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Points de vue - Page 230

  • Aujourd’hui, les bourgeois se fichent de Calais !...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Michel Geoffroy, cueilli sur Polémia et consacré à la lâcheté de la bourgeoisie face à la question de l'immigration massive et violente que subit notre pays...

     

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    Aujourd’hui, les bourgeois se fichent de Calais

    En 1346, durant la Guerre de Cent Ans, les Anglais assiègent Calais qui résiste courageusement. Mais à l’issue d’un siège de 11 mois la population, affamée, n’a d’autre issue que de se rendre aux envahisseurs. Les Anglais, rendus furieux par la durée du siège, menacent, en représailles, de passer toute la population au fil de l’épée sauf si des otages acceptent de se sacrifier. Six bourgeois, les fameux « bourgeois de Calais », acceptent leur sort pour sauver la population. Finalement ils seront graciés par Edouard III, ému par leur esprit de sacrifice. Et la ville sera épargnée.

    Mais aujourd’hui l’histoire ne se répète pas parce que les bourgeois se fichent du peuple de Calais comme du peuple de France.

    Un drame ordinaire

    Tout le monde a pu voir depuis samedi dernier, sur les réseaux sociaux, les tragiques images de cette famille calaisienne agressée devant son petit pavillon par des « migrants ». Les assaillants leur jettent des pierres, des pneus, des bâtons ; ils tentent d’entrer dans le domicile. On voit la femme qui supplie son mari de ne pas s’interposer. Finalement les assaillants refluent lorsque le fils brandit un fusil (factice ou non chargé).

    Une famille seule face aux « migrants » parce que la police laisse faire. Soyons juste, la police va quand même agir : en fin de journée elle interpelle… le fils au sujet dudit fusil.

    Les bourgeois s’en fichent

    Mais ce drame à Calais n’intéresse plus les bourgeois. Ce n’est après tout qu’une famille autochtone modeste : des « sans-dents », qui peut-être, au surplus, ne votent pas bien. Ce ne sont que des cht’is « franchouillards » qui s’obstinent à ne pas reconnaître l’apport magnifique de ces « migrants » : ils n’ont pas compris, comme nous le vantent les bobos du MEDEF, que ces migrants allaient « améliorer le marché de l’emploi ». Tant pis pour eux !

    Les bourgeois vivent à l’abri

    Les bourgeois se moquent de ce qui se passe à Calais car ils vivent bien à l’abri dans leurs quartiers préservés et dans leurs appartements digicodés. Et en cas de pépin ils peuvent compter sur la réaction rapide de leurs copains dans les ministères ou à la préfecture.

    Ils ne prennent jamais les transports en commun comme les « bidochons ». Leurs enfants ne fréquentent que les bonnes écoles : celles où on ne sert pas de « repas aménagés » et où les élèves sont triés sur le volet. Leurs bambins échapperont, bien sûr, au désastre universitaire français : à eux les écoles de commerce, les grandes écoles, les stages à l’étranger et les universités yankees. Pôle Emploi c’est pour les sans-dents, pas pour eux.

    Les bourgeois ne se confrontent jamais aux « migrants », sauf dans les articles de l’Obs. ou des Echos. Sauf quand le fiston, ému jusqu’aux larmes par le sort du petit Aylan, décide d’aller « faire de l’humanitaire » au profit des « migrants », avant d’entrer se mettre au chaud dans la banque de papa. Car le fiston, bien sûr, ne s’occupe pas des sans-abris français qui, eux, peuvent rester dans les rues : salauds de pauvres !

    Les bourgeois sont responsables de l’immigration

    Les bourgeois ne se confrontent pas aux « migrants » mais, par contre, ils les font venir depuis 50 ans, dans toute l’Europe. Dans les années 1960, ils allaient même les chercher au Maghreb pour être sûrs qu’ils viennent bien.

    Pour améliorer la « profitabilité » des entreprises où les bourgeois travaillent et dont ils sont les heureux actionnaires, c’est-à-dire pour pousser à la baisse les salaires des « bidochons» et à la hausse les profits des bobos.

    C’est pourquoi les bourgeois ont toujours soutenu les gouvernements qui ont ouvert toujours plus les portes à l’immigration. C’est pourquoi les bourgeois haïssent plus que tout le Front national et tous les populistes qui risqueraient de menacer leur « value for money ».

    Les bourgeois se moquent des conséquences de leur égoïsme

    Les bourgeois se fichent des conséquences d’une immigration de peuplement désormais incontrôlable car ils sont à l’abri. Et en cas de grabuge, ils pourront toujours filer ailleurs, là où ils ont d’ailleurs déjà placé leurs économies.

