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Métapo infos - Page 1119

  • Faut-il haïr le communautarisme ?...

    Le nouveau numéro de la revue Eléments (n°155, avril - juin 2015) est disponible en kiosque.

    Dans ce numéro, Pascal Esseyric et Patrick Péhèle nous offre  un dossier sur le thème du communautarisme, avec des articles d'Alain de Benoist, et de Michel Maffesoli.

    Dans le reste de la revue, on trouvera un entretien avec Jean Haudry ("Indo-Européens, réponse aux négationnistes"), et des articles sur Christian Dedet, Onfray (forcément !), Poutine, Georges J. Arnaud, Virginie Despentes, le capitaine Danrit ou encore sur l'homme modifié, l'Ukraine, l’État islamique, la CEDH et l'Institut Illiade.  Et on retrouvera la chronique cinéma de Ludovic Maubreuil, la Chronique d'une fin du monde sans importance de Xavier Eman , la page polars de Pierric Guittaut et l'éditorial de Robert de Herte intitulé « Du commun ».  

    Bonne lecture !

    Vous pouvez commander ce numéro ou vous abonner sur le site de la revue : http://www.revue-elements.com.

     

    Eléments 155.jpg

    Au sommaire :

    Éditorial

    Du commun, par Robert de Herte

    Forum...

    L'entretien

    Indo-Européens, réponse aux négationnistes, par Jean Haudry

    Cartouches

    L'actualité des idées, des sciences, du cinéma, des arts et des lettres

    Chronique cinéma, par Ludovic Maubreuil

    De Stendhal à Christian Dedet, par Michel Marmin

    L’institut Iliade pour la longue mémoire européenne, par Grégoire Gambier

    Rencontre avec Elsa Marpeau, par Pierric Guittaut

    Rencontre avec Rébellion, par Michel Thibaut

    Vladimir Bonaparte Poutine, par David L’Épée

    Chronique d'une fin du monde sans importance, par Xavier Eman

    Sciences, par Bastien O'Danieli

    Le combat des idées

    L’homme génétiquement modifié, par Jean-François Gautier

    Russie-Ukraine : l’axe Paris-Berlin-Kiev, entretien de Jean-Robert Raviot

    Le jour où l’on reconnaîtra l’État islamique, par Gilles Munier

    L’affaire Michel Onfray, par Pascal Eysseric

    Justice : faut-il brûler les juges de la CEDH ? par Félix Morès

    Georges J. Arnaud, le parano de génie, par Olivier Maulin

    Virginie Despentes, par François Bousquet

    Capitaine Danrit, un inédit de Jean Mabire, par Laurent Schang

    Dossier

    Faut-il haïr le communautarisme ?

    Irremplaçables communautés, par Alain de Benoist

    Haro sur le communautarisme !, par Alain de Benoist

    Les communautés sont de retour, par Michel Maffesoli

    Les ambiguïtés du multiculturalisme, par Alain de Benoist

     

    Éphémérides

     

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  • Exode des migrants : les vraies responsabilités !...

    Auteur de l'essai intitulé France, années décisives (Bios, 2015) et fondateur du Mouvement pour la Remigration, par ailleurs chef d'entreprise et spécialiste des questions écologiques, Laurent Ozon était reçu le 21 avril 2015 par Martial Bild dans le journal de TV Libertés pour évoquer les solutions à la crise qui se déroule en Méditerranée et qui voit des milliers de migrants déferler sur les côtes italiennes depuis plusieurs semaines...

     

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  • Le roman vrai d'un fasciste français...

    Les éditions La manufacture de livres publient cette semaine une enquête de Christian Rol intitulée Le roman vrai d'un fasciste français. Journaliste, Christian Rol a publié Une vie ordinaire (Denoël, 2011), le témoignage de Maxime Brunerie, l'homme qui a tiré sur Jacques Chirac, le 14 juillet 2002.

     

    Roman vrai d'un fasciste français.jpg

    " Le 4 mai 1978, Henri Curiel, militant communiste et anti-colonialiste, est abattu à son domicile parisien. Le 20 septembre 1979, Pierre Goldman, figure de l'extrême gauche des années 70, est tué par balles à bout portant à quelques mètres de chez lui dans le 13e arrondissement. Ces assassinats qui ne seront jamais élucidés sont signés par une organisation d'extrême droite inconnue : Honneur de la Police. En 2012, peu avant de mourir, un individu discret revendique - à visage couvert - sa participation à l’assassinat de Pierre Goldman. Quant à l’autre « exécution » dont il assume la paternité auprès de quelques proches, elle est pour la première fois révélée dans ce livre.

