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racisme

  • Quels droits les Français ont-ils sur la France ?...

    Le 12 août 2024, Pierre Bergerault recevait, sur TV libertés, Paul-François Paoli à l'occasion de la publication de son essai intitulé Race, sexe, identité : la France en procès (Jean-Cyrille Godefroy, 2024).

    Journaliste, Paul-François Paoli est l'auteur de plusieurs essais comme La tyrannie de la faiblesse (Bourin, 2010),  Pour en finir avec l'idéologie antiraciste (Bourin, 2012), Malaise de l'occident (Pierre-Guillaume de Roux, 2014), Quand la gauche agonise - La République des bons sentiments (Rocher, 2016), L'imposture du Vivre-ensemble de A à Z (Toucan, 2018) ou Une histoire de la Corse française (Tallandier, 2023).

     

                                                 

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  • Postures médiatiques...

    Les éditions de L'Artilleur viennent de publier un essai d'André Perrin intitulé Postures médiatiques - Chroniques de l'imposture ordinaire.

    Agrégé de philosophie, André Perrin  est l'auteur de Scènes de la vie intellectuelle en France (L'Artilleur, 2016) et de Journal d’un indigné (L’Artilleur, 2019).

     

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    " En France depuis plusieurs décennies, l’idéologie dominante, autorisée, dans les milieux médiatiques est celle de la gauche. Tribunes, sondages et études ont montré que les journalistes votaient massivement pour des candidats de ce bord politique.

    Les postures qu’André Perrin décrit ici avec une ironie mordante sont donc celles de ce petit monde où règne l’intimidation morale, l’assurance de défendre le « bien ». Ce sont par exemple les postures de ceux qui dénoncent l’inhumanité de la prison pour les délinquants mais qui ne cachent pas leur joie quand un adversaire politique y est condamné, de ceux qui condamnent le racisme et l’antisémitisme seulement quand il vient de l’extrême droite ou bien encore de ceux qui réclament le respect de toutes les religions sauf de celles dont ils ne craignent pas qu’un adepte vienne un jour les égorger en cas de blasphème.

    Entre 2020 et 2022, voici donc un florilège authentique d’affirmations, de prises de positions et d’émissions où se révèle de façon spectaculaire le « deux poids, deux mesures » cher à la plupart de nos indispensables journalistes. "

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  • Les nietzschéens et leurs ennemis...

    Les éditions du Cerf viennent de publier un essai de Pierre-André Taguieff intitulé Les nietzschéens et leurs ennemis - Pour, avec et contre Nietzsche.

    Philosophe, politologue et historien des idées, Pierre-André Taguieff est l’auteur d'essais importants qui ont contribué à mettre à mal la pensée unique comme  La Force du préjugé - Essai sur le racisme et ses doubles (La découverte, 1988), Résister au bougisme (Mille et une Nuits, 2001), Les Contre-réactionnaires : le progressisme entre illusion et imposture (Denoël, 2007), Julien Freund, au cœur du politique (La Table ronde, 2008) ou Du diable en politique - Réflexions sur l'antilepénisme ordinaire (CNRS, 2014). On retrouvera ici l'auteur qui avait signé voilà trente ans une contribution dans l'ouvrage collectif Pourquoi nous ne sommes pas nietzschéens (Grasset, 1991).

     

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    "La pensée du philosophe, le style du pamphlétaire : c'est à la manière de Nietzsche que Taguieff dénonce ses héritiers de droite et de gauche, modernes et postmodernes, totalitaires ou libertaires. Un festival de lucidité, une relecture de 150 ans de fictions qui se sont voulues des rêves et qui ont tourné au cauchemar.

    Nietzsche aura été le philosophe du siècle. Parfois pour le meilleur, souvent pour le pire. Retournant contre le prophète de Dionysos le marteau philosophique que lui-même employait pour ébranler les idoles, Pierre-André Taguieff livre avec acuité, verve et élégance une relecture inédite, iconoclaste et critique de l'histoire de la pensée contemporaine, de ses incohérences et de ses abîmes. Il explore le vaste continent des écrits nietzschéens et antinietzschéens qui continuent d'inspirer et de diviser les philosophes, les écrivains et les artistes, notamment face à la question de la décadence et à celle du nihilisme.
    Comment comprendre la fascination récurrente exercée par Nietzsche et sa pensée ? Qu'ont en commun les nietzschéens de droite et les nietzschéens de gauche ? Pourquoi puisent-ils au même fond de métaphores, de paraboles, d'images survoltées pour les surinterpréter ? Comment comprendre cette bataille d'appropriations qui semblent contradictoires mais qui se rejoignent souvent dans le même culte de la force et de la destruction ?
    Cet essai est déterminant pour lever nos cécités sur le plus enthousiasmant et le plus aveuglant des philosophes. Un exercice de lucidité qui marque un tournant dans la pensée française et européenne."

