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  • Vialatte l'Auvergnat et Parvulesco le conjuré...

    Le dix-neuvième numéro de la revue Livr'arbitres , dirigée par Patrick Wagner, est en vente et comporte deux dossiers, l'un consacré à Alexandre Vialatte et l'autre à Jean Parvulesco.

    La revue peut être commandée sur son site :  Livr'arbitre, la revue du pays réel.

     

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    Au sommaire de ce numéro :

    Éditorial

    Plaisirs solittéraires

    Coup de coeur

    Jack Kirby, une écriture du désastre

    La fleur du capital, un grand roman polyphonique

    Nouveautés

    Pathétique franchise

    Noir sur Blanche

    Clio

    Pour eux la guerre n'était pas si froide

    Essai

    Le voyageur immobile

    Portrait

    Jean Parvulesco : avec des textes de Christopher Gérard, Michel Lhomme, Michel Marmin, Michel Mourlet et Alfred Eibel...

    Alexandre Vialatte : avec des textes de Jean-Baptiste Chaumeil, Philippe Barthelet, Jacques Aboucaya, Alfred Eibel, Christian Dedet, François Béal... et Alexandre Vialatte

    Entretiens

           Authier en question

    Chronique

    Entre chic et choc , un dictionnaire détonnant

    Billet d'humeur

    La Bastille incontinente

    Polémique

          «Putain» de Saint Foucault

    Hitler, saison 2

    Il est de retour

    Réflexion

    Le tour du jardin

    Nouvelles

          Plus belle la mort, par Thierry Marignac

    Papiers retrouvés dans le treillis, par Laurent Schang

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  • Entrepreneuriat et justice sociale...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Xavier Eman, cueilli sur son blog A moy que chaut ! et consacré à la question de l'entrepreneuriat comme maillon essentiel d'une économie organique et localiste...

     

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    Entrepreneuriat et justice sociale

    « Il y a une lutte des classes, évidemment, mais c'est ma classe, la classe des riches qui mène la lutte. Et nous sommes en train de gagner. »

    Warren Buffet

     

    Contrairement à ce que se plaisent à répéter les libéraux de tous poils qui constituent la quasi-intégralité de la classe politique contemporaine ( des libéraux-conservateurs (sic) aux post-socialistes gouvernementaux en passant par les libéraux-gaullistes et autres libéraux centristes), la « lutte des classes » n’est aucunement une notion périmée, un concept anachronique tout juste bon à ranger au musée des vieilles idéologies rancies d’avant la merveilleuse « fin de l’histoire ». Dans le contexte de crise globale que nous connaissons, elle est au contraire d’une totale actualité et d’une absolue acuité. Elle a simplement assez largement changé de forme. Elle se joue en effet aujourd’hui à front double, et son curseur interne s’est passablement déplacé. La lutte des classes de 2016 n’est donc évidemment pas la réplique fidèle et exacte de celle du 19e siècle, de Thiers et des maîtres des forges face au socialisme français proudhonien et aux marxisme révolutionnaire, mais elle n’en reste pas moins une réalité centrale et connaît même une intensité des plus importantes aujourd’hui, au moment où, en France, le Medef et ses domestiques gouvernementaux montent à l’assaut du Code du Travail et où, à l’échelle globale, une poignée de milliardaires accaparent une part toujours plus importante des biens et richesses de la planète.

    Double front donc, car aujourd’hui, le travailleur doit faire face à deux ennemis presque aussi redoutables l’un que l’autre (même si le premier est instrumentalisé et cornaqué par le second) :

    1) Le lumpen-prolétariat d’importation étrangère dans le but de casser les modèles sociaux avancés et de faire pression à la baisse sur les salaires et les revendications sociales tout en brisant l’homogénéité minimale nécessaire à la « décence commune ».

    2) Les financiers internationaux et le patronat « hors-sol », dirigeants de multinationales sans autres attaches que le rendement pur et l’accumulation du Capital, actionnaires sans foi ni loi, obsédés par leur intérêt pécuniaire le plus étroit, oligarques sans devoir, se plaçant au-dessus des lois qu’ils édictent puis manipulent.

    Changement de curseur également puisque, aujourd’hui, une bonne part du patronat et de la bourgeoisie se retrouvent du même côté de la barricade (ou en tout cas devraient se trouver…) que les ouvriers et les employés, partageant d’indéniables intérêts communs et faisant face aux mêmes ennemis (dérégulation, concurrence sauvage, dumping social, abus de situations de monopole…). Il est ainsi évident que les artisans, tout comme les patrons de TPE ou PME/PMI, partagent beaucoup plus de préoccupations et d’aspirations, de difficultés aussi, avec leurs employés, leurs ouvriers, mais aussi les travailleurs précaires ou les chômeurs de leur ville, de leur région, qu’avec des PDG du CAC 40 ou des traders internationaux pour qui ils ne sont que des variables d’ajustement au sein de vastes plans de rémunération des actionnaires.

