Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 3

  • Quelques pensées et aphorismes de Pierre-Antoine Cousteau...

    Les éditions de La Nouvelle Librairie viennent de publier un recueil de Pierre-Antoine Cousteau intitulé Pensées et Aphorismes. Pilier de l'hebdomadaire Je suis partout, Pierre-Antoine Cousteau (1906-1958) est le coauteur de Dialogue de vaincus (Berg international, 1999) avec Lucien Rebatet, et l’auteur de Intra Muros (Via Romana, 2017), son journal de prison.

    Cousteau_Pensées et aphorismes.jpg

    " De tous les écrivains voués aux gémonies à la Libération, il est celui qui a refusé de baisser la tête, qui ne s’est pas excusé ni soumis. Pierre-Antoine Cousteau, journaliste de talent, est avant tout un combattant, un bretteur, un « puncheur ». Ses pensées, aphorismes et autres impitoyables sentences restent autant de « coups de revolver » tirés au milieu de l’assommant concert du conformisme ambiant. Dans ce recueil, qui regroupe deux carnets inédits et des extraits de son journal de prison, il brocarde tour à tour et non sans humour Dieu, la démocratie, les moralistes, « les gens de la Conscience universelle ». Décrit par son ami Rebatet comme « le plus voltairien de nous tous », il nous livre le témoignage caustique d’une pensée iconoclaste qui ne s’est jamais reniée. "

    Lien permanent Catégories : Livres 0 commentaire Pin it!
  • Europe, Ukraine, Biélorussie, Caucase, Moyen-Orient : la France hors-jeu...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Caroline Galactéros, cueilli sur Geopragma et consacré à la médiocrité de la politique étrangère française.

    Docteur en science politique, Caroline Galactéros est l'auteur de  Manières du monde, manières de guerre (Nuvis, 2013) et de Vers un nouveau Yalta (Sigest, 2019). Elle a créé en 2017, avec Hervé Juvin, entre autres, Geopragma qui veut être un pôle français de géopolitique réaliste.

     

    Macron_Pfue.jpg

    Europe, Ukraine, Biélorussie, Caucase, Moyen-Orient : la France hors-jeu

    A quelques semaines de l’inauguration de la présidence française de l’Union européenne, force est de constater que notre politique étrangère est plus mal en point que jamais. C’est le résultat d’une posture entêtée de déni du réel, d’une persistance suicidaire dans une vision vassalisée et dogmatique des nouveaux équilibres du monde, et d’une réduction de l’activité diplomatique à de la gestion d’image. Nous pratiquons une diplomatie purement virtuelle, d’une insigne faiblesse, qui s’imagine que la parole vaut action, et se réduit en conséquence à des déclarations, discours et conversations téléphoniques dont le seul résultat est de nous rassurer -bien à tort- sans jamais modifier utilement les rapports de force. Aucune vision, aucune ambition, aucun projet, aucun plan d’action. Pas d’anticipation. Aucune intelligence du monde, encore moins des hommes qui le dirigent. On se contente de réagir, de manière purement verbale, aux évènements qui nous surprennent, nous contournent et nous dépassent invariablement. Pour masquer cette impuissance consentie, on exploite à fond le leurre européen, autour d’une sémantique ronflante sur la « souveraineté stratégique européenne », comme si celle-ci avait une quelconque chance d’advenir. La dernière trouvaille est celle d’une « boussole stratégique européenne » dont on se gargarise, faisant mine de croire que la mise en place d’une force de… 5000 hommes en 2025 manifesterait l’autonomie militaire des Européens ! L’éléphant accouche d’une souris : 5000 hommes pouvant être projetés contre… les « ennemis » russe, chinois et même turc ; les deux premiers étant – comme par hasard – les ennemis identifiés par Washington pour justifier les futurs déploiements de l’OTAN. Quant à la Turquie, on sait bien que l’Amérique lui laissera toujours les coudées franches, surtout contre les faibles Européens puisque l’armée turque – 2ème de l’OTAN – demeure indispensable sur « le flanc sud » pour contrer la Russie… Bref, on nage en pleine utopie. La « boussole », ce nouveau hochet, nous est autorisé pour complaire à la France qui prétend sérieusement retrouver son leadership sur l’Europe… un leadership dont personne ne veut. Mais Washington ne voit aucun risque à laisser les Français jouer un peu avec leur rêve de souveraineté même pas nationale, dans une cour d’école hostile remplie de leurs chevaux de Troie, du moment qu’ils n’ouvrent pas les yeux sur une carte du monde ni ne sont prêts à se souvenir de ce que signifie véritablement l’expression « intérêts nationaux ».