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  • Noir c'est plus noir !...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Xavier Eman, cueilli sur son blog A moy que chault ! et consacré à un psychodrame médiatico-sportif, mettant en scène un pseudo-incident raciste, qui défrayé la chronique pendant quelques jours. Animateur du site Paris Vox, rédacteur en chef de la revue Livr'arbitres et collaborateur de la revue Éléments, Xavier Eman est l'auteur de deux recueils de chroniques intitulé Une fin du monde sans importance (Krisis, 2016 et la Nouvelle Librairie, 2019) et d'un polar, Terminus pour le Hussard (Auda Isarn, 2019).

     

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    Noir c'est plus noir !

    Est-il insultant, haineux, abject, en un mot « raciste », de désigner quelqu’un par sa couleur de peau ? Oui, si l’on en croit le psychodrame « antiraciste » qui a frappé le monde du sport et le landernau politico-médiatique à l’occasion de la rencontre de football entre le PSG et le club turc du Basaksehir (voir ici). Pourtant lorsque l’on veut désigner à l’attention d’autrui une personne dont on ne connaît pas le nom, n’est-il pas tout à fait logique et normal de la qualifier par le trait distinctif le plus parlant, le plus évident ? C’est bien sûr ce que la plupart des gens font quotidiennement. Si ce procédé d’usage commun peut paraître déplacé ou désobligeant lorsqu’il réduit la personne concernée  à un handicap ou à un trait particulièrement disgracieux (« le borgne », « la boiteuse »,  « le bigleux », « l’obèse »… etc… encore que généralement la personne n’est pas sensée entendre cette qualification…), il n’en est rien lorsqu’il s’agit de couleur de peau, celle-ci n’ayant rien de péjorative, de dégradante ou d’indigne en soi. A moins d’avoir honte de celle-ci, de la porter comme une disgrâce, une souffrance ou un boulet…  Or ce n’est pas le cas, puisqu’on nous rebat au contraire  quotidiennement  les oreilles avec l’affirmation  de la « fierté noire » (« Black lives matter ! », « Black pride ! », « Black power ! »…). Puisque les noirs sont  fiers de l’être, en quoi est-il raciste et injurieux de dire qu’ils le sont ? C’est  parfaitement absurde et profondément tartuffe,  mais nous en sommes pourtant  là… Pour quelle raison ? Et bien parce que l’antiracisme activiste est devenu si  vindicatif et totalitaire qu’il interdit aux blancs le droit même de prononcer un mot que seuls les principaux intéressés peuvent utiliser pour se qualifier. Évidemment cet interdit chromatico-sémantique n’est valable que dans un sens. Comme toujours.  « Je suis noir si je le veux, ce n’est pas au blanc de m’assigner à une couleur de peau dont pourtant je suis très fier ! »…  On voit bien que nous ne sommes plus là dans le domaine du débat rationnel mais dans celui des psychopathologies, dont l'une des expressions les plus fréquentes est l’hystérie. Une hystérie qui nourrit ce que l’on peut désormais  appeler sans exagération une nouvelle Terreur. Une Terreur « antiraciste » avec sa loi des suspects, ses condamnations arbitraires, ses procès sans avocat, ses lynchages collectifs, ses chasses à l’homme… Une Terreur où « l’antiracisme » n’est en réalité que le cache-sexe d’un autre racisme, anti-blanc celui-là, d’une volonté revancharde d’humiliation et de soumission des anciens prétendus « maîtres ».

    Xavier Eman (A moy que chault, 11 décembre 2020)

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  • Le nouveau grand délire racial...

    Dans cette émission du Plus d’Éléments, diffusée par TV Libertés, une partie de l'équipe de la revue, autour de Patrick Lusinchi, évoque le dernier numéro paru fin novembre, dont le dossier est consacré à l'idéologie "indigéniste"... On trouvera sur le plateau François Bousquet, rédacteur en chef, et Marie Chancel.

     

                                                

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  • Contre la diabolisation !...

    Les éditions de La Nouvelle Librairie viennent de publier dans leur collection Cartouches un court essai de Jean-Yves Le Gallou intitulé Manuel de lutte contre la diabolisation. Ancien haut-fonctionnaire, président de la Fondation Polémia, Jean-Yves Le Gallou a, notamment, publié La tyrannie médiatique (Via Romana, 2013),  Immigration : la catastrophe - Que faire ? (Via Romana, 2016) et Européen d'abord - Essai sur la préférence de civilisation (Via Romana, 2018).

     

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    " La diabolisation est une technique de manipulation des esprits. Elle vise à interdire la description des faits ou l’expression de certaines idées en disqualifiant celui qui les rapporte, en l’accusant de « racisme », d’« homophobie », de « populisme », d’« extrémisme », de « dérapage » ou de « provocation ». La diabolisation est l’arme majeure du terrorisme intellectuel. De la domination culturelle par les « progressistes ». Et de l’abaissement de l’Europe et des Européens par la culpabilité et la repentance. Ce livre vise à donner aux diabolisés la force et les moyens de relever la tête.

    Alors que faire? Ne pas plier le genou, relever haut la tête. Assumer, faire face, combattre les mensonges. Démasquer et contre diaboliser les diabolisateurs. "

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