    Les bourgeois ne se sacrifieront plus pour sauver Calais, Cologne ou Paris car ils sont devenus mondialistes. Les bourgeois ne seront pas victimes du Grand Remplacement : ils sont déjà partis ou ils vont partir se mettre à l’abri, laissant les sans-dents se débrouiller avec les charmants allogènes.

    Les bourgeois ne se mettront pas la corde autour du cou pour sauver le peuple comme en 1346. Cette corde il faudra la leur mettre de force. Car ils la méritent.

    Michel Geoffroy (Polémia, 27 janvier 2016)

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  • Petit éloge de la race...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous une chronique de Richard Millet, radicale et lucide, cueillie sur son site personnel et consacrée à la question raciale.

    Ceux qui empruntent chaque jour les transports en commun d'Île-de-France peuvent attester qu'il n'y a aucune exagération dans la description faite par l'auteur d'un de ses derniers déplacements en RER...

    Écrivain, Richard Millet vient de publier Tuer (Léo Scheer, 2015), ouvrage dans lequel il revient avec beaucoup de profondeur, après La confession négative (Gallimard, 2009), sur l'expérience fondatrice que fut pour lui sa participation à la guerre civile libanaise...

     

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    Petit éloge de la race

    Le gauchisme culturel au pouvoir, en France, est hanté par le souci d’effacer le mot race du vocabulaire officiel. Les races n’existant pas, disent ces apôtres de la régulation onomastique, pourquoi user encore de ce mot dont la seule profération leur donne des pellicules ? N’appartenons-nous pas tous à la grande famille humaine ?  bêlent ces brebis tondues par le psoriasis idéologique. Or, non seulement les races existent, puisque je ne suis ni noir ni jaune, mais il est heureux qu’il en soit ainsi et qu’elles soient plusieurs, comme les pays, les frontières, les langues. Manière de dire aussi mon bonheur d’être blanc, comme les Noirs et les Jaunes d’être ce qu’ils sont, sans nulle idée de supériorité, il va de soi.

                C’est aussi la raison pour laquelle je refuse d’admettre que la race blanche est à l’origine des maux dont souffrirait l’humanité et que le métissage généralisé soit le remède contre le retour du nationalisme dont on clame qu’il nous a menés « aux heures les plus sombres de notre histoire. » C’est également pour cela que je ne crois pas au multiculturalisme, lequel n’est nullement un régionalisme importé et compatible avec les « valeurs républicaines », mais bien un agent destructeur des vieilles patries, pensais-je l’autre soir, dans le wagon de RER qui me conduisait à Paris, échappant pour une fois à l’un de ces « colis suspects » qui paralysent régulièrement le trafic et faisaient dire à un passager, l’autre jour, que derrière chacun de ces colis il y a un clochard, et derrière le clochard un musulman. Dans le wagon, trois jeunes Algériennes (peut-être  des bi-nationales), comme je le remarque au drapeau algérien ornant la coque du téléphone mobile de la première, une grosse fille à l’air de zébu las, pantalon déchiré, cheveux rouges ; l’autre est entièrement salafisée : niqab et abaya noir corneille, et visage inquiétant,  s’exprimant dans l’immonde français des banlieues, tout comme la troisième, une vraie Lolita avec ses cheveux décolorés, ses nattes, son rouge à lèvres couleur sang de bœuf, son jean moulant. Je me demandais ce qu’elles avaient de français, à part une carte d’identité et ce je ne sais quoi de perdu qui les rapproche des Françaises de souche déculturées et aliénées.

                A Gare-de-Lyon est montée une horde d’Africains, principalement constituée de femmes en boubou et turbans, poussant des landaus chargés d’une progéniture nombreuse – les hommes se tenant en réserve. Cette bruyante cohorte a fait que nous avons bientôt été les seuls Blancs du wagon, une passagère et moi, la passagère, une gauchiste, s’émerveillant à mi-voix de la beauté de ces femmes, tandis que j’étais, moi, importuné par un Africain qui avait passé son coude par dessus le siège, derrière moi. J’ai dû faire comprendre à cet homme qu’on n’était pas dans un autobus africain.

                Descendu à Auber, j’ai vu un Arabe insulter trois jeunes filles de l’ethnie rom, qu’il traitait de voleuses, « comme toute votre race », ajoutait-il dans l’indifférence générale –dans cette forme d’indifférence que suscite la terreur exercée par les lois qui portent les noms de Gayssot et de Taubira. Une tension permanente ; une situation partout explosive. C’est que la guerre civile est bel et bien en cours, à Calais comme à Paris, et partout où l’immigration impose son nombre, et autant dans le djihad que dans la haine que nous vouent la plupart des immigrés, surtout musulmans, lesquels explorent sans relâche les failles du système judiciaire comme le ventre mou de la démocratie, au sein d’un développement séparé qui permet à des millions d’individus exogènes de vivre en Europe comme dans leur pays d’origine, le capitalisme mondialisé appelant multiculturalisme ce qui, dans le Tiers-Monde, est du colonialisme.

