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Métapo infos - Page 471

  • Disparition de Jean-François Gautier

    Philosophe, musicologue, étiopathe, mais surtout esprit libre et lumineux, Jean-François Gautier, que connaissaient bien les lecteurs d’Éléments ou les sympathisants de l'Institut Iliade, est mort dimanche 6 décembre.

    Nous reproduisons ci-dessous le texte d'hommage publié par Breizh Info qui doit être complété par la lecture de ceux publiés :

    - sur le site de la revue Eléments

    Jean-François Gautier, un savoir universel contre l’universalisme

    - et sur le site de l'Institut Iliade

    Disparition de Jean-François Gautier

     

    Jean-François Gautier.jpg

    Avec Jean-François Gautier disparait un Pic de La Mirandole contemporain

    Ce jour, notre ami et collaborateur Jean-François Gautier nous a quittés. Il a rejoint aux Champs Elysées les héros et personnes remarquables de la Grèce antique qu’il a étudiés et admirés avec passion depuis sa jeunesse.

    Issu d’une vieille famille charentaise, né à Paris le 9 janvier 1950 où il passe ses premières années, Jean-François Gautier se retrouve en Normandie à Caen en 1965 quand son père devient directeur de la fabrication chez Moulinex en plein essor.

    Il y obtiendra son doctorat de philosophie sous la conduite en particulier du professeur Jerphagnon à qui il vouera une grande reconnaissance pendant toute sa vie pour l’avoir initié à la culture grecque et romaine antique. Julien Freund sera un autre de ses maîtres à penser. En parallèle, il suivra des cours de musique, qui sera un autre domaine de son expertise.

    Dès son enfance, il se prendra de passion pour la navigation en mer, qu’il pratiquera avec brio. De nombreux scouts bénéficieront de sa connaissance du monde marin.

    Après son doctorat, il fera un service militaire de coopérant à l’université de Libreville au Gabon pendant un an comme enseignant. Cela lui ouvrait la porte d’ une carrière sans histoire de mandarin. Mais, sur place, Michel Combes lui fait découvrir le GRECE, école de pensée plus connue sous le nom de « Nouvelle droite ».

    Est-ce la raison de son changement d’orientation ? A son retour, il ne s’engagera pas dans le cursus de professeur universitaire et se lancera dans ses propres recherches.

    Son intérêt pour la culture le fera directeur d’édition puis directeur général des Éditions Atlas et journaliste du groupe Valmonde.

    Ensuite, il élargira encore son champ de compétences en entamant de brillantes études d’étiopathie sous la houlette de Christian Trédaniel. Il quittera Paris et créera son cabinet d’étiopathe à Châteauneuf sur Charente, renouant ainsi avec ses racines familiales. Brillant thérapeute – il avait  » l’intelligence de la main » -, il deviendra également enseignant de cette discipline et formera de nombreux confrères.

    Nous l’avons connu quand nos enfants se sont retrouvés dans un mouvement scout dont il s’occupait. Au fur et à mesure de notre relation, Jean-François nous est apparu comme un Pic de La Mirandole contemporain, cet homme de la Renaissance exalté par la découverte des textes de l’Antiquité, qui avait la réputation de s’intéresser à tous les domaines de la connaissance de son temps.

    Même si cela est devenu très difficile avec l’extension des études et des recherches depuis cette époque, la curiosité et le travail de Jean-François faisaient de lui un véritable puits de science. Nous ne sortions jamais d’une rencontre sans qu’il ne nous ait ouvert un champ de réflexion sur l’Univers, la vie, les peuples, les hommes. Chacun pourra en juger à travers tous les sujets de ses livres et de ses articles ou son entretien avec Paul Marie Couteaux sur TVL.

    Outre sa participation comme journaliste à Valeurs actuelles, il  collaborera à la revue Éléments, où depuis plusieurs années, il tenait la rubrique « Anti-manuel de Philosophie ». Il donnera aussi des contributions à la revue Nouvelle École créée par Alain de Benoist et à Antaios animée par Christopher Gérard. N’oublions pas les brillants articles publiés sur Breizh Info sur la musique, la médecine, les sciences etc.

