recueillis par Pierre Camus

    Émeutes de janvier 2022 au Kazakhstan : une crise de transitions, par Louis du Breil

    Kazakhstan : annonce de réformes profondes pour le pays, le risque peut être une opportunité, par Pierre Camus

    Le processus d’Astana :histoire et enjeux, par Pierre Camus

    Le Kazakhstan, faire face à l’appétit des grandes puissances
    Entretien avec Stephan Samaran. Propos recueillis par Pierre Camus

    Oligarques en cavale : vraie ou fausse menace pour Astana ?, par John Mackenzie

    ÉNERGIE

    L’uranium, la réserve kazakhe, par Antoine Mestrallet

    L’énergie au Kazakhstan, état des lieux et potentialités futures
    Entretien avec Amélie Schurich-Rey. Propos recueillis par Pierre Camus

    La mer Caspienne :du lac irano-soviétique au carrefour géopolitique, par Jean-Yves Bouffet

    RELATIONS INTERNATIONALES

    L’Asie centrale, terrain de jeu de la rivalité sino-russe, par Tigrane Yegavian

    Atomic Steppe : comment le Kazakhstan a renoncé à la bombe, par Mathilde Legris

    Le terrorisme au Kazakhstan n’est pas toujours où on le cherche..., par Hervé Théry et Daniel Dory

    La place du Kazakhstan et de l’Asie centrale dans le pivot du monde : une histoire de flexibilité stratégique, par Ardavan Amir-Aslani

    Le dialogue religieux comme instrument diplomatique, par Jean-Baptiste Noé

    CULTURE

    Les grands noms qui ont fait Astana, par Jean-Baptiste Noé

    Turkestan : l’histoire au milieu des steppes, par Helena Voukolsk

    Le cheval, l’aigle et l’Irbis : les symboles du Kazakhstan, par Guy-Alexandre Le Roux

     

     

     

     

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  • « Sleepy Joe » ? Non, « Super Biden » , malheureusement !...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Michel Geoffroy, cueilli sur Polémia et consacré aux succès de la présidence de Joe Biden....

    Ancien haut-fonctionnaire, Michel Geoffroy a publié le Dictionnaire de Novlangue (Via Romana, 2015), en collaboration avec Jean-Yves Le Gallou, et deux essais, La Superclasse mondiale contre les Peuples (Via Romana, 2018), La nouvelle guerre des mondes (Via Romana, 2020), Immigration de masse - L'assimilation impossible (La Nouvelle Librairie, 2021) et dernièrement Le crépuscule des Lumières (Via Romana, 2021).

     

    Biden_Macron 2.jpg

    « Sleepy Joe » ? Non, « Super Biden » !

    Dans nos milieux, on aime bien se moquer du président américain Joe Biden et notamment de son gâtisme supposé. Ne prend-il pas l’air absent quand on l’interroge ? Ne tombe-t-il pas de vélo devant les caméras ? Ne se prend-il pas les pieds dans les escaliers ? Pourtant ces péripéties ne doivent pas faire oublier que, si Joe Biden est certes âgé, sous sa présidence, les États-Unis accumulent les succès stratégiques d’envergure. Sleepy Joe ne cacherait-il pas un Super Biden ? Explications.

    Premier succès : le découplage durable de la Russie avec l’Union européenne

    Les États-Unis ont toujours eu la hantise d’une « Europe de l’Atlantique à l’Oural » qu’ils ne contrôleraient plus. Ils ont hérité en cela de la diplomatie anglaise, qui a toujours veillé à diviser les nations d’Europe pour mieux les dominer.

    Zbigniew Brzezinski avait donc théorisé la nécessité d’empêcher tout rapprochement entre les parties orientale et occidentale du continent européen : dans ce grand jeu d’échecs, il fallait détacher l’Ukraine de la Russie pour empêcher cette dernière de retrouver sa puissance d’antan.

    En 2014 le coup d’État d’Euromaïdan, plaçant à la tête de l’Ukraine des équipes pro-américaines a constitué la première étape de ce plan. La répression kiévienne contre les populations russophones du Donbass qui a suivi, la seconde étape.

    Les opérations militaires spéciales de la Russie contre l’Ukraine en 2022 permettent d’achever la manœuvre grâce à la complicité de l’Union européenne et à l’alignement de la France macronienne. Le Parlement européen désigne même la Russie comme « État terroriste » !

    Biden vient donc de réaliser le programme de Brzezinski : un nouveau rideau de fer sépare désormais l’Europe et la Russie !

    Second succès : le renforcement de l’OTAN en Europe

    L’OTAN est l’instrument du leadership militaire américain en Europe. Il est donc vital pour l’Oncle Sam de maintenir cette organisation.

    Emmanuel Macron affirmait en novembre 2019 que l’OTAN était en état de « mort cérébrale ». Mais la guerre en Ukraine l’a manifestement ranimée d’entre les morts.

    Mieux, des pays neutres envisagent même de rejoindre l’OTAN, comme la Suède ou la Finlande. Adieu, l’Europe de la Défense que préconisait une France de plus en plus isolée !

    L’industrie américaine de l’armement peut donc se féliciter des choix diplomatiques de Biden : l’Europe, qui vide en outre ses arsenaux au profit de l’Ukraine, continuera d’acheter du matériel américain pendant longtemps, à l’instar des Polonais.

