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immigration - Page 10

  • Feu sur la désinformation... (383)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, et Jules Blaiseau.

    Au sommaire :

    • 1 - L'image de la semaine
      Les images de la prise du palais présidentiel sri-lankais par des manifestants remontés ont fait le tour du monde. Et si les médias vous dissimulaient certaines causes de la crise économique qui bouleverse ce pays ? Jean-Yves Le Gallou revient sur un tabou médiatique français.
    • 2 - Gangs pakistanais, viols, censure : ça continue en Angleterre !
      Samantha Smith, journaliste conservatrice britannique, s'est exprimée à la télévision anglaise vendredi dernier. Elle-même violée lorsqu'elle était plus jeune dans sa ville natale (Telford), elle affirme que le phénomène des viols collectifs de mineures par des gangs de pakistanais subsiste toujours dans la commune. La réaction des policiers anglais va certainement en scandaliser plus d'un.
    • 3 - Revue de presse
      Coupure du gaz russe, Clémentine Autain assume mentir aux français, Musk livre bataille à Twitter, les médias seraient infestés par l'extrême-droite et bien d'autres sujets ... Tous les moments médiatiques marquants de la semaine sont passés au crible par Jean-Yves Le Gallou et son esprit caustique !
    • 4 - Uber Files : une affaire louche
      Qui est le lanceur d'alerte à l'origine des "Uber Files" ? Les médias français posent-ils les bonnes questions dans cette affaire ? Jean-Yves Le Gallou vous explique ce qui est reproché à Uber et à Emmanuel Macron et ne mâche pas ses mots envers la caste médiatique.

     

                                               

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  • Feu sur la désinformation... (383)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, et Jules Blaiseau.

    Au sommaire :

    • 1 - L'image de la semaine
      Avez-vous entendu parler des manifestations néerlandaises qui mobilisent des dizaines de milliers d’agriculteurs en protestation contre les nouvelles mesures anti-agricoles de leur gouvernement ? Si vous ne suivez que les médias de grand chemin, certainement pas ! C’est notre image de la semaine.
    • 2 - Macron fait son Narcisse sur France 2
      Nous savons qu’Emmanuel Macron est un adepte des apparitions médias trafiquées et des mises en scène grotesques et narcissiques de sa personne, en témoignent ses vidéos de campagne ou encore ses séries de portraits-photos dont le monde entier rit. Un reportage de France 2 de la semaine passée, "Un Président, l'Europe et la Guerre", est d'ores et déjà un grand classique en matière de mise en scène théâtrale et clownesque du président. Jean-Yves Le Gallou décortique en profondeur ce monument de propagande.
    • 3 - Revue de presse
      Les immigrés sont-ils surreprésentés dans la publicité ? Jean-Yves Le Gallou s'appuie sur la dernière vidéo de Nicolas Faure et dénonce le projet commun de promotion de l'immigration des médias et magnats de la pub !

     

                                            

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  • Feu sur la désinformation... (382)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, et Jules Blaiseau.

    Au sommaire :

    • 1 - L'image de la semaine
      Jean-Yves Le Gallou analyse les images effarantes d'une horde de milliers de migrants prenant d'assaut un poste-frontière hispano-marocain à Melilla. Bilan du carnage : une quarantaine de morts et plus d'une centaine de blessés.
    • 2 - Avortement : Liberté ou Crime ?
      La décision de la Cour Suprême des Etats-Unis de balayer la jurisprudence Roe vs Wade permet aux états de légiférer librement sur l'accès à l'avortement. La nouvelle a provoqué une tempête médiatique outre-atlantique mais également en France. Retour sur cette séquence de propagande partiale et violente.
    • 3 - Revue de presse
      Premières sessions de l'Assemblée Nationale, grève de l'audiovisuel public, condamnation de Ghislaine Maxwell et bien d'autres sujets sont couverts dans notre revue de presse hebdomadaire.
    • 4 - Le retour tonitruant du COVID
      Le COVID a fait son grand retour dans les titres d'actualité. Doses de rappel, retour du masque et des gestes barrières, pass vaccinal remis en route ... L'opération médiatique de préparation des esprits à l'obéissance et la soumission est enclenchée.