    La lutte des classes, ce n’est donc plus « le patron contre l’ouvrier » mais le « travailleur contre le parasite (du haut comme du bas) », le « créateur contre l’usurier », « l’artisan contre le banquier », « l’entrepreneur contre l’actionnaire », « le paysan contre Monsanto »… Ce sont les classes laborieuses, du prolétariat jusqu’à la moyenne bourgeoisie, classes sédentaires et enracinées, contre les nomades de l’hyper-classe mondialisée et le lumpen-prolétariat apatride.

    C’est pourquoi, s’il est impératif de combattre l’hyper-finance et ses chiens de garde du Medef, s’il est vital de réduire les inégalités à une proportion décente, justifiée et acceptable par chacun, il serait vain, et même mortifère, de sombrer dans un « ouvriérisme » angélique ou une « chasse au riche » (qu’il faudrait déjà définir…) dans le cadre d’une vision des rapports sociaux et économiques pour le coup totalement désuète et improductive, une vision sclérosée et impuissante dans laquelle finissent de s’enterrer des syndicats de prébendiers et de professionnels de la connivence.

    Ainsi, s’il est urgent et indispensable de taxer les transactions financières internationales, de plafonner les primes et rémunérations indécentes et autres « parachutes dorés » de certains hauts-dirigeants, de criminaliser les « patrons-voyous » (délocalisation sauvage, emploi de main d’œuvre clandestine…) et de mettre en place une politique d’augmentation salariale, il l’est tout autant de totalement refonder le RSI, d’alléger la fiscalité des PME/PMI ainsi que les arcanes administratives entravant la création d’entreprise, de revaloriser la figure de l’entrepreneur comme maillon fondamental de la communauté, d’assurer un protectionnisme économique européen et la défense de nos savoir-faire, de nos labels, de nos techniques et de nos patrimoines. Bref, il convient de promouvoir une économie organique et localiste, axée sur la proximité et l’implication de tous ses acteurs, la participation et la juste rémunération de chacun, sous le contrôle d’un Etat fort, garant et arbitre, mais laissant s’appliquer la plus complète subsidiarité et le respect de l’initiative privée tant qu’elle ne contrevient pas à l’intérêt général. Viendra alors, peut-être, le temps de la paix des classes.

    Xavier Eman (A moy que chault, 10 mars 2016)

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  • Les snipers de la semaine... (123)

    Sniper coréen.jpg

    Au sommaire cette semaine :

    - sur Causeur, la professeur de droit constitutionnel Anne-Marie Le Pourhiet descend en flamme l'hystérie féministe autour de l'affaire Catherine Sauvage...

    Mortifère féminisme

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    - sur Les Observateurs, Bruno Bertez, spécialiste des questions économiques et financières, dézingue les tentatives des affidés du système pour bâillonner le peuple et les tribuns qu'il se choisit...

    Réflexion sur les attaques mondiales contre Trump

    Trump_presse.jpg

     

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  • Feu sur la désinformation... (81)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés, consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours d'Hervé.

    Au sommaire :

    • 1 : Bobard calculette sur les migrants : David Doukhan, numéro 2 du service politique d’Europe 1, affirme, sans rire, que la France n’a pas accueilli plus de 300 « migrants ».
    • 2 : Le zapping d’I-Média.

    • 3 : Journée de propagande : le 08 mars, les médias fêtaient la journée des droits de la femme. Le moment pour les féministes pour faire passer leurs différents messages idéologiques. I-Média décrypte.
    • 4 : Tweets d’I-Média.
    • 5 : Vendredi 02 mars Philippot annonce que le Front national renonce à son traditionnel défilé pour Jeanne d’Arc. C’est une victoire des médias après des campagnes de dénigrement.
    • 6 : Le bobard de la semaine.

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  • Le parfum du temps...

    Les éditions Circée viennent de publier un essai de Byung-Chul Han intitulé Le Parfum du temps - Essai philosophique sur l'art de s'attarder sur les choses. Originaire de Corée, admirateur de l’œuvre de Heidegger, Byung-Chul Han enseigne la philosophie à Berlin. Plusieurs de ses ouvrages ont déjà été traduits en français dont Dans la nuée - Réflexions sur le numérique (Acte sud, 2015).