    Camelot du roi et membre de l'Action française à 14 ans, René Resciniti de Says est un ancien parachutiste. Parti guerroyer dans les Phalanges libanaises, et en Afrique aux côtés de Bob Denard, il a également été « instructeur militaire »  en Amérique latine : un “affreux”. Loin d’être un nervi au front bas, mais ne dédaignant pas l’étiquette de “voyou “,  Resciniti de Says est un authentique marquis italien né des noces bâclées entre une mère chanteuse lyrique et un père aventurier parti très tôt du domicile conjugal sur les Champs-Élysées. En outre, s’il est « monarchiste », dandy aux élégances onéreuses, ses amitiés, elles, ne le sont pas toujours… et sa conduite non plus. La personnalité baroque de René Resciniti de Says - ce lettré peut déclamer des vers, ivre devant l’Institut après une nuit à se battre - sa vie et sa complexité nous épargnent l’écueil du registre « fana-mili facho » réducteur et sclérosant. D’abord, parce qu’il ne fut pas que cela. Sa vie nous renvoie aussi bien au cinéma qu’à la littérature, deux registres qu’il prisait tant. Où l’on passe allègrement des Quatre Cents Coups à la Fureur de vivre à la langue d’Audiard d’un Paris interlope, à Beyrouth sous le feu ; et aux personnages de Blondin à qui il ressemblait tellement à la fin de son existence.

    Christian Rol revient sur les assassinats commandités au plus niveau, mais au delà du document choc et de l’affaire d’État, ce livre nous fait découvrir une jeunesse agitée au cœur des groupuscules politiques de droite : Occident, Ordre Nouveau et l’Action Française, qui firent le coup de poing au sein Quartier latin des années 60 et 70 ; et qui furent un vivier riche en gros bras pour les services parallèles du pouvoir de l’époque et en futur leaders de la France d’aujourd’hui. Il donne là un « roman vrai » d’un personnage picaresque avec qui nous voyageons d’un monde à l’autre en embrassant un destin hors norme. “Roman“ signifiant qualité d’écriture, densité et exigence littéraire destinées à coller au personnage. "

     

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  • Comment l'antiracisme empêche le débat sur le multiculturalisme...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Mathieu Bock-Côté, cueilli sur Figarovox et consacré à l'antiracisme comme instrument idéologique destiné à faire taire les détracteurs du multiculturalisme...

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    Comment l'antiracisme empêche le débat sur le multiculturalisme

    Les attentats du 7 janvier n'ont finalement pas provoqué de grand réveil politique en France. La prise de conscience patriotique s'est vite dissipée, la haine de soi est revenue. On avait déjà remarqué que la lutte contre l'islamisme s'était transformée en lutte contre l'islamisme et l'islamophobie, comme s'il fallait équilibrer les maux à tout prix. L'islamisme a vite été laissé de côté: on a parlé du terrorisme en général, en évitant de le caractériser, pour éviter de stigmatiser. On avait aussi noté que la France s'était finalement reconnue responsable de la haine à son endroit d'une partie de la jeunesse immigrée en se déclarant coupable d'apartheid.

    Le dispositif pénitentiel qui pousse à croire bien méritée la haine anti-occidentale fonctionne comme jamais. C'est à cette lumière qu'il faut comprendre l'offensive annoncée du gouvernement de Manuel Valls contre le «racisme.»

    L'époque se veut en lutte contre le racisme. On comprend naturellement pourquoi et cette lutte a sa part de légitimité. Mais on sait aussi qu'elle a été depuis un bon moment détournée. N'est-elle pas utilisée avec une légèreté déconcertante pour en finir avec un contradicteur gênant, pour l'expulser des médias, ou encore, pour censurer certaines analyses remettant en question la vision officielle et bucolique du vivre-ensemble multiculturel? L'accusation de racisme servira à marquer publiquement et à disqualifier définitivement un homme politique ou un intellectuel commentant avec trop de franchise les dégâts du multiculturalisme. Elle permettra aussi de reléguer dans les marges de l'espace public les défenseurs de l'identité nationale, toujours suspectés du pire.

    On pourrait parler d'une extension du domaine du racisme. Et quiconque jette un œil dans la sociologie antiraciste d'inspiration américaine en verra l'ampleur. Elle repose sur une thèse forte: la structure même des sociétés occidentales, serait raciste, en ce sens qu'elle institutionnaliserait, en les dissimulant sous le masque de l'universalisme, les avantages d'une majorité historique «blanche». La sociologie antiraciste parle alors de racisme universaliste. En France, on dénoncera par exemple les «mensonges» de l'égalité républicaine qui favoriserait de manière systémique les «Français de souche». Inversement, ceux qui distinguent entre les cultures et se demandent lesquelles sont compatibles sur un même territoire, et lesquelles ne le sont peut-être pas, tant elles sont différentes, seront accusés de racisme différentialiste.

