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  • Tour d'horizon... (149)

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    Cette semaine, vous pouvez prendre des nouvelles de deux polémistes talentueux et irritants, Guillaume Faye, auteur du Système à tuer les peuples (Copernic, 1981) et de L'archéofuturisme (L'Æncre, 1998), et Alain Soral, auteur de Jusqu'où va-t-on descendre ? (Blanche, 2002) et de Comprendre l'Empire (Blanche, 2011).

    Au sommaire :

    - un entretien avec Guillaume Faye publié sur son site personnel...

    Interview de G. Faye par Grégoire Canlorbe

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    - un entretien avec Alain Soral sur Breizh infos...

    Alain Soral : « Qui veut la guerre civile en France ? »

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  • Feu sur la désinformation... (199)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés, consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours d'Hervé Grandchamp.

    Au sommaire :

    • 1 : Manifestations à Chemnitz : les médias voient des nazis partout
      Chemnitz théâtre de manifestation de nazis ? Chemnitz théâtre de chasses aux immigrés ?. Les médias dénoncent la montée de la xénophobie en Allemagne. Ils bobardent pour cacher l’émotion de la Saxe suite aux meurtres d’allemands par des « migrants ».
    • 2 : Le Zapping d’I-Média 
      Affaire Clément Méric, 5 ans après. L’homicide de Clément Méric revient sur le devant de la scène médiatique avec le procès des accusés. Il est possible de dresser, d’ores et déjà, un constat : Le ton médiatique a changé. Le mot « assassiné » est beaucoup moins présent sous la plume des journalistes. Le terme désormais employé est plus nuancé « homicide involontaire ».
      Remaniement, le tour de manège du gouvernement
      Remaniement ministériel, qui prendra la place de Nicolas Hulot ? l’ancien député européen Cohn-Bendit a été approché par le gouvernement provoquant de très vives réactions sur les réseaux sociaux.

    • 3 : Les tweets de la semaine
      Drépanocytose : Fermeture de l’agence qui en publiait les statistiques. L’agence française pour le dépistage et la prévention des handicaps a fermé ses portes en juillet. L’agence dépistait notamment la drépanocytose, une maladie génétique qui ne concerne quasi exclusivement que les populations extra européennes. Agnès Buzin, ministre des solidarités et de la santé s’est prononcé en faveur d’une systématisation du dépistage.
    • 4 : Portrait Piquant de Christophe Barbier
      Nicolas Faure dresse le portrait piquant de Christophe Barbier, le pape des médias à l’écharpe rouge. Journaliste touche à tous… les médias il est passé par le Point, Europe 1, ou encore l’Express.

                                         

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  • Devenir des barbares ?...

    Les éditions Le Retour aux Sources viennent de publier un nouvel essai de Jack Donovan intitulé Devenir un barbare, avec une préface de Piero San Giorgio. Américain, Jack Donovan se situe, dans son pays, à l'intersection des mouvances survivaliste, masculiniste et anarcho-droitière, mais ne se reconnait pas dans le White Nationalism. Deux de ses livres, La voie virile, et Un ciel sans aigles, sont déjà parus chez le même éditeur en 2014 et 2017.

     

