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Métapo infos - Page 902

  • L'Europe, pas le monde...

    Les éditions du Lore viennent de publier un essai de Georges Feltin-Tracol intitulé L'Europe, pas le monde - Un appel à la lucidité. Animateur du site de réflexion non-conformiste Europe Maxima et rédacteur en chef de la revue Réfléchir&Agir, Georges Feltin-Tracol est notamment l'auteur de Bardèche et l'Europe (Bouquins de Synthèse nationale, 2013), de En liberté surveillée - Réquisitoire contre un système liberticide (Bouquins de Synthèse nationale, 2014), de Thierry maulnier, un itinéraire singulier (Auda Isarn, 2014) ou de Éléments pour une pensée extrême (Editions du Lore, 2016).

     

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    " En trois quarts de siècle, le projet européen en partie formulé par les milieux non-conformistes de l’Entre-deux-guerres est devenu un cauchemar pour les peuples du Vieux Continent. Dans le cadre d’une mondialisation désormais illimitée, les sectateurs mondialistes de l’actuelle imposture européenne ne cachent même plus leur volonté d’intégrer au plus vite cet espace dans un ensemble planétaire global.

    Cette terrible désillusion favorise le souverainisme national et les revendications régionalistes. Faut-il pour autant rejeter toute idée européenne ?

    Non, affirme Georges Feltin-Tracol qui en appelle à une salutaire lucidité.
    Ancien animateur de la revue L’Esprit européen et collaborateur naguère à Éléments pour la civilisation européenne, ce Français d’Europe (ou Européen de France) considère que l’Europe n’est pas ouvert aux populations du monde entier, mais l’héritage des peuples boréens. Se détournant à la fois de l’État-nation dépassé, du mondialisme mortifère et d’un altermondialisme parodique, il envisage un autre défi continental, soucieux de la personnalité historique de ses cultures et susceptible d’assumer un destin de puissance géopolitique.

    Contribution révolutionnaire pro-européenne à la grande guerre des idées, ce recueil d’articles, d’entretiens, de conférences et de recensions démontre la persistance d’un authentique esprit européen, surtout si de nouvelles chevaleries militantes surgies des communautés populaires enracinées relèvent le nouvel enjeu civilisationnel du XXIe siècle : maintenir la spécificité albo-européenne. Pendant que se prolonge l’éclipse de l’Europe, c’est dans la pénombre que s’esquissent quelques jalons fondamentaux d’une nouvelle Europe polaire, fière et solsticiale. "

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  • Le plus d’Éléments : en marche vers l'ubérisation...

    Dans cette émission du Plus d’Éléments, diffusée par TV Libertés, l'équipe de la revue, autour d'Olivier François, revient sur certains des sujets abordés dans le nouveau numéro, consacré, notamment, à l'ubérisation de la société, mais nous livre aussi ses coups de cœur du moment et pousse quelques coups de gueule ! On trouvera sur le plateau Pascal Esseyric, François Bousquet, Nicolas Gauthier et Thomas Hennetier...

    A voir, ne serait-ce que pour le réjouissant dézingage, par François Bousquet, de Patrick Boucheron et de son Histoire mondiale de la France !...

                                        

     

     

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  • De Romulus à Le Corbusier, les métamorphoses de la ville...

    Les éditions La Barque d'or viennent de publier un nouvel essai de Pierre Le Vigan intitulé Métamorphoses de la ville - De Romulus à Le Corbusier.

    Urbaniste, collaborateur des revues Eléments, Krisis et Perspectives libres, Pierre Le Vigan a notamment publié Inventaire de la modernité avant liquidation (Avatar, 2007), Le Front du Cachalot (Dualpha, 2009), La banlieue contre la ville (La Barque d'Or, 2011), Écrire contre la modernité (La Barque d'Or, 2012),  L'effacement du politique (La Barque d'Or, 2014) ou Soudain la postmodernité (La Barque d'or, 2015).