                La guerre civile est donc interraciale, et mondiale. Une revendication inlassable. Des actions judiciaires perpétuelles. On l’a vu à la cérémonie des Oscars où des acteurs noirs se sont plaints de ce qu’ils n’étaient pas « représentés » et où une actrice prétend les femmes encore moins bien traitées que les Noirs ; on le voit dans l’incessant gémissement victimaire ; on le devine dans l’enfer du métissage – les races, les ethnies, les sexes, les religions (minoritaires chez nous mais puissamment majoritaires, ailleurs) fournissant les bataillons de cette guerre dont le djihad n’est que la partie la plus visible. Une situation qui me voue, plus que jamais, contre tous les révisionnismes idéologiques, à revendiquer la dimension puissamment identitaire, et non plus seulement fatale, des races.

    Richard Millet (Site officiel de Richard Millet, 25 janvier 2016)

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  • Une guerre des nomades contre les sédentaires ?...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous une chronique d'Éric Zemmour sur RTL, datée du 26 janvier 2016 et consacrée à la question de l'afflux massif d'immigrants clandestins à Calais...

     


    Migrants : "À Calais, c'est la guerre des... par rtl-fr

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  • Printemps arabes : lla fin de l'angélisme occidental ?...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Philippe Migault, cueilli sur Sputnik et consacré au bilan des "printemps arabes" cinq ans après...

    Philippe Migault est directeur de recherche à l'Institut de Relations Internationales et stratégiques (IRIS).

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    Printemps arabes : la fin de l’angélisme occidental ?

    Alors que l’on célébrait hier les cinq ans de la fuite de Zine el-Abidine Ben Ali vers l’Arabie Saoudite, le bilan des Printemps Arabes est sinistre. La démocratie n’a triomphé nulle part. Le chaos du Maghreb, des Proche et Moyen-Orient, gagne maintenant l’Europe.

    Tout avait pourtant bien commencé. « La révolution du jasmin », formule niaise que l'on croirait tout droit sortie d'une chanson de Patrick Bruel, était censée ouvrir une ère nouvelle. L'élan démocratique du peuple tunisien, nous assurait-on, n'allait pas manquer de susciter l'espoir dans l'ensemble du monde arabo-musulman. Suivant la théorie des dominos, les dictatures tomberaient les unes après les autres, laissant place à la volonté des peuples. Le modernisme triompherait et la femme, sur toute la rive sud de la Méditerranée, pourrait enfin parler d'égale à égal à l'homme. Dans ce climat d'euphorie romantique, toute personne émettant des réserves était bien entendu mise à l'index. Les raisons d'être sceptique, pessimiste, ne manquaient pas pourtant.

    En premier lieu parce que la démocratie n'a jamais pu s'imposer où que ce soit dans le monde musulman. Ce n'est pas d'ailleurs nécessairement du fait de l'Islam. La Tunisie d'Habib Bourguiba, évoquée avec nostalgie dans le contexte de la révolution tunisienne, se résume au règne sans partage d'un homme à la piété très relative trente années durant sur le même pays. Le statut de commandeur des croyants d'Hassan II n'explique pas seul la dureté dont il a fait preuve. Cet homme d'Etat n'allait pas chercher ses motivations dans le Coran. Quant à Houari Boumediene, son socialisme, son militarisme, adjoints à l'ADN totalitaire du FLN, sont bien plus responsables de la chape de plomb qui s'est abattue sur l'Algérie que l'Islam. Au-delà du Maghreb, il suffit d'évoquer Kadhafi, Nasser, la dynastie el-Assad, Saddam, les monarchies du Golfe…pour se rendre compte que de Gibraltar au Golfe Persique la seule constante est la dictature. Laïc, nationaliste, socialiste ou wahhabite, qu'importe: l'ordre brutal et le fait du prince sont la règle. Mais tout cela va précisément changer, nous assurait-on. Balayant les despotes, le souffle révolutionnaire allait imposer les idées des Lumières, les valeurs occidentales.

    Les pessimistes insistaient cependant. Sans avoir aucune sympathie pour Kadhafi ou el-Assad, il leur semblait évident que les Islamistes de tout poil, Frères Musulmans, Salafistes « quiétistes » ou terroristes, étaient en embuscade, prêts à confisquer la révolution à leur profit, dès que les dictateurs seraient tombés. Mauvais prophètes, Islamophobes, racistes…ils eurent droit à tous les qualificatifs les plus sympathiques. Ces gens qui ont le chic pour ne jamais aller dans le sens de l'histoire!