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    « Un attachement à des vertus plus « sympathiques » et plus sentimentales enchaîne beaucoup d'hommes virils à une culture de la faiblesse et les motive même à la défendre, parce qu'ils considèrent à tort son abandon comme l'abandon de tout ce qui est bon et décent dans le monde. Ces hommes qui sont bons en tant qu hommes, et veulent aussi être des hommes « bons », sont exactement de la sorte de ceux dont vous vous voudriez dans votre tribu, mais ils sont exploités, trahis et pris pour des imbéciles par une culture qui méprise leurs force et courage. Tandis que « l'Empire de l'esprit d'esclave » fabrique de plus en plus de faibles qu'ils auront à protéger, leurs protégés sont ingrats, et ils deviennent les martyrs d'un idéal que ne respecte presque personne, sinon ceux qui ont servi dans leurs propres rangs. Leurs qualités tactiques sont employées non à défendre la beauté fragile, mais à répandre partout dans le monde une culture ventripotente du ressentiment, de l'avidité matérielle, de la faiblesse et de la dégénérescence hideuse. Au fur et à mesure que les menaces à la sécurité faibliront, ils seront tour à tour réprimés et leur noblesse sera gâchée à défendre les « droits » des plus pauvres et des plus faibles pour devenir aussi grotesques que possible. Ces cochons de « Bartertown », qui s'ébattent sans honte, avec exubérance, dans leur propre saleté et veulent s'entendre dire qu'ils sont formidables pour ça, sont les consommateurs parfaits pour alimenter les hauts-fourneaux à méthane de l'économie globale... » Avec ce livre, Jack Donovan nous invite à plonger dans les rouages de la masculinité mais aussi à nous organiser pour « accomplir le monde nouveau »...

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  • Le Grand Déversement...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Jure Georges Vujic, cueilli sur Polémia et consacré à la question de la crise migratoire en Europe. Avocat franco-croate, directeur de l’Institut de géopolitique et de recherches stratégiques de Zagreb, Jure Georges Vujic est l'auteur de plusieurs essais, dont Un ailleurs européen (Avatar, 2011) et  Nous n'attendrons plus les barbares - Culture et résistance au XXIème siècle (Kontre Kulture, 2015).

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    Immigration. Le Grand Déversement, révélateur de la crise totale de l’Europe

    Le grand mérite de l’immigration massive à laquelle on assiste sur le continent européen est de remettre les pendules à l’heure et de poser les vraies questions dont les dimensions sont économiques, sociales, mais aussi culturelles et civilisationnelles. En effet, les implications de ce phénomène « total »  peuvent se mesurer sur l’ensemble des sphères culturelles, identitaires, économiques, sociales et démographiques des communautés nationales.

    Une phénomène global

    Il y a plusieurs façon de déchiffrer et d’interpréter le phénomène migratoire, allant de l’eschatologie fantasmagorique en l’assimilant à un péril biblique, soit en le réduisant aux nombreuses grilles d’interprétations scientifiques réductrices de la sociologie, la démographie en passant par l’économie.
    Et pourtant, si l’on dépasse les seuls effets et conséquences visibles, exogènes, il convient de constater que ce grand mouvement migratoire qui est à l’œuvre actuellement en Europe est le résultat d’un long cycle endogène de déstructuration sociale, économique et démographique depuis la fin du XIXe siècle et que l’on peut, pour reprendre la thèses d’Alfred Sauvy, assimiler à un « grand déversement ». Le fameux « grand remplacement » n’étant que l’épiphénomène visible de ce même déversement au niveau global.

    En effet, selon cette théorie, il existe un transfert (ou déversement) de la population active du secteur primaire, l’agriculture, vers le secteur secondaire, l’industrie, puis vers le secteur tertiaire. Sous l’effet des gains de productivité dégagés par le progrès technique (par exemple, la mécanisation agricole ou la diffusion du fordisme dans l’industrie), les volumes produits augmentent, les prix baissent, la demande croît, ce qui permet de créer de nouveaux emplois. Dans les faits, ce mécanisme correspond bien à ce qu’a connu la France depuis le début de la révolution industrielle : la « fin des paysans », avec le départ des ouvriers agricoles vers l’industrie via un exode massif (50 % d’actifs dans l’agriculture en 1900, contre 3 % aujourd’hui), puis le déversement des emplois industriels vers les services à partir du milieu des années 1970, quand s’affirme la tertiarisation de l’économie. Ce mécanisme est à l’œuvre depuis le début de la Révolution industrielle.

