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  • Immigration : la catastrophe...

    Les éditions Via Romana viennent de publier un nouvel essai de Jean-Yves Le Gallou intitulé Immigration : la catastrophe - Que faire ? . Ancien député européen, président de la Fondation Polémia, Jean-Yves Le Gallou travaille sur l'immigration depuis le début des années 80. Également spécialiste de la question de la désinformation et praticien de la ré-iformation, il a récemment publié La tyrannie médiatique (Via Romana, 2013).

     

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    " Du Bataclan à Cologne, de la mer Égée à la Scandinavie : chacun le voit, l’immigration est une catastrophe pour la France et l’Europe. L’invasion les menace d’anéantissement.

    Ses causes ? L’explosion démographique du Sud, les guerres, mais pas seulement.

    Après quarante ans de déni organisé, la réalité s’impose. Même Hollande et Merkel semblent commencer à prendre conscience des difficultés. L’Europe est en train de mourir d’un projet idéologique : le mondialisme immigrationniste marchand, le « MIM », facilité par la trahison de ses élites politiques, économiques, judiciaires, médiatiques. Cette trahison explique quarante ans de mensonges, d’omerta, d’impuissance à traiter le problème malgré les promesses.

    Énarque, inspecteur général de l’administration, ancien élu régional et européen, Jean-Yves Le Gallou développe à partir de sources inédites un constat accablant aussi documenté que sans concession. Mais non sans espoir : notre patrie, notre continent, notre civilisation peuvent encore se réveiller. À condition de changer radicalement de modèle.

    Ici, c’est de courage qu’il va falloir faire preuve.

    Le temps presse ! "

     

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  • Serons-nous victimes des victimes ?...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue d'Hervé Juvin, cueilli sur Breizh infos et consacré à la crise des migrants. Économiste et écrivain, Hervé Juvin a récemment publié Le Mur de l'Ouest n'est pas tombé (Pierre-Guillaume de Roux, 2015) et est également l'auteur de deux essais majeurs, Le renversement du monde (Gallimard, 2010) et La grande séparation (Gallimard, 2013).

     

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    Serons-nous victimes des victimes ?

    Le statut de victime éblouit tous ceux qui lui sont confrontés. Et il abolit toute intelligence politique. Qui sont-ils, d’où viennent-ils, pourquoi viennent-ils, que viennent-ils chercher ? Le statut libéralement attribué de victime interdit de poser ces questions, il interdit même d’y penser. Devant la « jungle » de Calais, devant la vague inédite de migration qui de part en part, touche toute l’Europe, sous le couvert de la victimisation des arrivants et de la culpabilisation symétrique des indigènes, une étrange sidération règne, qui interdit les questions gênantes et qui prépare les pires heures à une Europe incapable de se définir, de se choisir, et de se défendre.

    Aucun doute ; un grand nombre des migrants sont des victimes. Nos victimes. Victimes de l’aventurisme américain aux Proche et Moyen Orient. Victimes de l’entreprise de destruction du droit international et de la négation de la souveraineté des États que l’unilatéralisme occidental a engagée, de Bagdad à Damas et Benghazi à Kaboul. Ils ne le sont pas tous. Nos alliés russes n’ont pas tort de nous alerter sur le nombre de candidats au jihad européen qui se glissent dans les cargaisons de migrants. Les policiers, quand ils peuvent parler, n’ont pas tort de rappeler l’énormité des profits amassés par le crime organisé, en particulier par la mafia turque, qui contrôle les embarquements et fait payer des prix exorbitants aux candidats au passage. Le trafic d’êtres humains est devenu une industrie, les idiots utiles qui aident les migrants et en attirent sans cesse davantage y pensent-ils ? Et ceux qui soulignent que les réfugiés économiques, seulement en quête d’accès aux systèmes sociaux les plus aveugles du monde, et aussi les plus généreux, sont plus nombreux que les réfugiés politiques, n’ont pas tort de dénoncer les associations d’aide qui prospèrent sur la misère des migrants, et sont les complices involontaires du crime organisé, en augmentant les chances de survie des migrants – là où les chances de survivre sont nulles, il n’y a pas de migrants, et pas de trafiquants.

