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Métapo infos - Page 1474

  • Une bombe à retardement ?...

    Les éditions Eyrolles publient sous la plume de Jean-Luc Buchalet et de Pierre Sabatier un essai intitulé La Chine, une bombe à retardement. Les deux auteurs sont ingénieurs agronomes et analystes financiers et ont fondé en 2009 un cabinet indépendant de recherche économique et financière qui vise à développer une méthode d'analyse basées sur une meilleure compréhension de la complexité des univers de la finance et de l’économie, en prenant notamment en compte les phénomènes d'interdépendance et de boucle de rétroaction...

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    "La réussite de la Chine est aussi fulgurante qu’inédite. Au rythme actuel, elle pourrait même devenir la première puissance économique mondiale dès 2022. Pourtant, les stigmates d’une croissance à marche forcée s’accumulent : des villes fantômes, des faillites en cascade, des révoltes de plus en plus fréquentes, des dérives issues de la politique de l’enfant unique, des scandales alimentaires à répétition, des aéroports paralysés par la pollution…À travers une analyse percutante, Jean-Luc Buchalet et Pierre Sabatier montrent que ces déséquilibres économiques, sociaux et environnementaux pourraient déboucher sur une crise majeure dans les années à venir. C’est toute l’économie mondiale qui serait alors entraînée dans le sillage du géant asiatique.Pour saisir la menace, les auteurs décrivent la spécificité du modèle de développement chinois, avec ses contradictions et ses zones d’ombre : un « socialisme de marché » qui mêle parti unique, capitalisme débridé, corruption, contrôle des prix, plan quinquennal, concurrence féroce… Reste à savoir si la crise de ce système sera simplement transitoire, ou mènera à son effondrement."

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  • La guerre de demain ?...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Xavier Raufer, cueilli dans Le Nouvel Économiste et consacré à la montée en puissance de la cybercriminalité...

     

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    La guerre de demain

    Dans le cours qu’il lui consacre à la fin des années 1930, Martin Heidegger commente ainsi la formule de Nietzsche “Dieu est mort” : “Les vieilles coulisses du théâtre du monde pourront bien pour un temps demeurer les mêmes, la pièce qui se joue en est une déjà nouvelle.” Une remarque aujourd’hui pertinente sur la scène de la sécurité globale où, sous nos yeux – mais le voyons-nous vraiment ? -, s’amorcent, pour le crime organisé et le terrorisme, les séismes les plus énormes depuis un demi-siècle.

    D’abord celui-ci : le terrorisme est à l’agonie. Non seulement il disparaît, et vite, de l’Union européenne, mais ailleurs, surtout dans le grand “arc islamique” qui s’étend de la Mauritanie à Mindanao, le voici désormais en pleine dégénérescence criminelle. Ces jours-ci, Europol publie son rapport (TE-SAT 2012) consacré au terrorisme dans l’Union européenne (UE) et ce qu’on y lit est sensationnel. En 2007, l’UE subissait quelque 600 attentats (réussis ou déjoués). En 2011, on n’en compte plus que 174 et parmi eux – lisez bien -, pas un seul attentat islamiste. Sur ces 174 attentats, 158 en France, en Espagne et en Grande-Bretagne – ailleurs dans l’UE, 24 pays sur 27, plus de terrorisme du tout. Et ces ultimes terrorismes sont d’affligeants “Derniers des Mohicans” : bandes séparatistes ou anarchistes, solitaires psychotiques.

    Ainsi, certains chefs de services de renseignement mal renseignés, experts incompétents ou journalistes myopes, qui serinaient hier encore l’air du toujours terrible danger terroriste, avaient tort. Non seulement le jihad type Ben Laden est-il aujourd’hui en coma dépassé, mais on peut douter de l’avenir du terrorisme lui-même, qui, sous divers avatars, perturbe le monde depuis les années 1960 : communiste-combattant (Brigades rouges, Action directe…), séparatiste (IRA, ETA, FLNC…), moyen-oriental (Abou Nidal, Commandement des opérations spéciales à l’étranger du FPLP…), salafi-jihadi (“al-Qaida”).

    Or dans l’histoire, le terrorisme a toujours frappé par vagues : anarchiste (avant la Première Guerre mondiale), balkanique (avant la Seconde), moyen-oriental (décennies 1970 et 80), jihadi (1979 à environ 2011). Là, il semble qu’une vague, naguère énorme, retombe et même, selon nous, s’écroule. Que restera-t-il du terrorisme à l’“horizon maîtrisable” (2017) ? C’est désormais la seule question stratégique qui vaille.