    Chaussant les bottes de George Bush Jr., la France et le Royaume-Uni décidèrent de donner un coup de pouce au « printemps » libyen, livrèrent des armes aux séides d'Al Qaïda pour faire triompher le « Printemps » syrien. Si les révolutionnaires n'étaient pas capables de l'emporter seuls, il fallait impérativement les aider pour empêcher la répression de s'abattre sur eux, nous disait-on. Dans une vision à la limite de l'eschatologie il fallait intervenir, faire la guerre, user de notre « droit d'ingérence » pour que le bien l'emporte sur le mal. Demain sur les tombeaux, les blés seront plus beaux…

     Les « Occidentaux » ont perdu. Perdu sur toute la ligne. Mohammed VI n'est pas plus démocrate que ne l'était son père. L'Algérie tremble à l'idée de la crise de succession qui risque de s'ouvrir à la mort de Bouteflika, pantin pathétique dont la survie, à l'instar de celle de Tito en son temps, semble le seul frein au réveil des passions. La démocratie tunisienne semble plus que jamais en sursis. La Libye est un Etat failli, par les côtes desquelles transite vers l'Europe toute la misère de l'Afrique. Toute honte bue, nous vendons des Rafale au Maréchal Al-Sissi, auteur d'un putsch en bonne et due forme, lui livrant les Mistral que nous avons refusé de vendre à la Russie, pourtant bien plus démocratique. La guerre se déchaîne au Yémen, tandis que nous livrons des armes à tour de bras aux Saoudiens et aux Qatari. Les morts, en Syrie, se chiffrent en centaines de milliers. Et le chaos, que nous avons contribué par notre interventionnisme à étendre, gagne maintenant nos pays par le biais des vagues migratoires que les « Printemps arabes », nos « printemps arabes » ont rendu possibles.

    Il est aisé de dire que l'Europe ne doit pas se transformer en forteresse. Facile d'affirmer que la France et les autres nations de l'UE ne doivent pas se replier sur elles « comme une grande Suisse ». C'est pourtant la seule ligne de conduite qui vaille face au terrorisme. Nous pouvons emporter tous les succès tactiques que nous voulons au Mali ou au Machrek. C'est en France, par le renseignement, les perquisitions, l'action massive des forces de l'ordre et des soldats, avec un mandat et des missions ad hoc, que nous remporterons la bataille.

    Le repli, c'est aussi la seule ligne qui vaille face à l'immigration massive, vecteur de l'obscurantisme musulman. Car ce n'est pas parce que l'Islam n'est pas systématiquement responsable de l'échec démocratique dans l'arc des crises qu'il est pour autant compatible avec la démocratie. Entre Charia et Etat légal à la française il n'est pas de cohabitation possible. Ceux qui se proclament « Charlie » peuvent bien mettre sur le même pied tous les monothéismes, force est de s'en tenir aux faits: cela fait longtemps sur notre sol que le catholicisme, en dehors de la manif' pour tous, qui n'a tué personne, a renoncé à toute incursion sérieuse, en tout cas violente, dans la sphère temporelle. Ceux qui ont assassiné les enfants juifs de Toulouse, les clients de l'hypercasher, les bons vivants du Bataclan et des terrasses parisiennes, se réclament tous a contrario de la même foi, de la même doctrine, prétendant dicter sa loi et diviser les hommes en deux catégories, les croyants et les Dhimmi, les maîtres et les esclaves. Les Français, effarés par ce qui s'est passé à Paris, mais aussi à Cologne et dans d'autres villes allemandes commencent à le comprendre.

    L'immigration de masse nord-africaine et levantine, corollaire de notre diplomatie irresponsable, va peut-être, enfin, dissiper l'angélisme occidental et notamment français. Encore que tout soit fait pour faire taire ceux qui, ayant eu raison trop tôt, sont maintenant écoutés lorsqu'ils s'expriment, ce qui, pour les tenants du « vivre ensemble » à tout prix et de la dissolution de la nation, ne les rend que plus infréquentables.

    Philippe Migault (Sputnik, 15 janvier 2016)
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  • L'Etat français, ennemi du peuple français ?...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Guillaume Faye, cueilli sur son site J'ai tout compris et consacré à la dérive de l'Etat en France qui s'est progressivement transformé en méga–structure corporatiste et parasitaire...

