La Nouvelle Revue d'Histoire est en kiosque (n° 88, janvier - février 2017).
Ouvert par l'éditorial de Philippe Conrad ("La « monarchie républicaine » à la française"), le dossier central est consacré à la présidence de la République. On peut y lire, notamment, des articles de Philippe Parroy ("Décembre 1848 : un prince devient président"), de Jean Kappel ("Être président sous la IIIe République"), de Rémy Porte ("Raymond Poincarré, le président de la Grande Guerre"), de Philippe Fraimbois ("Les déboires de Clemenceau et de Briand"), de Martin Benoist ("La présidence Millerand : gouverner depuis l'Elysée ?"), d'Yves Morel ("René Coty, second président de la IVe République"), de Philippe Conrad ("Le président élu au suffrage universel"), de Paul-Marie Coûteaux ("De Gaulle et l'introuvable légitimité républicaine").
Hors dossier, on pourra lire, en particulier, un entretien avec Philippe de Villiers ("Faire de l'histoire autrement") ainsi que des articles de Jean de Viguerie ("Les Français face à la Grande Guerre"), d'Alain Paucard ("Insurgés canadiens contre Empire britannique"), de Pierre Le Vigan ("Une autre lecture de la guerre du pacifique"), de Maurice Faivre ("Jacques de Bollardière, compagnon de toutes les libérations"), de Constance de Roscourt (" et d'Emma Demeester ("Dumouriez, héros républicain ou «misérable intrigant» ? "), ou encore les chroniques d'Olivier Zajec, de Péroncel-Hugoz et de Philippe d'Hugues...
Métapo infos - Page 948
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La République et ses présidents...
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« Les Etats-Unis n'ont jamais été si divisés... C'est le résultat fatal de la diversité ! »...
Nous reproduisons ci-dessous un entretien donné par Jared Taylor à Breizh infos à propos de la situation politique aux Etats_Unis. Journaliste, fondateur en 1990 du mensuel American Renaissance, Jared Taylor vient de publier en France L'Amérique de la diversité : du mythe à la réalité (L'Æncre, 2016).
Jared Taylor (Amren) :« Je suis très content de la victoire de Trump, mais il n’y aura pas de vraie révolution »
Breizh-info.com : Tout d’abord, quelle est votre réaction à la suite des attentats, qui se multiplient en Europe ? Et par rapport à ces tentatives de déstabilisation comme en témoigne l’assassinat de l’ambassadeur de Russie en Turquie ?
Jared Taylor : Depuis l’invasion musulmane de l’Espagne en 711 jusqu’au traité de Karlowitz en 1699 qui a mis fin à la dernière invasion ottomane, l’Islam a été en guerre avec l’Occident. C’est une période de presque 1,000 ans qui reflète la nature profonde de l’Islam. C’est une religion conquérante et impérialiste. Pendant les derniers 300 ans, l’Islam a été trop faible pour faire la guerre conventionnelle, mais sa nature n’as pas changé.
Maintenant, l’Islam exprime sa haine à l’égard de l’Occident au moyen d’ attentats contres des cibles faibles. Ces attentats n’ont pas besoin de beaucoup de moyens matériels ou d’effectifs pour semer la terreur et la panique. Cependant ces attentats ne seraient pas possibles s’il n’y avait pas de communautés musulmanes implantées en Europe, surtout en France. L’existence de ces communautés reflète la faiblesse de l’Occident qui n’est plus capable de dire, comme autrefois, « Cette terre est pour nous et pour personne d’autre. »
Breizh-info.com : Vous avez sorti votre premier ouvrage traduit en français, « l’Amérique de la diversité, du mythe à la réalité ». L’American way of live, façon Benetton, serait donc une illusion ?
Jared Taylor : Il est nécessaire en Amérique de dire que la diversité est une grande force pour le pays, peut-être même la plus grande force de toutes. Pourtant, il est évident que la diversité—de langue, de religion, d’ethnie mais surtout la diversité de race — est une source intarissable de conflits.
