Vous pouvez découvrir ci-dessous une nouvelle vidéo d'Ego Non qui évoque la première des Considérations inactuelles de Nietzsche, consacrée à la barbarie de la civilisation moderne.
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Vous pouvez découvrir ci-dessous une nouvelle vidéo d'Ego Non qui évoque la première des Considérations inactuelles de Nietzsche, consacrée à la barbarie de la civilisation moderne.
Le 22 février 2022, Rémi Soulié recevait, sur TV libertés, Pierre Le Vigan pour évoquer l'Europe que Friedrich Nietzsche appelait de ses vœux, bien éloignée de l'Union européenne des marchands...
Urbaniste, collaborateur des revues Eléments, Krisis et Perspectives libres, Pierre Le Vigan a notamment publié Inventaire de la modernité avant liquidation (Avatar, 2007), Le Front du Cachalot (Dualpha, 2009), La banlieue contre la ville (La Barque d'Or, 2011), Écrire contre la modernité (La Barque d'Or, 2012), Soudain la postmodernité (La Barque d'or, 2015), Achever le nihilisme (Sigest, 2019) et, tout récemment, Nietzsche et l'Europe (Perspectives libres, 2022).
Les éditions Perspectives libres, viennent de publier un court essai de Pierre Le Vigan intitulé Nietzsche & l'Europe.
Urbaniste, collaborateur des revues Eléments, Krisis et Perspectives libres, Pierre Le Vigan a notamment publié Inventaire de la modernité avant liquidation (Avatar, 2007), Le Front du Cachalot (Dualpha, 2009), La banlieue contre la ville (La Barque d'Or, 2011), Écrire contre la modernité (La Barque d'Or, 2012), Soudain la postmodernité (La Barque d'or, 2015) et dernièrement Achever le nihilisme (Sigest, 2019).
" Quand Nietzsche pense à l’Europe, à quoi pense-t-il ? Certainement pas au mépris de ce qui n’est pas européen. Ce que Nietzsche aime dans l’Europe, c’est avant tout sa diversité. Or, celle-ci lui semble alors menacée par les nationalismes étroits, nombrilistes, qu’il oppose aux grandes entreprises des géants de l’histoire, tel Napoléon. Le deuxième danger qui menace l’Europe, c’est la société de masse dite démocratique. Ces dangers nous font dévaler la pente du nihilisme, consistant à ne plus nous hisser vers le haut grâce à un imaginaire qui nous fait défaut après la mort de Dieu. Pour s’extraire de ce gouffre, une grande politique – donc une politique de la grandeur – est nécessaire : une politique qui élève, qui montre des exemples, qui ennoblit, qui créé de l’art, qui tranche dans les médiocrités avec le glaive acéré de la lucidité. Loin des slogans simplistes sinon menteurs, une mise au point était nécessaire. "
Le numéro 52 de la revue Krisis, dirigée par Alain de Benoist, avec pour rédacteur en chef David L'Epée, vient de paraître. Cette nouvelle livraison est consacrée à la philosophie...
Vous pouvez commander ce nouveau numéro sur le site de la revue Eléments.
Bonne lecture !
Au sommaire de ce numéro :
Rémi Soulié / Papillonner.
Francis Moury / Nécessité ou contingence de l’histoire
de la philosophie.Denis Collin / La philosophie est la recherche de la vérité…
et rien que cela.Entretien avec Michel Onfray / « Il n’est jamais trop tôt ni jamais trop tard pour commencer à philosopher.
André Perrin / Tombeau du philosophe citoyen.
Vincent Citot / Petite philosophie des valeurs.
Michel Lhomme / Le Philosophe, le Voyou et le Légionnaire.
Entretien avec Pierre Le Vigan / « Il y a autant de philosophies européennes que de philosophes européens. »
Francis Emmanuel / À propos de la philosophie gréco-arabe.
Rémi Soulié / Platon (point à la ligne).
Bruno Guigue / Hegel, le négatif dans l’histoire.