    Comme philosophe, le produit de sa réflexion sur la réalité du monde s’exprimera dans son livre consacré à la cosmophysique L’Univers existe t-il ?  chez Actes sud en 1999. Celle sur la marche du monde sera développée dans son ouvrage Le sens de l’histoire, une histoire du messianisme  chez Ellipses.

    Il venait de publier un essai, «  A propos des Dieux, l’esprit des polythéismes « , une sorte de testament,  sur lequel Christopher Gérard écrit : «  L’un des leitmotiv pourrait bien être « Pourquoi pas ? ». Pourquoi pas des correspondances entre Hermès et Hestia, entre Apollon et Dionysos ? Pourquoi ne pas faire le pari de la malléabilité, de l’assimilation et de l’identification ? Pourquoi ne pas comprendre le divin comme fluide, en perpétuel mouvement ? ».

    Dans La sente s’efface (Éditions Le Temps qu’il fait,1996), il s’intéresse à la poétique du paysage.

    Comme musicologue, il publiera des essais remarqués comme Palestrina ou l’esthétique de l’âme du monde en 1994 chez Actes Sud ou Claude Debussy, la musique et le mouvant chez Actes Sud en 1999.

    Dans le domaine médical, il a notamment publié Logique et pensée médicale en 1991, Le syndrome CNV en 1993, Le système circulatoire en 1994.

    Mais Jean-François n’était pas seulement un penseur, c’était un homme d’engagement qui se préoccupait de l’avenir de nos enfants. il a largement contribué à l’organisation de camps scouts. Plus récemment, il a été une cheville ouvrière de la création de l’Institut Iliade. Celui-ci a pour objectif de transmettre aux jeunes générations la culture millénaire de la civilisation européenne.

    Enfin et surtout, en homme de la Renaissance, il aimait la vie et les rencontres. Sa maison de Châteauneuf était largement ouverte aux amis de passage, qui en profitaient pour bénéficier de ses soins d’étiopathe… et de sa cuisine qui était fameuse !  C’était un conteur riche de mille anecdotes, fruits de ses expériences multiples et de sa curiosité sans limite.

    Jean-François nous manque déjà.

    Nous pensons à ses enfants et petits-enfants auxquels toute l’équipe de Breizh Info adresse son affectueuse sympathie.

    Thierry Monvoisin et Philippe Le Grand (Breizh Info, 6 décembre 2020)

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  • Penser le politique avec Julien Freund...

    Nous reproduisons ci-dessous un entretien accordé par Pierre Bérard à la revue Eléments pour évoquer la figure de Julien Freund, remise en lumière avec la publication du recueil Le politique ou l'art de désigner l'ennemi (La Nouvelle Librairie, 2020). Pierre Bérard, collaborateur régulier des revues de la Nouvelle Droite a été un élève et un complice de Julien Freund, qu'il fait magnifiquement revivre dans ce recueil au travers d'une retranscription de savoureuses conversations de table.

    Julien Freund.jpg

    « L’avenir, c’est le massacre ! » Penser le politique avec Julien Freund

    ÉLÉMENTS : Vous avez connu Julien Freund. Quel homme – et quel maître – était-il ? Vous retrouviez-vous dans son enseignement ?

    PIERRE BÉRARD. J’ai rencontré Julien Freund pour la première fois à Paris lors d’un colloque du GRECE en janvier 1975. Il s’y était signalé par une conférence au titre provocateur « Plaidoyer pour l’aristocratie » (elle figure dans notre recueil). Aristocratie devant être pris dans son sens étymologique du gouvernement des meilleurs. Dans l’esprit de Freund, les « meilleurs » gouvernants étant les plus aptes à diriger la nation dans la perspective du bien commun, du bien du peuple selon Hobbes. Quelques mois plus tard, je prenais le chemin de Villé, le bourg alsacien où il habitait. Ce fut le début d’une relation courtoise, puis d’une réelle complicité qui dura jusqu’à sa mort. Je n’ai pas reçu son enseignement comme étudiant, puisque il avait démissionné de tous ses postes tant au CNRS qu’à l’université dès 1972, écœuré qu’il était par la lâcheté de ses collègues devant l’ivresse égalitaire des soixante-huitards qui se révéla sous ses aspects les plus sinistre dans les années qui suivirent ainsi qu’il l’avait pressenti.