    La sociologie antiraciste en arrive ainsi à conceptualiser une société raciste sans «racistes». Il suffirait toutefois de participer à sa reproduction pour se rendre coupable de racisme sans le savoir et sans même le vouloir. Celui qui refuse, par exemple, la discrimination positive, sera accusé de s'opposer à un mécanisme visant à corriger les inégalités structurelles causées par le racisme occidental. Celui qui, quant à lui, plaidera pour une réduction significative de l'immigration subira la même accusation: n'entend-il pas maintenir l'hégémonie d'un groupe ethnique majoritaire dans nos sociétés, alors qu'il faudrait plutôt le dépouiller de ses privilèges institutionnels et culturels? À terme, c'est la simple remise en question de la sociologie antiraciste qui sera assimilée au racisme.

    Des pans de plus en plus grands de la réalité tombent sous l'accusation de racisme simplement à travers un jeu de définitions de plus en plus agressif.

    On aura compris que le racisme n'est aussi qu'à sens unique - il représente un système de domination qui pousse à l'exclusion et à la discrimination contre les minorités issues de l'immigration. Mais les minorités ne pourraient jamais s'en rendre coupable, et on refusera par exemple de prendre au sérieux le rap des banlieues où s'exprime pourtant la véritable haine raciale en France. La situation est presque loufoque. D'un côté, on étend sans cesse la définition du racisme pour continuer à combattre les sociétés occidentales en son nom, alors qu'il ne trouve plus d'échos que dans les marges les plus éloignées de la vie sociale, au point même d'être souvent dénoncé dans les partis qu'on dit «d'extrême-droite». De l'autre, on refusera de voir le racisme lorsqu'il s'exprime crument et brutalement chez certaines franges de la population immigrée. Au pire, il ne serait rien d'autre chez eux qu'un réflexe de défense.

    On comprend dès lors la portée de la législation qui s'en vient.

    La dissidence devant le multiculturalisme était déjà psychiatrisée à travers la multiplication des phobies dépistées chez ses contradicteurs. Elle sera désormais potentiellement criminalisée. On devine ainsi ce que les associations antiracistes les plus zélés sauront faire de ces nouvelles dispositions juridiques. Ne faudrait-il pas plutôt remettre en question la sociologie antiraciste et plus largement, cette fâcheuse manie qui consiste à accuser les sociétés occidentales d'être historiquement coupables de crimes si abjects à l'endroit de la diversité qu'elles ne pourront les expier qu'en se convertissant au multiculturalisme. Chose certaine, la restriction de la liberté d'expression, ici, sert bien moins la lutte contre le racisme que la diabolisation de ceux qui ne croient pas les sociétés occidentales coupables d'exister.

    Mathieu Bock-Côté (Figarovox, 20 avril 2015)

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  • Suffirait-il d'aller gifler Jean d'Ormesson pour arranger un peu la gueule de la littérature française ?...

    Les éditions Pierre-Guillaume de Roux publient cette semaine un pamphlet de Romaric Sangars intitulé Suffirait-il d'aller gifler Jean d'Ormesson pour arranger un peu la gueule de la littérature française ?... Journaliste et critique littéraire, Romaric Sangars anime avec Olivier Maulin le Cercle Cosaque.

     

    Sangars_gifler Jean d'Ormesson.jpg

     

    "« Se montrent ici tous les signes du sacrilège : on brade l’excellence, on transige à tous les degrés, on laisse l’Everest aux touristes . Car qu’incarne Jean d’Ormesson ? Tout compte fait presque rien. Ce qu’il a produit n’est qu’un incessant bavardage dénué du moindre style mais glaviotant avec gourmandise une érudition de surface n’ayant d’autre effet que de se donner un air philosophe et charmant à l’heure du thé, entouré de trois vieilles filles du centre-droit, sans s’apercevoir, ravi de gloussements divers, qu’à l’extérieur : le monde s’écroule. Surtout, cette littérature-tapisserie dont les motifs se trouvent si mal à propos se tricote à partir des pelotes les plus tièdes. Dès qu’il est question de gouffre ou de points fondamentaux, Jean d’Ô s’éclipse, sceptique, avec un sourire poli, et s’en va prendre le thé ailleurs. S’il s’agissait d’insouciance... Mais dans les circonstances qui sont les nôtres, ça confinerait presque à la lâcheté. Et nous crevons de cette lâcheté. Aussi faudrait-il voir à éviter de continuer à épingler des médailles au revers de ceux qui s’y replient avec tant de fatuité . Quoi qu’il en soit, grevée de Jean d’Ormesson, il est évident que la souveraineté de La Pléiade, l’une des dernières institutions à témoigner de la haute vocation littéraire et normative française, se trouve sérieusement abaissée, et l’on ne peut attribuer complètement au hasard le fait que ce nouvel abaissement d’une souveraineté se trouve lié au descendant d’un régicide... »"

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  • Faut-il renoncer à nos libertés pour sauvegarder la "liberté" ?...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous une chronique d'Éric Zemmour sur RTL, datée du 21 avril 2015 et consacrée aux différentes lois liberticides que prépare actuellement le gouvernement...

     

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