Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Métapo infos - Page 260

  • Désinformation et propagande tous azimuts ...

    L'équipe d'I-Média fait son grand retour sur la chaîne de TV Libertés avec un nouveau format : le Hors-Série.

    Jules Blaiseau et Jean-Yves Le Gallou s'éloignent de l'actualité l'évoquer avec plus de profondeur, dossiers, enquêtes, témoignages et interviews à l'appui. Pour ce premier numéro, ils accueillent Édouard Chanot, ancien rédacteur en chef de Sputnik Paris, et Alban d'Arguin, auteur chevronné et spécialiste du réchauffement climatique.

    Trois nouvelles sorties littéraires sont présentes sur la table :

    - La société de propagande écrit par Jean-Yves Le Gallou presque 10 ans après la publication de "La tyrannie médiatique" ;

    - L'empire Netflix - L'emprise du divertissement, une analyse minutieuse des rouages d'une des plus grosses fabriques au monde d'un divertissement qui n'est pas si innocent ;

    - Réchauffement climatique, enquête sur une manipulation mondiale, le dernier livre choc d'Alban d'Arguin sur le climat. Trois sujets connexes et encore plus connectés qu'on ne pourrait le croire.

     

                                           

    Lien permanent Catégories : Décryptage, Manipulation et influence, Multimédia 0 commentaire Pin it!
  • Paul Sérant et la cause des peuples...

    Le trente-neuvième numéro de la revue Livr'arbitres, dirigée par Patrick Wagner et Xavier Eman, est en vente, avec un dossier consacré aux écrivains de Provence, ainsi qu'un long entretien avec Jean-Pierre Cousteau, le fils de Pierre-Antoine...

    La revue peut être commandée sur son site :  Livr'arbitre, la revue du pays réel.

     

    Livr'arbitres 39.jpg

    Au sommaire de ce numéro :

    Éditorial

    Plaisirs solittéraires

    Coups de cœur

    Oscar Wilde et Robert-Louis Steveson

    Dossier

    Écrivains de Provence

    Entretien

    Frédéric Chef

    Jean-Pierre Cousteau

    Maxime Dalle

    Alexis Legayet

    Jean-Jacques Langendorf

    Grégory Roose

    Portrait

    Challe

    Gourmont

    Grégoire

    Sérant

    Nabe

    Inédit

    Louis-Ferdinand Céline

    Domaine étranger

    Banffy

    Orwell

    John Fante

    Alfred Hayes

    Polar

    Le Hussard

    Jean-Michel Conrad

    Victor d'Usclat

    Boileau-Narcejac

    John Le Carré

    Histoire-panorama

    Gandjavi

    Charles le Téméraire

    Marc Danval

    In Memoriam

    Kerouac

    Cinéma

    Entretien avec Christophe Fouchet

    John Carpenter

    Apocalypse Now

    Le négationnisme au cinéma

    Clovis Goux / Nicolas d'Estienne d'Orves

    Les Grandes familles

    Carrefour de la poésie

    Peinture en prose

    Poème en prose

    Tes yeux

    L'amour

    Jean-Baptiste Chassignet

    François Esperet

    Pierre Bonnard

    Littérature jeunesse

    Claudine Glot / Fabrice Colin

    Bande dessinée

    Pygmalion et la vierge d'ivoire / Berlin sera notre tombeau

    Nouvelle

    La dernière bouteille

    Vagabondage

    Belle-île-en-Mer

     

     

    Lien permanent Catégories : Revues et journaux 0 commentaire Pin it!
  • Sécessions adolescentes : les nouveaux mutins de Panurge...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Paul-Élie Aengler cueilli sur le site de la revue Éléments et consacré aux sécessions adolescentes au sein du système éducatif de l'archipel français...

     

    Lycée_Violences.jpg

    Sécessions adolescentes. Les nouveaux mutins de Panurge

    S’il est un lieu où chacun peut observer les nombreuses et diverses sécessions qui traversent la France, c’est bien l’école. Tout professeur en a conscience : l’école n’est plus le moule civique et culturel qui « fabriquait » des Français. Bien au contraire, c’est désormais à l’institution scolaire et au savoir académique de s’adapter à « l’archipel français », pour reprendre l’expression de Jérôme Fourquet.