    Aucun doute non plus ; les populations d’origine, les indigènes, sont les victimes des victimes. D’abord, par la culpabilisation qui leur est assénée ; être ce qu’ils sont, venir d’où ils viennent et vouloir demeurer, serait déjà un crime. Dans le conflit millénaire entre nomades et sédentaires, les prédateurs modernes ont choisi leur camp, et la presse, les associations, les élus aussi, hélas, leur emboîtent le pas ; seuls, les nomades ont droit de cité, il ne reste au « petit blanc » de son sol, de chez lui et des siens, qu’à applaudir à sa propre disparition. Sinon, gare, la police veille sur les criminels qui prétendraient défendre leur frontière, leur identité, et leur famille ! Pillés, menacés, agressés, volés, chez eux, il faut encore qu’ils soient contents ! Il faut qu’ils applaudissent aux mensonges historiques qui affirment que la France, comme la Bretagne, ont toujours été terres de migrations, qui criminalisent la notion d’enracinement, comme si quelques siècles de présence sur un territoire ne faisaient pas des indigènes, avec quelques droits de se maintenir et de se défendre ! Comme si le sang versé, sur les champs de bataille, dans la mine ou les champs, ne faisait pas d’Italiens, de Polonais, de bien d’autres, les Français que les papiers ne font pas !

    Aussi, par l’étau économique et social qui se resserre. On a déjà entendu une banque européenne suggérer l’idée brillante et surtout humaniste, que, pour faciliter l’accueil des migrants, mieux vaudrait supprimer pour eux le salaire minimum ! On entend la petite musique des assureurs qui suggèrent que, pour faire face à la ruine future de systèmes de solidarité fondés sur un haut degré de mutualisation, donc de citoyenneté,  il faut hâter la privatisation des systèmes sociaux ! Et le piège devient clair ; détruire l’unité interne des Nations européennes, les exposer à un flux de migrants incontrôlé et voulu incontrôlable, c’est assurer très vite l’explosion des cadres sociaux et du droit du travail, c’est engager bientôt l’Europe sur la voie de la privatisation complète de la santé, de l’assurance, de la retraite – bref ; il y en a pour qui l’afflux de migrants est une bonne affaire en perspective, le pire est qu’ils trouvent des collaborateurs honnêtes, généreux et naïfs pour les aider dans cette voie !

    Ensuite, par l’incapacité de l’Europe à se définir. La trahison de Mme Merkel, qui renouvelle en l’inversant la rhétorique nazie – les nazis inventaient une identité allemande idéalisée en diabolisant l’Autre, Mme Merkel diabolise l’identité allemande en inventant un Autre idéalisé – n’est pas un fait isolé, et il faut rendre hommage à Manuel Valls pour l’avoir dit haut et fort dans son discours de Munich, en évoquant la naïveté européenne et la trahison allemande ; si l’Union européenne nie la singularité européenne, elle n’est que l’outil de destruction de l’Europe. Et l’Allemagne, pour la troisième fois, aura joué le rôle déterminant dans le suicide européen en cours ; 1914, 1933, faut-il ajouter 2015 ? Le problème est que cette négation fait de l’Europe une entité inconsistante. Qui ne sait se définir ne peut se préférer, ni se défendre. Nous, Français, comme tant d’autres Européens, de la Pologne à la Hongrie et du Danemark à l’Italie, sommes victimes d’une entreprise de désarmement mental et politique qui, en effet, nous promet à toutes les invasions, à toutes les contaminations, comme tout organisme vivant qui ne sait prendre de l’extérieur ce qui le nourrit, rejeter à l’extérieur ce qui le menace.