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    L'Etat français, ennemi du peuple français

    L’État français, au terme d’une dérive commencée dans les années 70, est devenu une superstructure autonome, plus parasitaire que protectrice. Non seulement cet État ne protège ni ne défend la société et le peuple français –selon le contrat social assigné – mais il semble qu’il vise à les détruire. Au risque d’ailleurs de s’autodétruire… 

    Métamorphose pathologique de l’État français

    En sociologie politique, l’État est l’incarnation de la fonction souveraine sous forme d’une administration et d’une force publique hiérarchisées et centralisées, dirigées par un monarque, que ce dernier soit élu ou héréditaire. Il détient (Carl Schmitt) le monopole de la force, sous la forme du triple droit : de vie et de mort (armée, police, éventuellement peine judiciaire d’exécution capitale), d’incarcération et de contrainte physique et de contrainte fiscale. En contrepartie, il doit servir la Cité et le peuple (Platon) et non point se servir lui-même. 

    Si le concept politico-philosophique d’État est apparu au XVIIe siècle en Europe, la ”chose État” existait dès les Cités grecques antiques, mais aussi sous les anciennes monarchies de la Chine, du Japon et de l’Inde. Sans oublier l’État pharaonique, l’État perse, les Royaumes juifs, etc. L’Empire romain puis l’Empire ottoman ont développé des structures étatiques très élaborées et de grande échelle, appuyées sur de puissantes administrations (surtout fiscales) et des armées centralisées. En France – en Gaule, pourrait-on dire – l’État a disparu – mis à part le bref épisode avorté de la restauration impériale de Charlemagne – du Ve au XVe siècle, remplacé par le système féodal bicéphale (suzeraineté politique polycentrée / autorité cléricale). L’État est réapparu progressivement avec les dynasties des Valois puis des Bourbons, la Révolution française n’ayant créé aucune rupture.

    La rupture – et le début de la dégénérescence de l’État – date de la fin du XXe siècle. Ce dernier se transforme en ”État Providence” social tout en délaissant ses fonctions régaliennes centrales. Il devient un pachyderme administratif qui fonctionne à son propre profit. Sa puissance (dépourvue d’autorité) sert toujours plus à fiscaliser et à ponctionner la société civile et l’économie privée, à torpiller la liberté d’expression d’une certaine partie de l’opinion seulement, à laisser faire ou organiser une colonisation de peuplement massive contre l’avis de la nation, à criminaliser et à poursuivre ceux qui s’y opposent trop fortement. Sans assurer la véritable souveraineté – abandonnée au profit de la technocratie européenne – ni l’indépendance nationale en politique étrangère.

    L’État français actuel se légitime en se réclamant de la notion – au fond abstraite et creuse – de République et non plus de celle, concrète, de Nation. Et, comme l’a vu Michel Onfray, la référence au peuple est totalement évacuée.

    L’État français n’est plus régalien mais clientéliste

    Même Alain Juppé, qui fut pourtant Premier ministre (impuissant) et auteur d’un livre programmatique, Pour un État fort (J–C Lattès, 2016) – dont aucune des propositions ne sera, bien entendu, mise en œuvre s’il était élu en 2017 à la présidence – l’avoue : « un État fort, c’est un État qui assume avec autorité ses missions régaliennes de sécurité et de justice, ce n’est pas un État tatillon et procédurier qui prétend régenter la vie quotidienne des entreprises et des citoyens. Les Français ont parfois l’impression que l’État est absent lorsqu’il devrait être présent et présent lorsqu’il devrait être absent ». Cette excellente analyse – qui pourrait être une autocritique – est formulée par un Monsieur (un apparatchik d’État) qui a fait exactement le contraire de ce qu’il prône aujourd’hui et qui n’est donc pas crédible. Banal.

    C’est que l’absence d’ ”hommes d’État” est criante en France depuis la disparition de George Pompidou en 1973. Ils ont été remplacés par des fonctionnaires politiciens, qui se préoccupent exclusivement de leur cursus carriériste, qui pratiquent le clientélisme, et pour lesquels l’intérêt national est instrumentalisé sous forme de discours de propagande – ont dit aujourd’hui, par euphémisme de ”communication”. L’État a abandonné son cœur de métier, la fonction régalienne, pour se consacrer à des tâches pour lesquelles il n’est absolument pas performant, et pour exploiter à son profit et à celui de sa clientèle considérable d’assistés et de salariés privilégiés les forces vives de la nation, c’est-à-dire les classes moyennes et le tissu des PME, ses vaches à lait, ses poules aux œuf d’or.

    L’État français bénéficie de la complicité de relais dans des structures périphériques minoritaires mais subventionnées et très puissantes comme forces métapolitiques : les multiples syndicats marxisés et le réseau associatif protégé. Il s’agit d’un système corporatiste organisé ”en étoile”, qui s’agrège à l’appareil étatique.

    L’État français comme superstructure parasitaire

    L’État français, dérivant complètement de son rôle, est devenu une organisation autocentrée, qui entretient près de 6,5 millions de fonctionnaires inamovibles et privilégiés (les fonctions publiques centrales, territoriales et hospitalières, pléthoriques) qui vivent au crochet de la société civile et de l’économie privée. L’organisation–État, disposant de la force publique et de la contrainte fiscale, vise d’abord, non pas le service de la nation, de la France, mais sa propre conservation comme organisme ou méga–structure (parasitaire ?). 