    Dans toutes les salles de classe, les nouveaux clivages culturels et ethniques apparaissent aujourd’hui de manière évidente. Certes, cela fait longtemps que les sociologues analysent les différentes tribus adolescentes qui peuplent depuis Mai 68 les cours de récréations des collèges et des lycées : « gothiques », « geeks », « racailles », « rockeurs », autant d’affiliations possibles pour adolescents en quête d’une identité à la fois grégaire et rebelle. Ces clans formaient jadis un ensemble de contre-cultures opposées à la culture officielle condamnée depuis Bourdieu comme « bourgeoise » par toute une partie du corps enseignant lui-même. Pourtant, la situation actuelle offre aux yeux du professeur attentif quelques traits inédits.

    Cultures et contre-cultures scolaires

    C’est la culture classique qui n’existe plus, du moins en tant que culture de référence, que ce soit parmi les élèves ou dans le contenu des enseignements. À l’exception de quelques grands lycées de centres-villes, la plupart des élèves n’ont pas la moindre idée de son importance. Leur propre civilisation leur est désormais essentiellement étrangère, puisqu’elle est assimilée à une simple collection de vieilleries dénuées de sens : à quoi bon Molière ou Descartes alors que leur compréhension nécessite un effort que la tyrannie de l’immédiateté a aboli ? Tout converge vers une simplification de la langue. Ce phénomène explique l’effondrement de la maîtrise de la langue française, mère de toutes les sécessions scolaires. À cet égard, on peut se reporter au précieux réquisitoire du professeur René Chiche dans La désinstruction nationale (2019, Ovadia). Celui-ci a le courage de parler de « quasi-illettrisme » pour désigner cette implosion de la langue commune constatée lors de la correction de centaines de copies du baccalauréat « écrites en un charabia qui emprunte vaguement au français comme à une langue étrangère ».

    Quant aux professeurs, soit ils ne connaissent plus cette culture de référence, soit ils en ont honte ou sont forcés de s’avouer vaincus par l’esprit du temps : l’autocensure et la simplification du savoir triomphent, fût-ce au prix d’un énième renoncement. Certes, il y a encore quelques chaînes de transmission qui fonctionnent, quelques élèves attentifs à ce legs du passé, mais ces élèves ne font que survivre dans un univers désormais hostile à l’idée d’une hiérarchie culturelle. C’est la grande bascule : l’ancienne culture de référence est devenue une contre-culture minoritaire à l’école, un des nombreux ilots de l’archipel scolaire – et ce parmi les élèves et les professeurs. Voilà la première condition de la sécession, lorsque la norme devient l’exception et l’exception la norme.

    Parmi toutes ces contre-cultures qui se font face, n’y en-a-t-il aucune qui ne tende alors à dominer les autres ? Il serait naïf de ne pas le croire, car la nature a horreur du vide. Dans la plupart des établissements, l’évolution démographique a tranché : c’est désormais l’Islam, même mal connu et parce que mal connu, ainsi que la culture rap qui dominent les mentalités. Concernant l’Islam, la plupart des élèves accordent à la religion musulmane le prestige que la catholique assumait jadis : dans les cours de biologie et de philosophie, la nouvelle norme du sacré est bien islamique. Combien de professeurs ont-ils affronté l’incrédulité généralisée concernant l’évolutionnisme ? Et parce qu’authentiquement sacrée aux yeux de la plupart des élèves, musulmans ou non, c’est une norme avec laquelle il faut nécessairement composer, en tant qu’élève dans la cour de récréation et en tant que professeur dans la salle de classe.

    Sur le Coran, ma mère !

