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Métapo infos - Page 1360

  • Immigration, Islam : quelles solutions pour sortir de l'impasse...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous une intervention de Laurent Ozon, consacrée à la question de l'immigration, dans le cadre d'une conférence organisée à Nice par Egalité et Réconciliation et Les Non-Alignés.

     

    Vous pouvez également regarder ici l'intervention d'Albert Ali et les réponses des intervenants aux questions du public.

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  • Ich bin ein Blonder !...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Fernand Anasthase, cueilli sur le site de La Droite strasbourgeoise et consacré à cet étonnnant racisme anti-blond qui se répand dans la société sous couvert d'humour...

     

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    Ich bin ein Blonder !

    A l’heure où toutes les minorités réclament leur part de souffrance, j’aimerais moi aussi participer à ce jeu consistant à crier haut et fort : « c’est moi qui ai la plus grosse (souffrance) , malheureusement je suis valide, hétérosexuel, natif,  imposable, père, catholique. Bref je cumule les handicaps en ne faisant partie que de la majorité silencieuse.

    Mais je n’ai pas dit mon dernier mot, en effet je possède une caractéristique qui pourrait me faire toucher le jackpot, tellement la discrimination dont celle-ci fait l’objet est courante : Je suis blond ! (Kennedy aussi d’où le titre pour ceux qui n’ont pas fait allemand première langue). Pas blond couleur paille genre suédois, mais blond moyen, correspondant techniquement au niveau 7 (sur 10) de l’échelle d’Eugène Schueller, fondateur de l’Oréal et d’ailleurs d’origine alsacienne. Je vous parle de ce blond moyen, si répandu en France et en Europe et que l’on nomme improprement  châtain (plus brun). Je referme ici la parenthèse capilo-capillaire, et en reviens à la discrimination dont je suis victime : je suis donc blond, mon engeance également, et j’en ai par-dessus la tête, si  je puis dire, du stéréotype  » blondeur=blond platine =bêtise » devenu un dogme. Je précise que ma femme a de beaux cheveux bruns, (ou plutôt châtain pour être précis), eh oui je ne suis pas monomaniaque. Le problème que je veux soulever n’étant pas esthétique mais purement politique voire métapolitique.

    Le phénomène est tellement entré dans les mœurs que l’on a oublié qu’à l’origine c’était une plaisanterie visant à rire d’un certain type de femmes , « décolorées », d’ailleurs souvent brunes, privilégiant plutôt l’esthétique à l’intellect, ravissantes idiotes, illustrées par le personnage de Marylin Monroe dans Les hommes préfèrent les blondes. Ainsi, dans l’inconscient collectif la blondeur platine s’est substituée à la blondeur traditionnelle, à la faveur du cinéma Hollywoodien, de la mode, etc. Cette plaisanterie s’est généralisée et est devenue au fil du temps un quasi racisme anti-blond, dont il n’est pas nécessaire de donner d’exemples tant ils sont légions actuellement. Même une oreille distraite glane au moins une blague par jour  sur les blondes, que ce soit au travail, à l’école, à la télé, au cinéma. Néanmoins je souhaite quand même illustrer ce qui me semble être le summum d’un conditionnement devenu nauséabond : au collège, lorsqu’une fillette brune (ou châtain si vous préférez) se trompe dans une réponse, elle se fait dire par ses camarades qu’elle est «  brune à l’extérieur et blonde à l’intérieur » ! Quels scandales en vue si l’on remplaçait dans toutes ces plaisanteries « blonde » par « crépue » ! Je précise que dans une classe d’école hors des grandes villes, la majorité des enfants, du moins en Alsace, est blonde, et même en France de l’intérieur (l’expression « nos chères têtes blondes » le prouve). Je laisse imaginer le résultat de cette méthode Coué inversée l’envers : vous êtes blondes vous êtes connes… nous sommes blondes nous sommes connes… répétée à l’envi…

    Venons-en aux racines du mal, si j’ose dire. Certains pensent que cette détestation est le contrecoup des idées racialistes nazies et il est vrai que si l’on regarde bien, la plupart des méchants dans les films actuels sont représentés par des personnages blonds, l’effet boomerang est incontestable. Cependant je ne crois pas à cette thèse, ou tout du moins le nazisme de la 2ème Guerre Mondiale n’en est pas la cause essentielle, en effet le phénomène anti-blond n’a commencé que dans les années 80 (les brunes comptent pas pour des prunes), sa systématisation date des années 2000 et son paroxysme a été atteint ces dernières années , soit tout de même 70 ans après qu’un petit brun ait privilégié fortement la blondeur dans sa doctrine…

    Pour tout dire je pense qu’il y a volonté inconsciente mais délibérée d’insulter et de nuire. Mais nuire à quoi ? Et qui ?  Et bien dans un mouvement global  et de fond, à  tout ce qui fait la beauté, la symbolique et l’identité de l’Europe et de son peuple, et la blondeur n’y échappe pas !