     

                                             

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  • Le déni du réel en action...

    Nous reproduisons ci-dessous un texte de Yannis Ezziadi, publié par Figaro Vox, dans lequel il répond aux critiques qui lui ont été adressées après la publication par Causeur d'un reportage dans lequel il dépeint le quotidien des habitants de Nangis, une commune de Seine-et-Marne marquée par une montée du communautarisme islamique.

    Nangis.jpg

    Une rue de Nangis (Causeur)

     

    «Le malaise civilisationnel de la France profonde ne compte pas»

    Je vais vous raconter ici la petite et terrible histoire du déni de réel. L'histoire des chiffres contre nos yeux. Le 11 mai dernier – moi qui ne suis pas journaliste de profession mais comédien et auteur dans les pages culture du magazine Causeur–j'ai entamé un reportage de quelques jours dans le village de Nangis – au cœur de la Brie – en proie à une délinquance grandissante et à un communautarisme musulman dont nos yeux seuls suffisent à nous fournir la preuve sur un plateau. J'y ai passé six jours pour me promener, pour regarder, discuter avec les gens et tenter de comprendre ce qui se passe, ce qu'ils ressentent. Quand je dis ils, je parle de ceux que l'on appelle les «Français de souche». Je veux savoir comment ils vivent ce «métissage» diront certains, ce «changement de peuple» diront d'autres. Mes yeux et mes oreilles ont été mes seuls outils. Mon reportage est sorti dans le numéro de juin de Causeur. Mon récit, mon constat, vous pouvez les trouver en détail dans ce reportage de huit pages intitulé Ma première Burqa. Mais si j'écris ici, c'est pour dénoncer le déni et la tentative de décrédibilisation dont j'ai été instantanément l'objet. Il semblerait que ce que j'ai vu n'existe pas, que mes yeux se trompent, que ma bouche mente.

    Le 8 juin, Jean-Marc Morandini a consacré une émission à mon reportage dans laquelle il m'a invité à débattre. Entre autres face à moi, Gerald Briant, adjoint PCF au maire du 18ème arrondissement de Paris, qui dès le départ a tenté de me disqualifier. «C'est un plaidoyer pour le grand remplacement, pour la théorie complotiste du grand remplacement», clame-t-il indigné ! Ça, je m'y attendais, bien évidemment. Mais ses arguments principaux pour balayer d'un revers de main mon travail ont été la science et les chiffres ! Je ne me base pas sur la science selon lui. Ce que je ne renie pourtant pas. C'est d'ailleurs un extrait de mon propre texte qu'il cite pour appuyer son attaque: «Bien sûr, dans tout ce que vous venez de lire, rien ne repose sur des études, des calculs, des chiffres. C'est simplement le ressenti des personnes que nous avons croisées». Pour Gérald Briant, cela ne compte donc pas. Pour lui, c'est très clair, on se fiche de ce que les gens ressentent. Ce qu'il souhaite est très clair aussi: des études et des chiffres qui prouvent le contraire du ressenti d'une partie de la population, qui prouvent par de très sérieux calculs que les gens ne voient pas ce qu'ils voient. Lorsque des chiffres viennent appuyer la «théorie» d'un changement de population, ils ne l'intéressent d'ailleurs pas plus que le ressenti.

    Je pense pour ma part que les chiffres sont importants, qu'ils peuvent nous servir. Mais ce travail ne relève pas de mon domaine. Mon domaine à moi, c'est la retranscription de l'expérience sensible, c'est le récit d'êtres vivants, avec leurs peurs, leurs doutes, leurs souffrances. Et c'est, à mon avis, au moins aussi important que les chiffres. Cette souffrance des êtres n'est pas mesurable par des calculs et des études. Doit-elle pour cela ne pas compter, ne pas être prise en compte, être balayée par le revers d'une main méprisante et scientifique ? Pour Gérald Briant,« ce n'est pas un travail sérieux ». Peut-être devrait-il pousser un peu plus loin sa pensée et dire que ce que les gens ressentent n'est pas sérieux. Je le répète, je n'ai fait que me promener et discuter avec quelques personnes croisées sur mon chemin. Une quarantaine. Tous, je dis bien tous, m'ont confié leur malaise dû à la sensation d'islamisation de leur ville. Pas une personne ne m'a tenu un propos raciste. Mais tous m'ont dit ne plus se sentir chez eux, se sentir dépossédés de leur village. Les témoignages à ce sujet se ressemblent tous. Suis-je tombé, par hasard, sur les quarante seules personnes de Nangis à penser cela ?

