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oligarchie - Page 22

  • Un choix ?... Quel choix ?...

    Nous reproduisons ci-dessous une analyse de Bruno Bertez, cueillie sur le site suisse Les Observateurs et consacrée à l'absence de choix qu'offre le deuxième tour de l'élection présidentielle.

     

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    Majorité et opposition en France: interchangeables?

    Il y a deux sortes de responsabilités, celles que l’on ne prend pas et celles que l’on reproche aux autres de ne pas avoir prises. Les premières sont jeux de princes, les secondes plaisirs d’opposition.

    Dans la situation présente, qui est celle d’élections, il n’y a plus de princes, il n’y a qu’un combat d’opposants. Rien n’est plus distrayant que ces joutes électorales, dès lors que l’on est capable de les remettre à leur place, de les prendre pour ce qu’elles sont, c’est à dire un spectacle.

    Une élection, ce n’est pas la maitrise des choses, des situations, c’est la conquête des voix, des suffrages. Dans le cas présent, s’agissant du pseudo affrontement entre Hollande et Sarkozy, il n’y a pas divergence sur le fond, c’est à dire sur les mesures à prendre pour faire face à la crise, il n’y a même pas de changement de programme de gouvernement, il y a tout simplement changement de clientèle.

    Le choix des deux candidats est le même: reconnaître les dettes, sauver les banques, sauver la kleptocratie, la ploutocratie, réduire les dépenses publiques, augmenter les impôts, respecter le pacte fiscal européen .

    Pour ceux qui ne le savent pas, nous les informons que Hollande a abandonné sa rodomontade de contester le pacte Merkozy en échange de petits cadeaux misérables consentis par les Allemands en faveur d’une cosmétique de soutien de l’activité.

    Bref, le choix des deux candidats, c’est l’austérité imposée aux citoyens pour honorer les dettes et stabiliser l’ordre social tel qu’il est  Personne ne propose de restructurer les dettes, de les étaler, moratorier. Personne ne propose que les banques centrales allègent les dettes des agents économiques sur-endettés, tout le monde est d’accord pour que les largesses monétaires aillent aux banques pour compenser le capital que leurs actionnaires, propriétaires, ne veulent pas reconstituer. Dans les deux cas, les candidats sont défenseurs de l’usure et ils sont prêts à courir le risque de la déstabilisation sociale comme en Grèce ou en Espagne pour que les usuriers fassent leur plein. L’économie dirigée dans laquelle Sarkozy s’est engagé depuis trois ans sera prolongée et amplifiée par Hollande.

    Les différences sont à la marge, elles portent sur la répartition des charges de l’austérité .

    La question des impôts est révélatrice, on taxe plus chez Hollande, on fait semblant de surtaxer plus exactement, les très riches, pour mieux faire avaler la pilule de la spoliation des classes moyennes, lesquelles sont les seules à être assez nombreuses pour faire une recette significative. Les très riches, amis de Hollande et de Sarkozy,  sont à l’abri depuis longtemps, soit par la géographie, soit par les structures de leur patrimoine. En revanche, dans les deux cas, on spolie les retraites publiques, privées et individuelles.

    Dans les deux cas, on refuse le débat sur le bien fondé du choix de l’austérité, sur la politique monétaire de répression financière et de spoliation de l’épargne.
    Non seulement, on est d’accord pour refuser le débat, mais même, on est d’accord pour ne pas clarifier le diagnostic. Surtout il ne faut pas favoriser les prises de conscience populaires, cela pourrait rendre le pays ingouvernable.

    N’avez-vous pas remarqué que, dans tous, sans exception, les pays en crise de surendettement, les solutions sont exactement les mêmes, que le pays soit gouverné par la droite dite conservatrice, la gauche social-démocrate ou les dictateurs imposés par l’Europe , dictateurs nommés, non élus comme Monti et Papademos.

    Quand la social-démocratie est usée, comme on Espagne, c’est le tour de la droite, quand la droite est usée, comme en France, c’est le tour de la gauche social-démocrate et quand les deux sont usées, c’est le tour des soi-disant hommes providentiels, technocrates, imposés de l’extérieur, non élus, que nous appelons dictateurs. Allez voir la répression sociale et fiscale en cours dans l’Europe du sud et vous me direz si ce n’est pas une atteinte, une violence, aux libertés individuelles.