    En terme statistique, l’on peut oser un raccourci : la courbe de cette tendance antiblonde suit la courbe de la présence de populations  extra-européenne sur le sol européen  (mais chut pas d’amalgame), et coïncide avec la  prise de pouvoir de certains lobbies médiatiques très utiles pour diffuser cette idée! La blondeur est à abattre, telle une richesse trop voyante ou plutôt trop visible.

    Et si je vous dis remplacement de population, réflexe anthropologique de conquérant, division du peuple afin d’éviter sa cohésion et son unité…certaines pièces du puzzle se mettent-elles en place ? Rappelons qu’en Suède un certain nombre de blondes se teignent en brune de peur de se faire agresser. Évidemment il n’y a pas de complot, mais simplement une convergence d’intérêts, de trahisons, de veulerie visant à saper les fondements même de notre civilisation et de nos mythes. Rassurez-vous je ne pleurniche pas car des méchants n’aiment pas les blonds ; d’autres phénomènes  plus graves sont en œuvre et vont dans le même sens mais le racisme anti-blond me semble être emblématique et le combat à son encontre absolument pas superficiel. Et n’oublions pas ce qui me semble être une donnée fondamentale dans cette bataille, à savoir l’ethno masochisme dont fait preuve l’Europe, ou plutôt  ses élites, par le culte de l’Autre et du Métissage dont l’un des nombreux corollaires est bien la disparition de la blondeur  et de ce qui caractérise l’Europe en tant que Civilisation. Il faut voir plus loin que le bout de son nez n’est-ce pas ?

    Ainsi, c’est notre propre faiblesse qui risque de nous perdre, notre lâcheté, et non pas  la force des barbares, c’est pourquoi j’affirme : blondes et blonds de tous les pays unissez-vous, ne vous sentez plus obligés de rire aux blagues stupides, soyez fiers de ce que vous êtes, et ne vous couchez pas lorsqu’on vous insulte indirectement ! Ce sera déjà une première prise de conscience.

     

    Fernand Anasthase (La droite strasbourgeoise, 31 juillet 2013)

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  • La naissance d'un Empire...

    Ceux qui ont aimé le film 300, de Zack Snyder, tiré de la géniale bande-dessinée de Franck Miller, découvriront avec intérêt la bande-annonce de 300 : la naissance d'un Empire, de Noam Murro, qui, avec le même style fantastique, décrit les événements qui font suite à la bataille des Thermopyles et conduisent à la victoire grecque de Salamine. Après le Spartiate Léonidas, c'est l'Athénien Thémistocle qui affronte Xerxès...

     


    300- Rise of an Empire par teasertrailer

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  • La France malade de sa médecine ?...

    Le nouveau numéro de la revue Eléments (n°148, juillet - septembre 2013) est disponible en kiosque.

    Dans ce numéro, dont la couverture est à nouveau superbe, Pascal Esseyric et Patrick Péhèle nous livre  un dossier consacré à l'hypermédicalisation de notre société, ainsi que des articles consacrés à Dominique Venner, à Cornélius Castoriadis ou à la notion de guerre juste. Et on trouvera également un entretien avec David Engels , auteur de l'essai intitulé Le déclin - La crise de l'Union européenne et la chute de la République romaine (Toucan, 2013), une fable de Jacques Vergès, la chronique de Xavier Eman et l'éditorial de Robert de Herte intitulé « Bilan de santé ».  

    Vous pouvez commander ce numéro ou vous abonner sur le site de la revue : http://www.revue-elements.com.

     

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    Au sommaire de ce numéro :

    Éditorial

    Bilan de santé par Robert de Herte

    L'entretien

    David Engels: « L'Europe ne peut échapper à son destin impérial >:

    Cartouches

    L'actualité des idées, des sciences, du cinéma, des arts et des lettres

    Carnets de lectures par Michel Marmin

    «Le bureau» par Xavier Eman

    Romans noirs par Pierric Guittaut

    «Confessions d'un dragueur» par Ludovic Maubreuil

    Économie, religions, philosophie ...

    «Alarme citoyens!» par Laurent Schang

    Sciences par Bastien O'Danieli

    Le combat des idées

    Mort d'un samouraï par François Bousquet

    L'éthique comme un sacerdoce par Michel d'Urance

    Dominique Venner par Alain de Benoist

    Une fable par Jacques Vergès

    Cornelius Castoriadis, le « germe grec» par Jean-Louis Prat

    Edouard Berth, le syndicaliste révolutionnaire par David L'Épée

    Guerres justes au service de la «paix perpétuelle» par Félix Morès

    Là où bat le cœur celte des Appalaches par Pierric Guittaut

    Dossier

    la France malade de ses médicaments

    La médicalisation, du berceau à la tombe par Jean-François Gautier

    Un enseignement sous influence par Jean-François Gautier

    Représentant de laboratoire pharmaceutique par François Delussis

    Un cinéma muet sur l'extrême médicalisation par Ludovic Maubreuil

    Léon Daudet contre les doctrinaires du scalpel par Olivier François

    Éphémérides


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  • Une histoire soviétique...