    D’après de nombreux témoignages, ce fut un maître exigeant et infiniment pédagogue. J’en fis moi-même l’expérience lors des nombreuses conférences que j’organisai en sa compagnie. Au milieu de jeunes esprits souvent enthousiastes, il prenait plaisir à démonter les vues du monde par trop séraphiques. Il s’y montrait enjoué et jamais avare de son temps.

    Il avait la passion des idées et appréciait la discussion argumentée avec ses étudiants, dont les plus intéressants à ses yeux était les situationnistes. Il faut dire que leur niveau culturel n’avait rien à voir avec celui bas du front de nos actuels antifas. En réalité, sous des apparences de conservateur traditionnel, il était un authentique dissident et pas un de ces rebelles de confort à la raison binaire que notre monde fabrique à la chaîne.

    ÉLÉMENTS : Julien Freund est le grand penseur du politique. Que faut-il entendre par ce terme ? Qu’est-ce qui le distingue non seulement de la politique, mais aussi de l’impolitique ?

    PIERRE BÉRARD. Pierre-André Taguieff dans le livre qu’il lui a consacré a écrit que Freund était « l’un des rares penseurs du politique que la France a vu naître au XXe siècle ». Il distingue la politique du politique. Raisonnant en aristotélicien, il définit le politique comme une essence, c’est-à-dire un propre toujours présent dans toute société et dans toutes les époques, un invariant consubstantiel à l’humanité. Les autres essences étant l’économique, le religieux, la morale, la science et l’esthétique. C’est en cela qu’il est anti-libéral puisque le libéralisme prétend supplanter le politique par les lois du marché. De même affirme-il qu’il n’y eut jamais d’état de nature, au rebours de ce qu’assurent les théoriciens du contrat. Ce constat lui fait également écrire que : « S’il y a des révolutions politiques, il n’y a pas de révolution dans le politique. »

    Sa définition du politique repose sur trois présupposés qui sont autant de polarités dialectiques : la relation du public et du privé, la relation du commandement et de l’obéissance et enfin la relation de l’ami et de l’ennemi, cette dernière étant empruntée à Carl Schmitt dont il s’est imprégné dès le début des années cinquante alors que son œuvre était pratiquement inconnue du milieu des juristes et politistes français car non traduite. En effet, Freund, élevé dans le dialecte mosellan, était aussi un excellent germaniste, comme le montre sa familiarité avec les écrits non seulement de Schmitt, mais de Max Weber, de Georg Simmel ou de Ferdinand Tönnies, dont il a largement contribué à faire connaître les idées dans le monde intellectuel français.

    Julien Freund a consacré un livre de plus de 400 pages pour dire ce qu’il entendait par l’impolitique qui ne se confond ni avec l’apolitique, ni avec l’antipolitique, ni avec le non-politique. « La pensée magique, écrit-il, consiste en la croyance que l’on pourrait réaliser l’objectif d’une activité avec les moyens propres à une autre. » Par exemple confondre les buts du politique avec ceux de la morale ou de l’économie. Agir moralement n’est pas la même chose qu’agir politiquement. Ainsi une politique basée sur les droits de l’homme, par exemple, équivaudrait à une impolitique. Il en va de même pour une politique qui se laisserait guider par des objectifs principalement économiques. Nous vivons en Europe une phase de confusion entre les essences qui correspond à une intense dépolitisation qui nous a conduit à l’impuissance, aussi bien sur le plan intérieur, qu’au plan diplomatique et géostratégique. L’on pourrait résumer Julien Freund à un seul postulat, l’adage romain et machiavélien Salus populi suprema lex que l’on peut traduire ainsi « que la salut du peuple soit la loi suprême ».

    ÉLÉMENTS : L’ennemi, l’ennemi… on n’en a jamais autant parlé, du moins depuis la mort de Samuel Paty, parfois dans les termes mêmes de Julien Freund. Pouvez-vous nous en dire un peu plus sur cette formule et sur cette notion Ami-Ennemi ?