Mon livre est une description détaillée des problèmes nés de la diversité et du refus des Américains de les regarder en face. Les États-Unis sont allés très loin en matière de diversité, et j’espère que la France—un pays que je connais, admire, et aime—ne répétera pas les mêmes erreurs.
Breizh-info.com : Vous expliquez dans votre ouvrage que les communautés de Blancs ont tout fait (et été obligées de le faire) pour intégrer, sont en train petit à petit de se séparer, de recréer une sorte d’apartheid de fait. Pourquoi cela ?
Jared Taylor : Cet apartheid de fait est basé sur la nature humaine profonde. Notre espèce est tribale. Il est normal de préférer la culture, les mœurs, la manière de vivre de son propre peuple. C’est pourquoi, en dépit des grands efforts de l’Etat pour encourager l’intégration et le métissage, les Américains restent, pour la plus part, séparés.
Breizh-info.com : On s’interroge souvent, en Europe, à savoir pourquoi les Latinos ne sont pas classés, ethniquement pour une bonne partie, parmi les Blancs. Avez vous une explication à fournir ?
Jared Taylor : La grande majorité de gens qu’on appelle Latinos ou Hispaniques sont plus correctement des mestizos, c’est-à-dire qu’ils sont un mélange d’Européen et d’Amérindien. Ceux qui viennent aux États Unis sortent souvent des basses classes et sont sont en grande partie Amérindiens. Ces gens-là ne sont pas blancs. Nous recevons même des Amérindiens purs qui parlent des langues comme le Quechua ou le Nahuatl et ne parlent même pas l’Espagnol.
Breizh-info.com : Comment avez vous ressenti la victoire de Donald Trump ? Va-t-on vers de profonds changements, voire une révolution dans la société américaine ?
Jared Taylor : Je suis très content de la victoire de Trump, mais il n’y aura pas de vraie révolution. Trump n’est pas un identitaire. Il a des instincts sains : il n’aime pas que les étrangers entrent dans notre pays clandestinement et profitent de l’aide sociale. Il comprend que le mouvement Black Lives Matter (qui prétend que la police américaine vise systématiquement les noirs pour les tuer) est basé sur des mensonges.
Sans doute, il se sent dépaysé quand il se trouve à Miami ou à Detroit où il n’y a pratiquement pas de Blancs. Mais je ne crois pas qu’il ait profondément réfléchi aux questions démographiques, et il ne comprend pas que les États Unis sont vraiment en train de sortir de l’Occident et de devenir un pays du Tiers Monde.
Breizh-info.com : Pouvez vous conseiller à nos lecteurs des médias américains qui, comme Breitbart news, ont contribué à faire gagner Donald Trump ? Qu’est ce qui explique que la réinformation réussisse, économiquement, à percer aux États-Unis là ou cela parait encore compliqué en Europe et notamment en France ?
Jared Taylor : Breitbart a été un grand succès. En même temps il y a beaucoup de sites comme le nôtre (www.AmRen.com), www.Vdare.com, www.takimag.com, www.unz.com, où on trouve des renseignements et des commentaires qu’on ne trouverait jamais dans les grands médias.
Pourtant, je ne suis pas persuadé que les médias alternatifs aient contribué décisivement à la victoire de Donald Trump. Les grands medias ont mené une campagne de diabolisation contre Trump sans précédent dans toute l’histoire des États-Unis. C’était tellement haineux et biaisé que beaucoup d’Américains moyens en ont été dégoûtés. Selon moi, la tentative des grands médias de terrifier et intimider les électeurs s’est retournée contre eux et a persuadé beaucoup d’Américains que les médias ne sont pas fiables. Je crois que l’élection a été un grand tournant pour les médias. S’ils continuent d’être si éloignés du peuple ils vont périr.
Breizh-info.com : Ce qui est saisissant , c’est qu’on se rend compte que les côtes américaines ont voté majoritairement Clinton tandis que les terres ont choisi Donald Trump. L’Amérique semble être un pays profondément divisé vu de l’extérieur. Est-ce le cas ? Qu’est ce qui explique cette révolte des peuples de l’intérieur ?