    Le problème est enfin que les élites, ou ceux qui se prétendent tels, sont désarmées devant une situation que rien ne les prépare à affronter. D’un côté, un droit-de-l’hommisme qui produit déjà les pires catastrophes politiques et humanitaires, mais continue de saturer les esprits ; de l’autre, un économisme partout présent, qui rêve sans le dire des marchés d’esclaves de jadis – il y a des hommes au sud, il y a du travail au nord et pas d’enfants, pourquoi ne pas importer les premiers au nord ? Le mépris pour les cultures, les religions, les origines, les identités, qui insulte la personne humaine, ne frappe personne ; l’homme moderne se réduit à sa fiche de salaire et sa carte de crédit, vous ne le saviez pas ? Le tout, enrobé dans une préférence pieuse pour les migrants et habillé d’une obsession anti-raciste qui est à peu près tout ce qui reste à une gauche « socialiste » qui a tout trahi, tout renié, tout abandonné, et d’abord le peuple français, pour croire qu’elle existe encore. Comment nos dirigeants pourraient-ils agir, puisqu’ils ne peuvent même pas nommer ce qui se passe ? Comment pourraient-ils défendre et protéger, puisqu’ils nous interdisent et s’interdisent eux-mêmes de désigner ce qui se passe, et d’interroger des mots comme invasion, comme agression, comme submersion, comme colonisation inversée ? Quand il est impossible de nommer, il est impossible de penser. Nous y sommes. Ils sont pris à leur propre piège. Et nous y sommes pour longtemps, tant l’Union européenne est prête à la soumission, tant ses petits commis agents américains ou ses grands apôtres, de Jurgen Habermas qui croit qu’on fait un peuple avec une Constitution, au général américain Wesley Clark répétant que son job est « d’en finir avec l’unité des Nations européennes », jusqu’au pape François qui, au mépris de cette écologie humaine à laquelle se référait si bien l’encyclique « Laudate si », considère que l’Europe est un continent fini, que l’avenir de l’Eglise est en Afrique, en Amérique latine et en Asie, et qui en tire les conséquences en encourageant la colonisation de l’Europe, sont les promoteurs du désarmement identitaire, politique et moral des peuples européens. 

    Les moyens et les solutions sont évidentes. Les bateaux, les canots pneumatiques sont rangés sur les plages ou à l’amarre. Ils peuvent être coulés. Les embarcations repérées en mer peuvent être reconduites à leur point de départ. Les réseaux qui exploitent les migrants comme le faisaient leurs ancêtres, trafiquants d’esclaves, peuvent être frappés et éliminés ; s’ils persistent, c’est qu’ils bénéficient du soutien d’États, c’est qu’ils sont les moyens de chantages géopolitiques qu’il faut tirer au clair. Car les pays qui se livrent complaisamment au trafic des migrants, l’utilisent et le mobilisent comme arme politique, peuvent et doivent être sanctionnés. La Turquie doit payer pour l’accueil en Europe des migrants qu’elle a rançonnés et pillés avant de les faire partir.  Elle doit payer pour son aide aux mouvements terroristes actifs en Syrie, pour ses trafics pétroliers avec l’État islamique, et pour la guerre qu’elle conduit contre l’État kurde. Evidemment, toute perspective d’une entrée de la Turquie en Europe doit être fermée, le contrôle des visas turcs renforcés. Et que fait la Turquie, puissance terroriste et subversive utilisant le chantage aux migrants contre l’Union européenne, dans une OTAN supposée être le moyen de la sécurité européenne ?  Protégez nous de ces alliés qui nous veulent tant de bien, nous nous occuperons de nos ennemis.

    Hervé Juvin (Breizh Infos, 29 février 2016)

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  • Irlande rebelle !...

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    La Nouvelle Revue d'Histoire est en kiosque (n° 83, mars - avril 2016).

    Le dossier central est consacré à l'Irlande. On peut y lire, notamment,  des articles d'Anne Bernet ("L'île des saints et des sages" ; "Chanter pour se souvenir"), d'Emma Demeester ("L'Irlande soumise Xe-XVIIIe siècle"), de Philippe Parroy ("La Révolution française au secours de l'Irlande"), de Philippe Conrad ("De l'éveil national au Homme Rule" ; "Michael Collins"), de Philippe Maxence ("La bataille culturelle" ; "1916 : les Pâques de Dublin"), de Jean Kappel ("La guerre civile" ; "L'Irlande d'Eamon de Valera" ; "Trente ans de guerre pour l'Ulster") et de Philippe d'Hugues ("L'Irlande au cinéma"), ainsi qu'un entretien avec Pierre Joannon ("l'Irlande. Un peuple, une histoire").

    Hors dossier, on pourra lire, en particulier, deux entretiens, l'un avec Adeline Rucquoi ("Sur le chemin de Compostelle") et l'autre avec Manfred Rauchensteiner ("1945-1955 : la restauration de l'Autriche"), ainsi que des articles d'Yves Nantillé ("François Ier et Soliman le Magnifique, une alliance «impie»"), du général Henry-Jean Fournier ("Qui était Driant, le héros de Verdun ?"), d'Henri-Christian Giraud ("Du nouveau à propos de Jean Moulin"), de Philippe d'Hugues ("Lucien Rebatet") et d'Emma Demeester ("Bertrand du Guesclin, un homme de guerre au service du roi de France"), ou encore les chroniques de Péroncel-Hugoz et de Philippe d'Hugues....