    D’ailleurs, une majorité de la représentation nationale (Assemblée et Sénat) sont des fonctionnaires. En cas de perte de mandat, ils réintègrent la fonction publique, ce qui est un privilège aberrant. La plupart des membres des gouvernements – y compris les présidents de la République – et des cabinets ministériels sont aussi des fonctionnaires d ‘État. Autrement dit, l’essence de la démocratie, telle que définie par Aristote (l’État est dirigé par des élus de la société civile privée qui nomment les fonctionnaires dont la mission est d’obéir aux représentants du peuple) est bafouée au profit d’un principe inverse : la représentation nationale est composé de fonctionnaires qui monopolisent l’État, se confondent avec lui, et régissent une société civile (la nation) non représentée.   

    Le parallèle entre l’État français et l’ancien État soviétique (articulation mandarins/ apparatchiks) semble pertinente. De manière beaucoup plus subtile que dans les régimes communistes, l’appareil d’État français – et son appendice judiciaire– (dont l’indépendance formelle est compensée par la conformité idéologique) suit un triple comportement de non protection, de répression et d’exploitation de la nation de souche. Au nom, à la fois d’une idéologie et d’un syndrome de survie de sa propre structure tentaculaire.

    Il y a longtemps que la mystique patriotique du ”service public” des hauts fonctionnaires de l’ENA a été remplacée par le carriérisme, le pantouflage ou l’entrée dans les structures ministérielles et gouvernementales qui procurent des privilèges à vie. Les agents dirigeants de l’État français ne sont pas au service de la France mais constituent une corporation qui vit à ses dépens. 

    La farce de la déchéance de la nationalité française pour les terroristes

    Je ne change pas de sujet, c’est le même ; un des récents exemples de l’impuissance et des effets de manche de l’État français : on s’est lancé dans un débat oiseux et politicien qui occupe tous les médias pour savoir s’il faut retirer la nationalité française aux binationaux impliqués dans le terrorisme et inscrire cette mesure dans la Constitution ! C’est une évidence ! On discute du sexe des anges. Il faudrait même aller beaucoup plus loi et en revenir aux dispositions de la IIIe République qui appliquaient la déchéance de nationalité aux binationaux, naturalisés ou natifs du droit du sol pour tous les types de condamnation criminelle. 

    Mais le problème n’est pas là : il est que les terroristes et leurs complices bénéficient du droit commun criminel avec des peines dépassant rarement 10 ans fermes (donc 6 ou 7 ans réels). La seule mesure intelligente et (un peu) efficace aurait été de durcir considérablement dans le code pénal le délit de participation directe ou indirecte à une entreprise terroriste, avec une peine généralisée unique, à l’aide d’une loi d’exception : l’emprisonnement à perpétuité réelle sans remise de peine ni libération anticipée pour tous les prévenus, impliqués de près ou de loin dans un réseau ou une entreprise terroriste, même sans passage à l’acte. Ce qui aurait un double avantage de dissuasion et d’élimination. Mais l’État français ne cherche pas à lutter réellement contre le terrorisme islamique. En tout cas pas au prix –péché suprême – de paraître ”islamophobe”. Son oligarchie, aujourd’hui de gauche, veut simplement manier les symboles, faire de la communication à but électoral.

     

    L’État français est donc devenu un méga–structure corporatiste qui, depuis plusieurs décennies, dirigé par des gouvernements de droite ou de gauche, sape les fondements de la France. Ce ne sont pas les multinationales, les marchés, le mondialisme ni Bruxelles qui font exploser le chômage, paupérisent les classes moyennes et réduisent le niveau de vie, c’est la politique de l’État français. Ce n’est pas une agression extérieure qui a provoqué l’immigration de peuplement de masse, l’islamisation galopante, la montée du terrorisme djihadiste, l’explosion de la criminalité, c’est la politique de l’État français. 

    Les 9 plaies de la nation française provoquées par l’État

    Voici les neuf domaines dans lesquels l’État français démolit la société et la nation françaises. Le processus s’est singulièrement aggravé depuis que la gauche PS – influencée par le trotskisme –  dirige l’appareil d’État, un appareil qui, par ailleurs, est largement, du haut en bas de la hiérarchie, majoritairement innervé par la même idéologie.