Jared Taylor : Depuis la Guerre Nord-Sud, les États-Unis n’ont jamais été si divisés. Nous sommes divisés racialement, politiquement, culturellement, et—de plus en plus géographiquement. C’est un constat très malsain pour un pays, mais c’est le résultat fatal de la diversité. A la limite, les États-Unis pourraient devenir comme le Liban ou l’ancienne Yougoslavie – ingouvernable. Nous ne sommes pas encore à ce stade-la, mais ce n’est plus inconcevable.
Breizh-info.com : Comment se sont comportés, électoralement, les autochtones de l’Amérique, c’est à dire les Indiens que l’on retrouve notamment dans le Dakota. Quelles sont leurs relations avec les autres communautés ?
Jared Taylor : A peu près deux tiers des autochtones ont voté pour Clinton, mais ils ne comptent que pour 2% de la population et leur taux de participation aux élections est très bas. Depuis toujours, les Indiens, comme toutes les autres minorités, votent majoritairement démocrate.
Breizh-info.com : Qu’est ce que l’élection de Trump va changer pour l’Europe, à l’heure où l’Amérique multiplie les provocations, notamment aux frontières de la Russie, en y déployant énormément de soldats et de matériel militaire ?
Jared Taylor : Il est difficile de savoir ce que Trump pense réellement en matière de politique extérieure, mais il a toujours dit qu’il chercherait à améliorer les rapports avec la Russie. Son choix de nommer comme secrétaire d’état, Rex Tillerson, est de très bon augure. Il a également souvent dit que les Etats Unis ne peuvent plus payer pour la défense de l’Europe et de l’Asie et que les alliés doivent se défendre eux-mêmes. Selon moi, la perte de l’aide militaire ne poserait aucun problème pour l’Europe si les Européens maintenaient de bonnes relations avec la Russie—ce qui devrait être tout à fait possible.
Il n’y a aucune raison pour que l’Europe et la Russie ne soient pas des puissances voisines paisibles. Leurs intérêts en question d’immigration, échanges économiques et culturels, de lutte contre le terrorisme, etc., sont presqu’identiques. Si l’opposition détraquée des Américains contre les Russes disparait, il n’y a aucune raison pour que la Russie ne prenne pas sa place comme membre respecté et productif de la communauté des nations.
Breizh-info.com : Vous êtes un parfait francophone, et de fait, suivez régulièrement l’actualité de ce pays. Comment voyez vous, et que souhaitez vous, pour l’année électorale qui s’annonce ?
Jared Taylor : J’espère une victoire totale pour le Front national ! Je crains que Marine Le Pen n’ait cédé trop de terrain sur certains points importants, mais une victoire du FN aux élections françaises serait un tremblement de terre peut-être encore plus significatif que la victoire de Donald Trump.
Jared Taylor, propos recueillis par Yann Vallerie (Breizh infos, 11 janvier 2017)
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Au verbe , citoyens !...
Les éditions Lemieux publient cette semaine un essai de Philippe-Joseph Salazar intitulé Blabla république - Au verbe, citoyens !. Rhétoricien et philosophe français, Philippe-Joseph Salazar enseigne depuis 1995 la rhétorique à l’université du Cap. Il est l’auteur de nombreux essais, dont Paroles de leaders - Décrypter le discours des puissants (François Bourin Éditeur, 2011) et Paroles armées - Comprendre et combattre la propagande terroriste (Lemieux, 2015).
" En une vingtaine de chapitres incisifs, percutants, saignants, Philippe-Joseph Salazar analyse le mal-parler politique, médiatique et intellectuel, à côté du brouhaha démocratique des opinions sans enjeu ni prise de risque.
C’est là une spécificité française : avec la Ve République, la parole publique a été captée par les élites et notamment le président de la République. Résultat : des discours creux et indigents essentiellement produits par ceux qui nous gouvernent et qui parlent, parlent, parlent mais agissent assez peu. Une république d’en haut bavarde avec Marianne bâillonnée sur son piédestal.