    Dans la conception actuelle, un grand homme d’État, c’est un personnage qui sait contenir la turbulence de ses concitoyens au profit… au profit de qui… de quoi ?

    L’homme d’État dans les circonstances présentes, mais est-ce que cela a été différent avant, l’homme d’État est là pour persuader ses concitoyens qu’il se préoccupe de leur bonheur, de leur dignité le temps d’une élection. Et le pire est que cela suffit généralement, ils le croient l’espace d’un scrutin.

    La plus grande mystification politique est de faire croire que le peuple a un pouvoir et que le mauvais chef d’État est sanctionné par sa non réélection! Vous savez que nous sommes pour les vraies sanctions, sanctions des erreurs, sanctions des mensonges, sanctions des fautes. Mais, pour cela, il faut, il faudrait, des contrepouvoirs et ceux-ci, en France, font défaut, tous les gouvernements s’étant acharnés à les détruire, les manipuler et les contrôler. Le premier étant évidemment les soi-disant élus du peuple, en réalité nommés, désignés, par les partis, c’est à dire le chef de l’État.

    Le vrai projet, celui qui n’est pas dit, celui qui est escamoté, c’est l’ordre, le maintien de l’ordre en place. Le sauvetage du Système. Pour le système, point n’est besoin qu’un homme d’État réussisse, le système s’en fiche du moment que l’ordre règne, que les choses suivent leur cours, sur la voie la plus propice à la reproduction de ce qui existait avant. Le but, aussi bien de Sarkozy que de Hollande, est que tout reste, rentre dans l’ordre.

    L’homme d’État se targue de résoudre les problèmes, de prévoir l’avenir, de le préparer, mais il sait qu’il doit rester prudent, qu’il doit taire ses idées, s’il en a,
    jusqu’à ce que les évènements lui permettent d’affirmer qu’il les a conduits, maitrisés et de s’auto-glorifier.
    Voilà pourquoi dans les campagnes électorales, les candidats de l’ordre se bornent à débiter pompeusement des généralités, à la fois évidentes et énigmatiques, comme les voyantes. Voila pourquoi ils entretiennent touts les ambiguïtés, cela permet les interprétations les plus variées, voire contradictoires.

    Le but du pseudo combat de Sarkozy et de Hollande n’est pas de donner à choisir entre une analyse et une autre, entre une voie de sortie de crise et une autre, non il est de renforcer le mythe de l’État, le mythe du chef qui sait, qui veut et, à ce titre, a le droit d’imposer. Les élections ne sont rien d’autre que le passage public et solennel du témoin, du sceptre, des emblèmes du Pouvoir. Lequel Pouvoir n’est rien d’autre que celui de faire semblant de gouverner, de conduire les événements alors que l’on ne fait que s’y soumettre.

    Bruno Bertez (Les Observateurs.ch, 22 avril 2012)

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  • Les petites fêtes de l'oligarchie...

    Vous pouvez visionner ci-dessous un amusant petit reportage de Médiapart réalisé le 27 juin 2011 à l'entrée d'une petite sauterie organisée au musée Albert Kahn par Alain Minc. Du beau linge de droite, de gauche, des médias et du CAC40...

     

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  • Mohamed Merah, un bon Français ?...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Jean-Yves Le Gallou , cueilli sur Polémia et consacré au traitement médiatique biaisé de l'affaire Merah.

     

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    Mohamed Merah n'était pas Français !

    Dès que l’auteur des attentats de Montauban et de Toulouse a été connu, les médias de l’oligarchie ont pris leur marque : après avoir défini les victimes comme des « soldats d’origine maghrébine » et des « enfants juifs », leur assassin a été présenté, lui, comme « un jeune homme », « un jeune Français », « un Français », « un Français de Toulouse », « un jeune Toulousain français ». Et Le Point a fait sa couverture sur « Le fou d’Allah français ». Français, vous dis-je !