    La triste vérité est que nous avons renoncé à toute volonté de recouvrer notre indépendance, ne serait-ce que de jugement, et tout autant à être utiles au monde. Nous cherchons juste à faire semblant de compter, sans risquer un pas hors du parc d’enfants sages où nous barbotons pathétiquement. Il est certain que réfléchir par et pour soi-même et se faire respecter est beaucoup plus difficile que de gesticuler sans jamais sortir de l’alignement. Mais se mentir ne peut marcher éternellement. Ce sont les autres qui nous le rappellent cruellement. Qui n’avance pas recule. Nous sommes immobiles et nos rodomontades narcissiques et enfantines ne trompent plus personne. On ne nous craint pas le moins du monde et on ne nous respecte pas davantage. Pendant ce temps, les puissances assumées, que nous croyons gêner en les stigmatisant comme i-libérales ou populistes, avancent leurs pions.

    La Russie fait désormais reconnaitre sans équivoque ses lignes rouges en Ukraine en déployant des troupes à sa frontière. Elle regarde avec amusement la crise entre l’UE et la Biélorussie par Pologne interposée. Le chantage aux migrants du président Loukachenko n’est qu’une réponse du berger à la bergère après les ingérences politiques européennes et les tentatives de déstabilisation américaines lors du récent scrutin présidentiel. Dans le Caucase, Moscou a aussi clairement démontré son influence et son utilité. Seule la présence militaire russe en interposition a empêché l’Azerbaïdjan de poursuivre sa dernière incursion en territoire arménien et l’a contraint à geler ses positions dans le Haut Karabakh. La France, pourtant co-présidente du Groupe de Minsk, n’a une fois encore rien vu venir et ne sert pour l’heure à rien sur ce front-là non plus. Pourtant, le sud Caucase est une zone de déstabilisation importante, où se mesurent les ambitions américaine et russe mais aussi, turque, azérie, iranienne et israélienne. Chacun y a son agenda et les enjeux économiques, mais aussi énergétiques et sécuritaires, y sont considérables.  Les dossiers syrien et libyen sont aussi en train de bouger sensiblement, et là aussi ce sont la Turquie et la Russie qui mènent désormais la danse. La Syrie a survécu au dépècement programmé et la Libye, stupidement écartelée par nos soins, doit, elle aussi, résister à la fois aux ambitions d’Ankara – qui se conjuguent avec la promotion d’un islamisme violent – et à celles de Moscou, qui cherche à imposer une alternative. Dans ces deux États, nos postures prétendument démocratiques, qui visaient surtout à déboulonner des autocrates dérangeants pour les intérêts occidentaux, n’ont abouti qu’à nous compromettre gravement en soutien à des islamistes radicaux, et certainement jamais à favoriser la moindre évolution démocratique. Par charité, je ne parlerai pas de notre égarement au Yémen. Ni de l’Iran que nous sommes incapables d’aider à sortir de sa diabolisation de plus en plus contreproductive.

    Les faits sont têtus. Les peuples résilients, les cultures historiques aussi bien que les équilibres communautaires et confessionnels, ne cessent de nous rappeler leur irréductibilité à la seule logique démocratique telle que nous l’envisageons tantôt ingénument, tantôt cyniquement. Il est clair que l’ethnocentrisme occidental a, depuis plus de 25 ans, fait des ravages humains et qu’il ne suffit pas de pérorer sur le « devoir d’ingérence » et les dictateurs infréquentables pour se donner bonne conscience ni surtout pour contribuer à l’apaisement de la violence du monde.