     

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    " Nous sommes de plus en plus nombreux à vivre dans des villes. Mais sont-elles encore des villes ? L’immense majorité des urbains vit en fait en banlieue ou dans le périurbain. Nos repères explosent. La France devient moche. Mais le problème des villes est mondial : la France tue ses villes moyennes, mais le monde lui-même devient un immense bidonville. La ville est mise au service exclusif de la consommation de masse. Le refus de la transmission des héritages culturels, les modèles rationalistes, conçus pour des hommes supposés « tous pareils », ont amené l’uniformisation des villes. D’immenses banlieues hérissées de centres commerciaux et de zones d'activité (désertes pour la plupart) se sont développées, comme des tumeurs cancéreuses. Le déracinement est devenu la règle et a fait le malheur des hommes. Les villes connaissent une croissance sans fin, s’abiment dans le gigantisme et l’anomie. La part des terres artificialisées ne cesse de croitre. L'histoire de la ville que relate l'auteur ouvre des pistes de réflexions et donne des raisons d'espérer et d'agir. La ville n’est pas condamnée au grand ensemble, à la marée pavillonnaire et à l’hypermarché. La relocalisation des hommes dans des villes à taille raisonnable (un million d’habitants au maximum), solidaires de leur écosystème, est possible. Les valeurs d’appartenance peuvent primer sur le nomadisme. Mais il faut pour cela rompre avec la domination du libéralisme dans l’économie et la société. Il faut libérer les villes du libre échangisme et de la marchandisation. Il faut démondialiser les villes. Voulons-nous des mégapoles ou des cités humaines ? C'est l’heure du choix "

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  • Un nouvel outil de dissolution nationale...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Bernard Plouvier consacré aux droits dont sont désormais abondamment pourvus les étrangers présents illégalement sur notre territoire. Médecin, Bernard Plouvier est l'auteur d'essais et d'études historiques décapantes, comme Faux et usage de faux en histoire (Dualpha, 2012) ou Le dérangement du monde (Dualpha, 2016).

     

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    Un nouvel outil de dissolution nationale : le clandestin et ses droits

    Autrefois, les choses étaient simples et, somme toute, fort logiques. La clandestinité avait une double connotation : celle du secret et de l’illégalité. Le clandestin était reconduit à la frontière de son choix ou de son origine.

    Mais ça, c’était avant la dictature des droits liés au simple fait d’être né, avant la création des lois par et pour le pouvoir économique.

    Dès l’Antiquité, en Mésopotamie comme en Chine, en Grèce ou à Rome, la notion de droits individuels était corrélée à celle des devoirs : enrichir la collectivité par sa force de travail ou dans la défense du Bien commun et ne pas nuire à autrui par des actions criminelles ou délictueuses.

    Ces vieilles lunes se sont effacées devant le nouveau soleil censé éclairer l’humanité : le culte des droits dévolus à n’importe qui ayant l’apparence d’un humain. Du seul fait qu’il existe, l’être humain a le droit de parasiter celles des sociétés où l’on est devenu tellement « libéral » qu’on y oublie l’origine même du Droit : la protection des personnes et des biens de ceux qui enrichissent la collectivité par une honnête activité et de ceux qui l’ont enrichie.

    Seuls les niais gobent cet immense bobard qu’est le culte des Droits de tout homme. Sa finalité réelle est de stimuler la consommation, selon le principe bien connu des petits ruisseaux qui font les grandes rivières. Tout est bon, dans nos sociétés décadentes, pour détourner le produit des taxes et des impôts, soit l’argent public, vers la consommation privée.

    L’immigré clandestin est bien plus utile à l’économie mondiale s’il peut consommer plus, étant parasite d’une société riche, qu’en restant travailler de façon très peu productive dans son pays d’origine, où il gagne très peu et consomme misérablement.

    Veut-on un exemple ? Prenons celui du clandestin en France.

    Certes, le clandestin ne peut en principe travailler… mais il jouit des mêmes droits que le travailleur français en matière d’indemnisation des accidents du travail et des maladies professionnelles, et il a de même droit à une retraite !

    Certes, le clandestin est exclu du bénéfice de la Sécurité sociale, mais, sans avoir cotisé à la SS ni à une mutuelle, il jouit de l’entière gratuité des soins, via l’AME. Idem, il a droit à un hébergement provisoire gratuit… si on lui trouve une place et s’il hurle assez fort pour qu’on n’ose contester « ses droits ».

