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Livres - Page 131

  • Islamogauchisme, populisme et nouveau clivage droite-gauche...

    Les éditions VA Press viennent de publier un essai de Philippe Fabry et Léo Portal intitulé Islamogauchisme, populisme et nouveau clivage droite-gauche. Docteur en droit et avocat, Philippe Fabry est l'auteur de plusieurs essais historiques comme Histoire du siècle à venir (Jean-Cyrille Godefroi, 2015) ou La structure de l'histoire (Jean-Cyrille Godefroi, 2018). Léo Portal, pour sa part, est doctorant-Chercheur à l'Institut Universitaire Européen de Florence.

     

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    " La confusion règne quant à l’avenir de la démocratie en Occident et dans le monde : la « montée du populisme » pose la question de la pérennité de ce système politique qui paraissait avoir définitivement triomphé avec la chute du Mur de Berlin ; les repères habituels des commentateurs sont brouillés : le clivage droite-gauche semble disparaître, et de plus en plus fréquemment les leaders politiques, en parole ou en pratique, cherchent à le dépasser.

    Ce clivage est-il encore d’actualité ?

    Le libéralisme, le socialisme, l’écologisme sont-ils de gauche ou de droite ?

    Qu’est-ce que le populisme ? La « révolte des élites » est-elle une réalité ?

    Ces questions sont-elles en train de devenir obsolètes avec une possible disparition de la démocratie elle-même au profit de nouveaux modes de gouvernement ? Ou bien vit-on simplement un « changement » de clivage, où il n’y aurait plus ni droite ni gauche, mais où le clivage serait à chercher ailleurs, par exemple entre mondialistes et nationalistes ?

    Dans cet ouvrage alliant une certaine érudition à une remarquable clarté d’exposition, Philippe Fabry et Léo Portal répondent à toutes les grandes questions de la politique contemporaine par la construction d’un modèle unique, universel et intemporel, du clivage politique.

    Ce modèle en tête, il sera alors possible d’interpréter les signaux émis par les sociétés politiques occidentales actuelles, et de discerner l’avenir de la démocratie en Occident. "
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  • Hurrah Raspail !...

    Les éditions de La Nouvelle Librairie viennent de publier, sous la direction d'Adrien Renouard et d'Anne Letty, un ouvrage intitulé Hurrah Raspail !,  qui rassemble des hommages, des témoignages et des études consacré à l'auteur de Moi, Antoine de Tounens, roi de Patagonie et du Camp des Saints. Indispensable !

     

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    " Un seul être lui manque et la Patagonie est en deuil. Il y a un an déjà mourait Jean Raspail, consul général de l’ancien royaume d’Antoine de Tounens. Riche destin que celui de cet écrivain hanté par l’idée de l’oubli, de la mort des civilisations, de la déréliction de nos sociétés occidentales. Qui se souvient des hommes ? Tour à tour voyageur, aventurier, chantre, écrivain, créateur, il leur dressa des cités immortelles : ses livres. Il leur façonna une terre d’adoption : la Patagonie. 
Il leur inspira une façon d’être : une attitude. Une chose est certaine : aussi longtemps qu’il y aura des générations pour transmettre, les hommes se souviendront de Jean Raspail. Immortel dans leur mémoire.
    Lecteurs, amis, écrivains, Patagons, ils sont nombreux à avoir prêté leur plume à cet hommage. Ce livre déborde de leur enthousiasme pour le fondateur de la saga des Pikkendorff. Et les fidélités se dressent pour clamer une dernière fois : Hurrah Raspail ! "

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  • Maoïsme et tradition...

    Les éditions ars magna viennent de publier un long article de Claudio Mutti intitulé Maoïsme et tradition. Philologue, directeur de la revue Eurasia, Claudio Mutti a également été une des figures du traditionalisme révolutionnaire italien de la fin du vingtième siècle...

     

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    " La pensée de Mao Tse Tong ne fut-elle qu’une version chinoise du marxisme-léninisme ou fut-elle quelque chose de très différent issu de Marx mais aussi de bien d’autres sources ? Telle est la question que pose le traditionaliste italien Claudio Mutti.

    Et sa réponse a de quoi surprendre et déranger. En effet, pour lui, la pensée de Mao Tse Tong est étroitement redevable au taoïsme et à la Tradition propre du peuple Chinois. Ceci permet à Claudio Mutti de tresser des liens entre les écrits de Mao Tse Tong, de Corneliu Codreanu et de Ferenc Szalazi. "

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  • Le chevalier dans l'histoire...

    Les éditions Les Belles Lettres viennent de publier un essai de Frances Gies intitulé Le chevalier dans l'histoire. Historienne médiéviste américaine, Frances Gies a publié avec son mari, Joseph Gies, de nombreux ouvrages devenus des classiques comme La vie dans un château médiéval (Les Belles Lettres, 2018) ou La vie dans un village médiéval (Les Belles Lettres, 2020).