    PIERRE BÉRARD. On peut exister certes sans ennemi, mais cela ne dépend pas exclusivement de nous. Julien Freund rappelait volontiers cette anecdote survenue lors de sa soutenance de thèse en 1965. Jean Hyppolite, grand spécialiste de Hegel et adepte des Lumières, était accablé par la dialectique ami-ennemi formulée par Freund dans sa thèse. Il l’interpella en ces termes : « Si vous avez vraiment raison, il ne me reste plus qu’à cultiver mon jardin ! » À quoi Freund répondit du tac au tac : « Comme tous les pacifistes, vous pensez que c’est vous qui désignez l’ennemi. Or, c’est l’ennemi qui vous désigne. Et s’il veut que vous soyez son ennemi, vous pouvez lui faire les plus belles protestations d’amitié. Du moment qu’il veut que vous soyez l’ennemi, vous l’êtes. Et il vous empêchera même de cultiver votre jardin. » En réalité, il n’y a du politique que là où il y a un ennemi. Ainsi, certains nous ont déclaré la guerre, mais on ne sait leur opposer que des peluches, des bougies et des déclarations incapacitantes du genre « Vous n’aurez pas ma haine ». On a beau proclamer en haut lieu que nous sommes en guerre, Il n’y a nulle part de mobilisation, mais en revanche beaucoup de couardise. Et, dans ce décor de crépuscule, on ne voit rien venir d’autre que des hommes, paraît-il politiques, qui se consacrent à la gestion des émotions, aux obligations du temps court de l’immédiateté sans vision autre que celle d’une croissance infinie de tout, de l’immigration comme de la production. Ils sont les fossoyeurs de notre civilisation et prétendent imposer leur prêche moralisateur au monde entier sans jamais oser montrer leurs crocs. D’ailleurs constitue-t-on encore un peuple au sens ethnique et civique ? Probablement le réaliste Freund aurait-il répondu que non.

    Pierre Bérard (Site de la revue Éléments,  3 décembre 2020)

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  • Les snipers de la semaine... (207)

    Fusil à pompe.jpg

    Au sommaire cette semaine ;

    - sur son blog personnel, Maxime Tandonnet dézingue la dérive kafkaïenne du régime...

    L’étrange noyade

    Titanic.jpg

     

    - sur Le Monde diplomatique, Frédéric Lordon allume le monde médiatique et ses analyses prévisibles et indigentes consacrées du documentaire Hold-up...

    Paniques anticomplotistes

    Panique.jpg

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  • Feu sur la désinformation... (308)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, et Nicolas Faure.

    Au sommaire :

    • 1 : L’image de la semaine
      L’image de la semaine, ce sont ces pistes de ski fermées qui font beaucoup parler dans tous les médias !
    • 2 : Les médias et l’extrême gauche attaquent la police
      Un producteur de musique, noir, a été violenté par des policiers, alors qu’il résistait à son interpellation. Face à cette situation complexe, la caste politico-médiatique s’est indignée en bloc, cherchant peut-être à créer une affaire George Floyd en France...
    • 3 : Revue de presse
      Censure envers Eric Zemmour et ses soutiens, propagande pro-migrants… Nous reviendrons sur l’actualité médiatique de la semaine dans notre revue de presse.

    • 4 : Violences de l’extrême gauche : complicité médiatique
      La scène du lynchage d’un policier par des « black blocs » lors des manifestations contre la loi « Sécurité globale » a été très commentée. Certains journalistes et médias semblent complices de cette violence de l’extrême gauche.

     

                                                

     

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  • Dans la tête des indigénistes !...

    Le nouveau numéro de la revue Éléments (n°187, décembre 2020 - janvier 2021) est en kiosque!

    A côté du dossier consacré à l'indigénisme, on retrouvera l'éditorial d'Alain de Benoist, les rubriques «Cartouches», «Le combat des idées» et «Panorama» , un choix d'articles variés et des entretiens, notamment avec les intellectuels anglo-saxons Matthew Crawford, David Goodhart et Richard Sennett, l'essayiste Jean Bricmont, l'analyste politique Laurent Leylekian, l'écologiste spécialiste de l'énergie Jean-Marc Jancovici ou l'écrivain Jean-Pierre Montal, ainsi que les chroniques de Xavier Eman, d'Olivier François, de Laurent Schang, d'Hervé Juvin, de Ludovic Maubreuil, de Bruno Lafourcade, de Guillaume Travers, d'Yves Christen, de Bastien O'Danieli, de Slobodan Despot et de Jean-François Gautier...