    Bien joué Biden !

    Troisième succès : la destruction de l’industrie européenne

    Les États-Unis sont nos « alliés », mais à la condition que nous achetions leurs marchandises et qu’ils nous dominent.

    Or les sanctions annoncées par les États-Unis et reprises par l’Union européenne contre la Russie ont justement pour effet principal de détruire ce qui reste d’industrie européenne.

    D’abord par un renchérissement massif du coût de l’énergie, puis des matières premières importées – l’aluminium ou les phosphates, par exemple. En effet, l’Europe, ayant adopté une politique libre-échangiste, importe l’essentiel de ses ressources. Les antinucléaires ont refermé le piège en obligeant à investir massivement dans des énergies dites renouvelables, mais de faible rendement et très coûteuses. Résultat : la France autrefois exportatrice d’énergie nucléaire se prépare donc maintenant à des coupures de courant cet hiver ! Et l’Allemagne rouvre les centrales à charbon. Bravo, les stratèges européens !

    Les États-Unis n’avaient jamais caché aussi leur opposition aux projets Nord Stream, sous prétexte de la trop grande dépendance vis-à-vis de l’énergie russe qu’ils provoqueraient pour l’Europe. Désormais, ces projets sont sabotés et l’Europe se coupe du pétrole et du gaz russes avec entrain ! Ouvrant une voie royale à l’achat du gaz de schiste américain !

    Et si les sanctions ne semblent pas avoir eu l’effet attendu sur la Russie, en revanche elles ferment le marché russe aux producteurs européens, ce qui touche particulièrement l’Allemagne, la première puissance économique européenne. Enfin, elles sapent la crédibilité de l’euro comme monnaie de réserve, puisque les Européens n’ont pas hésité à bloquer les avoirs russes, après avoir fait de même avec tous les pays désignés comme ennemi par l’Oncle Sam. Comment faire confiance à l’euro dans ces conditions ?

    Bravo, Biden !

    Quatrième succès : les États-Unis vont se retirer du conflit ukrainien, sans pertes

    Super Biden n’est pas si gâteux qu’on ne le dit : il a su conduire les Européens là où il voulait, en se servant de l’Ukraine comme d’un appât.

    Et maintenant que l’Union européenne se trouve dans une impasse, les États-Unis commencent à négocier avec la Russie une sortie du conflit, sans les Ukrainiens bien entendu, dont ils se contrefichent. Les élus républicains trouvent même, outre-Atlantique, que Zelensky est un peu trop jusqu’au-boutiste…

    Désolé pour BHL, l’Oncle Sam ne fera pas la guerre à la Russie pour le Donbass ! Il pourra ainsi se préparer à affronter, le moment venu, la Chine, son principal concurrent, dans les meilleures conditions possible.

    Pendant que les chômeurs européens s’éclaireront à la bougie.

    Qui est le plus gâteux ?

    Emmanuel Macron peut bien « macroner » devant les caméras, comme disent ironiquement les médias russo-ukrainiens, ni l’Europe ni la France, tombés tête baissée dans le piège ukrainien, ne jouent plus dans la cour des grands.

    Macron peut bien tenir papy Biden par les épaules, il n’obtient rien de lui.

    Finalement, lequel des deux est le plus débile ? Le jeune bobo immature ou le vieux roublard yankee ?

     

    Michel Geoffroy (Polémia, 11 décembre 2022)

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  • La Grande Peur des bien-pensants...

    Les éditions Kontre Kulture viennent de rééditer l'essai de Georges Bernanos intitulé La Grande Peur des bien-pensants. Journaliste, polémiste et romancier, Georges Bernanos (1888-1948) est notamment l'auteur de Sous le soleil de Satan (1926), de Journal d'un curé de campagne (1937) et de La France contre les robots (1947)....

     

    Bernanos_La Grande Peur des bien-pensants.jpg

    " En 1917 mourait Édouard Drumont, auteur de La France juive, fondateur du journal La Libre Parole et initiateur du mouvement qui allait devenir l’Action française. Quelques années plus tard, alors qu’il est tombé dans l’oubli, Georges Bernanos éprouve le besoin de rendre hommage à sa mémoire et de le faire connaître à la jeunesse de son temps. Mais au-delà de la vie, de l’œuvre ou des opinions de Drumont, c’est bien une époque qu’il décrit, celle des débuts de la IIIe République, de l’assaut des radicaux voulant imposer la laïcité, des traîtres et des « chéquarts », celle du Ralliement — soumission à la République demandée par le pape Léon XIII aux monarchistes catholiques —, celle de l’affaire Dreyfus, de l’expulsion des congrégations religieuses, jusqu’à l’éclatement de la Grande Guerre…

    Chrétien révolté, antilibéral et antibourgeois, Bernanos nous livre ici une brillante analyse de quarante-cinq ans d’histoire de France, de la Commune au scandale du canal de Panama, des mystifications de Léo Taxil aux conséquences du décret Crémieux. Fustigeant les pouvoirs de l’Argent et la spéculation, il dénonce ceux qui, serviles et soumis, indifférents au bien commun et ne songeant qu’à se concilier les faveurs des puissants, les servent : les bien-pensants. Qu’ils soient républicains, socialistes, juifs, chrétiens, francs-maçons, parlementaires, prêtres ou militaires, ils sont les véritables fossoyeurs de la France. "

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