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populisme - Page 14

  • Les Gilets jaunes et les ambiguïtés du populisme...

    Nous reproduisons ci-dessous un entretien donné par Xavier Eman à l'Academia Christiana dans lequel il évoque le populisme et le mouvement des Gilets jaunes.

    Animateur du site d'information Paris Vox , rédacteur en chef de la revue Livr'arbitres et collaborateur de la revue Éléments, Xavier Eman est l'auteur d'un recueil de chroniques intitulé Une fin du monde sans importance (Krisis, 2016) et d'un polar, Terminus pour le Hussard (Auda Isarn, 2019).

     

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    Les Gilets jaunes et les ambiguïtés du populisme

    Quel regard portez-vous sur ces dirigeants que l'on nous présente comme des "figures populistes" : Trump, Orban, Bolsonaro, Salvini ?

    Tout d'abord, cette simple énumération révèle toute la problématique et l'ambiguïté du concept de populisme tant ces personnalités sont diverses et n'incarnent pas les mêmes réalités politiques. Elles n'ont pratiquement rien de commun entre elles si ce n'est l'opprobre que leur voue la pseudo-élite politico-médiatico-intellectuelle d'Europe de l'ouest qui les rassemble de force sous le même étendard. Quel rapport, quelle communauté d'intérêts, entre un l'ex-communiste Salvini et le milliardaire libéral Trump, le protectionnisme de l'un se heurtant à celui de l'autre, les frappes militaires de l'un encourageant le chaos géopolitique que subit l'autre de plein fouet? A la rigueur on peut trouver comme seul point de convergence une certaine opposition à l'immigration incontrôlée. Sans rien nier de l'importance fondamentale de cette problématique, cela fait tout de même bien peu pour fonder une quelconque unité politique...

    D'un point de vue personnel, j'ai plutôt, pour le moment, du respect et de la sympathie pour la politique d'Orban et de Salvini, beaucoup moins pour celle de Trump (qui semble avoir des mérités en interne, mais je ne suis pas américain...) et encore moins pour Bolsonaro... De façon générale, je pense qu'il faut se méfier des excès d'enthousiasme, surtout quand il s'agit de situations étrangères que l'on connaît souvent fort mal, et toujours conserver un regard critique. Se réjouir (ou non) d'une élection en fonction du fait qu'elle navre plus ou moins les chroniqueurs bobos des rédactions parisiennes est vraiment le degré zéro de la réflexion politique...

    Qu'est-ce que le mot "populisme" vous inspire ?

    Un sentiment ambivalent dirais-je… D'une part, ce terme est tellement vilipendé, dénigré, méprisé par les élites oligarchiques et leurs domestiques médiatiques, qu'on pourrait avoir tendance , instinctivement, épidermiquement, « affectivement », à se l'approprier, à le défendre et à le revendiquer. Mais d'autre part, c'est un terme tellement vaste, tellement flou, tellement fourre-tout, qu'il ne me semble pas pouvoir représenter, incarner, concrétiser une véritable alternative, et encore moins un processus révolutionnaire. Une révolution exige une cohérence globale, un programme clair et solide, une alternative construite, cohérente, des cadres formés, etc. Or le « populisme » est avant-tout un phénomène de l'ordre du ressenti, du spontané, de l'affectif et du circonstanciel , qui a certainement ses qualités, mais aussi, très clairement, ses limites.

    Peut-on s'emparer de ce terme, lancé initialement comme une accusation par la gauche morale, et le revendiquer avec un contenu vraiment révolutionnaire ?

    Je ne pense pas, ne serait-ce que parce que c'est l'ennemi qui l'a imposé dans le débat public. Utiliser le vocabulaire de l'adversaire, c'est déjà une première défaite, c'est s'avancer sur le terrain choisi par l'autre. C'est en tout cas un terme à mon avis à manier avec la pus grande prudence, pour éviter de tomber dans la démagogie et dans une sorte de « systématisme inversé » qui nous pousserait à défendre toute action, tout mouvement ou tout phénomène qui serait dénoncé, à un degré ou un autre, par nos adversaires et leurs relais journalistiques comme étant justement « populiste ».