    Transfert d’emplois et explosion démographique

    Sauvy montrait à raison que le progrès technique et l’automatisation croissante, par les gains de productivité qu’ils génèrent, entraînent un transfert des emplois de l’agricuture vers l’industrie, puis vers les services.
    A terme, la machine remplacerait l’homme, processus de robotisation-automatisation des emplois qui est à l’œuvre actuellement. Alors que cette phase de déversement de la population active restait jusque là dans les années 80 plus ou moins localisable et endogène, s’apparentant à une immigration socio-professionnelle interne, aujourd’hui avec la globalisation, la mobilité sociale, la dérégulation, et les délocalisations transnationales de l’économie, ce phénomène de déversement s’est lui aussi internationalisé et correspond très bien aujourd’hui au phénomène de disruption néolibérale et d’ubérisation de l’économie, qui pourrait très bien, à long terme, prendre les formes de la quaternisation de l’économie liée à l’externalisation de certains métiers – maintenance, paye, gestion du parc informatique… Le recours à l’immigration (parfois sous la forme  de main d’œuvre qualifiée mais le plus souvent sous la forme de main d’œuvre à bon marché) constituerait alors une des  armes géo-économiques redoutables de ce processus de déversement global.

    Une vague migratoire du tiers-monde vers le Nord

    En effet, ce cycle de déversement à l’heure de la globalisation néolibérale, reste inséparable comme le constate Sauvy, de l’explosion démographique dans les pays du Sud qui dans le sillon des décolonisations en Asie et en Afrique, et aujourd’hui avec la  destruction programmée manu militari de nombreux Etats du Moyen-Orient comme la Syrie, l’Irak, le La Libye etc., généreront la « prolifération des pauvres » du sud vers les pays plus riches et développés de l’hémisphère Nord, qui bien sûr en sont plus en mesure d’absorber de tels vagues migratoires massives.

    En effet, bien sûr la théorie du déversement énoncée par Sauvy applicable dans les pays développés à forte différenciation socio-profesionnelle, n’est pas transposable au tiers-monde où les grands contrastes et la stratification socio-économiques subsistent, mais pourtant les  stratégies géo-constructivistes néo-imperiales des Etats-Unis depuis 1990. avec l’application du « chaos constructif » au Moyen Orient ont favorisé les vagues d’immigration massive vers l’Ouest. Une immigration jeune extra-européenne qui devait compenser les « grands vides » du déversement socio-professionnel  et du vieillissement de population. A terme, cela équivaudrait avec les politiques suicidaires des élites mondialistes de transposer ce chaos constructif (que certains économistes rapprochent de la « déstruction créatrice » de Joseph Schumpeter) sur le continent européen en multipliant les fractures ethno-religieuses et une communautarisation accrue, l’immigration économique prenant la forme d’une immigration de peuplement étant alors au service de la dé-souverainisation nationale.

    La chute démographique, une crise en gestation

    Parallèlement à l’explosion démographique et la croissance de la population jeune du tiers monde, la population européenne de souche stagne et ne cesse de vieillir, de sorte que certains pays européens comme l’Allemagne font appel à l’immigration et à la main d’œuvre étrangère pour combler ce manque démographique.
    En effet, le taux de natalité de la population allemande a toujours été bas depuis les années 1970. Et, en 2015, le nombre de décès s’élevait à 187 625. La persistance de taux de natalité très bas, comme au cours des quatre dernières décennies, prédit de graves problèmes sociaux, économiques et géopolitiques pour l’Allemagne.
    On estime ainsi que d’ici à 2025, l’Allemagne aura besoin de 6 millions de travailleurs étrangers pour pouvoir payer les retraites des baby boomers qui partiront alors à la retraite. Le cas de figure Allemand est applicable aussi aux autres nombreux pays européens demandeurs et capteur et de main d’œuvre étrangère à bon marché, ces populations supplétives de remplacement le plus souvent extra-européennes  étant considérées comme des contingents palliatifs de compensation  face au phénomène de vieillissement de la population autochtone européenne.