     

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    " Né du chaos européen du début du Moyen Âge, le chevalier monté et en armure a révolutionné la guerre et est très vite devenu une figure mythique dans l’histoire.
    Des conquérants normands de l’Angleterre aux croisés de la Terre sainte, du héros de la chanson de geste au preux du roman arthurien, des amateurs de tournoi aux chevaliers-troubadours, Le Chevalier dans l’Histoire, de la grande médiéviste Frances Gies, brosse un tableau remarquablement vivant et complet de la chevalerie, de sa naissance à son déclin.
    Le chevalier apparaît d’abord en Europe comme un mercenaire sans foi ni loi avant de devenir l’étendard de la chrétienté puis un soldat de métier au service des rois. Frances Gies nous fait partager sa vie quotidienne, faite de joutes et de batailles, de pillages et de rançons, mais aussi de dévotion et de pèlerinage, et souvent sanctionnée par l’errance et une mort précoce.
    Elle nous fait revivre l’aventure des héros du Moyen Âge qui ont joué un rôle historique, comme Bertrand du Guesclin, Bayard et Sir John Fastolf, qui inspira le Falstaff de Shakespeare, ou les grands maîtres des Ordres militaires qu’étaient les Templiers, les Hospitaliers et les chevaliers teutoniques. "

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  • Yukio Mishima et ses masques...

    Les éditions L'Harmattan viennent de publier un essai de Stéphane Giocanti intitulé Yukio Mishima et ses masques.

    Ecrivain et historien de la littérature, Stéphane Giocanti est notamment l'auteur, d'une biographie de Maurras, intitulée Maurras - Le chaos et l'ordre (Flammarion, 2006), d'Une histoire politique de la littérature disponible en collection de poche (Champs Flammarion, 2011) d'une biographie de Pierre Boutang (Flammarion, 2016) ainsi que d'un roman, Kamikaze d'été (Rocher, 2008).

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    " Pour le monde entier, Yukio Mishima (1925-1970) n'est pas seulement un visage symbolique du Japon : il est avant tout l'un des plus grands écrivains du XXe siècle. L'auteur de Confession d'un masque, du Pavillon d'Or et de La mer de la fertilité. Cependant, depuis sa mort spectaculaire, les erreurs, les clichés et les récupérations ont foisonné, alors que de nombreuses pages (notamment théâtrales) demeurent non traduites. Il est temps d'apporter au public francophone un éclairage suffisamment synthétique et renouvelé, qui tienne compte des sources japonaises et internationales. Vu de loin (et de près), aucun écrivain n'a autant baigné dans un tel fleuve de contradictions. Ivre d'Eros et travaillé par Thanatos, fidèle et infidèle aux samouraïs, classique et romantique à la fois, « impérialiste » et « gay », malade du nihilisme finalement en prise avec la plus grande source spirituelle du Japon (le bouddhisme), Mishima n'a cessé de multiplier les masques. Les uns, pour se cacher, les autres, pour se révéler. Autant de chemins qui nous font accéder à ses romans, à son théâtre, à sa critique et à sa troublante personnalité artistique. "

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  • Une histoire des femmes...

    Les éditions Kontre Kulture viennent de rééditer l'essai historique de Maurice Bardèche intitulé Histoire des femmes. Normalien, agrégé de lettres et auteurs d'essais reconnus sur Proust, Balzac ou Flaubert, Maurice Bardèche était également le beau-frère de Robert Brasillach et a animé après guerre la revue Défense de l'Occident.

     

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    " L’histoire des femmes se confond avec celle des hommes, mais elle a ses spécificités propres, elle est « l’histoire de l’humanité lue dans l’évolution de la vie privée ». Souvent en retrait des grands événements qui ont façonné le monde, la femme en est à sa manière tout autant fondatrice que les hommes. Elle en est aussi le reflet. Reflet de l’image que les hommes se font d’eux-mêmes et reflet de la société dans laquelle elle vit. Les conditions de son existence, les libertés et les responsabilités qu’on lui a laissées ou qu’elle a prises, ont déterminé un modèle de société qui l’a à son tour modelée.

    Mais de la Chine impériale à la civilisation islamique, de la Grèce antique aux tribus celtiques, de l’Inde aryenne à l’Égypte ancienne, à travers le temps et à travers l’espace, c’est essentiellement sa condition économique qui détermine son mode d’existence, car « une paysanne chinoise, une paysanne chrétienne, une paysanne de Rome ont d’abord vécu comme une paysanne ». À l’autre bout du spectre, la vie de cour détermine des traits particuliers qui font que, à la longue, toutes les femmes s’y ressemblent. Ce sont donc celles « appartenant à ce qu’il est convenu d’appeler l’élite d’une nation qui nous donnent une idée plus exacte de chaque civilisation. […] On s’aperçoit alors que le statut politique sous lequel chaque nation a vécu a eu une grande importance sur la vie et le pouvoir des femmes. » Féodalités, monarchies absolues, empires, régimes démocratiques ont donné aux femmes une place qui n’est pas toujours celle imposée par notre imaginaire collectif. « Il faut renoncer en particulier à l’idée séduisante que la femme est née esclave et proie, qu’elle n’a longtemps connu que la servitude et que son histoire est celle d’une lente accession à des formes supportables de la dépendance, puis de proche en proche à sa libération. Rien n’est plus faux que cette imagerie. » "

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