    Bonne lecture !

    Vous pouvez commander ce numéro ou vous abonner sur le site de la revue : http://www.revue-elements.com.

     

    Eléments 187.jpg

    Au sommaire :

    Éditorial
    Les Titans et les dieux, par Alain de Benoist

    Agenda, actualités

    L’entretien
    L’enseignement de l’ignorance, dialogue avec David Goodhart, Matthew Crawford et

    Richard Sennett Propos recueillis par Thomas Hennetier (avec Ethan Rundell)

    Cartouches 
    Minutes heureuses avec Thomas Morales, le regard d’Olivier François

    Une fin du monde sans importance, par Xavier Eman

    Cinéma : Politique du cinéma populaire, par Ludovic Maubreuil

    Carnet géopolitique : négatif, le retour, par Hervé Juvin

    Champs de bataille : un an après Valmy, l’onde de choc de Hondschoote, par Laurent Schang

    L’anglobé, par Bruno Lafourcade

    Économie, par Guillaume Travers

    Bestiaire : La fin d’un mythe, le langage n’est pas le propre de l’homme, par Yves Christen

    Sciences par Bastien O’Danieli

    Le combat des idées
    Défense de l’autodéfense, par Éric Werner

    J. K. Rowling au bûcher, par Éric Grolier

    Entretien avec Jean Bricmont : « Les universitaires sont des cibles faciles », propos recueillis par David L’Épée

    Portfolio : dessine-moi un planisphère, Laurent Maréchaux et la pluralité des mondes

    Arménie : la leçon de realpolitik de Poutine, l’analyse de Laurent Leylekian, propos recueillis par Olivier François

    Épidémie de suicides chez les économistes, par Guillaume Travers

    Nos commémorations et nos anti-commémorations, par François Bousquet, Marie Chancel, Pascal Eysseric et Laurent Schang

    Entretien avec Jean-Pierre Montal : la fin des années rock, propos recueillis par Thomas Hennetier

    Entretien avec Jean-Marc Jancovici : « La décroissance est déjà une réalité », propos recueillis par Fabien Niezgoda

    Trotsky contre les trotskystes : le fondateur de l’Armée rouge superstar sur Netflix, par David L’Épée

    Michel Houellebecq, moraliste de notre temps, par Alexis Martinot

    Le cheval rouge d’Eugenio Corti, ici commence l’Apocalypse des hommes, par Gérard Landry

    À la découverte de Bernard Rio, la quête du dieu sauvage, propos recueillis par François Bousquet

    Lucien Bodard, voyeur de l’atroce, dernier des monstres sacrés, par Olivier François

    Dossier
    Dans la tête des indigénistes

    Des « études décoloniales » au racisme antiblanc, par Alain de Benoist

    Entretien avec Houria Bouteldja, aux sources du discours indigéniste, propos recueillis par Laurent James

    L’universalisme n’est pas la solution : pour une critique positive de l’indigénisme, par Alain de Benoist

    Panorama
    L’œil de Slobodan Despot

    Reconquête : la folie du monde vue de mon isba, par Slobodan Despot

    Un païen dans l’Église : le centaure est une centauresse, par Bernard Rio

    L’égalité est-elle le fondement d’une bonne république ? Par Jean-François Gautier

    L’esprit des lieux : les six musées du plus grand alpiniste de tous les temps, par Anne-Laure Blanc

    C’était dans Éléments : il faut détruire Beaubourg par Michel Marmin

    Éphémérides

     
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  • Agir malgré la décadence...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un entretien entre David Engels et Julien Rochedy.

    Historien, spécialiste de l'antiquité romaine, David Engels est l'auteur de deux essais traduits en français, Le Déclin. La crise de l'Union européenne et la chute de la République romaine (Toucan, 2013) et Que faire ? Vivre avec le déclin de l'Europe (Blauwe Tijger, 2019). Il a  également dirigé un ouvrage collectif, Renovatio Europae - Plaidoyer pour un renouveau hespérialiste de l'Europe (Cerf, 2020).

    Publiciste et essayiste, Julien Rochedy est une figure montante de la mouvance conservatrice et identitaire. Il vient de publier un essai intitulé Nietzsche l'actuel.

     

     

                                      

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