    La boucle bouclée

    Ainsi, la boucle serait bouclée, après la déversement et la transfert du primaire (fin du monde paysan) et du secondaire (monde ouvrier-industrialisation) vers le tertiaire (services, précarisation et ubérisation), on assiste actuellement à un déversement démographique qui s’apparente à un transfert de population et de main d’œuvre jeunes du tiers monde vers les pays développés du Nord et de l’Ouest, qui devraient occuper les emplois dont les populations de souche ne veulent pas tout en remédiant au problème social et démographique du vieillissement de population.
    En effet, la plupart des pays européens se trouvent actuellement dans une situation de pénurie de main d’œuvre qualifiée et non qualifiée (bâtiment-construction, agriculture, ouvriers qualifiés, informatique, etc.) et en moyenne, 20 % des entreprises industrielles européennes estiment que leur production est limitée par les difficultés de recrutement de main d’œuvre.

    Le déclin démographique aggrave cette situation comme en Allemagne où le manque de  main d’œuvre généralisé s’aggravera jusqu’à “perdre” 6 millions de travailleurs d’ici 2030.
    L’Europe de l’Est sera également pénalisée par l’émigration d’une partie de ses travailleurs vers les pays de l’Ouest (Allemagne, Royaume-Uni).
    Il faut rappeler que l’ONU parle ouvertement de migrations de remplacement. C’est ainsi que la Division de la population du Département des affaires économiques et sociales a publié un rapport intitulé Migration de remplacement : est-ce une solution pour les populations en déclin et vieillissantes ? Le concept de migration de remplacement correspond à la migration internationale dont un pays aurait besoin pour éviter le déclin et le vieillissement de la population qui résultent des taux bas de fécondité et de mortalité. Dans chaque cas on considère différents scénarios pour la période 1995-2050, en mettant en relief l’impact que différents niveaux d’immigration auraient sur la taille et le vieillissement de la population.

    Le déversement idéologique et ontologique

    Bien sûr, cette phase de déversement déstructurante et l’appel à l’immigration économique massive depuis 1945 – comme le remarque Gérard Noiriel – n’a pu se faire sans un discours de légitimation le plus souvent sansfrontièriste et pro-migrationiste, lequel s’apparentait à un changement de paradigme au sens Khunien du terme (sur le plan économique, paradigmes de l’Etat providence, paradigme de la croissance sans limites, paradigme de la globalisation, paradigme du développement durable etc…), qui coïncidait au passage d’un modèle de société organique traditionnelle correspondant à l’Etat nation souverain au modèle anarchique et atomisée mécaniciste individualiste et multiculturelle de la société de consommation de la mondialisation néolibérale, la croissance sans fin et la toute–puissance du marché. Le déversement progressif et déstructurant de la société et de l’économie s’accompagnait d’un déversement idéologique voire ontologique qui correspondait à l’économicisation de tous les autres sphères de la vie publique et au triomphe de l’inversion des valeurs sociales et culturelles.

    L’immigration : un nouveau Pharmakon ?

    Ce vaste mouvement d’inversion correspondait à l’ascension des forces abstraites et marchandes du marché qui symbolise cet « arrière-monde » nietzschéen au mépris du réel (la terre, le corps, les phénomènes, la culture), l’inversion idéelle sous-entendant un principe de dé-liaison et de dé-réalisation.

    Bien sur, l’idéologie mondialiste pro-migrationniste fondée sur la promotion de la culpabilisation colonial victimaire et le principe de repentance permettra de mieux faire avaler la pilule immigrationniste aux peuples, se dédoublant d’une vision économiciste des populations, les peuples étant interchangeables et réduits à leur seule dimension quantitative.