    Mais fuyons conceptuellement ces “vieilles coulisses du théâtre du monde”, pour scruter plutôt la nouvelle pièce qu’on y répète – voire qu’on y joue déjà. Deuxième nouvelle énorme des années 2010-2011 : dans toute l’Europe, la forte baisse de l’usage de stupéfiants par les toxicomanes les plus jeunes (17 à 20 ou 24 ans, selon les comptages nationaux). Qu’un marché soit délaissé par ses consommateurs les plus jeunes n’augure donc rien de bon pour celui de la drogue d’ici cinq ou dix ans.

    Et voici que s’esquisse la nouvelle pièce du théâtre du monde, côté sécurité globale : les grandes sociétés criminelles mondiales semblent avoir bien perçu cette baisse de tonus du marché des stupéfiants – pourtant leur fonds de commerce depuis un demi-siècle – et arbitrent désormais en faveur de nouveaux “relais de croissance” : contrefaçons, cybercriminalité notamment. Ce que la Commission européenne constate déjà puisque, dans un récent rapport, elle estime le chiffre d’affaires mondial annuel du cybercrime à 388 milliards de dollars soit, souligne-t-elle, “plus que ceux de la cocaïne, du cannabis et de l’héroïne réunis”.

    Ainsi, la prédation criminelle se déplace vers le cybermonde. Contrefaçons (faux médicaments, pièces détachées, etc.) et cybercriminalité sont les marchés porteurs pour le crime organisé comme pour la force criminelle montante, celle des terroristes dégénérés passés à l’enrichissement personnel. Falsification de cartes de crédit, fraudes identitaires : tout cela rapporte, et vite, beaucoup de cash, partant de techniques simples et sans risques pénaux réels – un rêve pour les bandits – faute de conventions internationales efficaces.

    Que la cybercriminalité, naguère hobby pour hackers ou ados facétieux, soit désormais sous la coupe du crime organisé est désormais avéré. Faite à partir de 7 000 cas divers, une récente étude du centre criminologique de la London Metropolitan University démontre que 80 % des infractions commises dans le cybermonde britannique sont liées au crime organisé. Et dans ce cybermonde, les criminels progressent vite : selon une récente enquête australienne, certaines mafias piratent désormais les logiciels de suivi en ligne des transporteurs internationaux (colis, conteneurs, etc.). Ils voient si ceux renfermant leurs produits illicites sont fouillés par les douanes – et évitent donc d’aller les récupérer ! Sociétés-écrans, piratage : la belle vie pour les grands trafiquants transcontinentaux.

    Et les fausses identités, pour opérer en toute sérénité ? Pas de problème. Des faussaires chinois vendent désormais d’impeccables permis de conduire, cartes d’identité, etc. à 200 dollars pièce. Hologrammes et codes-barres quasi parfaits, disent les experts officiels américains – certains passent sans encombre les sourcilleux contrôles des aéroports de Washington.

    Toutes ces grisantes technologies font l’effet d’hormones de croissance sur les sociétés criminelles, notamment asiatiques. L’une d’entre elles, repérée – mais pas démantelée – depuis deux ans par des services officiels anglo-saxons (“Opération Dayu”), brasse chaque année 4 milliards de dollars minimum, entre l’Australie, le Canada, Hongkong et Macao. Cette méga-holding mafieuse associe des triades à des gangs de motards criminels. Sur trois continents, elle a corrompu des policiers, des politiciens, des douaniers.Telles sont les vraies menaces stratégiques des années 2013-2020. Intéressons-nous à elles assez tôt pour éviter de futurs drames. Préparons la guerre de demain et non, comme d’usage, celle d’hier.

     Xavier Raufer (Le Nouvel économiste, 7 mai 2012)

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  • Sacré art contemporain...

    Les éditions Jean-Cyrille Godefroy viennent de publier Sacré art contemporain - Eveques, Inspecteurs et Commissaires, un essai d'Aude de Kerros. Sculpteur, l'auteur a déjà publié L'art caché - Les dissidents de l'art contemporain, consacré aux artistes qui rejettent l'art conceptuel officiel et subventionné, autrement appelé "art contemporain" ou AC.

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    Ce livre évoque une controverse artistique et intellectuelle qui traverse notre époque sous l’angle particulier du lien qui existe entre la création, l’art et le sacré. Une crise s’est ouverte en 2011 avec les manifestations populaires contre des œuvres subventionnées de Serrano (Piss Christ) Castellucci (Sur le visage du Christ) et Garcia (Golgotha Picnic ). Fruit de la commande publique, faite désormais selon des critères conceptuels de l’Art contemporain, c’est un  art sacré d’Etat qui a pris place dans les églises. Ce phénomène massif a provoqué des transferts inédits, de légitimité, de sens et de sacré. Un véritable clergé administratif, « les inspecteurs de la création », a usé de  son prestige et de sa séduction auprès du clergé d’église, et imposé dans les sanctuaires la foi conceptuelle, son culte et son dogme fondé sur la déclaration créatrice de l’artiste.  Concevoir une œuvre d’art devient désormais un acte terroriste non sanglant visant, par le détournement des objets, situations, lieux et mots à faire exploser tout contexte et semer la confusion dans le monde immatériel de l’esprit, des idées et du sens.Cette nouvelle définition de l’art défendue et sacralisée par l’Etat est estimée être un Service Public. 

