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  • Sparte comme modèle...

    Les éditions du paillon viennent de traduire et de publier un ouvrage collectif intitulé Sparte comme modèle - Histoire, hérédité et mythe d'une civilisation immortelle. On trouve parmi les auteurs Pino Rauti, Rutilio Sermonti et Adriano Scianca...

     

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    " Le mythe de Sparte - exemple d’élévation et intarissable source d’inspiration pour guerriers, philosophes et révolutionnaires – est intemporel.

    De son organisation sociale totale à l’éducation de fer de l’Agogé, de l’austérité essentielle de son mode de vie à la centralité communautaire de ses institutions, de la fameuse puissance de sa phalange au formidable tempérament de ses soldats, Lacédémone a tracé un sillon unique et indépassable.

    Le présent ouvrage est un recueil de textes, d’images et de citations, qui se veut instrument d’analyse historique et contribution à la formation de soi, dans le sillage d’une Weltanschauung héroïque, martiale et solaire.

    Face au nivellement mondialiste, à la dévirilisation, au wokisme et au déracinement iconoclaste, il est plus que nécessaire d’aller puiser un antidote salvateur dans notre plus longue mémoire européenne. Le sang versé aux Thermopyles reste la quintessence du courage, du sacrifice et de l’attachement à la Patrie. Ce sang coule encore dans nos veines et sera le socle de l’Homme nouveau du XXIème siècle. 

    Avec les contributions de Marco Scatarzi, Maurizio Rossi, Pino Rauti, Rutilio Sermonti, Nello Gatta, Adriano Scianca et les Communautés Nemeton et Raido. "

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  • Macron, corruption, crises : la France au bord de l'effondrement...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un entretien donné par Olivier Maulin à Liselotte Dutreuil et à François Bousquet pour Ligne droite, la matinale de Radio Courtoisie à l'occasion de la sortie de son recueil de chroniques La république des copains (Cerf, 2024).

     

                                           

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  • Politesse et politique...

    Les éditions du cerf publient cette semaine un nouvel essai de Frédéric Rouvillois intitulé Politesse et politique.

    Professeur de droit public à l’université Paris-Descartes, Frédéric Rouvillois est l'auteur de plusieurs ouvrages d'histoire des idées comme Histoire de la politesse (2006), Histoire du snobisme (2008),  tous deux disponibles en format de poche dans la collection Champs Flammarion, L’invention du progrès (CNRS éditions, 2010), Être (ou ne pas être) républicain (Cerf, 2015) ou Liquidation - Emmanuel Macron et le saint-simonisme (Cerf, 2020).

    Il a également dirigé avec Olivier Dard et Christophe Boutin, le Dictionnaire du conservatisme (Cerf, 2017), le Dictionnaire des populismes (Cerf, 2019) et le Dictionnaire du progressisme (Cerf, 2022).

    Enfin, il a publié récemment un roman, Les fidèles (Pierre-Guillaume de Roux, 2020) et quatre polars, Un mauvais maître (La Nouvelle Librairie, 2020), Le Doigt de Dieu (La Nouvelle Librairie, 2021), Tout le pays est rouge (La Nouvelle Librairie, 2022) et La constante de Théodore (La Nouvelle Librairie, 2023), avec les mêmes enquêteurs.

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    " Politesse et politique sont indissociables. Toutes deux connaissent pourtant une commune éclipse. Pourquoi ? Frédéric Rouvillois enquête sur les raisons de leur affaissement et montre combien dépolitisation et décivilisation ont partie liée. Certes, les manuels de bonnes manières défendent de parler de politique à table. Certes, les enceintes parlementaires connaissent leur lot de noms d'oiseaux et de gestes obscènes. Pourtant, Frédéric Rouvillois le démontre, politesse et politique partagent les mêmes structures, usent des mêmes moyens et visent les mêmes fins. Alors, quand la défiance vis-à-vis de la politique s'accentue, quand le savoir-vivre s'effondre, ce sont les deux faces d'une même conception de la civilité qui sont mises en cause. Et le nouveau visage de la barbarie moderne qui émerge. Un livre décisif et d'une saisissante actualité. "

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  • Aya Nakamura : n’entrons pas dans la fausse polémique macronienne...

    Nous reproduisons ci-dessous un salutaire point de vue de Michel Geoffroy cueilli sur Polémia et consacré aux polémiques sociétales utilisées par Macron et sa bande pour détourner l'opinion des vrais sujets...

    Ancien haut-fonctionnaire, Michel Geoffroy a publié le Dictionnaire de Novlangue (Via Romana, 2015), en collaboration avec Jean-Yves Le Gallou, et deux essais, La Superclasse mondiale contre les Peuples (Via Romana, 2018), La nouvelle guerre des mondes (Via Romana, 2020), Immigration de masse - L'assimilation impossible (La Nouvelle Librairie, 2021), Le crépuscule des Lumières (Via Romana, 2021)  et dernièrement Bienvenue dans le meilleur des mondes (La Nouvelle Librairie, 2023).

     

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    Aya Nakamura : n’entrons pas dans la fausse polémique macronienne

    Avec Aya Nakamura, la macronie lance une nouvelle opération de diversion, activement soutenue par les médias mainstream et aussi, hélas, par les gogos de droite. Car, dans l’affaire Aya Nakamura, tout est faux, comme la perruque blonde, les faux cils et les faux ongles de la chanteuse. Ne serait-ce que parce que la polémique a été lancée alors qu’aucune décision n’a été prise, semble-t-il. Alors, n’entrons pas dans la manipulation.

