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  • Le populisme ou la mort !...

    Les éditions Via Romana viennent de publier un recueil de chroniques d'Olivier Maulin intitulé Le populisme ou la mort. Anar de droite, tendance Rabelais, critique littéraire à Valeurs actuelles, alsacien et roi de Montmartre, Olivier Maulin est l'auteur de romans truculents et païens, comme En attendant le roi du monde (L'esprit des péninsules, 2006), Les évangiles du lac (L'esprit des péninsules, 2008), Petit monarque et catacombes (L'esprit des péninsules, 2009), Les Lumières du ciel (Balland, 2011),  Le Bocage à la nage (Balland, 2013), Gueule de bois (Denoël, 2014) ou La fête est finie (Denoël, 2016). On lui doit aussi deux polars, dont un Le dernier contrat (La Branche, 2012) nous propulsait dans une crise politique ressemblant furieusement... à celle des Gilets Jaunes !

    Alors que dire de ce recueil, sinon qu'il faut se jeter dessus pour pouvoir se délecter de cette distribution de bourre-pifs où l'auteur déploie toute sa verve, sa drôlerie et son bon sens décapant !

     

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    " Observateur attentif de la vie littéraire, artistique, politique et sociale de son époque, Olivier Maulin a rassemblé ici le meilleur de ses analyses de chroniqueur anticonformiste. Abaissement moral des élites, fracture entre la France d’en-haut et celle d’en-bas, désintégration de la société sous les coups de boutoir du capitalisme, de l’immigration et des diktats de l’Union européenne, promotion d’une société multiculturelle et multiconflictuelle, destruction du goût et de l’environnement, trahison des médias : l’inventaire est lourd et c’est avec une verve satirique et un humour cocasse digne de Marcel Aymé qu’Olivier Maulin dresse un portrait de notre époque régressive qu’on ne lira nulle part ailleurs.
       Mais le chroniqueur ne désespère pas pour autant et guette dans le moindre soubresaut des peuples les raisons d’espérer, consignant scrupuleusement les éléments d’une révolution conservatrice qui dans toute l’Europe se mettent lentement en place, et qui peuvent assurément changer la donne. Pourrons-nous éviter le précipice vers lequel nous entraînent nos élites ? Une course contre la montre a commencé. "

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  • Immigration  : « Oser combattre, oser vaincre » (1)...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue d'Hervé Juvin, cueilli sur son site personnel et consacré à la question de l'immigration.

    Économiste de formation, vice-président de Géopragma, Hervé Juvin est notamment l'auteur de deux essais essentiels, Le renversement du monde (Gallimard, 2010) et La grande séparation - Pour une écologie des civilisations (Gallimard, 2013). Candidat aux élections européennes sur la liste du Rassemblement national, il a publié récemment un manifeste intitulé France, le moment politique (Rocher, 2018).

     

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    Immigration  : « Oser combattre, oser vaincre » (1)

    L’immigration de masse est moralement condamnable, politiquement destructrice, socialement détestable, écologiquement dangereuse.

    Il faut le dire. Il faut en finir avec ces convenances qui interdisent de désigner l’ennemi, avec cette étrange timidité qui paralyse ceux qui ont compris, qui ont vu, mais qui se sentent coupables d’avoir vu ce qu’ils voient et compris ce qu’ils comprennent. L’établir sur la base d’expériences historiques multiples et valides, c’est interroger la complaisance qui a laissé des idées fausses et des émotions manipulées interdire un débat qui n’a jamais eu lieu, et qui est pourtant le plus essentiel à la démocratie ; quelles conditions d’accès et de résidence sur nos territoires, quelles conditions d’accès à la citoyenneté française et aux prestations financées par la solidarité nationale ?

    Monopole verrouillé, le camp du Bien n’a jamais voulu tolérer le débat. Terrorisme médiatique et magistère moral aidant, jamais depuis l’Occupation allemande, les Français n’ont pu dire qui ils étaient, ni la France qu’ils voulaient.

    Nous en sommes là. De sorte que le plus urgent est de prendre les armes de la critique, pour regarder en face la situation de déni de démocratie que nous avons vécue, que nous subissons encore, et sous quels étrangers commandements nous subissons. De sorte qu’il est vital d’accélérer un basculement en cours pour reprendre l’initiative et affirmer clairement que le point de vue moral, politique, social, écologique, et aussi culturel donne raison à ceux qui entendent dénoncer le pacte de Marrakech, tenir nos frontières, et dire à tous et à tous : « on ne passe pas ! »

    Immigration : 50 années de déni de démocratie

    L’histoire rappelle qu’après le mouvement massif de rapatriement des Français d’Algérie et des harkis qui avaient combattu pour la France, l’immigration de travailleurs maghrébins et africains répondait au choix des entreprises industrielles de recruter de la main-d’œuvre bon marché en masse plutôt que d’automatiser. L’origine de ce mouvement migratoire est économique. Et ce sont des entreprises industrielles, automobiles et de bâtiment notamment qui en sont responsables. Cette immigration de travail formée d’hommes jeunes, en bonne santé, cotisant aux systèmes sociaux sans en percevoir de prestations, était présentée comme temporaire. Ils étaient de passage. Qui pouvait s’en inquiéter ?