    Plus personne ne supporte les leçons de morale ni l’interventionnisme éruptif (mais très sélectif) de l’Occident. Au lieu de confondre mouvement désordonné et progrès humain, il faudrait sans doute se souvenir que le multilatéralisme de la Guerre froide comme la Charte des Nations Unies, sur laquelle nous nous sommes assis depuis 30 ans, avaient quelques vertus. Et la non-ingérence politique ou militaire dans les affaires intérieures des États aussi. Il faut y revenir. Il faut que la France ouvre les yeux sur la décrépitude avancée de son influence mondiale, sur sa crédibilité enfuie, avant de reconstruire une doctrine internationale adaptée à ses intérêts comme à sa nature de puissance d’équilibre. Il faut qu’elle réapprenne à respecter les États par principe, au lieu de lancer des anathèmes stériles contre des régimes au nom des droits des individus. Ces derniers n’en sortent jamais gagnants. La ficelle est bien trop grosse. Le retour admis et négocié par les États-Unis du peuple afghan dans les ténèbres de l’ordre taliban démontre, si besoin était, combien les promesses n’engagent que ceux qui les écoutent. Nous pouvons être bien plus utiles à nous-mêmes et meilleurs aux peuples par une approche pragmatique des rapports de force et des ressorts profonds de la conflictualité dynamique du monde qui n’est jamais que son état permanent.

    Caroline Galactéros (Geopragma, 22 novembre 2021)

    Lien permanent Catégories : Géopolitique, Points de vue 0 commentaire Pin it!
  • Sparta, deuxième année...

    Les éditions Aidôs publient le deuxième numéro de la revue Sparta, dirigée par Philippe Baillet. Vous pouvez découvrir ci-dessous la présentation de cette publication sans périodicité fixe, disponible sur le site d'Akribeia.

    Sparta 2.jpg

    " Sparta poursuit son aventure avec un vol. 2 aussi fourni, mais plus varié, que le vol. 1. L’éditorial dresse un premier bilan d’étape pour la publication, réaffirmant notre refus de rabaisser les idées au rang de mots d’ordre, donc notre rejet d’une vision idéologique du monde et de l’histoire.

    Suit un dossier substantiel sur Sparte et son « actualité discontinue » devant la conscience occidentale, qui s’ouvre par un article de Jean Haudry, « Sparte dans la tradition indo-européenne », où l’auteur confronte la cité grecque aux autres représentants du monde indo-européen pour en montrer à la fois les points communs et les innovations, tout en suivant l’évolution de Sparte dans les trois périodes de la tradition. J. Haudry se penche aussi sur la double royauté spartiate, dont il met l’origine en relation avec les Jumeaux divins, et sur la cryptie, survivance de l’initiation masculine.

    Un long article de Jean Bataille, « La cryptie spartiate : un service de renseignement dans l’Antiquité ? », est précisément consacré à cette étrange institution. L’auteur y voit une spécialisation de la métis, l’intelligence rusée des Grecs, et une pratique de la guerre secrète, qui use de techniques non conventionnelles et inavouables, mais efficaces. Étroitement dépendante des cinq éphores, la cryptie se dévoile comme un service de renseignement en même temps qu’une autre façon de penser l’hostilité. Prenant appui sur une impressionnante moisson de données textuelles antiques, l’hypothèse de l’auteur avait toute sa place dans Sparta.

    Le dossier se ferme avec une longue étude de Philippe Baillet, « L’“actualité discontinue” de Sparte et son image sous le Troisième Reich : chez les historiens, Richard W. Darré et Gottfried Benn ». Consacré pour l’essentiel à l’historiographie de Sparte – complexe et contradictoire –, cet article rappelle que la cité laconienne fascinait déjà dans l’Antiquité et que, depuis les Lumières, elle n’a cessé d’interroger la conscience occidentale, suscitant de nombreux admirateurs et détracteurs, les uns et les autres avec des motivations très variées : ainsi de Robespierre, qui vante la « vertu » civique des Spartiates, jusqu’à de nombreux auteurs allemands qui font de Sparte une Prusse antique ou bien de la Prusse une Sparte moderne. Après avoir insisté sur le tournant qui se vérifie au XIXᵉ siècle dans l’approche de Sparte (primauté de la race, attention au corps, insistance sur la sélection), Ph. Baillet passe en revue les principaux historiens qui, sous le Troisième Reich, écrivirent sur Sparte, avant d’en venir à R.W. Darré, à son nordicisme, à sa vision atypique de la cité antique et à son influence en matière doctrinale dans les premières années d’existence de l’Ordre noir. L’article se conclut par de nombreuses informations sur le poète Gottfried Benn, sa vision idéalisée de Sparte, l’ostracisme dont il fut victime à l’époque nationale-socialiste, ses liens avec Evola, son esthétique et son culte de la forme épurée, seuls remèdes au nihilisme.