L’auteur décortique ce mal-parler qui impose de faux débats. Dans cette impitoyable leçon de choses, il apprend au citoyen à décrypter la langue morte mais omniprésente des élites et des pouvoirs, et à faire revivre la sienne.
Au verbe, citoyens ! À la parole, citoyennes ! " -
Le nouveau chic : mépriser le peuple !...
Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Mathieu Bock-Côté, cueilli sur son blogue du Journal de Montréal et consacré au mépris croissant des élites à l'encontre du peuple. Québécois, l'auteur est sociologue et chroniqueur à Radio-Canada et est déjà l'auteur de plusieurs essais. Il a récemment publié Le multiculturalisme comme religion politique aux éditions du Cerf.
Le nouveau chic : mépriser le peuple
À lire les chroniques des figures bien cotées du système médiatique, on comprend que 2016 a été une année terrible: elles ont vu le multiculturalisme qu’ils chérissent tant remis en question de bien des manières. Elles ont vu la mondialisation heureuse désavouée par ceux qui ne veulent plus faire semblant d’y voir une fête. Tout cela parce qu’on a donné la parole au peuple et qu’il n’a pas répété les comptines officielles du progressisme mondain. Rien n’est plus chic, à la veille de cette nouvelle année, que de mépriser l’homme ordinaire en le présentant comme un gueux en haillons. On se met une pince sur le nez et on damne le populisme à gros grain!
C’est la doxa de notre temps qui éclate sous nos yeux. Le meilleur des mondes vanté par la propagande médiatique pousse en fait le monde occidental à une forme de suicide politique et culturel. Ce qui s’est exprimé en 2016, c’est une révolte populaire et conservatrice contre la dissolution d’une certaine idée de la civilisation occidentale. Derrière la critique de l’immigration massive ou le refus d’une souveraineté nationale décomposée, c’est une certaine idée du monde commun qu’on veut défendre, où l’enracinement a ses droits, où la continuité historique d’un peuple les a aussi. Une vieille vérité remonte à la surface : une nation sans frontières et obligée de dissoudre son identité est condamné à la disparition. Tout simplement.
Le peuple s’est révolté. Ce n’est pas toujours de la plus belle manière qui soit, naturellement, mais il nous faudra tôt ou tard sortir de l’illusion gestionnaire qui neutralise le politique en l’aseptisant. Qu’on le veuille ou non, la querelle politique est une querelle et elle est politique. Il faut la civiliser, évidemment, mais on l’étouffe si on veut la calquer sur un séminaire universitaire où deux théoriciens ralliés au progressisme mondain discutent ensemble en se faisant des peurs à l’idée que la société se déprenne du cadre idéologique étroit où ils voudraient la circonscrire tout en assimilant tout ce qui en sort à la «post-vérité». Ce concept devra être examiné finalement dans l'année à venir, pour voir ce qu'il désigne et ce qu'il déforme dans la réalité.
Ajoutons une chose: nos élites médiatiques, qui ne cessent de voir partout des phobies à combattre et qui assimilent le désir d’enracinement à une forme plus ou moins avouée de racisme ou de xénophobie font preuve d’une immense violence idéologique. Depuis plusieurs décennies, maintenant, ce sont des aspirations existentielles essentielles qu’on étouffe pour que naisse un citoyen du monde qu’on disait libéré de tout, et qu’on découvre terriblement décharné et dépossédé. Il n’est pas très beau, le paradis mondialisé. Il propose l’errance identitaire, la perte de repères, il abat les cadres protecteurs de l’existence humaine. En un mot, il nous propose une conception appauvrie et aliénante de l'être humain.