    Ce ne sont pas les éditorialistes de Libé ni les journalistes de BFM qui doivent définir et programmer notre agenda politique et nos affinités idéologiques. Par exemple, pour reparler d'une personnalité précédemment citée, si je suis un identitaire et un écologiste sincère, je ne vais pas me mettre à défendre et à louer un Bolsonaro qui veut encore accroître l'exploitation de la forêt amazonienne et « retirer le moindre pouvoir » aux populations indigènes indiennes... Et ce même si le dit Bolsonaro est présenté comme un « méchant facho » par les médias du système que par ailleurs je combats... Il faut se pencher sur la réalité des faits, des idées, des programmes, des actes, pour juger et jauger, et non sur le traitement médiatique de ceux-ci.

    Quel est l'ennemi numéro 1 d'un populisme authentique et comment lutter contre lui ?

    Pour moi le « populisme authentique » est le sens de l'intérêt général et le souci du bien commun. Il ne se confond donc aucunement (en tout cas pas de façon automatique) avec les soubresauts des masses, par nature vélléitaires. Je crois qu'il y a deux façons de faire le malheur d'un peuple : le nier et le diviniser, affirmer qu'il a toujours tort ou croire qu'il a systématiquement raison. Je n'ai jamais été démocrate – je ne crois pas à la validité par nature d'un choix majoritaire – et ne vais pas changer simplement parce qu'une cette majorité semble – à un instant T – adopter des positions plus ou moins proches des miennes ou même seulement vaguement « réactionnaires »... Pour moi le véritable « populisme authentique », c'est écouter et entendre le peuple pour bien savoir l'orienter et le diriger, mais certainement pas le suivre aveuglément ni se mettre à la remorque de tout mouvement collectif de plus ou moindre grande envergure, si « sympathique » puisse-t-il paraître au premier abord. Donc, pour moi, l'ennemi numéro du « populisme » c'est l'excès de populisme, qu'on pourrait appeler « populo-démagogisme » ou « populaciérisme ».

    La meilleure façon de lutter contre ce danger est d'avoir une colonne vertébrale idéologique et un corpus doctrinal solide, qui peut bien sûr s'adapter à de nouvelles problématiques et à la survenance d'événements particuliers, mais ne doit pas être soumis au moindre des aléas de l'opinion publique.

    Les Gilets jaunes sont-ils populistes ?

    Oui, dans le sens où ils mettent en avant des préoccupations diffuses dans une large part de la population et que leurs membres appartiennent à un spectre « socio-professionnel » assez large. Mais aussi nombreux soient-ils, ils ne restent qu'une « partie du peuple ». C'est d'ailleurs l'un des autres écueils du « populisme » : que chacun choisisse « SON » peuple, qui serait le seul légitime et digne d'incarner la France, débouchant sur une sorte de « communautarisme » de peuples « choisis » au sein de la nation, qui viendrait s'ajouter aux autres communautarismes qui atomisent déjà la société (religieux, ethnique, sexuel). Or, même s'ils me déplaisent davantage, les 60 % d'électeurs de Macron sont autant « le peuple » que les Gilets jaunes... D'ailleurs Macron lui-même pourrait être considéré comme un président populiste si l'on se base sur ses thèmes de campagne (« Sortir les sortants ! », « Place à la société civile ! », « Changement, jeunesse, modernité ! »), ses méthodes d'action et ses scores électoraux. Comme quoi un populisme peut en chasser un autre, et un populisme peut également très bien servir de marche-pied à un candidat de la finance mondialiste.

    Comment voyez-vous l'avenir de ce mouvement ?

    C'est toujours un exercice fort délicat que de faire des prévisions. Je pense que les choses dépendront beaucoup de l'intelligence politique de Macron, qui n'en manque pas. S'il sait doser un habile mélange de fermeté et une ou deux concessions symboliques, on peut penser que tout le monde rentrera à la maison. Sans cela, il est possible que le mouvement perdure mais je peine à lui voir des concrétisations politiques sur le long terme. On est plus bien proche de la jacquerie que de la révolution. Et il n'y a rien de dédaigneux dans ce constat. Dans une époque aussi amorphe et anesthésiée que la nôtre, les « gilets jaunes » restent un salutaire rappel du fait que tous les français ne sont pas prêts à se laisser martyriser ni à disparaître paisiblement et sans bruit.