    L’art de la diversion macronienne

    La technique de la diversion macronienne est toujours la même : d’abord, on fait une annonce provocante – ici, la désignation d’une chanteuse franco-malienne au français douteux pour la cérémonie d’ouverture des prochains Jeux olympiques – destinée à jouer, vis-à-vis de l’opinion, le rôle de chiffon rouge.

    Cette annonce permet alors de rassembler le camp progressiste autour du gouvernement qui lance le projet et de dénoncer le camp rétrograde. De son côté, la « droite », elle, se divise toujours entre ceux qui sont pour, ceux qui sont contre ou ceux qui s’abstiennent par peur de la diabolisation, et elle perd donc l’initiative.

    Et pendant qu’on concentre « l’info » et les débats autour de l’annonce, on ne parle évidemment pas des sujets qui fâchent le pouvoir.

    Ce scénario fonctionne depuis au moins la présidence Hollande et réside au cœur des réformes sociétales : fabriquer des oppositions factices, horizontales, pour diviser les Français de façon à neutraliser l’opposition verticale et radicale entre le peuple et les élites. Pendant que les polémiques sociétales permettent aussi de faire oublier la question sociale pour le plus grand profit du pouvoir économique.

    Attendons-nous au pire, nous ne serons pas surpris

    En vérité, le choix d’Aya Nakamura dans le rôle d’Édith Piaf ne saurait surprendre que les imbéciles.

    Il est en effet à l’aune d’un pouvoir qui a pris le parti de mépriser l’identité nationale et de ridiculiser les Français en toute occasion.

    Alors, pour les Jeux olympiques, attendons-nous au pire, nous ne serons pas surpris !

    La cérémonie d’ouverture verra le remake inclusif [1], antiraciste et woke de celle du bicentenaire de la Révolution française : sauf qu’à l’époque on avait fait appel à la cantatrice soprano Jessye Norman. Aujourd’hui, on semble choisir Aya Nakamura, ce qui permet de mesurer la chute de notre pays depuis 1989 et le niveau culturel de nos décideurs actuels…

    Il s’agira de « briser les codes », annonce le site Internet des JO. Nous voilà avertis.

    Nous aurons donc, sans doute, des défilés d’athlètes transgenres, si possible de toutes les couleurs, et peut-être demandera-t-on à Volodymyr Zelensky de chanter La Marseillaise. Ou à Mme von der Leyen de brandir, en maillot arc-en-ciel, le drapeau de l’UE sous les ponts de Paris.

    N’en doutons pas, les bobos vont exulter, à l’instar d’Amélie Oudéa-Castéra qui se pâme déjà devant le talent d’Aya, et c’est l’essentiel puisque les Français seront de toute façon exclus du programme tant par le prix des billets que par les mesures de police ou les interdictions de circulation. Un Paris Potemkine sans beaufs, sans voitures, et vidé pour la circonstance de ses migrants, sinon de ses rats : le rêve de la gauche bourgeoise [2].

    Soyons plus « Djadja »

    Alors n’entrons pas dans la fausse polémique du moment.

    Si l’on vous interroge sur Aya Nakamura, demandez plutôt à votre interlocuteur d’évoquer par exemple le bilan diplomatique, économique et sécuritaire catastrophique d’Emmanuel Macron, son dangereux bellicisme, son isolement sur le plan international, ou encore la réduction continue des libertés publiques dans notre pays.

    Ce sera nettement plus « Djadja »…

    Michel Geoffroy (Polémia, 21 mars 2024)

    [1] À la condition, bien sûr, de faire disparaître toute croix chrétienne de l’affiche des JO.
    [2] Pléonasme français.

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  • L'Etat, le peuple, la guerre et l'espérance...

    Vous pouvez découvrir ici une conférence donnée par Laurent Ozon devant le cercle Aristote dans laquelle il analyse le rôle de l’État vis-à-vis du peuple au travers de l'actualité, et notamment au travers de la menace de guerre en Europe.

    Essayiste et analyste politique, tenant d'une écologie localiste et identitaire, premier promoteur de l'idée de remigration, Laurent Ozon est l'auteur de l'excellent essai intitulé France, années décisives (Bios, 2015).

     

                                         

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  • Du héros à la victime : la métamorphose contemporaine du sacré...

    Les éditions Gallimard viennent de publier un essai de François Azouvi intitulé Du héros à la victime : la métamorphose contemporaine du sacré. Philosophe et historien, François Azouvi  est directeur de recherche au CNRS et directeur d'études à l'EHESS.

     

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    " Autour des années soixante et soixante-dix du siècle dernier, un bouleversement anthropologique s'est produit en France et dans la plupart des sociétés occidentales : le modèle du héros qui prévalait jusqu'alors et dictait nos comportements a cédé la place au modèle de la victime. Que nous ne soyons désormais plus requis de nous comporter en héros mais invités à nous constituer en victimes, c'est un fait dont on convient généralement. Mais on ne s'était pas jusqu'à présent interrogé sur les raisons et les modalités de cette mutation. François Azouvi reconduit l'émergence de la société des victimes à une autre transformation, d'immense portée : le retrait du religieux dans sa forme institutionnelle. La victime a pu ainsi être sacralisée au point d'incarner, dans nos sociétés sécularisées, le Vrai et le Bien. Son règne marque la métamorphose du religieux en sacré. Pour retracer cette histoire, François Azouvi suit le trajet et les mutations de l'héroïsme depuis son apogée, en 1914, jusqu'à son effacement progressif et son remplacement par le modèle victimaire. Son enquête nous mène aux formes tout à fait contemporaines que ce modèle revêt aujourd'hui, dans une société morcelée par les irrémédiables compétitions auxquelles les victimes se livrent entre elles. "

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