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Livres - Page 53

  • Histoire des soldats libres...

    Les éditions Dualpha viennent de rééditer une étude historique de François-Xavier Sidos intitulé Histoires des soldats libres - De l'Antiquité à l'an 2000

    Consultant en sûreté, officier honoraire de l'Armée de l'air, François-Xavier Sidos a été un des lieutenants de Bob denard aux Comores.

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    " Qui sont les mercenaires ? À quoi servent-ils ? Faut-il les condamner ?

    L’époque est à la « privatisation de la guerre », mais les mercenaires restent très méconnus.

    Ce livre sans équivalent fait le point sur la passionnante tradition historique dont ils sont issus. Il sera utile à tous ceux qui souhaitent comprendre le phénomène mercenaire sans sacrifier à la facilité de idées reçues. L’histoire des soldats libres est une formidable aventure, qui traverse les siècles en conservant toujours une actualité surprenante. Elle est ici traitée au travers des principales personnalités qui l’ont façonnée. Soldats de fortune et d’infortune, ils ont jalonné l’histoire par leurs aventures et par leurs sacrifices. De Xénophon à Bob Denard, ce sont près de vingt-cinq siècles d’engagements, de combats et de rêves vécus qui sont ici racontés.

    Trop d’erreurs, d’approximations, souvent même de calom­nies ont été écrites, recopiées et colportées sur le mercenariat, à tel point que son sens actuel dans le langage commun est à peu près à l’opposé de son véritable contenu historique. Notre objet n’est pas tant de réhabiliter le terme – il suffit d’en utiliser un autre en cas de besoin – que de témoigner de la réalité du mercenariat à travers l’histoire.

    Il y a une réalité mercenaire, loin des mythes et des jugements péremptoires. C’est cette réalité-là qu’il faut cerner, comprendre et, pourquoi pas, vivre. "

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  • Raisonnablement sexiste...

    Les éditions Magnus viennent de publier un nouvel essai de Laurent Obertone intitulé Raisonnablement sexiste - Remettre les hommes et les femmes à leur place.

    Journaliste, Laurent Obertone est l'auteur de trois enquêtes essentielles, La France Orange mécanique (Ring, 2013), La France Big Brother (Ring, 2015) et La France interdite (Ring, 2018), qui ont contribué à fissurer l'édifice du politiquement correct, ainsi que du récit Utøya (Ring, 2013). Il a publié récemment un essai intitulé Game over - La révolution antipolitique (Magnus, 2022).

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    " Jamais les hommes et les femmes n’ont été à ce point malmenés, niés, séparés les uns des autres, par une époque qui semble jurer leur perte. Une relation déjà difficile, chaque jour un peu plus empoisonnée. D’un côté les salauds qu’il faut déconstruire, de l’autre les malheureuses oppressées, victimes du patriarcat sexiste. 

    Féminisme Netflix, wokisme « non binaire », théorie du genre dans les écoles… L’évolution des rapports amoureux, de la sexualité, des familles et des couples s’avère catastrophique. 

    Il est temps de renverser la vapeur. 

    Spécialiste des vérités qui dérangent, Laurent Obertone rompt une nouvelle fois avec le dogme, pulvérise les tabous, et nous plonge dans un bain de réel. 

    Comprendre les hommes et les femmes, les ramener à leurs particularités et aspirations fondamentales, pour mieux les réconcilier, les unir et les accomplir. Lecteurs et lectrices, voici l’heure du bilan sans concession, et du traitement de choc. Dans cette tragédie dont nous sommes les héros, vous seuls pouvez remettre les choses à l’endroit. 

    Tel est l’objet de ce livre décapant. 

    Tel sera le tombeau du politiquement correct. "

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  • Les Cultes à mystères dans l'Empire romain...

    Les éditions Les Belles Lettres viennent de publier une étude historique de Francesco Massa intitulée Les Cultes à mystères dans l'Empire romain - Païens et Chrétiens en compétition.

    Professeur au Département d’études historiques de l’Université de Turin, Francesco massa est historien des religions, spécialiste des interactions religieuses dans la Méditerranée antique.

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    " Dans les religions polythéistes de l’Antiquité, à forte dimension publique et collective, les cultes dits « à mystères », réservés à des groupes d’initiés, ont longtemps tenu un rôle limité, malgré la célébrité de certains d’entre eux comme les Mystères d’Éleusis. Mais sous l’Empire romain, la notion de mystères semble connaître une diffusion sans précédent et influencer tant les pratiques religieuses que les façons de les représenter. Or, ce processus concerne aussi bien les groupes chrétiens que les cultes traditionnels. En effet, dès le milieu du IIe siècle, les auteurs chrétiens s’approprient le vocabulaire des cultes à mystères pour parler de leurs propres rituels et croyances, et construisent ainsi des formes de compétition avec les tenants des religions traditionnelles.

    À partir de ce moment et jusqu’à la fin de l’Antiquité, les mystères des religions polythéistes et les nouveaux mystères chrétiens ne cessent de se croiser. La notion de mystères devient le lieu d’interactions entre païens et chrétiens reflétant les nouveaux rapports de force politiques et religieux qui s’établissent dans les territoires d’un empire multiculturel et multireligieux. L’ouvrage retrace cette évolution et interroge le rôle qu’a pu jouer le discours chrétien sur les cultes à mystères « païens ». "

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  • Le nouvel âge de la bêtise...