    Que pensez-vous du RIC ?

    Je suis en fait assez circonspect. Bien sûr, je suis favorable à davantage de démocratie directe mais surtout locale. Pour moi, le RIC doit être articulé avec le principe de subsidiarité. La proximité de prise décision me parait fondamentale et tout ce qui peut-être réglé au niveau « le plus proche » doit l'être... Par contre, l'idée que « le peuple » puisse et doive décider « de tout » par voix référendaire me paraît à la fois aberrant et dangereux. C'est la porte ouverte à la pire des démagogies. Il me semble évident qu'un gouvernement digne de ce nom doit savoir également prendre des mesures impopulaires, posséder une hauteur de vue et une vision à long terme que n' a pas (et n'a pas vocation à avoir) le français lambda (ce qui n'a rien de honteux). Non, la majorité n'a pas toujours raison et le Bien Commun, l'intérêt général, le Vrai doivent parfois s'imposer aux aléas des modes, des mouvements d'opinion, des intérêts et préoccupations circonstancielles. La nullité actuelle des organes représentatifs ne doit pas non plus, par réaction, nous faire surévaluer ou fantasmer le « bon sens » et la « clairvoyance » du « peuple » (le fameux « pays réel » qui pris un sacré coup dans l'aile depuis Maurras). Quand aux gens « de chez nous » qui pensent que les résultats des RIC iraient majoritairement « dans notre sens » (sur l'immigration, la peine de mort, l'IVG, le mariage pour tous, la GPA, etc.) je pense qu'ils sont très naïfs ou exagérément optimistes. Et qu'ils ont, de plus, la mémoire courte concernant la versatilité des masses.

    Xavier Eman, propos recueillis par Julien Langella (Academia Christiana, 12 février 2019)

     

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  • Un grand débarras plutôt qu'un grand débat...

    Le 9 février 2019, la chaîne d'information RT France recevait François Bousquet, rédacteur en chef de la revue Éléments pour commenter la poursuite de la révolte des Gilets jaunes, et faire un point sur les revendications des manifestants et la réponse du gouvernement.

     

                                  

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  • Populisme : des Gilets Jaunes à l’Italie...

    Dans cette émission du Plus d’Éléments, diffusée par TV Libertés, l'équipe de la revue, autour d'Olivier François, évoque, à l'occasion de la sortie du nouveau numéro, le populisme italien, sa rencontre avec le cinéaste Pascal Thomas, les films de Hayao Miyasaki et l’œuvre d’Arthur de Gobineau. On trouvera sur le plateau Pascal Esseyric, directeur de la rédaction, Ludovic Maubreuil , Rémi Soulié et Nicolas Gauthier.

     

                                   

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  • Guider ou suivre le peuple ?...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Xavier Eman, cueilli sur A moy que chault ! et consacré aux limites du populisme, vues au travers de la révolte des Gilets jaunes. Animateur du site d'information Paris Vox et collaborateur de la revue Éléments, Xavier Eman a récemment publié un recueil de ses chroniques mordantes intitulé Une fin du monde sans importance (Krisis, 2016).

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    Guider ou suivre le peuple ?

    Au-delà des très efficaces et drolatiques « infiltrations » de la manifestation des « foulards hermès rouges », les discours tenus par les authentiques participants à cette déambulation macronienne se sont révélés glaçants de mépris social, d’égoïsme économique et de morgue bourgeoise.

    Il ne faut pas beaucoup d’imagination pour discerner, derrière ces « seniors » bien nourris et apprêtés, les grimaces hargneuses, postillonnantes d’imprécations génocidaires, des Versaillais de 1871 appelant à éventrer femmes et enfants afin d’éradiquer définitivement la « classe dangereuse » suante, puante, rebelle et bruyante.