    Ainsi les victimes ont été présentées par leur origine ethnique et/ou religieuse. L’assassin, lui, non par son origine (maghrébine, algérienne, musulmane) mais par l’une de ses deux nationalités. La française, comme de bien entendu !

    Français ? Ni par la civilisation, ni par la culture, ni par les sentiments !

    Et pourtant Mohamed Merah n’était pas français. Certes, il avait des papiers français. Mais Mohamed Merah n’était français ni par la civilisation, ni par la culture, ni par les coutumes, ni par les sentiments.

    Mohamed Merah était une petite racaille, comme tant d’autres, qui haïssait la France. C’est pour cela qu’il s’en est pris à des soldats portant l’uniforme français.

    Mohamed Merah était shooté au Coran : « Il s’est autoradicalisé tout seul en lisant le Coran en prison », selon Bernard Squarcini, chef de la DCRI. Or le Coran, ce n’est pas seulement un livre religieux, c’est un ensemble de prescriptions législatives et sociétales. La charia est sans doute un élément de l’identité de l’Arabie Saoudite et de beaucoup de pays arabo-musulmans mais elle est parfaitement contraire à l’identité française.

    Big Brother au service de l’Hégire

    Mohamed Merah ne s’identifiait pas à l’histoire de France mais à celle de l’oumma musulmane, ce que le grand imam de Bordeaux, Tarek Oubrou, justifie ainsi : « Il faut que l’histoire de France soit réécrite à la lumière de la présence musulmane ». C’est Big Brother au service de l’Hégire !

    Et l’imam de Bordeaux de poursuivre ainsi son propos : « Cela permettrait aux jeunes de culture musulmane de se retrouver dans le programme enseigné à l’école et de ne pas se sentir stigmatisés. » Sur un point au moins l’imam de Bordeaux a raison : il y a bien une culture musulmane différente de la culture française, c’est-à-dire de la culture européenne d’expression française.

    « Rapatrier » le corps en Algérie

    Mohamed Merah mort, sa famille a confirmé qu’il n’était pas français mais bien plutôt algérien. Ainsi BFMTV, le 28 mars 2012, nous dit : « En Algérie, la famille de Mohamed Merah (…) est encore sous le choc. Tous espèrent que le corps du défunt sera rapatrié, pour être enterré au côté de ses ancêtres. » « Rapatrié », c’est donc bien que la patrie de Mohamed Merah c’est l’Algérie, pas la France. Bien qu’installé en France, le cousin de Mohamed Merah ne dit pas autre chose : « L’Algérie c’est son pays, il sera enterré dans la terre de ses ancêtres. » Quant au président du Conseil français du culte musulman (CFCM) de Midi-Pyrénées, il a expliqué que Mohamed Merah devait être enterré « dans son pays, l’Algérie ».

    Finalement, ce n’est pas ce qui a pu se faire, compte tenu de l’attitude du gouvernement algérien. Mais là aussi les attentats de Mohamed Merah ont révélé une réalité : un très grand nombre de binationaux franco-musulmans se font inhumer outre mMditerranée ou, à défaut, comme pour Mohamed Merah, dans un carré musulman d’un cimetière français : difficile de mieux marquer sa différence que par cette discrimination volontaire par-delà la mort. Et ce, alors même que les règles françaises de la laïcité interdisent théoriquement les carrés confessionnels…

    Respecter les individualités assimilées et patriotes

    Bien sûr cette attitude ne concerne pas tous les Franco-Maghrébins : le soldat Abel Chenaf, maladroitement qualifié « d’apparence musulmane » par Nicolas Sarkozy, était, lui, parfaitement français : d’origine kabyle et de religion chrétienne, il a été enterré dans les plis du drapeau français.

    Respecter les personnalités assimilées et patriotes est indispensable. Pour autant, éviter de généraliser abusivement les cas (majoritaires) de non-assimilation ne doit pas conduire à nier la réalité : tous les Français administratifs, binationaux Franco-Magrébins, ne sont pas des Français de culture, de civilisation, de coutume et de sentiments ; certains restent profondément étrangers à leur pays d’accueil et y sont parfois franchement hostiles.