     

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    " La crise de notre époque est notamment due à l’absolutisation de la vita activa. Celle-ci nous conduit à un impératif de travail qui dégrade l’être humain au rang d’animal laborans. L’hyperkinésie de notre vie quotidienne retire à la vie humaine toute faculté de contemplation, toute aptitude à demeurer, à s’attarder sur les choses. Elle conduit à la perte du monde et du temps. Les prétendues stratégies déployées pour ralentir le temps ne dissipent pas la crise. Elles cachent même le vrai problème. Il est nécessaire de revitaliser la vita contemplativa. On ne sortira de cette crise que lorsque la vita activa aura intégré dans sa krisis la vita contemplativa. "

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  • La revue de presse d'un esprit libre... (5)

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    La revue de presse de Pierre Bérard

    Au sommaire :

    • Nouvelle livraison de la revue trimestrielle Krisis. Cette fois-ci un numéro consacré à l'Amérique. Ci-joint le sommaire.
     
     
    • À propos de ce numéro de Krisis, signalons que son rédacteur en chef Thibault Isabel a publié le 8 mars un entretien entièrement  consacré à l'Amérique sur le site de Rébellion.  
     
     
    • Vidéo de la conférence donnée à Lille en janvier dernier sur le thème de l'identité par Thibault Isabel et Alain de Benoist.
     
     
    • Dans les Chronique de la Vieille Europe, sur Radio Courtoisie, Patrick Péhèle recevait le linguiste Gérard Conio pour son livre Théologie de la provocation, causes et enjeux  préfacé par Michel Onfray. Slavophone, Conio développe une pensée de l'Est qui s'affirme comme telle et revient sur les catastrophes qui ont secoué le cours du XX siècle et ont nourri le nihilisme européen dont le socialisme effectivement réalisé interprété ici à travers les concepts chrétiens. Très riche entretien.
     
     
    • Pour Hervé Juvin le sacre de l'individu désirant sans aucune limitation a fait sortir la modernité de ses gonds. Il plaide ici pour une redécouverte de la communauté contre l'individu sans racine.
     
     
    • Deux contributions d'Alain de Benoist sur Boulevard Voltaire.
     
     
     
    • Jean-Pierre Le Goff était l'invité d'Élisabeth Quin sur Arte pour son émission 28 minutes. Dans ce temple de la bobocratie il fait montre d'un ton pour le moins décalé mais n'a droit malheureusement qu'aux 12 premières minutes. Son discours est dans ce lieu visiblement non gratta.
     
     
    • Le 7 mars ce même Jean-Pierre Le Goff était l'invité de l'émission d'Olivier de Lagarde Un monde d'idées sur France-info. Il y fait le procès d'une Europe confite en droit-de-l'hommisme, sortie de l'histoire et persuadée que la compréhension des lois du marché est suffisante pour assurer une bonne "gouvernance". En bref d'après lui l'Europe angélique se détruit dans la croyance religieuse au progrès, dans la repentance et dans la dénégation d'elle-même.
     
     
    • Michel Onfray contre les totems. Un long article du Point sur ce magnifique tribun de la plèbe opposé par toutes ses fibres à la "gauche libérale" qui n'est selon lui que de papier mâché. Il célèbre par ailleurs "l'excellent Jean-Pierre Le Goff". On lui pardonnera aisément quelques glissades innocentes sur l'islam et son interprétation de la France de Vichy qui n'est pas de notre goût mais qui n'était sûrement pas "libérale".
     
    • Michèle Tribalat, démographe honnête, plaide pour une réhabilitation des statistiques ethniques contre ceux qui se refusent à voir ce qu'ils voient.
    http://www.lefigaro.fr/vox/societe/2016/02/26/31003-20160226ARTFIG00378-michele-tribalat-les-statistiques-etniques-sont-indispensables-a-la-connaissance.php
     
    • Affaire Kamel Daoud, l'Algérien courageux pour qui les faits sont d'autant plus têtus qu'ils sont avérés et qui bien entendu se heurte à une misérable escouade de bonnes consciences pétitionnaires. Le point de vue de Laurent Bouvet, suivi de celui du premier ministre Manuel Valls retranscrit par Marc Cohen de Causeur mais aussi  ceux de Brice Couturier de France culture et de Jean-Paul Brighelli.
     
     
     
     
     
    • Outre ce concert d'éloge, on peut lire sur Boulevard Voltaire cette mise au point de Caroline Artus qui rompt avec le consensus national-républicain en pointant les approximations pour le moins aventurées de Kamel Daoud.
     
     
    • Maxime Chaix sur la Syrie 
     
     
    • Maxime Chaix sur BHL et la Libye.
     
     
    • Nikola Mirkovic fait le point sur l'élection de Hahim Thaci à la tête du Kosovo, entité mafieuse et protectorat de l'OTAN.
     