    Pourtant, nul ne sait si ce processus d’inversion sociétal et de déversement est irrémédiable et irréversible, en témoignent les résistances de l’opinion publique face à l’immigration massive, à l’Est comme à l’Ouest et le refus les pays du groupe de Visegrád de participer à la politique des quotas de l’UE.
    Tout poison étant en même temps un remède, l’immigration massive pourrait à terme jouer le rôle d’un pharmakon, puissant levier de conscientisation et de résistance qui préfigurerait alors l’aube d’un nouveau renversement, d’une réévaluation fondamentale des valeurs, d’une restauration d’un savoir-vivre en commun.

    Toutefois, il faut garder à l’esprit que toute possibilité de rémission, de renaissance, ne peut se fonder sur la seule stigmatisation de boucs émissaires et des seuls symptômes d’une maladie sociale, mais devra s’attaquer aux causes profondes de cette maladie que certains appellent  la « mondialisation heureuse  », qui – tout comme le déclare Bernard Stiegler sous sa forme ultra-libérale et marchande – aura fini par planétariser l’immonde…..

    Jure Georges Vujic (Polémia, 31 août 2018)

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  • A la conquête du Caucase !...

    Les éditions des Syrtes viennent de rééditer au format poche un essai historique d'Eric Hoesli intitulé  A la conquête du Caucase - Epopée géopolitique et guerres d'influence. Journaliste pendant trente ans, puis professeur à l'Université de Genève en tant que spécialiste du monde russe, Eric Hoesli est aussi l'auteur de L'épopée sibérienne (Syrtes, 2018).

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    " Le journaliste et conteur d’exception Eric Hoesli développe l’histoire du Caucase, considéré comme l’une des zones géopolitiques les plus sensibles du globe. Plusieurs conflits (Tchétchénie, Nagorny Karabakh, Abkhazie, Ossétie du Sud) s’y déroulent aujourd’hui. La région est victime de l’affrontement entre plusieurs États (Arménie –Azerbaïdjan, Russie – Géorgie), et de l’intervention de puissances extérieures. Depuis quelques années on y constate aussi l’apparition de courants islamistes fondamentalistes, l’explosion du grand banditisme, et le retour de revendications nationales ou ethniques. La découverte de nouvelles réserves de pétrole et de gaz a en outre aiguisé l’appétit des grandes puissances.

    Rien de tout cela n’est nouveau. Depuis deux siècles, les principales puissances politiques et militaires du monde se livrent dans la région à une guerre d’influence qui a parfois pris des allures discrètes, voire inattendues, mais qui a souvent débouché sur des conflits armés, accompagnés à l’occasion de déportations ou de génocides. L’expansion russe, le « Grand Jeu » (ou la guerre froide que la Grande-Bretagne et l’empire russe se sont livrés durant tout le XIXe siècle), les tentatives de conquête du massif par l’Allemagne ou la bataille politique et économique pour le contrôle du pétrole : autant de processus marquants qui ont eu le Caucase pour décor.

    Le récit de cette fantastique épopée est l’objet de cet ouvrage. L’histoire de la conquête du Caucase donne les clés nécessaires à la compréhension des enjeux et des problèmes que connaît la région aujourd’hui. Le récit vivant est préféré à la synthèse. Même si la rigueur la plus stricte et l’honnêteté intellectuelle ont fondé tout le travail d’une dizaine d’années réalisé à cette occasion. "

     

     

     

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  • Les quartiers hors contrôle : un problème criminel immense...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un entretien avec Xavier Raufer réalisé le 31 août 2018 pour Boulevard Voltaire, et consacré à la publication d'une étude par le Figaro révélant la forte augmentation des agressions dans notre pays...

    Criminologue et auteurs de nombreux essais, Xavier Raufer a récemment publié Les nouveaux dangers planétaires (CNRS, 2012) et Criminologie - La dimension stratégique et géopolitique (Eska, 2014) et a également coordonné l'ouvrage collectif intitulé La première cyber-guerre mondiale ? (Eska, 2015).

     

                                         

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