    Le cours de philosophie sur la religion se résume souvent à un défi insurmontable. Impossible de rester dans le cadre théologique chrétien, pourtant parfaitement acclimaté à la rationalité grecque, puisque ces références sembleraient exclure les élèves de confession musulmane et que tous les élèves, non-musulmans compris, trouveraient à y redire. Impossible également de discuter des dogmes et textes musulmans, puisque le professeur oserait s’immiscer dans la sphère du sacré partagée par la plupart des élèves : la nouvelle bigoterie est d’origine coranique mais intériorisée par tous. Les « wallah » et « sur le Coran » constituent d’ailleurs la trame de fond des récréations comme des interclasses. Plus étonnant, les enseignants découvrent à quel point certains élèves chrétiens en minorité revendiquent avec fierté la pratique du carême, copiant inconsciemment celle d’un ramadan devenu prépondérant dans de nombreux établissements. C’est donc la déférence vis-à-vis de l’Islam qui sert de référence commune de remplacement.

    Concernant la culture rap, qu’il est désormais absurde de qualifier de « contre » culture, son hégémonie est incontestable, y compris dans les lycées plus bourgeois où le survêtement et le rap ont depuis quelques années écrasé la concurrence. Les paroles et l’imaginaire de ce genre musical lui octroient désormais le monopole de la subversion, de la véhémence et de la virilité. La victoire est donc revenue à la tribu la plus agressive. Mais dans les lycées périphériques, exhiber cette obédience n’est pas seulement un signe de bon goût adolescent, c’est surtout un moyen d’intégration, voire de survie sociale. Pour les garçons, adopter les codes sociaux du groupe dominant laisse espérer une immunité contre le harcèlement. Les filles elles-mêmes ne s’y trompent pas : adopter les codes de la « rue » est un mécanisme de défense fort efficace pour se faire respecter.

    La colonie de nos colonies

    Évidemment, cette nouvelle culture dominante à mi-chemin entre la Mecque et les États-Unis a un même terreau : l’immigration massive des dernières décennies. « La Grèce conquise a conquis son farouche vainqueur », disait Horace (Épîtres, II) : par l’un de ces retournements dialectiques dont l’histoire a le secret, les descendants des populations anciennement colonisées imposent désormais consciemment et inconsciemment leur spiritualité et leur esthétique aux autochtones qui se doivent de faire allégeance. Le nomadisme identitaire a remplacé la culture sédentaire anciennement majoritaire, puisqu’il est désormais honteux de ne pas avoir d’origines : quand on est un « petit Blanc », on en vient à déterrer des aïeuls italiens ou polonais pour cultiver son extraterritorialité.

    Ainsi, à l’école, les minorités devenues majoritaires sont maintenant capables de tyranniser la majorité devenue minoritaire. Cette matrice sécessionniste à laquelle tout le monde semble se résigner a de nombreuses répercussions, y compris pour les rares familles qui semblent encore y échapper : contournement de la carte scolaire, établissements privés, cours particuliers. C’est alors le tribalisme multilatéral qui surgit pour compenser la désaffiliation culturelle, ainsi que le notait déjà Michel Maffesoli dans Le temps des tribus (1988) : « Le tribalisme rappelle l’importance du sentiment d’appartenance à un lieu, à un groupe, comme fondement essentiel de toute vie sociale. » Et dans les lycées lambda, les tribus adolescentes sont en passe d’être submergées par la plus prosélyte et la plus féconde d’entre elles. Au monde de Michel Maffesoli, répond ainsi celui de Philippe Muray, matons et mutins de Panurge.

    L’école et le monde de demain ne seront pas le paradis de l’intersectionnalité mais l’enfer de l’incommensurabilité : un espace conflictuel sans culture véritable, c’est-à-dire sans commune mesure capable de transcender les tribus particulières.

    Paul-Élie Aengler (Site de la revue Éléments, 11 octobre 2022)

    Lien permanent Catégories : Points de vue 0 commentaire Pin it!
  • Ferdinand à Londres...

    Après Guerre, les éditions Gallimard viennent de publier Londres de Louis-Ferdinand Céline, le deuxième des trésors retrouvés de l'auteur. Un nouveau chef-d’œuvre de l'auteur du Voyage au bout de la nuit, présenté par Régis Tettamanzi qui avait préparé l'édition des Écrits polémiques (Bagatelles pour un massacre, etc...) pour la Bibliothèque de la Pléiade...