    Aude de Kerros est graveur, essayiste, critique d’art, auteur de « L’Art Caché  » et de nombreux articles et analyses sur l’Art contemporain. Elle nous fait l’histoire de la captation du sacré par une administration en quête de légitimité historique et monétaire. Elle révèle la dernière métamorphose de "l'Art contemporain", AC, en une nouvelle religion aux pratiques cultuelles archaïques."

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  • Vers la normalisation ?...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Dominique Jamet, cueilli sur Atlantico et consacré à la nouvelle "affaire" Zemmour, déclenchée par l'habituelle clique d'inquisiteurs médiatiques à la suite d'une chronique du journaliste sur RTL, qui visait la politique du nouveau garde des Sceaux, Christiane Taubira...

     

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    Faut-il normaliser le soldat Zemmour ?

    Eric Zemmour n’est pas l’heureux propriétaire d’un fauteuil de sénateur inamovible dans le meilleur des mondes médiatiques possibles. Il n’y occupe pas une position dominante, pas même une position de force. Tout au plus, depuis qu’il a été remercié par le comique involontaire Laurent Ruquier, animateur dont l’audace ne va pas jusqu’à la témérité mais dont la feinte irrévérence confine de façon troublante au conformisme le plus plat, Zemmour dispose-t-il encore d’une chronique  sur RTL. 

    Cette tribune, Eric Zemmour la doit d’abord à son talent. Depuis le premier jour, il y a fait entendre une voix libre, originale, courageuse, une voix qui tranche dans le concert de bêlements moutonniers à quoi se réduit le plus souvent le débat politique, culturel et social tel que le conçoivent les grandes chaînes de radio, de télévision et autres machines à décerveler. Cette voix est donc aussi une voix isolée que l’on aurait depuis longtemps étouffée si elle n’avait suscité l’adhésion et le soutien d’un large public. Or, l’offensive de grand style qui se développe ces derniers jours contre Zemmour et qui ressemble fort à une scène de chasse aux sorcières vient nous prouver qu’aux yeux de certains ces cinq minutes de dissonance quotidienne noyées dans un océan de pensée unique sont encore de trop et constituent une insupportable provocation qu’il faut faire cesser au plus vite. Le modeste strapontin qu’occupe jusqu’aujourd’hui ce journaliste incorrect serait-il un siège éjectable ?

    On n’est pas obligé -Dieu merci- d’être d’accord sur tout avec Eric Zemmour, ni en gros ni en détail. Il arrive parfois à notre confrère de céder à un esprit de système lié à une pensée structurée, cohérente qui accepte mal la contradiction. Il lui arrive aussi d’être dans l’excès où mène la générosité d’un tempérament polémique.

    Pour en prendre les deux exemples récents, sur lesquels s’appuie la cabale en cours, il me semble qu’Eric Zemmour a nettement forcé le trait en accusant le nouveau ministre de la Justice, Christiane Taubira, de se soucier des victimes comme d’une guigne et de discriminer l’homme blanc au profit des délinquants venus d’ailleurs et grandis dans les cités. En revanche, on ne peut qu’applaudir des deux mains et saluer le cran de Zemmour (car il y faut du cran !) lorsqu’il dénonce les déclarations stupéfiantes qu'aurait tenu M. Patrick Lozès, président du Conseil représentatif des associations noires (dont l’acronyme, pure coïncidence, est également CRAN). M. Lozès, porte-parole d’un lobby qui entend dénoncer les discriminations dont sont victimes ses frères de couleur, mais qui sauf erreur est citoyen français, n’aurait pas craint de déclarer qu’Obama était "son président" ! (NDLR : Patrick Lozès dément avoir tenu de tels propos). Sur quelle autre base qu’une base ethnique, pour ne pas dire raciale ? Comme quoi on peut se proclamer et peut-être même se croire antiraciste tout en ayant une pensée, un comportement et des propos typiquement et parfaitement racistes.