    Les éditions Little Big Man diffusent en DVD The soviet story, un documentaire d'Edvins Snore consacré au stalinisme. Cinéaste letton, Edvins Snore a rassemblé des images percutantes qui permettent de rappeler la similitudes des pratiques totalitaires nazies et soviétiques...

     

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    " Une impressionnante récapitulation des crimes de masse du communisme, de la famine planifiée en Ukraine (7 millions de morts en 1932-1933) à l’extermination stalinienne des « ennemis de classe » (11 millions entre 1937 et 1941). Les archives révèlent aussi la collaboration à grande échelle entre nazis et soviétiques pour la « solution finale du problème juif ». The Soviet Story souligne l’impunité totale de l’Union soviétique, à l’abri dans le camp des vainqueurs de 1945.

    10 ans d’enquête pour un documentaire essentiel de vérité ! "

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  • Ernst Jünger et la Révolution conservatrice...

    Nous reproduisons ci-dessous un extrait du livre d'entretien de Dominique Venner, Le choc de l'histoire (Via Romana, 2011), cueilli sur Euro-synergie et tiré du site Orage d'acier, dans lequel il évoque Ernst Jünger et la Révolution conservatrice allemande...

     

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    Ernst Jünger et la Révolution conservatrice

    Pauline Lecomte : Vous avez publié naguère une biographie intellectuelle consacrée à Ernst Jünger, figure énigmatique et capitale du XXe siècle en Europe. Avant de se faire connaître par ses livres, dont on sait le rayonnement, cet écrivain majeur fut un très jeune et très héroïque combattant de la Grande Guerre, puis une figure importante de la "révolution conservatrice". Comment avez-vous découvert l’œuvre d'Ernst Jünger ?

    Dominique Venner : C'est une longue histoire. Voici longtemps, quand j'écrivais la première version de mon livre Baltikum, consacré à l'aventure des corps-francs allemands, pour moi les braises de l'époque précédente étaient encore chaudes. Les passions nées de la guerre d'Algérie, les années dangereuses et les rêves fous, tout cela bougeait encore. En ce temps-là, un autre écrivain allemand parlait à mon imagination mieux que Jünger. C'était Ernst von Salomon. Il me semblait une sorte de frère aîné. Traqué par la police, j'avais lu ses Réprouvés tout en imaginant des projets téméraires. Ce fut une révélation. Ce qu'exprimait ce livre de révolte et de fureur, je le vivais : les armes, les espérances, les complots ratés, la prison... Ersnt Jünger n'avait pas connu de telles aventures. Jeune officier héroïque de la Grande Guerre, quatorze fois blessé, grande figure intellectuelle de la "révolution conservatrice", assez vite opposé à Hitler, il avait adopté ensuite une posture contemplative. Il ne fut jamais un rebelle à la façon d'Ernst von Salomon. Il a lui-même reconnu dans son Journal, qu'il n'avait aucune disposition pour un tel rôle, ajoutant très lucidement que le soldat le plus courageux - il parlait de lui - tremble dans sa culotte quand il sort des règles établies, faisant le plus souvent un piètre révolutionnaire. Le courage militaire, légitimé et honoré par la société, n'a rien de commun avec le courage politique d'un opposant radical. Celui-ci doit s'armer moralement contre la réprobation générale, trouver en lui seul ses propres justifications, supporter d'un cœur ferme les pires avanies, la répression, l'isolement. Tout cela je l'avais connu à mon heure. Cette expérience, assortie du spectacle de grandes infamies, a contribué à ma formation d'historien. A l'époque, j'avais pourtant commencé de lire certains livres de Jünger, attiré par la beauté de leur style métallique et phosphorescent. Par la suite, à mesure que je m'écartais des aventures politiques, je me suis éloigné d'Ernst von Salomon, me rapprochant de Jünger. Il répondait mieux à mes nouvelles attentes. J'ai donc entrepris de le lire attentivement, et j'ai commencé de correspondre avec lui. Cette correspondance n'a plus cessé jusqu'à sa mort.

    P. L. : Vous avez montré qu'Ernst Jünger fut l'une des figures principales du courant d'idées de la "révolution conservatrice". Existe-t-il des affinités entre celle-ci et les "non conformistes français des années trente" ?