    Il est d’ailleurs fort probable que le camp d’en face, bien qu’il nous soit actuellement plus sympathique, en ait tout autant à leur service, et que le triomphe hypothétique des « gilets jaunes » entraînerait les mêmes excès et les mêmes atrocités qu’à chaque fois que le peuple sans guide se transforme en foule populacière, ivre d’elle-même, vengeresse et hystérique (du massacre des frères de Witt à l'épuration, en passant par la décapitation du gouverneur de Launay et la place Loreto…).

    Ce qui est sûr, en tout cas, c’est que l’on est aujourd’hui en présence de deux groupes de population absolument antinomiques, exaspérés, vindicatifs et, semble-t-il, irréconciliables.

    Pourtant les deux constituent le « peuple » et ni l’un ni l’autre ne peut prétendre à la possession exclusive de cette appellation, le nombre n’entrant que secondairement en jeu puisque, à cette aune , le vrai et seul « peuple » serait, comme toujours, la masse des « attentistes », des « spectateurs », qui trouvent que les uns ont raison mais les autres pas complètement tort non plus.

    C’est d’ailleurs l’une des impasses (et même des dangerosités) du « populisme » : qu’une partie quelconque (même éventuellement majoritaire) de la société s’arroge arbitrairement le titre de « peuple », excluant, de fait, toutes les autres composantes qui ne se reconnaissent pas en lui.

    On se retrouve alors avec tous les ingrédients d’une véritable guerre civile, systématiquement induite par la lutte des classes lorsqu’elle portée à son paroxysme et contre laquelle se sont dressés les régimes organicistes et corporatistes de type fasciste. Contre la dictature du prolétariat, contre la tyrannie du Capital, la troisième voie nationale, sociale, identitaire, méritocratique et autoritaire qui ne peut se réduire à une simple soumission à la volonté majoritaire (si changeante, versatile, influençable et manipulable…), ou à un simple appel à une « démocratie directe » qui nous fera fusiller demain.

    Ce dont nous avons cruellement besoin, ce sont des élites dignes ce nom, pas l’éradication de celles-ci au nom d’un égalitarisme absurde et délirant. C’est la nature des barreaux de l’échelle des valeurs de la hiérarchisation de la société qui faut revoir, et non pas abattre celle-ci.

    Par réaction à l’abject mépris de l’oligarchie libéral envers nos compatriotes, nos parents et nos frères, ne sombrons pas dans la pire des démagogies « démocratico-populiste ». Non le peuple n’a pas toujours raison, et non la masse n’a pas vocation à se gouverner elle-même !

    Mais aux élites mondialisées, incultes, corrompues, vénales, arrogantes et perverties, substituons des élites enracinées, honnêtes, aimantes, altruistes et généreuses qui font passer le Bien Commun avant tout et sauront l’imposer malgré les modes et les aléas des mouvements d’opinions. Qu’elles aient des comptes à rendre bien sûr, mais qu’elles n’aient pas à soumettre chacune de leur décision à la roulette russe du vote !

    Nous avons besoin de chefs dignes de ce titre et de cette responsabilité, pas d’une extension du domaine de la Suisse…

    Xavier Eman (A moy que chault ! , 28 janvier 2019)

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  • L'Europe et le capitalisme...

    Les éditions Mimésis ont publié récemment un essai de Diego Fusaro intitulé L'Europe et le capitalisme - Pour rouvrir le futur. Philosophe italien, principal disciple de Costanzo Preve, Diego Fusaro est un des inspirateurs du programme populiste du Mouvement Cinq Etoiles (M5S) et  un des défenseurs du rapprochement entre ce mouvement et la Ligue.

     

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    " L’Union Européenne telle que nous la connaissons aujourd’hui est trop souvent présentée comme la réalisation parfaite de l’idée d’une Europe des peuples et de la liberté. Cet essai renverse cette perspective. Triomphe d’un capitalisme désormais absolu, la création de l’Union Européenne a pu révoquer l’hégémonie du politique. C’est ainsi que pour rouvrir le futur, défendre les peuples et le travail, il faut partir d’une critique radicale de l’Europe de l’euro et de la finance. La critique de Diego Fusaro, jeune et brillant philosophe italien, auteur déjà d’une dizaine d’essais qui ont contribué à alimenter le débat en Italie pendant ces dernières années de crise financière, franchit enfin la frontière européenne. "

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  • Italie, le laboratoire politique du populisme...