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  • La revue de presse d'un esprit libre... (4)

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    La revue de presse de Pierre Bérard

    Au sommaire :

    • Reportage sur le peuple des Kalashs à l'extrême nord-ouest du Pakistan. Contrairement à ce qu'il est dit il ne s'agit pas du "dernier peuple indo-aryen" du Pakistan. Fussent-ils convertis à l'islam, ils ne changent pas de langue pour autant et demeurent des membres de la grande famille indo-européenne comme la plupart des Pakistanais et des Afghans qui les entourent.
     
     
    • Entretien particulièrement captivant de Jean-Claude Michéa avec Le Comptoir. En deux parties.
     
     
     
    • L'émission "Bistro libertés" sur Télé Libertés recevait récemment Ivan Blot pour un aimable babillage où toutes les "droites" caquettent entre elles sans qu'il en sorte grand chose.
     
     
    • Le Monde (du Bien) a consacré une interminable chronique pour dénoncer la parution sur le service publique de l'émission Un Oeil sur la Planète consacrée à la Syrie et diffusée le 18 février (voir notre précédente revue de presse). En effet le camp occidentalo-progressiste largement majoritaire dans nos médias s'est senti mis en cause, à juste titre, par ce documentaire que nous avons pour notre part trouvé relativement "objectif". Pratiquant une tolérance à sens unique les atlantistes n'admettent guère que l'on s'attaque à leurs propres préjugés et disposent d'une armada d'hommes de presse tout prêts à  les défendre quand ils sont mis en cause comme le montre la presse mainstream qui a unanimement réagi à cette émission (par exemple L'Express). Une plainte a même été déposée auprès de Madame Dephine Ernotte, PDG de France Télévisions, accusant le documentaire de s'alimenter "aux thèses les plus farfelues des médias conspirationnistes". Le grand mot est lâché. Il signifie généralement que les plaignants n'ont pas d'autres arguments à faire valoir. 
     
     
    • La politique arabe de la France se réduit à une inféodation à l'Arabie saoudite et à la guerre que mène celle-ci contre les chiites. Une impasse selon le géostratège Hadrien Desuin,.
     
     
    • Pour Stephen Kinzer, ex-envoyé spécial du New York Times en Syrie, par leur narration les médias étasuniens induisent en erreur l'opinion occidentale sur ce qui se passe au Proche-Orient et plus particulièrement dans la guerre civile syrienne.
     
     
    • Une France emportée depuis la Révolution par l'obsession de l'égalité, la dictature de la Raison et la dynamique du progrès permanent. C'est ainsi que Slobodan Despot réfléchit sur ce qui nous advient.
     
     
    • Une savoureuse chronique de Slobodan Despot parue originellement sur Antipresse n° 13, ici reprise sur Causeur. On ne plaisante pas en Suisse avec le droit d'asile.
     
     
    • Dans la rubrique "Le désinvité d'Antipresse" Slobodan Despot livre une excellente interview de Caroline Galacteros, collaboratrice du Point. Celle-ci évoque avec beaucoup de lucidité les enjeux stratégique de l'année 2016 et condamne l'aveuglement de l'Europe poussée à agir contre ses intérêts pour le seul avantage des États Unis, puissance certes hégémonique mais déclinante. Elle analyse la crise des migrants et l'éclatement de l'Union européenne qu'elle entraine comme le clou le plus récent enfoncé dans le cercueil des utopies transfrontièristes européennes. Elle pronostique la fin de l'occidentalisme comme modèle dominant.
     
     
    • Dans une conférence organisée par le groupe Europe des Nations et des Libertés du parlement européen, dont le leadership est assuré par le Front national, Xavier Moreau (à partir de la 22 minute) explique pourquoi la France doit se retirer de l'OTAN.
     
     
    • Dans une longue émission de Meta TV Michel Drac pose très raisonnablement les grands axes de la géopolitique européenne et tente quelques perspectives intéressantes sur ce que pourrait faire un éventuel pouvoir de rupture. Il insiste beaucoup sur la non viabilité de l'euro dans son architecture actuelle. Se contenter de la première et de la troisième partie, la seconde se résumant à un bavardage où l'argumentation se perd dans les sables mouvants.
     