    Mais laissons cela. La première question, la grande question actuelle et concrète que pose la mauvaise querelle que l’on cherche à Eric Zemmour n’est pas de savoir si celui-ci est dans le vrai ou non, ni de décider quand et jusqu’à quel point il a raison, quand et jusqu’à quel point il a tort. A chacun, et le cas échéant aux tribunaux d’en juger. La question est de savoir s’il est toujours permis, en France, en 2012, d’avoir des opinions – entendez hétérodoxes – et de les exprimer. Je me suis reporté au texte qui en la matière est censé fondateur non seulement de notre République mais de notre liberté. Je me suis donc reporté à l’article 11 de la Déclaration des Droits de l’homme et du citoyen. Il y est dit : « La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme. Tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de cette liberté dans les cas déterminés par la loi. »

    Or, on voit bien, et l’on sait bien que la pression qu’exercent sur notre société et notamment sur ses médias les grands lobbies politiques, confessionnels, culturels et associatifs ne tend à rien de moins qu’à contraindre les citoyens, et en premier les journalistes, à penser et à dire ce qu’il faut dire et penser, éventuellement à ne pas dire ce qu’ils pensent, à dire ce qu’ils ne pensent pas et, s’ils se montrent rétifs, à ne plus pouvoir rien dire, à défaut de ne plus rien penser.

    Une fois Zemmour réduit au silence, puis, tout naturellement, dans la foulée Elisabeth Lévy, Robert Ménard et les rares trublions qui épicent encore notre potage, on retrouverait enfin le ronron rassurant qui rythme la vie des démocraties monocolores, c’est-à-dire des non-démocraties.

    Lorsqu’en Tchécoslovaquie l’hiver totalitaire a succédé au printemps de Prague, lorsqu’en Pologne le général Jaruzelski décrétait l’état de siège et interdisait Solidarnosc, lorsqu’en Hongrie les chars soviétiques écrasaient la révolution et installaient le gouvernement Kadar, cela portait un nom. Certains, rêvent visiblement aujourd’hui, chez nous, dans la foulée de l’élection de François Hollande, d’une normalisation.

    Dominique Jamet (Atlantico, 29 mai 2012)

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  • Skinheads ?...

    Les éditions Au Diable Vauvert publient cette semaine Skinheads, un roman de John King. Figure de la littérature populiste anglaise, John King est l'auteur de Football Factory (L'Olivier, 2004), de La Meute (L'Olivier, 2000) et d'Aux couleurs de l'Angleterre (L'Olivier, 2005), une trilogie percutante consacrée au monde des supporters de football, amateurs de bière et de bagarre... Dans ce nouveau roman, il rend justice au mouvement skinhead, apparu chez les jeunes prolétaires anglais en réaction à la mode hippie qui fleurissait parmi la jeunesse estudiantine et bourgeoise, un mouvement, comme l'indique bien Jacques Lindecker dans un article de L'Alsace, porteur "des valeurs de la classe ouvrière britannique : défense de la communauté, virilité, amour de la bière, fraternité, patriotisme", et qui ne peut pas être réduit à sa minorité extrémiste et politisée.

     

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    "Trois générations d'une même famille, trois hommes issus du milieu prolétaire britannique. Terry English, skinhead propriétaire d’une petite société de taxis, n’est pas sûr d’être encore vivant pour ses cinquante ans, mais garde malgré tout sa joie de vivre grâce au ska et à sa jolie assistante Angie. Il décide de s’investir corps et âme dans la réouverture de l’Union Jack Club. Nutty Ray, punk, employé par Terry, lutte pour contrôler sa haine de la société et n’a qu’un seul plaisir : passer son temps libre à provoquer les flics de Chelsea. Et enfin Lol, quinze ans, skater punk adolescent à la recherche de lui-même…

    À travers ces trois personnages, John King va revenir sur l’apparition de la culture skin, une culture prolétaire qui s’enracine d’abord dans la musique, comme toujours en Angleterre, et une musique de pauvres, le reggae qui va s’épanouir dans le ska des années 70, en rupture avec l’époque, alors hippie. Mais qui s’accomplit aussi dans l’amour de la sape, de la bière, et du pays. Il rend un remarquable hommage au mouvement culturel britannique des années 1960, mouvement complexe, souvent caricaturé et finalement incompris, qui a déchaîné une peur sociale et symbolique encore plus forte que le punk, décuplée par son essence radicalement et ostensiblement prolétaire."

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  • Contre le panurgisme galopant...

    Vous pouvez visionner ci-dessous une partie de l'entretien donné par Bernard Lugan à Robert Ménard pour la revue Médias. Bernard Lugan distribue les soufflets avec son talent habituel...

    Une partie de l'entretien, publié dans le numéro 32 de la revue, est disponible en ligne :

    Pour le rétablissement des duels en matière de presse !

     


    Bernard Lugan : Pour le rétablissement des duels... par revue-medias

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