    Bloquer l’immigration nuptiale

    Cela doit conduire à arrêter toute immigration nouvelle en provenance de ces pays, et pour quelque cause que ce soit : travail, étude, regroupement familial et surtout immigration nuptiale. Chaque année près de 40.000 binationaux vont chercher leur conjoint dans un pays musulman et se marient sur place. C’est généralement la preuve d’une faible assimilation puisque ces Français administratifs préfèrent chercher leur conjoint dans le pays d’origine de leurs parents (ou de leurs grands-parents) plutôt qu’à proximité de chez eux. Il paraît donc logique que le regroupement nuptial d’un couple marié au Maghreb (ou en Turquie, ou en Afrique) unissant un national maghrébin (ou turc ou africain) à un binational franco-maghrébin se fasse au Maghreb (ou en Turquie ou en Afrique).

    La France n’a pas à accepter ce qui relève d’une colonisation de peuplement. Il faut donc profondément changer les lois en vigueur. Avant qu’il ne soit trop tard.

    Jean-Yves Le Gallou (Polémia, 30 mars 2012)

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  • Circus politicus !...

    Les éditions Albin Michel viennent de publier Circus politicus, une enquête des journalistes  Christophe Deloire et Christophe Dubois consacrée au système de domination que l'hyperclasse met en place progressivement. Un ouvrage intéressant et utile destiné au grand public, mais qui, curieusement, omet de citer le travail remarquable d'investigation accompli sur ce sujet par Emmanuel Ratier avec sa lettre bimensuelle d'informations Faits&Documents...

     

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    "Circus politicus révèle les dessous d’un véritable « putsch démocratique », une tentative de neutralisation du suffrage universel par une superclasse qui oriente la décision publique. Il montre comment le Pouvoir a capitulé devant les puissances financières. Il dévoile les stratégies de double discours et d’hypocrisie française entre Paris et Bruxelles. Histoires, anecdotes, preuves, documents… tout dans ce livre tend à démontrer que les Indignés ont raison de réclamer une « vraie démocratie » ! Entrons dans ce Circus politicus où le peuple est jugé dangereux et la démocratie archaïque. Nous voici dans les réunions ultra secrètes des Conseils européens où tout se joue, dans les coulisses, dans de mystérieux clubs d’influence où les banquiers américains expliquent la vie à nos politiques, dans les officines et les bureaux d’agents secrets…
    La France est sous la tutelle d’un pouvoir aveugle. La souveraineté, nationale ou européenne, n’est plus qu’une image pieuse entretenue par des « idiots utiles ». Une enquête inédite, iconoclaste qui fait surgir une réalité qu’il vaudrait mieux affronter plutôt que de la nier."

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  • Des médias en servitude ?...

    La fondation Polémia poursuit son travail d’analyse du phénomène médiatique. Après La tyrannie médiatique, le Dictionnaire de novlangue et le Dictionnaire de la réinformation, elle vient de publier Les médias en servitude. Il s’agit d’une étude serrée de la médiaklatura, cette centaine d’hommes et de femmes qui donnent le la à l’opinion, cette sainte alliance du trotskysme de salles de rédaction et du capitalisme financier.

    L'ouvrage est disponible gratuitement à la lecture ou au téléchargement (format PDF - cliquer ici). Il peut aussi être commandé en version papier (15 € franco de port) à :

    Polémia, 60 ter rue Jean-Jacques Rousseau, 92500 Rueil-Malmaison

     

     

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    "En principe la France est une démocratie.

    Le suffrage y est libre. Le suffrage, sans doute, mais en est-il de même de l’information des électeurs?

    Assurément non ! Les médias asservissent et ils sont eux-mêmes asservis aux grandes puissances financières.

    Derrière une façade de diversité, les grands médias scénarisent l’actualité selon la même grille de lecture, celle de l’idéologie unique qu’ils partagent : laisser-fairisme et libre-échangisme économique, cosmopolitisme et sans-frontiérisme, rupture de la tradition et révolution des mœurs. C’est la sainte alliance du trotskysme de salles de rédaction et du capitalisme financier. L’union des milliardaires et de la médiaklatura.