    La majorité n’allait pas repartir au pays. Leur famille allait les rejoindre en France. Un changement majeur dans la population française a eu lieu sans anticipation, sans information publique, sans décision politique. Le décret permettant le regroupement familial a été pris sans débat public, sans même consultation, en catimini, un décret dont le Président Valéry Giscard d’Estaing déclare aujourd’hui que c’est la plus grave erreur de son septennat. Les Français qui auraient voulu interroger le phénomène se sont vu répondre qu’il n’y avait pas de problème, puis qu’ils étaient le problème, eux et leur incapacité de s’adapter à l’immigration (rapport Tuot, Conseil d’État, 2017). La gauche socialiste a abandonné l’ouvrier, le prolétaire, devenu le « beauf » pour sacrifier à la piété pour le migrant, devenu la figure de l’internationalisme.

    À partir des années 1980, émerge un autre discours, idéologique celui-là. S’affirment comme vérités incontestables trois affirmations ;

    1 –« Nous sommes tous des migrants ». Il suffit de consulter des registres paroissiaux pour constater combien d’habitants de Bourgogne, de Bretagne ou des Pyrénées sont établis depuis des siècles sur leur territoire !

    2 –« Tous ne désirent que devenir comme nous ». La montée de l’Islam sous sa forme radicale, voire terroriste, comme sous la forme d’une religion missionnaire attirant les nouveaux convertis, viendra montrer la fausseté de l’affirmation.

    3 –« Les sociétés multiculturelles sont les plus heureuses ». Partout dans le monde, les sociétés multiculturelles sont les plus violentes, les plus criminelles et les plus divisées. Les exemples du Brésil et du Mexique comme celui des États-Unis devraient suffire.

    Ce discours n’est pas imposé par hasard. Les pires ennemis de l’Europe, de sa civilisation, de son unité ethnique et de sa résistance à l’Islam, sont à l’œuvre. Leur discours est porté par des ordres venus d’ailleurs, il émane de dirigeants dont le but avoué est d’en finir avec les Nations européennes. Citons-en trois : 

    - Le général Wesley Clark, qui commandait les forces de l’OTAN lors des bombardements de la Serbie, affirme en 1999 ; «  ma mission est de détruire l’unité ethnique des nations européennes ». Cette mission sera poursuivie avec des moyens illimités par nombre de Fondations et d’ONG américaines. Elle porte notamment sur l’installation et la protection de populations musulmanes en Europe, le recrutement et la formation d’agitateurs, l’organisation de réseaux qui pourront déstabiliser telle ou telle Nation qui ne se conformerait pas à l’agenda américain pour l’Europe.

    - L’ancien dirigeant d’une firme pétrolière converti à l’humanitaire, Peter Sutherland, directeur du programme pour les réfugiés à l’ONU, ordonne à l’Europe de se préparer à accueillir « plus de cent millions d’Africains » dans la génération à venir.

    - Le pacte de Marrakech fait l’objet d’une promotion agressive de la part de l’ONU, d’ONG et d’institutions internationales qui entendent instituer un droit individuel aux migrations, sapant ainsi l’idée de citoyenneté et d’appartenance nationale et territoriale. Prétendument non contraignant, le pacte est calculé pour être formalisé par des tribunaux internationaux (CJUE) et peu à peu traduit en droit positif par les Nations. Sans débat public, la France le signe le 11 janvier 2019, alors que plusieurs pays européens refusent de le ratifier.

    Ce discours affiche ses bonnes intentions, il masque la montée du capitalisme criminel qui met fin au libéralisme et à la prétendue « loi du marché ». Pour étendre son empire et accroitre ses bénéfices, le système capitaliste n’a plus besoin de l’ordre social et de la paix civile, au contraire ; il entend tirer profit du désordre social, de la dissolution des Nations et de l’alliance avec le crime organisé. La subversion individualiste de tout ordre public, national, citoyen, devient l’une des ressources de la croissance des revenus des multinationales et des entreprises privées affranchies de tout lien territorial ou collectif. Et elle interdit toute prise de conscience et toute action en matière démographique ; des voix se font entendre qui attendent un surcroît d’activité économique et de profit de la hausse de la population mondiale ; 12 milliards de consommateurs, quel rêve !

    La fabrique du client devient le ressort de rendements en hausse ; voilà pourquoi interdire aux Européens de regarder en face le risque existentiel majeur que représente pour eux, pour leur mode de vie et pour leurs terres l’explosion démographique de l’Afrique, voilà pourquoi interdire d’évoquer l’action, certes brutale, de réduction des naissances conduite en Chine et en Inde comme l’une des décisions politiques qui ont sauvé le monde – à chacun d’imaginer un monde dans lequel la population de l’Inde et de la Chine dépasserait 4 milliards ! Qu’en disent les « écolos » politiques ?

