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Livres - Page 55

  • Giuseppe Pagano, architecte fasciste et antifasciste...

    Les éditions Conférence viennent de publier un ouvrage datant des années 30 de  l'architecte italien Giuseppe Pagano intitulé Architecture rurale italienne ainsi qu'un essai qui lui a été consacré par Riccardo Mariani intitulé Giuseppe Pagano, architecte fasciste, antifasciste, martyr.

    Giuseppe Pagano est un des architectes de premier plan de l'Italie fasciste au cours des années 30, tenant d'une ligne moderniste. Membre du parti et responsable de la section artistique de l'Ecole de mystique fasciste, il rompt avec le fascisme en 1942 et rejoint l’opposition. Il meurt en déportation à Mauthausen en avril 1945.

     

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    " Architecture rurale italienne est le catalogue devenu presque mythique de l’exposition que Giuseppe Pagano et Guarniero Daniel ont organisée en 1936 lors de la VIe Triennale de Milan (catalogue dont la seule édition remonte à 1936). Il ne s’agit pas d’une exposition anecdotique, ni d’un éloge déguisé des « valeurs rurales » que caresserait une nostalgie ethnographique ; mais au contraire d’une « enquête » (c’est le terme employé par les auteurs) sur les formes d’« architecture spontanée » dont la rigueur fonctionnelle et l’économie de moyens sont décrites avec une attention systématique servie par un usage en ce sens pionnier de la photographie, dans le but de définir la tâche d’une architecture contemporaine rationaliste et soucieuse de sa dimension sociale. Le propos est en réalité très ambitieux et très programmatiquement réfléchi, reprenant de premières esquisses de réflexion publiées précédemment par Pagano dans quatre articles successifs de la revue Casabella, et se constituant parallèlement à deux autres expositions montées par ce dernier sur les techniques modernes de de la photographie ou de l’enquête ethnographique, celle de l’interprétation politique dans un régime appelant au « retour à la campagne », ou encore celle de notre propre lecture d’une telle tendance ou de la question d’une « architecture dimension documentaire ou historique : elle est d’une ampleur ayant peu d’équivalent. L’Architecture rurale italienne est une manière de proposition et de démonstration, qui a durablement marqué des générations d’architectes ― pensons à Giancarlo De Carlo, à Gio Ponti, à Ernesto Rogers ou à Vittorio Gregotti, lequel écrivait à son sujet : « L’extraordinaire répertoire formel qu’[elle] faisait découvrir influença pendant de longues années l’architecture italienne dans son effort de contact avec les couches populaires » (V. Gregotti, Orientamenti nuovi nell’architettura italiana, Milan, Electa, 1969, p. 53). Bien des éléments ici peuvent nourrir la réflexion, que l’environnement où nous sommes rend peut-être plus inquiète encore qu’en 1936 ; Pagano écrivait dans l’Architecture rurale : « Avec l’accroissement des connaissances techniques, avec l’influence (souvent esthétiquement pernicieuse) des experts ruraux épris d’une fausse couleur locale, avec la pudeur romantique dont firent preuve tant de constructeurs qui se crurent obligés de transformer les fermes en villas ou les hameaux industriels modernes en villages médiévaux, l’architecture rurale a failli perdre son immense valeur de construction “pure”, a-stylistique, fonctionnelle. » On peut mesurer à chaque instant la pertinence qu’il y a aujourd’hui à reprendre de tels questionnements. Mais un autre intérêt de cet ouvrage tient à la figure de Giuseppe Pagano : à l’importance de son œuvre d’architecte, de critique, de photographe, assurément, mais aussi à son histoire propre, dont Riccardo Mariani, en 1975, résumait admirablement le cours dans le titre de la longue étude qu’il lui consacrait et dont l’autre volume que nous présentons propose la traduction : « Giuseppe Pagano architecte fasciste, antifasciste, martyr ». Le destin de Pagano, irrédentiste, fasciste, puis déçu par le fascisme au point de s’engager contre lui dans la lutte armée avant de mourir d’épuisement à Mauthausen, éclaire en effet tous les recès d’une époque difficile. Composition du volume : I. La traduction du catalogue de Pagano et Daniel de 1936, sous la forme du fac-simile de l’édition italienne. La « Note du traducteur » s’explique sur les raisons de cette reprise. On peut dire cependant que ces raisons sautent aux yeux : la qualité de la mise en page de l’original, et celle des photographies dues pour l’essentiel à Giuseppe Pagano, sont telles qu’une présentation différente eût profondément altéré le propos des architectes. À quoi s’ajoute ce qu’on pourrait appeler la marque stylistique de l’époque, et des Quaderni della Triennale en particulier, dans la série desquels s’inscrit le volume de 1936, mais avec une singularité qui l’en distingue et qui tient à l’extrême cohérence de son propos et à la loi, pour ainsi dire, de son association avec l’image. II. Un ensemble de textes visant à mieux faire mesurer l’importance de ce catalogue et l’écho des préoccupations qui s’y font jour, et en même temps