    Une autre tentative de déstabilisation et de déni m'est venue ce jour-là d'un deuxième interlocuteur sur le plateau de Morandini, le conseiller de Paris du Groupe indépendant et progressiste et actuel candidat «Ensemble» aux législatives, Pierre-Yves Bournazel, qui a tenté de m'enfermer dans le piège «islam-islamisme». Il a commencé le commentaire de mon texte par une précision: la différence entre islam et islamisme, différence qu'il faut absolument faire selon lui. Comme si je faisais l'amalgame. Mais quel amalgame ? Je ne suis pas islamologue, il est vrai, et ne compte d'ailleurs pas le devenir. Ce qui est islam d'un côté et islamisme de l'autre ne m'intéresse pas. Ce à quoi je m'intéresse dans ce reportage, c'est à certaines pratiques culturelles et religieuses, à un certain mode de vie d'une partie non négligeable des personnes de confession musulmane de Nangis qui heurtent l'autre partie de la population qui ne l'est pas. Je laisserai donc le soin à Pierre-Yves Bournazel de catégoriser ces pratiques religieuses et culturelles.

    Puisque le problème pour lui ne semble être que l'islamisme, je lui demande si le voile – simple et non intégral – est de l'islamisme. Il me répond que non. Je lui demande alors: «Que répondez-vous aux habitants de Nangis qui voient tous ces voiles comme autant de drapeaux islamiques plantés sur le territoire de leur ville ? Que dites-vous à tous ces gens qui trouvent que leur ville, pour cette raison, devient musulmane ?» Sa réponse : «Là aussi, distinguons l'islamisme et l'islam. Quand il y a des revendications religieuses où on veut imposer sa foi sur la loi de la République et sur le vivre ensemble, nous devons être très fermes et défendre les principes républicains […] deuxièmement, les premiers à se battre contre l'intégrisme religieux c'est souvent les mamans, les gens dans les quartiers qui veulent vivre leur foi – ou d'ailleurs parfois ils n'ont pas la foi – tranquillement et sans être sous pression. Et notre devoir c'est de les protéger ou de les émanciper». Morandini fait alors remarquer à Bournazel qu'il ne répond pas à ma question. «Mais c'est quoi la question ? Il faut dire que les musulmans sont des islamistes ?», s'exclame le candidat «Ensemble».

    Bournazel ne répond évidemment pas à ma question. Lui aussi méprise complètement cette problématique du ressenti des «Français de souche» culturellement menacés par un islam d'atmosphère qui les étouffe. Il répond à cette question par un autre ressenti, celui des personnes de confessions musulmanes qui seraient, selon lui, les premières victimes. Ce sont les musulmans qui semblent l'intéresser. Peut-être est-ce moins nauséabond de s'intéresser au ressenti des «musulmans» qu'à celui des «Français de souche». Rien que le terme «Français de souche» ne met à l'aise personne. Les «de souche», circulez – ou souffrez –il n’y a rien à voir ! Voilà une fois de plus le mépris dont ils sont victimes. Une fois de plus, on ne répondra pas à leurs questions pourtant existentielles. Les Nangissiens que j'ai rencontrés ne m'ont pas parlé d'islam radical, de terrorisme ou de charia. Ils m'ont dit que la population grandissante de femmes voilées et d'hommes en djellabas, les commerces communautaires, l'implantation de la mosquée, toutes ces choses qui se voient, qui leur crèvent les yeux, sont autant de signes qui montrent que leur ville est gagnée par le communautarisme. Pas intégriste, pas djihadiste, pas Ben Ladeniste. Musulmane.