    1 L’encouragement de la colonisation de peuplement et de l’islamisation. Toute la politique d’immigration a été objectivement orchestrée par l’État français depuis le regroupement familial de 1974. (1) L’État français est le seul responsable de la colonisation de peuplement massive et de l’islamisation et de tous les maux qu’elles provoquent. Ce remplacement de population est accompli contre l’avis du peuple. Jamais, dans toute l’histoire de France, jamais, un État n’avait accepté, cautionné, laissé faire, au prix même de l’irrespect des lois (non–expulsion des clandestins et des déboutés du droit d’asile) une telle entreprise que l’on pourrait comparer à un ethnocide sournois.   

    2 L’abandon des classes populaires autochtones. La préférence étrangère est largement pratiquée dans les politiques sociales, de logement et d’embauche. La discrimination positive à caractère ethnique est partout encouragée voire imposée ; bien que la propagande prétende par un énorme mensonge que les personnes issues de l’immigration sont victimes de racisme et d’exclusion, inversion orwellienne de la réalité. Le peuple de souche des classes populaires (la ”France périphérique”) est délaissé, relégué. C’est lui qui est victime d’exclusions, de discriminations, de précarité, qui subit la criminalité, le racisme et la dureté administrative et fiscale de l’État ; lui, dont les prestations sociales, les aides et les revenus sont sacrifiés au profit des salariés publics surprotégés et de l’assistanat considérable des populations immigrées.

    3 Le naufrage de l’école publique, l’Éducation nationale étant devenue l’Éducation antinationale. Baisse de niveau dramatique, par dogmatisme égalitaire, de l’enseignement public primaire et secondaire, démolition et défiguration de l’enseignement de l’histoire de France…la liste est interminable. Destruction de la mémoire nationale et culpabilisation. L’inverse absolu de la philosophie scolaire de la IIIe République. L’ascenseur social et la méritocratie ont été tués par l’État pseudo–républicain depuis 1968. L’égalitarisme a détruit l’égalité des chances. Rue de Grenelle, les cabinets de droite ou de gauche sont tout aussi responsables.

    4 Le recul de la répression des crimes et délits et l’acceptation des zones hors droit. L’impunité judiciaire des délinquants sabote toute action policière. Les moyens d’investigation de la police ont été rognés et les récentes dispositions ”post-attentats” ne changent pas grand chose. Mme Taubira n’est qu’un épisode aggravant dans un processus débuté après 1981. L’État, dont les mandarins sont protégés, a laissé s’installer des centaines de zones de non-droit, à la fois défrancisées et criminogènes. Pire : l’État oblige les communes (logements sociaux, loi SRU) à héberger des quotas de certaines populations. Tout se passe comme si l’État–pachyderme évacuait une partie du territoire national laissée aux mains d’un occupant et lui en offrait de nouvelles portions. Le parallèle est saisissant avec l’État impérial romain déclinant. Et pour tout arranger, on force maintenant (loi SRU et quotas de ”logements sociaux ”) les communes préservées à accueillir les ”nouvelles populations”.

    5 La démolition économique des forces vives de la nation. Ponctions fiscales et sociales croissantes, contraintes administratives empilées, harcèlements juridiques, réglementarisme paralysant  : des agriculteurs aux artisans, des PME aux professions libérales, des fortunes investisseuses aux créateurs d’entreprises, tous sentent bien que le Moloch étatique, avec ses relais syndicaux corporatistes et marxisés, plombe la création de richesse nationale. Et ce n’est pas le ”social–libéralisme” insignifiant de M. Macron (montagne de paroles, modernité factice accouchant d’une souris) qui change quoi que ce soit. Au bilan : chômage en ascension exponentielle, baisse de compétitivité, faillites, déclin de l’agriculture familiale, investissements en berne, fuite des talents et des fortunes qui partent enrichir d’autres pays…   

    6 Le découragement de la natalité autochtone. Le gouvernement PS depuis 2012 a gravement dégradé les régimes des allocations familiales et aggravé les charges fiscales des familles avec enfants des classes moyennes, majoritairement de souche. Leur natalité est en baisse depuis 2013. Tout se passe comme si la reproduction du peuple français historique n’était pas souhaitée par l’État.

    7 Les atteintes croissantes à la liberté de la presse et d’expression pour les défenseurs de l’identité française et européenne. La loi sur la liberté de la presse et d’expression de 1881 est de plus en plus vidée de sa substance, à partir des lois Pleven de 1972. Depuis, les lois mémorielles et communautaristes s’empilent ; s’y ajoutent une jurisprudence partiale qui abandonne le droit positif au profit de jugements idéologiques, et les injonctions depuis 1994 de la Cour européenne – véritable gouvernement des juges non élus. On aboutit à ce que toute opinion ”incorrecte” soit réprimée, menacée et donc incitée à l’autocensure. En dépit de la mascarade ”Je suis Charlie”, le blasphème contre l’islam (pas contre les autres religions) est intégré par le droit de l’État français. Plus le djihad islamique frappe, plus l’”islamophobie” est réprimée et moins l’ennemi des Français et des Européens est désigné. (2) Les concepts de racisme, d’islamophobie, d’homophobie, etc. fonctionnent comme des instruments de répression à sens unique.

