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Métapo infos - Page 416

  • Fascistes, pseudo-fascistes et mal-pensants...

    Les éditions Akribéia viennent de rééditer dans une version très augmentée l'ouvrage de Christophe Dolbeau intitulé Les Parias - Fascistes, pseudo-fascistes et mal-pensants.

    Historien indépendant, Christophe Dolbeau est notamment l'auteur de Ce qu'on ne vous a jamais dit sur la guerre d'Espagne (Fol'Fer, 2010), de Face au bolchévisme - Petit dictionnaire des résistances nationales à l'est de l'Europe 1917-1989 (Akribéia, 2015) ou encore de Des Gentlemen à part - Portraits de quelques mal-pensants du monde anglo-saxon (Akribéia, 2018).

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    " Au siècle dernier, de l’Irlande à la Mandchourie, ou de l’Inde à la Flandre, en passant par la France, les Pays-Bas, la Suisse, l’Espagne, la Norvège, l’Argentine, la Roumanie, la Slovaquie ou la Palestine, certains hommes – responsables politiques, militaires ou intellectuels – s’opposèrent, parfois les armes à la main, à ce que d’aucuns tenaient pour le « sens de l’histoire ». Cet engagement en conduisit même beaucoup à choisir le « mauvais camp » au cours de la Seconde Guerre mondiale, et il ne fut dès lors plus permis de parler d’eux qu’en termes de répugnance et d’exécration. Qualifiés, à tort ou à raison, de « fascistes » car ils s’inscrivaient peu ou prou dans le sillage de l’Italie et de l’Allemagne, ils étaient devenus de véritables parias. Huit décennies ont passé et cet ostracisme paraît aujourd’hui quelque peu désuet. Le présent ouvrage se propose donc de sortir des schémas habituels pour dépeindre quelques-uns de ces personnages sulfureux sous un jour moins passionné et peut-être plus objectif. Le but n’est pas de requérir contre eux et encore moins de les disculper ou de les réhabiliter, mais simplement de les présenter différemment. Au lecteur de se forger ensuite une opinion. 3e édition augmentée. "

    Au sommaire : John Amery, Hadj Amine al-Husseini, Subhas Chandra Bose, Staf de Clercq, Corneliu Zelea Codreanu, Arthur Fonjallaz, William Joyce, Oswald Mosley, Anton Mussert, Eoin O’Duffy, Juan Perón, Vidkun Quisling, Onésimo Redondo, Konstantin Rodzaïevsky, Anastase Vonsiatsky, Jozef Tiso, James Strachey Barnes, René Benjamin, Pierre Daye, Ezra Pound, Paul Gentizon, Ernesto Giménez Caballero, Pierre Hubermont, Sisley Huddleston, George Montandon, Louis Thomas, Georges Oltramare.

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  • Renaud Camus et le changement de peuple...

    A l'occasion de la réédition de son ouvrage Le Grand Remplacement aux éditions de La Nouvelle Librairie, vous pouvez découvrir un long entretien que Renaud Camus a accordé à son éditeur.

    A côté de la question du changement de peuple, Renaud Camus s'est aussi intéressé à celle touchant au changement de culture, et ses essais sur le sujet ont été regroupés dans un volume intitulé Le petit Remplacement (Pierre-Guillaume de Roux, 2019).

     

                                              

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  • Napoléon : quel héritage ?...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous le nouveau numéro de la Revue d'Histoire Européenne, dirigée par Laurent Berrafato. Ce trimestre le lecteur trouvera un dossier de fond consacré à Napoléon et à l'héritage qu'il a laissé, des articles variés et les rubriques régulières : actualités, interview, expositions, mémoire des lieux, portrait, histoire politique, cinéma, l’autopsie d’une bataille, l’histoire dans l’art,… 

    Il est possible de se procurer la revue en kiosque ou en ligne sur le site de la Librairie du collectionneur.

     

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    Sommaire :

    L'HISTOIRE EN ACTUALITÉ

    PATRIMOINE

    Versailles : la restauration du cabinet  d'angle du roi

    MÉMOIRE DES LIEUX
    Le théâtre antique d'Orange

    PORTRAIT
    Le maréchal de Lattre de Tassigny.

    ENTRETIEN
    Mgr Gérard Defois : la laïcité, une religion nationale ?