    Le propos peut paraître polémique. Mais les faits accumulés dans cette étude, réalisée avec la collaboration de Claude Lorne, montrent, hélas, comment un tout petit nombre d’hommes a accaparé le contrôle des grands médias français.

    Voici quels sont les acteurs majeurs de cette prise de pouvoir sur les esprits :

    • – les banques : cinq d’entre elles siègent au conseil d’administration de Bouygues, propriétaire de TF1 ; Rothschild contrôle Libération ; Lazard siège au Monde ; et le Crédit Agricole et le Crédit Mutuel se partagent la Presse quotidienne régionale (la PQR) à l’est d’une ligne Amiens/Marseille ;
    • l’industrie du luxe et les grandes fortunes : Bernard Arnault, Serge Dassault, François Pinault, Martin Bouygues, Vincent Bolloré, Arnaud Lagardère, Claude Bébéar sont omniprésents;
    • – les grandes agences de communication et de publicité : Euro RSCG de Stéphane Fouks et Publicis de Maurice Lévy sont au cœur des stratégies d’influence adossées à de puissants budgets ;
    • les paladins de « l’antiracisme » : Louis Schweitzer (la Halde), Pierre Bergé (SOS-Racisme), Bernard-Henri Lévy donnent le ton ;
    • – les grands éditocrates : Erik Israelewicz, Laurent Joffrin, Nicolas Demorand, Denis Olivennes ont un rôle clé, celui d’assurer la cohérence entre les bailleurs de fonds et les soutiers de l’information.

    En tout une centaine d’hommes dirige la machinerie qui règne sur les esprits. Il n’y a pas de chef d’orchestre clandestin. Mais tous ou presque participent au lieu de pouvoir le plus sélect de la classe dirigeante française : le Club Le Siècle. Cette classe dirigeante française n’a plus aujourd’hui ni vision nationale ni conscience européenne et n’est plus que la section française de la Superclasse mondiale (SCM).

    Notre société est de plus en plus exigeante en matière de transparence. Cette transparence doit aussi s’appliquer aux médias : leurs auditeurs et leurs lecteurs, qui sont aussi des électeurs, doivent savoir d’où ils parlent pour connaître les arrière-plans financiers, commerciaux, idéologiques ou communautaires qui structurent leurs prises de position et qui expliquent la disparition de tout véritable esprit critique.

    Ecartant toute polémique inutile, Polémia se borne à rassembler des faits. Des faits qui éclairent d’une lumière vive la médiaklatura."

     

    Au sommaire :

    1 Les médias tyranniques… mais eux-mêmes asservis


    2 M comme Milliardaires… et comme Médiaklatura


    3 Lagardère ou les missiles de l’information-désinformation


    4 OPA bancaire sur la presse régionale


    5 Libération, de l’anarchisme à… la banque


    6 Avec le « trio BNP », la fin du Monde ?


    7 Un très mauvais Bergé


    8 Xavier Niel, ou quand le porno mène à tout


    9 Pour Matthieu Pigasse, Le Monde, tremplin vers l’Elysée ?


    10 Louis Schweitzer, paladin de l’antiracisme et roi des cumuls


    11 La face cachée de BHL


    12 « Pure Players » ou purs désinformateurs ?


    13 Gros argent et corruption de mineurs : la preuve par Gulli et Skyrock


    14 TF1 ou comment rendre les cerveaux disponibles


    15 La publicité au service de la « diversité »


    16 Publicité et politique : la chute de DSK, une catastrophe industrielle


    17 L’opinion manipulée par les sondages


    18 Les hommes du Siècle au coeur du pouvoir


    19 Qui dirige l’information ? L’oligarchie mondiale et ses mercenaires hexagonaux

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  • Le soulèvement ou l'effondrement...

    Vous pouvez regarder ci-dessous une intervention particulièrement percutante de l'économiste hétérodoxe Frédéric Lordon à l'occasion d'une table-ronde organisée par l'association ATTAC.


    "Leur dette, notre démocratie" : Frédéric Lordon par BTrenaissance

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