    Bien entendu, il a droit aux allocations familiales et ses concubines éventuelles, en sus de son épouse reconnue par « la loi » (la loi s’applique donc aux clandestins, comme c’est bizarre !), ont droit à l’allocation de « parent isolé ».

    L’État et les collectivités locales lui viennent en aide, probablement pour le remercier d’avoir, de façon illégitime, posé les pieds sur le sol français. L’Allocation Temporaire d’Attente était initialement de 150 euros/mois : avec les majorations pour charge de famille, le clandestin pouvait atteindre 450 euros mensuels ; depuis 2012, l’aumône de la République est passée à 467 euros mensuels pour le clandestin isolé, 700 pour un couple, avec 140 euros supplémentaires par enfant à charge.

    On comprend aisément que les clandestins, estimés à 400 000 en 2012, soit en afflux permanent et pour trois raisons :

    –  La loi du 31 décembre 2012 a supprimé le « délit de séjour irrégulier » : le clandestin n’est plus « illégal »… on ne sait plus très bien ce qu’il est !

    –  On en régularise environ 20 000 chaque année.

    –  Bien que clandestin, l’immigré entré par fraude jouit d’un pouvoir d’achat : il ne s’agit plus seulement de tolérer son entrée irrégulière, mais de lui fournir de l’argent, ce qui lui permet, entre autres choses, de rembourser ses passeurs !

    L’argent public alimente le trafic d’humains autant que le parasitisme social, sans que ne soit jamais posée la bonne question. La Nation française (et le raisonnement est identique pour l’ensemble des Nations européennes) a-t-elle besoin d’analphabètes africains alors que notre « Éducation nationale » en fabrique déjà beaucoup, de mahométans à la mentalité médiévale, de jeunes mâles exotiques à la mentalité de conquérants primitifs ?

    Seule une réponse affirmative donnée par une majorité de citoyens français, consultés par voie référendaire, permettrait de justifier l’arsenal législatif qui a transformé les clandestins de l’état de délinquants à celui de consommateurs parasitaires, avalisés par l’État.

    On le sait depuis longtemps, mais il est utile de répéter les évidences jusqu’à ce que le dernier des abrutis comprenne : les élus trahissent les intérêts de la Nation… et les Français de souche européenne qui tolèrent  cet état de fait sont potentiellement des criminels contre l’humanité : par leur passivité et leur lâcheté, ils préparent l’élimination ou l’esclavage de leurs descendants.

    Bernard Plouvier (Metamag, 28 septembre 2017)

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  • L'envers du IIIe Reich...

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    La Nouvelle Revue d'Histoire est en kiosque (n° 92, septembre - octobre 2017).

    Le dossier central est consacré à l'envers du IIIe Reich. On peut y lire, notamment des articles d'Yves Nantillé ("L'Ahnenerbe, « laboratoire secret » du Reich millénaire"), de Blaise Seilhan ("La Waffen SS, une armée internationale"), de Jacques Berrel ("Le mythe du réduit alpin"), de Jean Kappel ("Le Werwolf, une ultime résistance vouée à l'échec") et de Jérôme Denoix ("L'agonie du Reich").

    Hors dossier, on pourra lire, en particulier, des articles de Philippe Conrad ("Histoire, mémoire, identité" ; "Pierre Chaunu"), de Laurent Wetzel ("Quelle histoire enseigner à l'école, au collège et au lycée ?"), de Martin Benoist ("Le coup d'état de Fructidor an V. La République contre les élections"), d'Henri Ortholan ("1917. La tragédie du chemin des Dames") et d'Aude de Kerros ("Le Street Art, un phénomène en voie de récupération"), ou encore les chroniques de Péroncel-Hugoz et de Philippe d'Hugues...

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  • Michel Onfray, la PMA et la GPA...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous le point de vue de Michel Onfray sur la prochaine ouverture de la procréation médicalement assistée (PMA) à l'ensemble des femmes, qui ne sera, selon lui, qu'un pas vers la légalisation de la gestation pour autrui (GPA). Philosophe et essayiste, Michel Onfray a dernièrement publié Cosmos (Flammarion, 2015) et Décadence (Flammarion, 2017).

     

                                           

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