L’heure est au procès de l’homme ordinaire et à celui du démagogue qui le bernerait. On vise aussi les intellectuels qui ne se soumettent pas aux idées dominantes dans la profession. Nos bons esprits lèvent les yeux au ciel, maudissent le commun des mortels, dénoncent ce qu’ils appellent la droite identitaire, invoquent les grandeurs d’une mondialisation sophistiquée et prient pour que 2017 ne ressemble en rien à 2016. D’ailleurs, ils le disent comme tel, sans gêne: le peuple est un mot trompeur. Ils n’en parlent plus qu’avec un soupçon moqueur. Ce n’est pas sans avantage: une fois qu’on a décrété que le peuple n’existe pas, on peut bien plus aisément se ficher de ce qu’il dit et ne pas tenir compte de son vote.
Non au repli sur soi! Non à la peur de l’autre! Vive la diversité ! Vive la différence! Vive l’harmonie! Le programme multiculturaliste est tellement habitué à répéter ses slogans qu’il les prend pour autant de belles et vraies réflexions. Mais ces slogans sonnent creux. Un paradoxe apparaît: le progressisme multiculturaliste insulte brutalement ses contradicteurs qu’il présente comme des chantres de l’intolérance et ne se rend pas compte qu’il hystérise le débat public au même moment où il appelle à un débat apaisé. En 2016, c’est l’imposture d’une démocratie vidée de sa substance qui a commencé à se dévoiler. Il se pourrait bien que ce dévoilement se poursuive en 2017.
Mathieu Bock-Côté (Journal de Montréal, 31 décembre 2016)
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Les snipers de la semaine... (136)
Au sommaire cette semaine :
- sur son blog La pompe à phynances, Frédéric Lordon dézingue le système mort de la caste journalistique...
Politique post-vérité ou journalisme post-politique ?
- sur Metamag, Jean Ansar allume les sondeurs, qui bénficient dans les médias d'une totale impunité...
En finir avec l’impunité de la secte des manipulateurs d’opinion !
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Feu sur la désinformation... (120)
Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés, consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours d'Hervé.
Au sommaire :
- 1 : « Sextape » Russe de Trump, l’orgie d’intox.
« Moscou aurait de quoi compromette Trump, dont une sextape » ce sont les titres du 11 janvier. La presse va s’emballer autour d’un pseudo rapport des renseignements américains non vérifié. Une rumeur, une affaire qui fait pschitt. Les Russes, Trump, une sextape: tous les démons de la presse sont réunis pour faire un cocktail d’intox. -
2 : Le zapping d’I-média
Lapsus de Myriam Encaoua sur « I-télé » qui regrette que les politiques s’adressent directement à la population française par l’intermédiaire des réseaux sociaux. Les journalistes permettraient de « brouiller et de critiquer » le discours des hommes politiques.
- 3 : Interview d’Assad : Mais diable, où est Boulevard Voltaire ?
Délégation française en Syrie pour rencontrer Bachar Al Assad. La délégation attaquée devient dans les médias une « délégation retardée ». Les journalistes étaient présents pour interroger le président Syrien, 3 médias sont cités. Dans la réalité ils étaient quatre : « Boulevard Voltaire » était présent mais a été occulté par la presse.
- 4 : Les tweets de la semaine
Condamnation de Dominique Bejach pour pédophilie en Angleterre. L’affaire a été masquée par la classe médiatique : Ce sont les médias de réinformation qui ont publié cette actualité. Les médias alternatifs ont ensuite été accusés de manipulation : le huffington post titrait le 05 janvier : « Comment la fachosphère utilise la condamnation d’un pédophile pour éclabousser Arnaud Montebourg ».
- 5 : Laurence Haim : Rapports incestueux entre Macron et les médias
Laurence Haïm, l’ancienne correspondante d’I-télé aux Etats-Unis retourne sa veste et passe du journalisme à la politique : le 11 janvier elle a annoncé rejoindre l’équipe d’Emmanuel Macron, « l’Obama Français ».
Interview de Robert Ménard, maire de Béziers et ancien journaliste : Pour lui, ce changement de carrière est une illustration des « rapports incestueux presse-politique »
Décryptage de rapports entre Macron et les médias.
- 1 : « Sextape » Russe de Trump, l’orgie d’intox.