    On m'explique que ce que je rapporte dans les pages de Causeur n'a pas d'importance. Ou pire, que ce que je dis avoir vu et entendu n'existe pas. Les chiffres, les études, la science, la loi. Tout cela contre mes yeux et mes oreilles ? Tout cela contre la sensation, contre le cœur ? Lorsqu'un journaliste se rend sur un terrain de guerre afin d'interviewer la population bouleversée, on ne lui rétorque pourtant pas que son travail ne vaut rien car ce n'est que le ressenti des populations qu'il a rencontrées, et qu'il faut des chiffres, des études approfondies pour étayer son propos. C'est pourtant cette arme avec laquelle on m'attaque. Je me promène, je regarde, je discute, j'écoute ce qu'on me dit, je tente de me mettre à la place des habitants pour les comprendre. Voilà un travail qui n'est pas sérieux, qui ne vaut rien. C'est pourtant ce qu'on appelle le reportage. Se rendre sur le lieu d'un événement, récolter sur le vif des témoignages, des informations et en rendre compte dans les pages d'un journal. Mais le reportage, visiblement, n'est valable que pour certains sujets. Pour celui du malaise civilisationnel et de l'insécurité culturelle, il ne compte pas. Voilà pourquoi, chers Nangissiens, ce que vous m'avez raconté n'a aucune importance. Voilà pourquoi un trait sera tiré sur vos paroles qui ne comptent pas. Voilà pourquoi les problèmes qui sont les vôtres ne seront pas réglés. Ce qui vous dérange n'est pas interdit. Ce qui vous dérange vient de vous, de votre cœur malade et non de délits comptabilisés dans des chiffres officiels retranchés, recoupés, analysés par la science triomphante. On vous l'avait pourtant dit qu'il ne fallait pas confondre l'insécurité et le sentiment d'insécurité. Il ne faut pas non plus confondre l'islamisation et le sentiment d'islamisation. Votre ressenti n'est pas scientifique, alors soyez gentils… Gardez vos sentiments pour vous ! Et la prochaine fois, revenez avec des chiffres. À ce moment-là, on verra ce qu'on peut faire !

    Yannis Ezziadi (Figaro Vox, 17 juin 2022)

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  • Richard Millet, chroniqueur de la guerre civile en France...

    Le 22 avril 2022, Martial Bild recevait, sur TV libertés, l'écrivain Richard Millet à l'occasion de la publication de sa Chronique de la guerre civile en France (La Nouvelle Librairie, 2022), un volume qui regroupe les essais de combat qu'il a publiés au cours des dix dernières années et qui lui ont valu son bannissement du monde intellectuel.

    Romancier, essayiste et polémiste, Richard Millet est l'auteur, notamment, de La confession négative (Gallimard, 2009), d'Arguments d'un désespoir contemporain (Hermann, 2011), de Fatigue du sens (Pierre-Guillaume de Roux, 2011), de Langue fantôme (Pierre-Guillaume de Roux, 2012), de Tuer (Léo Scheer, 2015), de Français langue morte (Les Provinciales, 2020) et dernièrement de Paris bas-ventre - Le RER comme principe évacuateur du peuple français (La Nouvelle Librairie, 2021).

     

                                           

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  • Feu sur la désinformation... (373)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, et Jules Blaiseau.

    Au sommaire :

    • 1 - L'image de la semaine
      La campagne présidentielle semble remuer violemment le président sortant Emmanuel Macron. Son déplacement à Denain nous a donné une image très drôle !
    • 2 - Marine Le Pen re-diabolisée par les médias ?
      Eric Zemmour semble avoir servi de paratonnerre à Marine le Pen pendant la campagne du premier tour, attirant sur lui les ires et les foudres du système médiatique. La candidate du Rassemblement national est-elle en passe d’être à nouveau diabolisée par le cartel des médias ?
    • 3 - Revue de presse
      Marine Le Pen épinglée par la presse sur ses chiffres de l’immigration, un tireur pro-Black Lives Matter à Brooklyn, 3 filles excisées dans la Sarthe, une production théâtrale pédophile à Londres, l’envoi douteux de mails de campagne au corps enseignant par Macron.
    • 4 - Médias et politique, relations tendues
      Depuis que Marine le Pen a refusé d’accréditer "Quotidien" à ses meetings, la polémique bat son plein. Les journalistes se sentent menacés par les candidats et vice-versa. Analyse d’une relation tendue entre médias et politiques.

     

                                              

     

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