    Le nouveau numéro de la revue Éléments (n°176, février 2019 - mars 2019) est en kiosque !

    A côté du dossier consacré à l'Italie comme laboratoire du populisme, on retrouvera l'éditorial d'Alain de Benoist, les rubriques «Cartouches», «Le combat des idées» et «Panorama» , un choix d'articles variés, des entretiens, notamment avec Olivier Rey, Natacha Polony et Alain Finkielkraut, les chroniques de Xavier Eman, d'Olivier François, de Ludovic Maubreuil, de Laurent Schang, d'Yves Christen et de Slobodan Despot et l'anti-manuel de philosophie de Jean-François Gautier...

    Bonne lecture !

    Vous pouvez commander ce numéro ou vous abonner sur le site de la revue : http://www.revue-elements.com.

     

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    Éditorial           

    Éléments, mode d'emploi, par Alain de Benoist

    Agenda, actualités

    L’entretien

    Olivier Rey contre les humanoïdes associés, propos recueillis par Thomas Hennetier

    Cartouches

    Le regard d’Olivier François : Jean-Louis Kuffer, la passion de lire

    Une fin du monde sans importance, par Xavier Eman

    Léo Malet et André Héléna, les maîtres du roman noir français, par Pascal Esseyric

    Hayao Miyazaki l'enchanteur , par Ludovic Maubreuil

    Pierre-René Serna, dans la lignée de Philippe Muray, par Michel Marmin

    Champs de bataille : C'est beau un char la nuit, par Laurent Schang

    Bestiaires : Un dragon contre la société nomade, par Yves Christen

    Sciences

    Le combat des idées

    Entretien avec Natacha Polony : Marianne et les Gilets jaunes

    Sociologie des Gilets jaunes : la France des ploucs émissaires, par François Bousquet

    Pourquoi tant d'inégalités : la société ouverte et ses ravages, par Guillaume Travers

    Entretien avec David L'Epée : Vers une confluence des populismes

    Fabrice Grimal parie sur la radicalisation de la jeunesse, propos recueillis par David L'Epée

    La France périphérique en culotte courte, par Anne-Laure Blanc

    L'animalisme n'est pas un humanisme, par Alain de Benoist

    Pour ou contre le véganisme, par Benoît Labre et François Bousquet

    Le plaidoyer d’Alain Finkielkraut pour les animaux de ferme, propos recueillis par PascalEsseyric

    Steven Samson, un américain de la Rive gauche, propos recueillis par Olivier François

    Pascal Thomas reçoit Éléments, propos recueillis par Nicolas Gauthier

    Louis-Ferdinand Céline aux enfers, par François Bousquet

    Dossier

    Italie, le laboratoire politique du populisme

    Dans la tête de Matteo Salvini, par Antonio Rapisarda

    Italie, le pays du populisme intégral, propos recueillis par Alain de Benoist et pascal Esseyric

    Les migrants vus d’Italie, par Guiseppe Giaccio

    La CasaPound de l’intérieur : une Rome révolutionnaire, par David L'Epée

    Brève histoire de la musique alternative italienne, par Mario Marchal

    Rencontre avec Adriano Scianca : l’esprit corsaire

    Le syndicalisme italien : rencontre avec Paolo Capone

    Les fumetti neri, un antidote au politiquement correct, par Guillaume Travers

    Campo Hobbit, le Mai 68 de la « Destra » italienne

    Panorama

    L’œil de Slobodan Despot

    Rendez-nous le cash !, par Slobodan Despot

    Un païen dans l'église : La chapelle Saint-Martial de Jabrelles-les-Bordes, par Bernard Rio

    Philo : Qu'est-ce qu'un destin ?, par Jean-François Gautier

    L’esprit des lieux : Se perdre à Barcelone, par Ludovic Maubreuil

    C’était dans Éléments : Le capitalisme tue l'âme des peuples

    Éphémérides

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