David L’Épée / La figure de l’homme historique chez Hegel et Nietzsche.
Philippe Granarolo / Raisons et résonances du « Gai Savoir ».
Entretien avec Pierre-André Taguieff / « Philosopher avec Nietzsche signifie s’affirmer continuellement contre lui. »
Gérard Guest / Heidegger en silence.
Raphaël Juan / Abellio, philosophe méconnu ?
Les auteurs de ce numéro
Les éditions Ovadia viennent de publier, dans leur collection dirigée par Baptiste Rappin, un essai de Raphaël Mandin intitulé La philosophie de la survie. Raphaël Mandin est professeur agrégé de philosophie.
" Le survivalisme, apparu au début des années 60 dans le sillage de la guerre froide, est un projet de vie personnel qui consiste à ne plus faire confiance à l’Etat pour prendre en charge sa sécurité et son avenir. Il s’agit de « réapprendre à survivre par soi-même » dans l’anticipation d’un effondrement de la civilisation.
Souvent relégué au rang de curiosité, le survivalisme n’a pas eu jusqu’à présent la philosophie qu’il mérite. Or, au regard de notre situation politique et environnementale précaire, qui oserait affirmer aujourd’hui que vouloir se réapproprier ses conditions de survivance est une démarche dénuée de sens ? L’auteur de cet essai entend donc prendre au sérieux cette proposition en démontrant que la fascina- tion actuelle pour la figure du survivant, telle qu’elle s’exprime en particulier à travers le cinéma ou la littérature, n’est pas qu’un effet de mode ou un repli angoissé de l’individu sur lui-même, mais au contraire l’aboutissement logique d’une exigence de liberté et de lucidité. Il existe ainsi une véritable pensée de la survie individuelle (des Cyniques à Jünger en passant par Rousseau, Nietzsche, Thoreau, Bernanos etc.) que ce livre propose de restituer et de prolonger. "
Les éditions Auda Isarn viennent de publier un recueil de nouvelles de Bruno Favrit intitulé N'y allez pas.
Amateur de marches en montagne et lecteur de Nietzsche, Bruno Favrit est l'auteur d'une œuvre conséquente, avec des romans et récits, comme Le soleil d'or (Alexipharmaque, 2015), Fort à faire (Auda Isarn, 2016) et A la recherche des dieux (Dualpha, 2020) ou des essais, tels Vitalisme et Vitalité (Editions du Lore, 2006) et Esprit du Monde (Auda Isarn, 2011). Il a également publié un recueil d'aphorismes, Toxiques & Codex (Alexipharmaque, 2013) et le premier tome de son journal, Midi à la source (Auda Isarn, 2013).
" Ces quatre nouvelles nous plongent au cœur des atmosphères les plus sombres, dans ces contrées profondes, situées hors du temps et guettées par l’oubli. Là-bas aussi, les situations peuvent dégénérer et déboucher sur les plus tragiques issues.
Voici un bois perdu au fond de sa combe, où les oiseaux ne chantent pas, où les plantes ont renoncé à pousser. N’y allez pas ! Sinon à vos risques et périls. Mais résister à la tentation est parfois bien difficile…
Une bourgade isolée, des chiens errants revenus à l’état sauvage, des enfants qui disparaissent : dans La Meute, tout se conjugue pour qu’éclatent les drames les plus noirs.
Les Mauvaises rencontres naissent aussi lorsque deux désaxés entrent en relation de manière fortuite… À moins qu’ils n’aient été attirés l’un par l’autre par un méchant tour du destin.
Sur les hauts plateaux déserts des Cévennes, la loi et l’ordre n’ont pas vraiment d’emprise. Dans leur isolement, les êtres voudraient connaître une existence paisible, mais la folie se tient en embuscade. Et tout échappe à l’entendement ordinaire. Le décor s’assombrit jour après jour. Et bientôt, on assiste, médusé, au spectacle de La Mort qui danse, furieusement, avant d’aller faucher des vies innocentes. "