    Les éditions de l'Observatoire viennent de publier un nouvel essai de Pierre-André Taguieff intitulé Le nouvel âge de la bêtise

    Philosophe, politologue et historien des idées, Pierre-André Taguieff est l’auteur d'essais importants qui ont contribué à mettre à mal la pensée unique comme  La Force du préjugé - Essai sur le racisme et ses doubles (La découverte, 1988), Résister au bougisme (Mille et une Nuits, 2001), Les Contre-réactionnaires : le progressisme entre illusion et imposture (Denoël, 2007), Julien Freund, au cœur du politique (La Table ronde, 2008), Du diable en politique - Réflexions sur l'antilepénisme ordinaire (CNRS, 2014), Les nietzschéens et leurs ennemis - Pour, avec et contre Nietzsche (Cerf, 2021) ou Qui est l'extrémiste ? (Intervalles, 2022).

     

    Taguieff_Le nouvel âge de la bêtise.jpg

    " Peut-on lutter efficacement contre la bêtise, si insaisissable, presque indéfinissable ? Dans notre monde où les croyances politiques tendent à remplacer les vieilles croyances religieuses, elle est inévitablement idéologisée. Prenant le plus souvent le visage d’une grande vertu morale ou civique, la bêtise d’indignation, notamment portée par les idiots utiles de l’islamo-gauchisme ou de l’académo-militantisme « woke », se pare de révolte et d’insoumission alors même qu’elle suit les mouvements de mode, plongeant avec jubilation dans les snobismes et les conformismes. Pétrie d’émotions, elle hante à l’envi tous les mots en « isme », les débats publics, les discours politiques et les émissions de variétés, faisant des réseaux sociaux l’instrument privilégié de la multiplication des crétins. 

    Pour Pierre-André Taguieff, il nous faut vivre avec la bêtise, mais en multipliant les cloisons étanches. La tenir à distance en la prenant comme objet d’analyse ou comme cible d’une ironie soit légère, soit méprisante. Certes, le ridicule ne tue pas et la résilience de l’imbécile est sans limite, mais à l’âge de la « bêtise idéologisée de masse », l’ironie demeure l’arme de l’intelligence. Ou comment l’on peut nuire à la bêtise sans perdre son temps avec elle. "

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  • Le Hussard sonne l'hallali...

    Le Hussard est de retour chez Auda Isarn, cette fois-ci sous la plume de Bruno Favrit, avec une aventure intitulée Le Hussard sonne l'hallali

    Amateur de marches en montagne et lecteur de Nietzsche, Bruno Favrit est l'auteur d'une œuvre conséquente, avec des romans, des récits et des nouvelles, comme Le soleil d'or (Alexipharmaque, 2015), Fort à faire (Auda Isarn, 2016), A la recherche des dieux (Dualpha, 2020) et N'y allez pas (Auda Isarn, 2021) ou des essais, tels Vitalisme et Vitalité (Editions du Lore, 2006) et Esprit du Monde (Auda Isarn, 2011). Il a également publié un recueil d'aphorismes, Toxiques & Codex (Alexipharmaque, 2013) et le premier tome de son journal, Midi à la source (Auda Isarn, 2013).

     

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    " Un séjour tous frais payés dans un luxueux établissement de la Côte d’Azur pour le Hussard et son fidèle compagnon le Lansquenet, ça n’a rien de déplaisant. Sauf que nos héros sont en mission pour le compte d’une très secrète confrérie de policiers patriotes afin d’épier les faits et gestes d’un prince qatari logé dans la suite voisine… Et une affaire particulièrement nauséabonde va émerger sous leurs yeux.

    Derrière les fêtes déjantées données par la jet-set se profilent les plus sombres conjurations. Y aurait-il un lien inavoué entre les bonnes consciences humanistes pleines aux as et le ressortissant d’une pétromonarchie réputée pour ses manœuvres obscures ?

    La mer qu’on voit danser le long des golfes clairs grouille de requins et de barracudas. Pas question de chômer. Le Hussard et le Lansquenet, plus déterminés que jamais, vont devoir se résoudre à sonner l’hallali en sortant l’artillerie lourde. "

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  • « Il faut s'adapter » : A propos d'un nouvel impératif politique...

    Les éditions Gallimard viennent de rééditer dans leur collection Folio l'essai de Barbara Stiegler intitulé « Il faut s'adapter » - Sur un nouvel impératif politique. Professeur de philosophie, Barbara Stiegler est spécialiste de Nietzsche.

     

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    " D’où vient ce sentiment diffus, de plus en plus oppressant et de mieux en mieux partagé, d’un retard généralisé, lui-même renforcé par l’injonction permanente à s’adapter au rythme des mutations d’un monde complexe? Comment expliquer cette colonisation progressive du champ économique, social et politique par le lexique biologique de l’évolution?
    La généalogie de cet impératif nous conduit dans les années 1930 aux sources d’une pensée politique, puissante et structurée, qui propose un récit très articulé sur le retard de l’espèce humaine par rapport à son environnement et sur son avenir. Elle a reçu le nom de «néolibéralisme»: néo car, contrairement à l’ancien qui comptait sur la libre régulation du marché pour stabiliser l’ordre des choses, le nouveau en appelle aux artifices de l’État (droit, éducation, protection sociale) afin de transformer l’espèce humaine et construire ainsi artificiellement le marché : une biopolitique en quelque sorte.
    Il ne fait aucun doute pour Walter Lippmann, théoricien américain de ce nouveau libéralisme, que les masses sont rivées à la stabilité de l’état social (la stase, en termes biologiques), face aux flux qui les bousculent. Seul un gouvernement d’experts peut tracer la voie de l’évolution des sociétés engoncées dans le conservatisme des statuts. Lippmann se heurte alors à John Dewey, grande figure du pragmatisme américain, qui, à partir d’un même constat, appelle à mobiliser l’intelligence collective des publics, à multiplier les initiatives démocratiques, à inventer par le bas l’avenir collectif.
    Un débat sur une autre interprétation possible du sens de la vie et de ses évolutions au cœur duquel nous sommes plus que jamais. "

     

     

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