    Selon un modèle post–soviétique assoupli – sans goulag –l’idéologie officielle d’État, réprime de plus en plus toute contestation de ses dogmes, toute ”opinion interdite” par des sanctions à la fois pénales et socio-professionnelles. Il est même question de correctionnaliser les délits d’opinion. La ”république” est définitivement brouillée avec la liberté.

    8 Les abandons de la souveraineté nationale au profit du conglomérat technocratique de l’Union européenne. L’UE est une belle idée mais dont la réalisation concrète est catastrophique. L’avis et la volonté du ”peuple français” et même de ses ”représentants” ne comptent plus. L’État n’a plus de souveraineté monétaire, plus de souverainement commerciale, de moins en moins de souveraineté industrielle, plus de protection physique des frontières qui ont quasiment disparu, noyées dans l’espace Schengen. Il s’en accommode parfaitement. En revanche, il a accru sa masse volumique et sa pression fiscale.

    9 La soumission de la politique étrangère française à Washington, à l’Otan et à l’UE, relai des deux premiers, au mépris de l’intérêt national – et bien sûr européen. Le dernier épisode aura été la crise ukrainienne (voir divers article de ce blog) où l’État français a obéi à la politique aberrante de sanctions contre la Russie. Ce qui, sur les plans économique et stratégique, est complètement contraire aux intérêts de la France, la Russie étant notre premier partenaire et notre premier allié naturel sur l’échiquier planétaire. Mais, que voulez-vous ? Ces Messieurs du Quai d’Orsay prennent leurs ordres sur les rives du Potomac. Cette remarque ne signifie aucun anti–américanisme primaire de ma part.  

     

    L’État français provoque son propre dépérissement : il tue la poule aux œufs d’or.

    L’État français ne cherche donc plus à être souverain comme représentant et défenseur du peuple français. Il vise d’abord la reproduction et l’expansion de son propre organisme, autoritaire et parasitaire, privilégié, aux frais du peuple de souche des classes de l’économie privée. Mais en même temps, il s’attaque, par idéologie, à ce peuple autochtone qui le fait vivre. Cette contradiction est suicidaire. L’État français ne sera pas secouru par ses protégés.

    À maints égards, cet État pachydermique ressemble à l’État romain de l’Empire agonisant (Ve siècle) qui, lui non plus, ne cherchait plus la gloire ou la défense de Rome : énorme pression fiscale, impuissance à protéger les populations contre des invasions barbares qu’il a lui-même favorisées. Le parallélisme est fascinant. C’est pourquoi, dialectiquement, l’État pachydermique français est menacé de mort : en croyant se renforcer, il se saborde. Il croule sous son propre poids. Fuite des élites, baisse des recettes fiscales, dette croissante, soumission aux marchés créanciers, invasion migratoire de populations hostiles non maîtrisées, insécurité et délinquance explosives, perte de contrôles de pans entier du territoire. Il scie la branche qui supporte son organisme adipeux.

    Une jeune personne qui est aujourd’hui titularisée comme fonctionnaire s’illusionne. Elle n’a rigoureusement aucune chance d’être payée jusqu’à la fin de sa vie professionnelle ni a fortiori de percevoir une retraite garantie comme ses aînés. Tout simplement parce qu’il n’y aura plus un sou pour la rémunérer. Pas de miracles : personne ne prêtera plus à l’État français. La faillite est pour dans moins de dix ans.

    L’État français dépérit aussi par l’étranglement progressif de son propre principe de liberté (”républicain”) puisqu’il réprime de plus en plus cette liberté d’expression démocratique. Sa pseudo laïcité se soumet à l’islam envahisseur. La décomposition de l’État français actuel est peut-être souhaitable pour que renaisse, dans la douleur, la France. Une seconde Révolution française est possible ; si elle advient, elle sera très différente de la première. Probablement, beaucoup plus radicale et sismique.

    Guillaume Faye (J'ai tout compris, 11 et 14 janvier 2016)

     

    Notes :

    (1) À l’époque, il était pertinent d’accuser le ”patronat” d’importer de la main d’œuvre à bon marché. Depuis les années 80, ce schéma est faux. L’immigration n’est plus du tout de travail.

    (2) M. Valls ne cesse de désigner le « terrorisme  » comme ennemi, terme sémantiquement neutre. Le terrorisme ? Mais qui sont les terroristes, à 100% ? Il n’ose même pas employer le mot ”islamisme”, a fortiori ”islam”. M. Valls, matamore mou, est terrorisé, victime du terrorisme intellectuel.

        

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