à présenter la figure extraordinairement singulière de Giuseppe Pagano (précisons ici que le choix de se concentrer exclusivement sur l’un des auteurs du catalogue est dicté par deux motifs : a. le caractère décisif de la figure de Pagano, et comme architecte, et comme photographe ― il est non seulement l’auteur de presque toutes les photographies, mais ses Archives témoignent à partir des années 34-35 d’une inlassable activité de prises de vues ―, et comme homme à l’itinéraire exceptionnel ; b. l’absence complète d’informations sur Guarniero [Werner] Daniel, qui ne semble connu qu’au seul titre de co-auteur de l’exposition, plus que du livre lui-même, du reste, dont les thèses sont si proches des articles antérieurs de Pagano parus dans Casabella, qu’il convient d’en attribuer à ce dernier la paternité exclusive.) Cette tâche nous semble d’autant plus nécessaire qu’il n’existe aucune publication sur ou de Pagano en langue française. Cet ensemble de textes est le suivant : 1. Une note du traducteur, évoquant les raisons de cette édition et proposant un premier portrait de Pagano et une évaluation de l’importance de ce catalogue (par sa beauté, assurément ; mais aussi par le regard anthropologique que sert la photographie, et le lien nécessaire que Pagano parvient à établir entre les formes fonctionnelles de la construction populaire et spontanée, saisie dans le développement et les transformations de son histoire, et les exigences de l’architecture moderne qu’il défend). 2. Des documents annexes, propres à l’édition française : a. Un article de Pagano sur sa propre pratique photographique, « Un chasseur d’images » (1938) b. Une notice biographique sur l’architecte, permettant de suivre les étapes de sa vie en fonction principalement des péripéties politiques de la période (Gabriella Musto, directrice du Museo Nazionale di Castel Sant’Angelo à Rome) Puis trois études ou propositions d’interprétation choisies en raison à la fois de leur caractère suggestif, de leurs divergences et de leur différence de ton, comme une manière d’invitation faite au lecteur de pénétrer plus avant dans l’entrelacs et la complexité de la période du ventennio et des motifs d’une vie ― la variation des tonalités interprétatives valant question toujours ouverte en même temps qu’hommage à la richesse exceptionnelle de ce destin humain : c. Une étude succincte de l’ensemble de l’œuvre, où sont notamment évoqués les diverses préoccupations sociales et architecturales de Pagano, le lien entre son rationalisme dans la conception et ce qu’il appelle « l’architecture courante » ou « spontanée » (telle qu’il la décrit dans le livre-exposition sur l’architecture rurale), son rapport ondoyant avec le fascisme et avec les architectes officiels du régime (Antonino Saggio, professeur d’architecture à l’Université La Sapienza de Rome). d. La lettre que le grand historien de l’art et de l’architecture (qui fut aussi maire de Rome) Giulio Carlo Argan a écrite sur l’architecte dont il fut l’ami, pour le numéro spécial que lui consacra en 1975 la revue Parametro à l’occasion des trente ans de sa disparition à Mauthausen. e. Un texte tout récent, mi-biographique mi-critique, sur Pagano, qui fait comprendre l’ardeur avec laquelle on peut aujourd’hui se tourner vers cette figure en donnant à saisir la dimension d’engagement qui a parcouru l’ensemble de son existence, de l’irrédentisme se transformant en adhésion aux promesses du fascisme jusqu’à l’antifascisme de combat, à l’emprisonnement et à la mort ; on trouvera aussi dans ces pages des extraits des dernières lettres de Pagano (Alessandro Mauro, professeur d’architecture à l’Université Frédéric II de Naples). f. Enfin, des indications bibliographiques : les ouvrages portant sur Giuseppe Pagano en particulier, son architecture, sa photographie, sa situation politique et intellectuelle, sa figure propre sont très nombreux, tout comme la littérature s’intéressant à l’architecture italienne de la période ; il a donc paru préférable de ne pas égarer le lecteur français, et de lui proposer un choix raisonné des ouvrages et des articles les plus féconds permettant, à partir de Pagano comme architecte, comme photographe ou comme directeur de revue, de se faire une idée plus précise non seulement d’une œuvre et de son auteur, mais de l’atmosphère morale et politique où elle est apparue. "

     

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    " Giuseppe Pagano, architecte fasciste, antifasciste, martyr, propose la traduction de l’essai fouillé (1975) de Riccardo Mariani sur la figure exceptionnelle de l’architecte et du théoricien hors pair que fut Giuseppe Pagano (1896-1945), accompagnée de cinq autres textes : un article du « dernier » Pagano sur l’avenir de l’architecture, et les hommages que lui ont rendus un architecte qui l’a bien connu, Ernesto Nathan Rogers (auteur lui-même, par exemple de la Tour Velasca à Milan), et une historienne antifasciste, Giulia Veronesi, qui collabora de très près à la revue que dirigea Pagano, Casabella. "

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  • Le grand héritage des Gaulois...