    D. V. : En France, on connaît mal les idées pourtant extraordinairement riches de la Konservative Revolution (KR), mouvement politique et intellectuel qui connut sa plus grande intensité entre les années vingt et trente, avant d'être éliminé par l'arrivée Hitler au pouvoir en 1933. Ernst Jünger en fut la figure majeure dans la période la plus problématique, face au nazisme. Autour du couple nationalisme et socialisme, une formule qui n'est pas de Jünger résume assez bien l'esprit de la KR allemande : "Le nationalisme sera vécu comme un devoir altruiste envers le Reich, et le socialisme comme un devoir altruiste envers le peuple tout entier".
     
         Pour répondre à votre question des différences avec la pensée française des "non conformistes", il faut d'abord se souvenir que les deux nations ont hérité d'histoires politiques et culturelles très différentes. L'une était sortie victorieuse de la Grande Guerre, au moins en apparence, alors que l'autre avait été vaincue. Pourtant, quand on compare les écrits du jeune Jünger et ceux de Drieu la Rochelle à la même époque, on a le sentiment que le premier est le vainqueur, tandis que le second est le vaincu.
     
         On ne peut pas résumer des courants d'idées en trois mots. Pourtant, il est assez frappant qu'en France, dans les différentes formes de personnalisme, domine généralement le "je", alors qu'en Allemagne on pense toujours par rapport au "nous". La France est d'abord politique, alors que l'Allemagne est plus souvent philosophique, avec une prescience forte du destin, notion métaphysique, qui échappe aux causalités rationnelles. Dans son essais sur Rivarol, Jünger a comparé la clarté de l'esprit français et la profondeur de l'esprit allemand. Un mot du philosophe Hamman, dit-il, "Les vérités sont des métaux qui croissent sous terre", Rivarol n'aurait pas pu le dire. "Il lui manquait pour cela la force aveugle, séminale."

    P. L. : Pouvez-vous préciser ce qu'était la Weltanschauung du jeune Jünger ?

    D. V. : Il suffit de se reporter à son essai Le Travailleur, dont le titre était d'ailleurs mal choisi. Les premières pages dressent l'un des plus violents réquisitoires jamais dirigés contre la démocratie bourgeoise, dont l'Allemagne, selon Jünger, avait été préservée : "La domination du tiers-état n'a jamais pu toucher en Allemagne à ce noyau le plus intime qui détermine la richesse, la puissance et la plénitude d'une vie. Jetant un regard rétrospectif sur plus d'un siècle d'histoire allemande, nous pouvons avouer avec fierté que nous avons été de mauvais bourgeois". Ce n'était déjà pas mal, mais attendez la suite, et admirez l'art de l'écrivain : "Non, l'Allemand n'était pas un bon bourgeois, et c'est quand il était le plus fort qu'il l'était le moins. Dans tous les endroits où l'on a pensé avec le plus de profondeur et d'audace, senti avec le plus de vivacité, combattu avec le plus d'acharnement, il est impossible de méconnaître la révolte contre les valeurs que la grande déclaration d'indépendance de la raison a hissées sur le pavois." Difficile de lui donner tort. Nulle part sinon en Allemagne, déjà avec Herder, ou en Angleterre avec Burke, la critique du rationalisme français n'a été aussi forte. Avec un langage bien à lui, Jünger insiste sur ce qui a préservé sa patrie : "Ce pays n'a pas l'usage d'un concept de la liberté qui, telle une mesure fixée une fois pour toutes est privée de contenu". Autrement dit, il refuse de voir dans la liberté une idée métaphysique. Jünger ne croit pas à la liberté en soi, mais à la liberté comme fonction, par exemple la liberté d'une force : "Notre liberté se manifeste avec le maximum de puissance partout où elle est portée par la conscience d'avoir été attribuée en fief." Cette idée de la liberté active "attribuée en fief", les Français, dans un passé révolu, la partagèrent avec leurs cousins d'outre-Rhin. Mais leur histoire nationale évolué d'une telle façon que furent déracinées les anciennes libertés féodales, les anciennes libertés de la noblesse, ainsi que Tocqueville, Taine, Renan et nombre d'historiens après eux l'ont montré. A lire Jünger on comprend qu'à ses yeux, à l'époque où il écrit, c'est en Allemagne et en Allemagne seulement que les conditions idéales étaient réunies pour couper le "vieux cordon ombilical" du monde bourgeois. Il radicalise les thèmes dominants de la KR, opposant la paix pétrifiée du monde bourgeois à la lutte éternelle, comprise comme "expérience intérieure". C'est sa vision de l'année 1932. Avec sa sensibilité aux changements d'époque, Jünger s'en détournera ensuite pour un temps, un temps seulement. Durant la période où un fossé d'hostilité mutuelle avec Hitler et son parti ne cessait de se creuser.

    Dominique Venner, Le choc de l'histoire (Via Romana, 2011)
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