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  • Je suis Providence...

    Les éditions ActuSf viennent de publier une biographie de Lovecraft établie par S.T. Joshi et intitulée Je suis Providence. Une occasion pour découvrir la vie, les sources et l'inspiration de celui qui nous a fait prendre conscience de la menace maléfique des Grands Anciens.

     

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    " Howard Phillips Lovecraft (1890-1937) est un auteur qui fascine autant par son œuvre que par sa personnalité. Ayant influencé avec ses récits fantastiques et horrifiques (comme L'Appel de Cthulhu) de nombreux écrivains comme Stephen King, ses fictions et sa vie ont été soumises à de nombreuses interprétations pas toujours exactes, véridiques et précises. 

    Spécialiste des littératures de l'imaginaire et de Lovecraft en particulier, S.T. Joshi travaille sur sa biographie depuis plus de 20 ans. Par son érudition et son ampleur, elle est aujourd'hui considérée comme la référence au niveau mondial. 

    Pour la première fois en France, sous la direction de Christophe Thill et avec le concours d'une équipe de dix traducteurs, cette biographie est proposée aux lecteurs. "

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  • Alain de Benoist : "Il y aura un avant et un après Gilets Jaunes"...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un entretien avec Alain de Benoist, mis en ligne le 1er avril 2019 sur Boulevard Voltaire, et consacré à la révolte des Gilets Jaunes 4 mois après son début... Philosophe et essayiste, directeur des revues Nouvelle École et Krisis, Alain de Benoist vient de publier Contre le libéralisme (Rocher, 2019).

     

                                        

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  • Le mondialisme dans ses oeuvres...

    Les éditions de Renaissance Catholique viennent de publier un ouvrage collectif dirigé par Michel De Jaeghere et intitulé Le Mondialisme dans ses œuvres. On trouve parmi les contributeurs Jean-Yves Le Gallou, Philippe Conrad et Claude Rousseau.

     

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    " Si l'unité du genre humain est une réalité, justifie-t-elle, à l'échelle de la planète, une unité politique ? Le débat est ancien. Aujourd'hui plus qu'hier la mise en place d'un gouvernement mondial, est présentée comme la panacée pour répondre aux défis de notre temps. Par nature ignorants des frontières, les défis écologiques qui menacent la planète rendraient nécessaires l'établissement d'instances internationales de régulation, seules en mesure de la sauver de la pollution, du réchauffement climatique, de la surpopulation.
    Et puisque " le nationalisme c'est la guerre " selon les mots de François Mitterrand, paix et gouvernance mondiale seraient inséparablement liés. La destruction des nations serait, dans cette optique, un préalable indispensable à la paix universelle. Créant des liens indestructibles et éternels entre les hommes et les civilisations, " le doux commerce " rendrait, à l'avenir, tout affrontement impossible.
    L'uniformisation des cultures et des civilisations dans un universalisme marchand alliant consumérisme hédoniste et de démocratie participative serait ainsi l'horizon insurpassable d'une humanité enfin pacifiée. A contre-courant de ces pétitions de principe, les intervenants rassemblés ici : philosophes, historiens, essayistes ou témoins qualifiés déconstruisent une utopie destructrice des communautés naturelles, et fondatrice d'un ordre marchand qui fait l'impasse sur nos enracinements, comme sur nos aspirations spirituelles.
    Ils nous rappellent qu'il n'existe pas de sens inéluctable de l'histoire mais que l'avenir est toujours écrit par des hommes qui trouvant, dans leur histoire et leurs traditions, la volonté et la force de résister aux vents dominants de l'instant présent, qui sont souvent ceux de la facilité, de la décadence et de la mort."

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  • Le pape François ou l’apologie des migrations...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Benoît Dumoulin cueilli sur le site de L'Incorrect et consacré aux récentes prises de position du pape François en faveur de l'accueil des migrants en Europe.

     

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    Le pape François ou l’apologie des migrations

    Est-ce parce qu’il est issu d’une famille de migrants piémontais installés en Argentine que le pape François prend si à cœur la question migratoire ? Il est vrai que la situation s’est dégradée en Méditerranée où l’on dénombre près de 17 000 personnes décédées depuis 2014. Personne ne peut rester insensible à cette tragédie humaine et accepter que la mare nostrum devienne un cimetière, comme l’avait expliqué le pape devant le Parlement européen en 2014.

    Mais, au Maroc où il s’est rendu les 30 et 31 mars derniers, c’est un discours bien plus politique qu’il a tenu, notamment lors d’une visite d’un centre de la fondation Caritas qui abrite des migrants africains. Dans le prolongement de ses précédentes prises de position, le pape François se fonde sur le pacte de Marrakech approuvé par les représentants de 160 pays en décembre dernier, pour exiger « une migration sûre, ordonnée et régulière » qui profitera aux sociétés des pays d’accueil. Celles-ci « en seront enrichies si elles savent valoriser au mieux la contribution des migrants, en prévenant tout type de discrimination et tout sentiment xénophobe ». L’idée est de pouvoir construire « une société interculturelle et ouverte », avec « des villes accueillantes, plurielles et attentives aux processus interculturels, capables de valoriser la richesse des différences dans la rencontre de l’autre ».