    Les éditions Yoran viennent de publier un ouvrage de Jacques Lacroix intitulé Le grand héritage des Gaulois.

    Professeur agrégé, docteur ès Lettres et Civilisations de l'université de Bourgogne, Jacques Lacroix est spécialisé dans l'étude des noms d'origine gauloise et a publié un ensemble d'ouvrages et d'articles sur l'héritage linguistique des Gaulois, liant toponymie , histoire et archéologie, dont, en deux tomes, Les frontières des peuples gaulois (Yoran, 2021).

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    " Qui pourra dire encore qu'il ne nous reste presque rien du passé gaulois? Dans la France du XXIe siècle, les Gaulois sont encore là !

    Mais de façon très inattendue : davantage que dans les vestiges archéologiques très précieux , dans les noms de lieux familiers qu'ils nous ont transmis. On en compte plus de 10 000, non seulement dans l'Hexagone mais aussi en Belgique, en Allemagne du sud, en Suisse, en Italie du nord. Se dévoile un riche patrimoine, un grand héritage dont nous n'avions pas conscience alors que nous le côtoyons chaque jour.

    L'ouvrage ne se contente pas d'inventorier ces témoins du passé, il éclaire leur sens. Les noms restituent les principaux aspects d'une civilisation où notre pays trouve indubitablement certaines de ses racines. Le passé des Celtes est toujours présent. "

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  • La mafia et la Maison Blanche...

    Les éditions Plon viennent de publier une enquête de Jean-François Gayraud intitulée La mafia et la Maison Blanche.

    Commissaire général, Jean-François Gayraud est déjà l'auteur de plusieurs études marquantes comme Showbiz, people et corruption (Odile Jacob, 2009), La Grande Fraude. Crimes, subprimes et crises financières (Odile Jacob, 2011), Le nouveau capitalisme criminel (Odile Jacob, 2014), L'art de la guerre financière (Odile Jacob, 2016) et Théorie des Hybrides - Terrorisme et crime organisé (CNRS, 2017).

     

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    " La Mafia à la Maison Blanche ? Impensable et explosif.
    C'est bien le secret que Jean-François Gayraud, grand spécialiste du crime organisé, révèle dans ce livre très documenté et absolument inédit.
    La Mafia rend service, renseigne, fait élire, mais ce n'est pas gratuit : tout se paye en retour. La Mafia n'oublie jamais, ne pardonne jamais. De nombreux présidents américains lui " doivent " quelque chose. Mais à quel prix ?
    Dix ans de recherches ont été nécessaires à l'auteur pour mettre à nu les liaisons dangereuses de Roosevelt, Truman, Kennedy, Johnson, Nixon, Reagan, Clinton, Obama et Trump avec la Mafia, jusqu'au fils de Joe Biden, et proposer une lecture singulière des circonstances de l'assassinat de JFK.
    De très nombreuses sources lèvent le voile sur un des aspects les plus sombres de la première puissance mondiale.
    Sans céder au complotisme, Jean-François Gayraud propose une contre-histoire du pouvoir aux États-Unis et une réflexion sur la corruption dans les démocraties. "

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  • Roumanie, France, Suisse 1943-1945 : le journal de guerre de Paul Morand...

    Les éditions Gallimard viennent de publier la suite du journal que Paul Morand  a tenu pendant les années 1939-1945 intitulé Journal de guerre - Roumanie, France, Suisse 1943-1945. Diplomate, épicurien et homme de droite, Paul Morand a publié de nombreux romans et a été un des inspirateurs des Hussards...