     

    Céline_Londres.jpg

    " Ferdinand, le héros de Guerre, a quitté la France pour rejoindre Londres, "où viennent fatalement un jour donné se dissimuler toutes les haines et tous les accents drôles". Il y retrouve son amie prostituée Angèle, désormais en ménage avec le major anglais Purcell. Ferdinand prend domicile dans une mansarde de Leicester Pension, où le dénommé Cantaloup, un maquereau de Montpellier, organise un intense trafic sexuel de filles, avec quelques autres personnages hauts en couleur, dont un policier, Bijou, et un ancien poseur de bombes, Borokrom. Proxénétisme, alcoolisme, trafic de poudre, violences et irrégularités en tout genre rendent chaque jour plus suspecte cette troupe de sursitaires déjantés, hantés par l'idée d'être envoyés ou renvoyés au front. S'il entretient des liens avec Guignol's band, l'autre roman anglais plus tardif de Céline, Londres, établi depuis le manuscrit récemment retrouvé, s'impose avec puissance comme le grand récit d'une double vocation : celle de la médecine et de l'écriture... Ou comment se tenir au plus près de la vérité des hommes, plongé dans cette farce outrancière et mensongère qu'est la vie. "

    Lien permanent Catégories : Livres 0 commentaire Pin it!
  • L’effondrement avant le Grand Reset ?...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous Le samedi politique de TV Libertés, diffusé le 8 octobre 2022 et présenté par Élise Blaise, qui recevait Laurent Obertone, pour évoquer le dernier tome de son roman de politique-fiction, Guérilla - Le dernier combat, qui fait suite à Guérilla - Le jour où tout s'embrasa (Ring, 2016) et Guérilla - Le temps des barbares (Ring, 2019).

    Journaliste, Laurent Obertone est l'auteur de trois enquêtes essentielles, La France Orange mécanique (Ring, 2013), La France Big Brother (Ring, 2015) et La France interdite (Ring, 2018), qui ont contribué à fissurer l'édifice du politiquement correct, ainsi que du récit Utøya (Ring, 2013). Il a publié récemment un essai intitulé Game over - La révolution antipolitique (Magnus, 2022).

     

                                                  

    Lien permanent Catégories : Entretiens, Multimédia 0 commentaire Pin it!
  • Les Germains en France...

    Les éditions de la Diffusion du Lore viennent de rééditer un essai de Ludwig Woltmann intitulé Les Germains en France.  L'auteur est un anthropologue allemand de la fin du XIXe siècle, tenant du darwinisme social, dont la pensée a été présentée dans un numéro de Nouvelle école (n°38 - juin 1982 - Darwinisme et société).

    Woltmann_Les Germains en France.jpg

    " Mort noyé en Méditerranée à l’âge de 35 ans, le docteur Ludwig Woltmann (1871-1907) demeure un anthropologue fort méconnu du grand public.

    Ancien marxiste « converti » au darwinisme social, il fut pourtant la caution scientifique la plus influente auprès de l’eugéniste Georges Vacher de Lapouge.

    Le présent ouvrage traitant de l’influence de l’élément racial germanique sur l’histoire et la culture de France fut un outil clé pour les recherches anthropologiques entreprises par l’Ahnenerbe en France.

    Alliant parfaitement l’érudition à la concision, ce petit livre, illustré de 60 portraits, est indubitablement un excellent complément de lecture aux travaux du raciologue Hans Günther. "

    SOMMAIRE :

    Avant-propos

    Première partie L’histoire des races de la nation française

    I. Questions principales de la théorie de race historique

    II. La distribution des signes anthropologiques en France

    III. Race et caractères des Gaulois

    Deuxième partie Les Germains dans l’histoire française et la culture du Moyen Âge

    I. L’agencement des Germains en Gaule

    II. L’histoire sociale de la France

    III. Les éléments germaniques dans la langue française

    IV. La littérature française

    V. Les Beaux-Arts

    Troisième partie L’anthropologie et le génie dans les États français

    I. Les conditions anthropo-sociologiques en France

    II. L’origine raciale des génies français

    III. Aperçus des signes anthropologiques des génies

    IV. La dégénérescence raciale de la nation française

    V. Considérations finales

    Portraits

    Lien permanent Catégories : Livres 0 commentaire Pin it!