    S’il rappelle « le droit d’émigrer » comme « celui de ne pas être contraint à émigrer », le pape voit avant tout dans l’immigration une source d’enrichissement mutuel. Il n’a probablement pas à l’esprit le déracinement des immigrés ni les difficultés d’intégration qu’engendre une immigration de masse, surtout quand l’immigré porte une culture différente de celle du pays d’accueil. Il s’agit, pour lui, d’une obligation morale qui ne souffre aucun doute. D’ailleurs, il culpabilise ceux qui s’opposent à la pression migratoire, en expliquant qu’ils cèdent à « la peur » qui fait le lit « des populismes » qui, par le passé, ont pu conduire Hitler au pouvoir. On croirait entendre un dignitaire du parti socialiste ; mais non, il s’agit du pape.

    Une donnée principale doit lui échapper, celle du nombre. Engels disait qu’« à partir d’un certain nombre, la quantité devient une qualité ». De fait, s’il est possible d’assimiler des individus ou des familles, la même entreprise devient beaucoup plus problématique avec des masses. Or, le pape néglige la question des équilibres démographiques. Il voit d’ailleurs comme un signe positif la situation minoritaire des chrétiens au Maroc car « notre mission de baptisés, de prêtres, de consacrés, n’est pas déterminée particulièrement par le nombre ou par l’espace que nous occupons ».

    Dans ces conditions, pourrons-nous toujours rester chrétien demain en Europe si l’on accueille autant de migrants musulmans qui gardent leur culture et forment des poches de contre-sociétés au cœur du monde occidental ? Quelle « culture de la rencontre » pour les « petits blancs » obligés de quitter leur quartier pour ne pas subir la pression de l’islam, majoritaire dans certains pans du territoire ?

    Pour celui qui considère l’Europe comme « une grand-mère fatiguée » (discours au Parlement européen, novembre 2014) et se méfie de l’invocation des racines chrétiennes qui peuvent porter en elle des relents de « colonialisme » (La Croix, interview du 19 mai 2016), « l’Europe a été formée par les mouvements migratoires et c’est sa richesse », comme il l’affirme lors de la conférence de presse tenue dans l’avion qui le ramenait du Maroc.

    Pas étonnant, dès lors, qu’il prône le multiculturalisme puisqu’il ne voit aucun socle culturel commun qui unifie l’Europe. C’est peut-être là l’omission la plus grave. Certes, l’Europe est, à bien des égards, une société post-chrétienne qui a renié son héritage chrétien mais celui-ci reste ancré au cœur de sa culture. Que la culture chrétienne n’intéresse pas le saint Père, voilà qui est particulièrement préoccupant !

    Car si le christianisme est avant tout une relation personnelle à Dieu, il s’enracine aussi dans une culture qui forme un socle commun permettant à tous de pouvoir échanger et se comprendre quelles que soit sa religion. Si ce socle commun disparaissait sous la poussée de l’islam, nos sociétés deviendraient éclatées et ce serait probablement la fin de la civilisation européenne qui a porté le christianisme au cours de son histoire pendant plus de deux mille ans. Est-ce cela que souhaite le pape argentin ?

    Benoît Dumoulin (L'Incorrect, 5 avril 2019)

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  • Tour d'horizon... (163)

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    Au sommaire cette semaine :

    - sur Fragments sur les temps présents, le chercheur Jean-Yves Camus livre une analyse honnête de la mouvance identitaire...

    Les Identitaires et la recomposition des droites

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    - sur le site de la revue Rébellion, David L'Epée, collaborateur de la revue Eléments, présente le modèle fédéraliste suisse...

    Le fédéralisme suisse : un modèle qui séduit au-delà des frontières

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  • Feu sur la désinformation... (229)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés, consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours de Nicolas Faure.

    Au sommaire :

    • 1 : Yes, la meuf est porte-parole
      Sibeth Ndiaye est le nouveau porte-parole du Gouvernement. Cette fille de la haute-bourgeoisie sénégalaise n’est devenue française qu’en 2016. Entre vulgarité et agressivité, voilà qui promet !
    • 2 : Le Zapping d’I-Média 
      Coup de chapeau à Sonia Mabrouk qui a tenu tête à Bernard-Henri Lévy en lui rappelant son soutien au criminel Battisti.

    • 3: Agression « transphobe » : Padamalgam pour tous !
      Même si une agression « transphobe » a lieu en plein milieu d’une manif d’Algériens, hors de question pour les journalistes de faire des amalgames.
    • 4 : Les tweets de la semaine
      Et si la plus grande victime de la loi anti-fausses nouvelles était en fait… LREM ?
    • 5 : Le Pen face à Hanouna, papy sympa
      Cyril Hanouna a interrogé Jean-Marie Le Pen. Pour de nombreux médias, l’animateur vedette a rendu l’homme politique trop sympathique.

     

                                     

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