    Traduction d’un autre chapitre du volumineux traité de sociologie de l’art moderne de Raimondo Strassoldo, « L’américanisation et l’institutionnalisation de l’art contemporain » revient sur un phénomène fondamental : son transfert depuis Paris, où il avait commencé en 1904 avec l’arrivée dans la capitale française de Gertrude Stein, mécène de Picasso et de tant d’autres, jusqu’à New York, où il triomphe dans les années cinquante, l’avant-garde étant plus que jamais cajolée par les richissimes collectionneurs américains et, plus encore, par leurs épouses. Après une interprétation psychosociologique des grandes étapes conduisant à la domination mondiale de cette forme d’art, l’auteur examine le rôle joué par des facteurs proprement politiques, comme l’exposition sur l’ « art dégénéré » organisée à Munich en 1937, la surreprésentation juive dans le monde de l’art contemporain et le tableau Guernica comme icône itinérante de la propagande antifasciste. Il conclut en soutenant que l’art contemporain a été, depuis la guerre froide, totalement instrumentalisé par l’impérialisme américain, et qu’il y a là une vraie logique, reposant avant tout sur l’affinité profonde entre capitalisme et art d’avant-garde qui trouve son origine dans la superstition du nouveau et de l’innovation.

    Paru dans la lointaine année 1976 mais toujours d’actualité, un article de l’historien Gianni Vannoni, « L’antisémitisme de Gramsci », analyse le contenu de plusieurs passages des célèbres Cahiers de prison du théoricien marxiste pour en conclure qu’il existe des affinités entre matérialisme historique et matérialisme biologique. Défendant avec érudition mais en forçant souvent les choses un point de vue catholique et contre-révolutionnaire assez classique, l’auteur estime qu’il faut séparer radicalement l’antijudaïsme traditionnel à base religieuse de l’antisémitisme moderne, né selon lui (comme selon Hannah Arendt) dans l’atelier des Lumières, notamment chez Voltaire et d’Holbach.

    Philippe Baillet répond à cette interprétation qui sollicite un peu trop les textes pour parvenir à ses fins dans un article intitulé « Un catholique traditionaliste face au national-socialisme : entre ignorance et mauvaise foi ». Il rappelle que l’hostilité des chrétiens (catholiques ou protestants, traditionalistes ou progressistes) à l’idée selon laquelle la biologie pourrait être prise « comme juge de la vérité » (G. Benn) s’explique encore et toujours par leur vieille haine du corps. Il dénonce la mauvaise foi de Vannoni au sujet du caractère prétendument « prolétarien/prolet-aryen » du national-socialisme et souligne que de nombreux théoriciens catholiques de la contre-révolution n’étaient pas du tout des antisémites « modérés ». Au terme de sa réponse, l’auteur revient sur le cas emblématique du Juif autrichien et romancier Joseph Roth, rallié à la défense du Trône et de l’Autel contre la « barbarie nazie », et qui croyait, ou feignait de croire, que, dans le national-socialisme, l’antichristianisme a la primauté sur l’antijudaïsme. Le texte de Ph. Baillet se termine par un rappel de toute l’importance de la formule de Pie XI : « Nous chrétiens, nous sommes spirituellement des Sémites. »