     
    • Périco Légasse fait le point sur la crise systémique que traverse l'agriculture française et la détresse du monde agricole. Au premier rang des coupables, la FNSEA qui depuis des décennies accule les paysans à une industrialisation sans limite de leurs exploitations et les grandes enseignes commerciales vendant à prix cassés du lait en poudre néo-zélandais, des fruits et légumes saturés de pesticides, des viandes infâmes, des produits cuisinés nocifs que l'auteur n'hésite pas à appeler de la "merde".
     
     
    • Nicolas Dupont-Aignan trace le portrait des fossoyeurs de l'agriculture française. Malheureusement, en accusant à juste titre les politiques, sa charge rate une partie non négligeable de sa cible : pourquoi les professions agro-pastorales ont elles été poussées depuis 50 ans sous prétexte de maximisation des profits vers une agro-chimie toxique qui a empoisonné durablement les sols, l'eau, l'air et les organismes pour un résultat final qui s'avère finalement non rentable sous la pression de l'Europe et de la mondialisation ? En cette matière comme en d'autres si l'on est pas protégé on sera toujours dépassés par de plus escrocs que soi au nom, bien entendu, de la "concurrence libre et nos faussée".
     
     
    • Parution chez Via Romana d'un essai de Jean-Yves Le Gallou Immigration. La catastrophe. Que faire.
     
     
     
    • I-Média du 19 février. À partir de la 30 ème minute BHL,  squatter des écrans, voit de l'antisémitisme partout. Un imposteur à la charnière de puissants réseaux qui lui assurent une rente de notabilité.
     
     
    • I-Média du 26 février essentiellement centré autour du personnage de Bernard Arnaud sur un thème de toujours, "celui qui paye l'orchestre choisit la musique". À propos notamment du film Merci patron de François Ruffin.
     
     
    • François Ruffin, toujours, taillant un costume (Kenzo, bien sûr) à Bernard Arnaud. Cette fois ci vu par l'Observatoire des Journalistes et de l'Information Médiatique (OJIM).
     
     
    • L'OJIM publie une fiche exhaustive sur Raphaël Glucksmann, néo-conservateur à l'américaine et partisan déterminé de la "société ouverte" sans limite.
     
     
    • Les islamologues Gilles Kepel (orientaliste sérieux) et Raphaël Liogier (sociologue angélique ne parlant pas l'arabe...) étaient les invités d'Alain Finkielkraut à l'émission Répliques de France culture du 20 février et répondaient à la question : "Quelle est l'identité de notre ennemi et la nature de la guerre qu'il nous livre ?".
     
     
    • Dans un superbe article Hervé Juvin met les points sur les i. Sur Breizh-Info il publie : "Crise des migrants. Serons-nous victimes des victimes", une vigoureuse alarme annonçant la fin de nos systèmes sociaux de solidarité fondés sur un haut degré de mutualisation et ployant sous le nombre des "réfugiés". Les idiots utiles qui se laissent berner au nom de leurs scrupules humanitaires par cette véritable entreprise de destruction ont une cervelle de colibri.
     
     
    • Dans nos pays, seuls les migrants sont "souverains" car ils tirent de leur fragilité même un pouvoir que nul n'est moralement autorisé à contester. Une chronique du magistrat Philippe Bilger.
     
     
    • Dans un article du Figaro Vox le juriste Aléxis Théas traite à propos de l'immigration des dangers d'une loi irresponsable votée en catimini le 18 février. Une loi bien entendu largement favorable au parti de l'Autre et paralysante pour l'autorité d'un État qui se flatte de maitriser l'immigration.
     
     
    • Malgré les révélations de Snowden, de Udo Ulfkotte etc, combien de gens demeurent persuadés que les États-Unis protègent l'Europe ?
     
     
    • Hajnalka Vincze, Au-delà de la question du Brexit.
     
     
    • Un bon article de Coralie Delaume sur le Brexit: pour cette spécialiste du droit communautaire européen les Britanniques, résolus à défendre bec et ongles leurs intérêts nationaux, étonnent de ce coté ci de la Manche où ce genre de pratique semble tombé en désuétude. La présence du Royaume Uni dans les institutions européennes n'a servi qu'un seul objectif : y accélérer le dérégulation de toute chose pour le plus grand bénéfice de la City. Ce qui fut fait à partir de l'Acte unique.
     