     

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    " Après avoir commencé la guerre à Londres, après avoir appartenu plus d'un an au cabinet de Pierre Laval à Vichy, voici Paul Morand nommé ministre plénipotentiaire à Bucarest, alors que l'Armée rouge est aux portes de la Roumanie, alliée de l'Allemagne nazie. Le diplomate se met au travail dans des conditions difficiles qui le poussent à des allers-retours vers Paris et Vichy. Il assiste ainsi aux derniers mois de l'État français en déliquescence, avant d'être nommé in extremis ambassadeur à Berne. Il touche au but... pour cinq semaines. Révoqué, il choisit l'exil en Suisse pour échapper aux sanctions, au sein de cette communauté de« réfugiés » qui suit à distance la guerre, l'avènement d'un nouveau régime en France et les procès qui frappent le précédent.
    Tout au long de ces deux années, Paul Morand tient son Journal de guerre, sans jamais rien renier de ses convictions. Il y fait une place de plus en plus grande à l'écrivain, après avoir rêvé d'en faire le journal d'un ambassadeur.
    Rien n'a été retouché ni omis du manuscrit d'origine. C'est dans le respect de son désir initial de publication que paraît le second tome du Journal de guerre de Paul Morand, à la fois document historique passionnant - parfois aussi choquant - et apport inédit aux pages de sa biographie qui avaient semblé, jusque-là, étrangement vides. "

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  • Le procès Tintin...

    Les éditions du Verbe Haut viennent de publier un essai de Martin Peltier intitulé Le procès Tintin. Journaliste, Martin Peltier, qui a collaboré au Figaro magazine, au Quotidien de Paris et à Minute, notamment, est aussi l'auteur de 20 bonnes raisons d'être anti-américain (DIE, 2015), d'un roman, La fin de l'homme blanc (DIE, 2018) et  L'empire arc-en-ciel (DIE, 2020).

     

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    " Après 1968, Tintin, tranquille héros de bande dessinée, fut découvert par les cuistres. Depuis, lui-même, ses amis, son chien, sont l’objet de théories farfelues et d’un procès permanent de leurs mœurs et opinions – en particulier politiques.

    Il faut dire que leur père à tous, Georges Rémi dit Hergé, a eu le malheur de commencer sa carrière dans un journal catholique avec pour mentor un abbé d’Action française et pour copain un journaliste qui allait devenir le plus turbulent des politiciens belges. Lui-même dût travailler pour vivre sous l’Occupation, fit un jour de prison à la Libération et connut quelques mois d’exclusion.

    Hergé fut-il collabo, et quel sens donner au mot ? Son monde est-il un monde sans femmes, pire, un monde sexiste ? Un monde fasciste ? Tintin boit-il, fume-t-il, ruine-t-il l’environnement ? Qui est-il en fin de compte ? Le plus simple était de le lui demander, et à Milou. Mais comme ils n’ont pas eu le droit de nous répondre, nous sommes allés chercher leurs avatars dans un métavers parallèle, Pimpin et Bilou. Ils ont scruté pour nous les 23 albums signés Hergé, des Soviets aux Picaros. "

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  • Le défi au futur...

    Les éditions Synthèse viennent de publier un ouvrage de Gabriele Adinolfi intitulé Le défi au futur.

    Essayiste, théoricien et ancien activiste politique italien, Gabriele Adinolfi, qui est l’auteur notamment des Pensées corsaires (Editions du Lore, 2008) et de Années de plomb et semelles de vent (Les Bouquins de Synthèse nationale, 2014), est rédacteur en chef de la revue Polaris et dirige le centre d’études éponyme.

     

    Adinolfi_Le défi au futur.jpg

     

    “ « Nous sommes parvenus à une ère de léthargie angoissée, caractérisée par des. abstractions en forme de slogans au sein desquelles tout ce qui était le fruit d’une pensée vivante a été comme gelé ».

    Ainsi s’exprime Gabriele Adinolfi au début de ce livre dans lequel il explique comment, dès les premières années de son exil, dans les années 1980, il a travaillé de manière très différente des pratiques habituelles, en mettant en place des réseaux politiques et méta politiques internationaux, composés de centres d’études italiens et européens, de Rome à Bruxelles, d’associations, de média en ligne, en se concentrant sur la formation et l’innovation, tout en veillant à ce que les fondamentaux de l’Idée du Monde dont l’auteur est issu soient toujours respectés. De cette volonté, naquirent Les Lansquenets d’Europe…

    L’auteur ajoute : « Avec ce livre, j’ai voulu expliquer ce que sont et ce que doivent devenir les Lansquenets, au cœur d’un projet de Réseau Impérial avec toutes ses composantes telles qu’elles sont produites par tout ce à quoi nous sommes liés, ou se formant d’elles-mêmes au sein d’un même courant en vue d’objectifs communs poursuivis indépendamment (…) Nous ne pouvons pas dire que le rôle joué par les Lansquenets soit devenu décisif, car en réalité il l’a toujours été.

    Aujourd’hui, cependant, la nécessité de ce rôle commence à être comprise, et c’est la raison pour laquelle il est opportun qu’ils gagnent en nombre et en visibilité par rapport au passé » . "

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