    Ce vol. 2 s’achève par deux articles de Tomislav Sunic. Le premier, « Nietzsche (1900-2020) et le signalement moral ostentatoire (virtue signalling) du Système face au “grand remplacement” », revient sur la réception et les interprétations de la philosophie de Nietzsche depuis la mort de celui-ci. Il existe en réalité un lien profond entre les valeurs chrétiennes originelles et leurs traductions sécularisées, aujourd’hui exploitées par l’hyperclasse dirigeante mondialiste pour justifier le « grand remplacement », qui selon l’auteur devrait plutôt recevoir le nom de « grande invasion ». Cette hyperclasse entretient délibérément en Europe, pour parvenir à ses fins, un sentiment maladif de culpabilité et un comportement caractérisé par la haine de soi. Mais les récits hypermoralistes officiels ont aussi pour fonction d’occulter la répression qui s’exerce contre les esprits indépendants. Sunic dénonce l’idéalisation du migrant exotique, la quête d’une supra-identité non blanche et imaginaire, les pèlerinages pénitentiels des dirigeants de l’UE à Washington, Bruxelles et Tel-Aviv. Derrière tous ces phénomènes, il aperçoit l’objectif, systématiquement poursuivi depuis 1945, de créer une nouvelle espèce d’Européens. Dans un article proche du précédent, « La théologie politique de la culpabilité blanche : Donald Trump, une menace pour la doxa officielle de l’Europe d’après la Seconde Guerre mondiale », Sunic démontre combien Trump, presque à son corps défendant, a constitué, avec sa critique des médias mainstream, de l’État profond, et sa rhétorique hostile à l’immigration, une menace pour le discours officiel répandu en Europe depuis 1945.

    Le vol. 2 de Sparta contient encore trois nécrologies (respectivement consacrées à l’essayiste et philosophe conservateur anglais Roger Scruton, l’historien de l’art français Marc Fumaroli, le musicologue et critique musical italien Paolo Isotta), un courrier des lecteurs et un index des noms cités. "

    Lien permanent Catégories : Revues et journaux 0 commentaire Pin it!
  • Le règne de l’homme-masse, une fatalité ?...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous une nouvelle vidéo d'Ego Non qui évoque la critique de l'homme-masse moderne chez le penseur espagnol José Ortega y Gasset au travers de son essai écrit en 1930 (et traduit en français en 1937), La révolte des masses.

     

     

                                                

    Lien permanent Catégories : Multimédia, Points de vue 0 commentaire Pin it!
  • L'accélération technocapitaliste du temps...

    Les éditions R&N viennent de publier un essai de Renaud Vignes intitulé L'accélération technocapitaliste du temps. Renaud Vignes est maître de conférences associé à l’IUT d’Aix-Marseille Université et conseille par ailleurs de jeunes entreprises innovantes.

     

    Vignes_L'accélération technocapitaliste du temps.jpg

    " La crise que nous vivons heurte une pensée commune que l’on croyait définitive : l’acceptation d’un capitalisme en accélération permanente dont les ultimes outils de régulation sociale seraient la finance alliée à l’algorithmie. Cette situation marque l’échec d’un système hyper-spéculatif d’une complexité qu’un grain de sable invisible a pu le bloquer dans son entier. Dans une civilisation de l’accélération continue les distances ne se mesurent plus en kilomètres mais en durée. La nature même du temps se met à changer et sa maîtrise devient l’apanage d’entreprises qui nous prescrivent de « meilleures » décisions que celles que nous aurions prises nous-mêmes. C’est ainsi que notre destin semble nous échapper. Plus aucune institution n’est capable aujourd’hui d’imaginer des modes de régulation permettant d’éviter les crises toujours plus amples qui se succèdent de plus en plus rapidement. Il est urgent pour les citoyens de reprendre le contrôle de leur vie. "

    Lien permanent Catégories : Livres 0 commentaire Pin it!
  • La majorité c’est vous, les extrémistes ce sont eux !...

    Le Forum de la dissidence, organisé par la Fondation Polémia se tiendra demain, samedi 27 novembre 2021 de 14h à 18h dans un château au cœur des Yvelines (adresse communiquée lors de l'inscription)., sur le thème : La majorité c’est vous, les extrémistes ce sont eux.

    Les réservations peuvent être prises sur le site de la Fondation Polémia.

    Dissidence 2021.jpg

    " Immigration, islamisation, laxisme judiciaire, partialité médiatique, comme vous 60% à 80% des Français n’en veulent plus. En d’autres termes la majorité de la population française pense comme vous !

    Mais les oligarques qui nous gouvernent ont installé la tyrannie des minorités activistes pour vous réduire au silence : racisme anti-blancs, disparition des frontières, incitation des enfants à changer de sexe,  négation de notre culture et de notre histoire, déboulonnage des statues. Ce sont des fous dangereux qui imposent leurs délires par la surveillance de masse, une  propagande permanente, et des interdits professionnels.

    Il est temps de s’insurger. "

    Lien permanent Catégories : Conférences, Infos 0 commentaire Pin it!