     
    • Le sommaire intéressant de la dernière livraison du trimestriel Réfléchir & Agir.
     
     
    • KontreKulture présente le nouveau livre de Lucien Cerise. Le neuro-piratage qui permet à l'oligarchie de s'emparer de la psyché des peuples est au cœur de l'analyse développée par l'ouvrage. 
     
     
    • La revue Rébellion interroge Alain de Benoist sur Le Traité transatlantique.
     
     
    • Jean-Frédéric Poisson, président du Parti Chrétien Démocrate, exprime devant les cameras de TV Libertés son opposition au TAFTA, puis évoque le conflit syrien. Pour lui la diplomatie française n'a plus la culture qu'il faudrait pour comprendre les problèmes de Proche-Orient d'où ses initiatives pour le moins irréalistes en ce qui concerne la guerre civile syrienne. Notre lecture des conflits inter-arabes si elle sert les intérêts anglo-saxons n'est pas conforme à nos intérêts.
     
     
    • De Pascal G. Lassalle reprise d'un article d'abord mis en ligne par le Cercle non conforme le 2 janvier 2016. Il s'agit d'une brève biographie de Stepan Bandera figure du nationalisme ukrainien assassiné en Allemagne par les services soviétiques en 1959. S'il est effectivement faux de prétendre qu'il fut "un massacreur de Juifs" comme le font de trop nombreux Russes victimes d'une historiographie d'origine communiste, il est également erroné de soutenir que le Donbass est "une poche de soviétisation et de russification extrême". Le Donbass est pour l'essentiel peuplé par des Russes en révolte contre le pouvoir de Kiev soumis à des éléments minoritaires corrompus et pro-américains dont le premier acte législatif sitôt le coup d'État du Maïdan réalisé fut de dénier l'identité de ses habitants. Il n'est nul besoin d'être un "agent russe stipendié" (il en existe certes) pour le penser.
     
     
    • Mark Zuckerberg marche seul au milieu d'un troupeau d'hommes zombifiés. Bonne analyse.
     
     
    • Et pour finir cette nouvelle désarmante pour les adeptes de la "dé-radicalistion".
     
     

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  • Quand Zemmour et Cambadélis débattent sur l'identité, l'immigration et l'islam...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous le débat qui, le 28 février 2016, opposait Jean-Christophe Cambadélis et Eric Zemmour sur BFM TV. Au programme, l'identité, l'immigration, l'islam et le choc du réel...

     

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  • Une agence très secrète dans la lumière...

    Les éditions Tallandier viennent de publier un ouvrage de Claude Delesse intitulé NSA - L'histoire de la plus secrète des agences de renseignement. Docteur en science de l'information et auditrice de l'IHEDN, Claude Delesse est directrice de recherches au Centre français de recherches sur le renseignement.

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    " Plus grande agence de renseignement électronique au monde, la NSA espionne tout le monde : du terroriste au hacker, du grand industriel à l’employé de base, du chef d’État au simple citoyen. Comment fonctionne-t-elle? Quelles sont ses missions? Quelles sont ses cibles? Quels scandales a-t-elle traversés? Quelles conséquences aura l’affaire Snowden sur son avenir?

    Depuis sa création en 1952 jusqu’à la lutte contre Al-Qaïda et Daech, en passant par les guerres de Corée, du Vietnam, d’Afghanistan et d’Irak, la NSA apporte depuis plus de soixante ans un soutien aux décisions politiques et militaires des États-Unis. Il est fascinant, voire inquiétant, de découvrir son univers interne et ses programmes, de percevoir l’envergure et l’outrance de la collecte d’informations au nom de la lutte contre le terrorisme et la criminalité. Instrument au service de la puissance américaine, la NSA s’est livrée à de tels excès que, en 2013, Edward Snowden, jeune agent d’à peine 30 ans, en a révélé les abus, provoquant la plus grande crise de son existence. Hors de toute polémique et en s’appuyant sur de multiples sources, Claude Delesse retrace pour la première fois l’histoire de la NSA. Elle décrit ses rouages et ses alliances, révèle ses dérives et ses menaces, éclairant ainsi l’incroyable épopée d’une agence obsédée par le secret. "

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