    L’aveuglement de la gauche dite « sociale » à ce changement de nature du capitalisme est à l’origine de son étonnante complicité avec son moteur ; l’immigration de masse — ou comment le socialisme détruit la société qu’il prétendait défendre.

    Hervé Juvin (Site officiel d'Hervé Juvin, 11 avril 2019)

     

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  • Les snipers de la semaine... (181)

    Poutine_Sniper 2.jpg

    Au sommaire cette semaine :

    - sur Acrimed, Jean Pérès dézingue la caste médiatique qui a condamné sans preuve le mouvement des Gilets jaunes pour antisémitisme...

    Antisémitisme : les gilets jaunes convoqués devant le tribunal médiatique

     

    Gilets jaunes_Antisémitisme.jpg

    - à propos d'un fait divers médiatique, l'agression d'un travesti par des manifestants algériens sur la place de la République, Xavier Eman et Bruno Lafourcade sortent la sulfateuse...

    Phase terminale

    Les Hyppolite

    Travesti vs Algériens.jpg

     

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  • Feu sur la désinformation... (230)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés, consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours de Nicolas Faure.

    Au sommaire :

    • 1 : ONG/Passeurs : les médias en eaux troubles
      Christophe Castaner a créé des remous en affirmant que les ONG étaient complices des passeurs dans la crise migratoire méditerranéenne. Les médias sont obligés de ramer pour défendre leur vision du monde.
    • 2 : Le Zapping d’I-Média 
      Grand moment de déni du réel sur le plateau de Les Terriens du Dimanche animé par Thierry Ardisson. Lors d’un débat sur le Grand Remplacement, Juliette Méadel n’a pas hésité à verser dans la reductio ad hitlerum face à Natacha Polony et Gilles-William Goldnadel.

    • 3: Italie : un père, une mère, émoi, émoi, émoi…
      Matteo Salvini continue à faire hurler les médias français ! Pour Le Figaro et L’Express, le retour des mentions « père » et « mère » dans les formulaires administratifs en lieu et place de parent 1 et parent 2 aurait créé l’émoi !
    • 4 : Les tweets de la semaine
      Le phénomène Greta Thunberg – largement traité par I-Média – est de plus en plus critiqué par les médias qui enquêtent sur la question.
    • 5 : Marion Maréchal à l’Iliade : les gros sabots de Lucie Soullier
      Lucie Soullier est journaliste au Monde. Nous verrons ensemble que son article sur la présence de Marion Maréchal au dernier colloque de l’Institut Iliade est un modèle de propagande et de diabolisation.

     

                                     

     

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  • Alphonse de Châteaubriant, l'auteur de tous les paradoxes...

    Les éditions Pardès viennent de publier dans leur collection Qui suis-je ? un Châteaubriant sous la plume de Thierry Bouclier. Avocat à la Cour, Thierry Bouclier est l'auteur, dans la même collection, d'un A.D.G. On lui doit également un petit polar, Le Dernier des occupants (Auda Isarn, 2018).

     

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    " Né le 25 mars 1877, près de Rennes, Alphonse de Châteaubriant apparaît comme l’auteur de tous les paradoxes. Dreyfusard dans sa jeunesse, il défend la politique de collaboration avec l’Allemagne à partir de 1940. Chrétien profondément mystique ayant une conception vitale de la contemplation, il voit dans le national-socialisme païen une renaissance de la chrétienté médiévale. Auteur porté au pinacle à la suite de ses romans Monsieur des Lourdines (prix Goncourt 1911) et La Brière (grand prix du roman de l’Académie française 1923), il sacrifie sa renommée avec La Gerbe des forces (1937), livre sulfureux favorable à l’Allemagne nouvelle, vue comme un retour à l’esprit de chevalerie. Alors rejeté par la plupart de ses pairs, le communiste Romain Rolland lui conserve toute l’amitié qu’il lui porte depuis 1906. Directeur du journal La Gerbe et président du Groupe Collaboration pendant l’Occupation, ­réfugié en Allemagne en 1944, frappé d’indignité nationale et condamné à mort en 1948, il vit caché dans les montagnes du Tyrol jusqu’à sa mort, le 2 mai 1951, à Kitzbühel (Autriche). Alphonse de Châteaubriant demeure un homme aux multiples facettes : un merveilleux conteur des paysages du Poitou et de la Bretagne; un croyant en quête perpétuelle de Dieu; un gentilhomme égaré dans les méandres de la politique. Un très grand écrivain trop souvent oublié que ce «Qui suis-je?» Châteaubriant fera redécouvrir. "

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  • L'Europe : une définition...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un entretien du Cercle Henri Lagrange avec Jean-Yves Le Gallou, réalisé en mars 2019 et consacré à l'Europe.

    Ancien haut-fonctionnaire, président de la Fondation Polémia, Jean-Yves Le Gallou a, notamment, publié La tyrannie médiatique (Via Romana, 2013),  Immigration : la catastrophe - Que faire ? (Via Romana, 2016) et Européen d'abord - Essai sur la préférence de civilisation (Via Romana, 2018). 

     

                             

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