     
    • Discours de Tomislav Sunic prononcé le 20 février lors d'une manifestation des Identitaires autrichiens à Klagenfurt à l'encontre de l'immigration de masse issue d'Afrique et du Proche-Orient. Se prévalant de sa connaissance des sociétés multiculturelles (bric à brac de l'ex-Yougoslavie, États-Unis), l'orateur pronostique une fin de l'Europe plongée dans le chaos ethnique. 
     
     
    • L'Europe prisonnière de la russophobie ukrainienne et atlantiste sacrifie ses industries agroalimentaires au profit de la bonne pensée.
     
     
    • Mimant le célèbre slogan stalinien Georges Feltin-Tracol se réclame de Serge Latouche tout en critiquant son irénisme au nom du politique selon Julien Freund. Si ce pseudo irénisme se ramène à la volonté de ne pas voir se ré-éditer les hiérarchies figées de l'Ancien Régime, nous le faisons volontiers nôtre. Mais il est vrai que ce qui demeure béant dans la décroissance, c'est en effet son occultation de l'idée de puissance. Or dans le monde tel qu'il est cette éclipse utopique risque bien de s'avérer mortelle. Article de Feltin-Tracol puis référence au dernier numéro (mars) de la Décroissance qui marque bien les évolutions positives de ce courant d'idées vers un anti-libéralisme accompli en se faisant l'écho des analyses de Jean-Claude Michéa.
     
     
     
    • Bel hommage tout de retenue et de sobriété à Emmanuel Ratier fondateur, entre mille autres choses, de la lettre d'information et d'investigation Faits & Documents. Cérémonie publique (850 personnes) enregistrée par télé Libertés le 19 septembre 2015. Parmi les intervenants, Fabrice Lesade, maitre de cérémonie, Arnaud Soyez, Anne Brassié, Henry de Lesquen, Marc Laudelout, Éric Delcroix, Francis Cousin, Patrick Péhèle, Jean-Yves Le Gallou. La fille ainée d'Emmanuel conclue magnifiquement la séance.
     
     
    • Michel Drac dans une conférence  prononcée à Dijon réfléchit sur la France face au mondialisme. Seules les puissances dominantes d'une époque donnée ont intérêt à jouer l'unification mondiale et donc à agiter l'idéologie mondialiste qui tend à dénier aux échelons inférieurs (les nations) un rôle quelconque dans l'organisation du monde.
     
     
    • Au coeur d'une tempête d'apparence littéraire mais de facture réellement politique, Richard Millet  est définitivement viré du comité de lecture de Gallimard pour cause de trop grande indépendance d'esprit.
     
    • Dans Causeur Jean-Paul Brighelli prend habilement la défense de Richard Millet et tance le réflexe pavlovien et l'esprit de meute de ceux qui s'érigent en censeurs et cultivent l'esprit stalinien des listes de proscrits.
     
     
    • Dans Marianne, un article révélateur sur la manière idyllique  dont les manuels scolaires traitent de l'immigration. Quand la dénégation du réel relève du bourrage de crâne et de l'ahurissement car l'immigration est présentée comme un phénomène modeste, stable, régulé, inévitable, nécessaire et finalement bénéfique pour tous par le brassage des cultures qu'elle induit.
     
     
    • Les "antifa" du Forez dument corrigés par les étudiants qui veulent entendre ce que l'africaniste Bernard a à leur dire. La soirée se termine en une réjouissante chasse au dahut des  gauchistes du capital.
     
     
    • Lors du récent tribunal dinatoire du CRIF son président, Roger Cukierman, s'est laissé aller à une étrange déclaration de nature "essentialiste".  Il a en effet  prononcé ces fortes paroles : " Nous sommes l'un des très rares groupes humains qui ait réussi à préserver sa singularité à travers les siècles". Assistaient à ce dîner de cons nombre de membres du gouvernement et de l'opposition; aucun d'entre eux n'a, semble-t-il, émis de protestation pour cette injure infligée au dogme très en vogue parmi eux d'une nécessaire hybridation des cultures. Des esprit mal embouchés pourraient penser que le métissage n'est pas fait pour tout un chacun et que certain par une sorte de décret de la divine providence aurait le devoir d'y échapper.
    À l'opposé si l'on ose dire, comment ces mêmes politiques jugeraient-ils ce texte s'il était soumis à leur lecture, paru d'abord chez Polémia et repris par Matapo-infos ?
     
     
    • Ré-édition des mémoire d'un magicien de Hjalmar Schacht chez Kontre Kulture.
     
     
    • Colloque de l'Institut Iliade le 9 avril 2016. Titre et programme des interventions.
     
     
    • Présentation de l'événement (vidéo)
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