    DOSSIER
    Napoléon. Quel héritage ? (avec des articles de Pierre Branda, Clade Franc, François de Lannoy, Christopher Lannes, Jean-Paul Bled, Thierry Lentz et Martin Benoist)

    L'INDÉPENDANCE DE LA GRÈCE
    25 mars 1821, le soulèvement contre les Turcs

    BORGHESE, LE PRINCE NOIR
    et la Decima Flottiglia MAS

    LES FRANÇAIS ÉMIGRÉ AU CANADA
    pendant la Révolution

    HISTOIRE POLITIQUE
    Solidarnošc, du syndicat au mouvement social de masse

    AUTOPSIE D'UNE BATAILLE
    25 juin 524, la bataille de Vézeronce

    UN TABLEAU, UNE HISTOIRE
    La Bataille du Nil de Nicholas Pocock

    L'HISTOIRE AU CINEMA
    6 films pour un empire

    L'ABOMINABLE HISTOIRE DE FRANCE
    Une chronique iconoclaste de notre Histoire

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  • L’Europe et le « Grand Jeu » du XXIe siècle...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de David Engels, cueilli sur le Visegrád Post dans lequel il appelle l'Europe à donner la priorité absolue à la protection de ses propres intérêts plutôt qu’à des « droits de l’homme » évanescents.

    Historien, spécialiste de l'antiquité romaine, David Engels, qui est devenue une figure de la pensée conservatrice en Europe, est l'auteur de deux essais traduits en français, Le Déclin. La crise de l'Union européenne et la chute de la République romaine (Toucan, 2013) et Que faire ? Vivre avec le déclin de l'Europe (Blauwe Tijger, 2019). Il a également dirigé un ouvrage collectif, Renovatio Europae - Plaidoyer pour un renouveau hespérialiste de l'Europe (Cerf, 2020).

     

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    L’Europe et le « Grand Jeu » du XXIe siècle

    Lorsqu’il y a quelques jours, le Premier ministre hongrois Viktor Orbán a refusé de signer l’une des usuelles « déclarations préoccupées » de l’UE concernant la situation des droits de l’homme à Hong Kong, le tollé habituel a parcouru les médias occidentaux, qui y ont vu un nouvel exemple des tendances « illibérales » de l’État voyou hongrois. Loin de moi l’idée de banaliser les événements en Chine ou d’approuver les mesures prises par Pékin pour contrôler ses provinces périphériques. Toutefois, au vu des violentes émeutes aux États-Unis, en Espagne ou en France, et de la perte croissante des valeurs démocratiques fondamentales partout en Occident, la question se pose de savoir « s’il faut jeter des pierres lorsque l’on est assis dans une maison de verre », comme le dit un dicton allemand – cela est d’autant plus vrai si l’on considère la sélectivité avec laquelle l’Occident, chaque fois que cela est opportun dans les médias, se présente comme le défenseur des droits de l’homme, alors qu’en même temps, lorsque personne n’y prête attention de trop près, il conclut des contrats économiques de plusieurs milliards avec les mêmes gouvernements et est très heureux de pactiser avec des dictateurs pour autant qu’ils soient de « notre » côté. Ces considérations ne doivent pas être interprétées comme un appel cynique au relativisme moral ; au contraire, je suis plutôt préoccupé par l’idée que l’Occident devrait se mettre à une certaine cohérence idéologique afin d’être enfin crédible tant à l’extérieur qu’à l’intérieur, et d’empêcher que de nombreux citoyens tout comme nos voisins soient de plus en plus dégoûtés par le « deux poids, deux mesures » occidental, voire conspirent ensemble pour nous renverser.

    Si la politique étrangère devait se fonder uniquement sur les droits de l’homme, comme le veut l’auto-représentation actuelle de l’Europe, ces derniers devraient alors tout d’abord être véritablement mis en œuvre à l’intérieur (il y aurait beaucoup à faire dans ce domaine), puis de manière cohérente et juste à l’extérieur – avec la conséquence probable que presque toutes les relations avec l’Asie ainsi qu’avec l’Afrique devraient être complètement rompues, sans parler des conséquences catastrophiques à prévoir, notamment en matière de politique économique, étant donné que notre dépendance à l’industrie de l’Asie de l’Est fait que le développement de structures industrielles équivalentes chez nous est devenu presque impossible, du moins à court et à moyen terme. Voulons-nous payer ce prix ? Si oui, allons-y !

    Une autre solution consisterait à donner la priorité absolue à la protection des intérêts européens plutôt qu’à ces « droits de l’homme » usuellement fort sélectifs, et à fonder la politique étrangère de notre continent, du moins dans un premier temps, sur la garantie de notre indépendance stratégique et de notre autonomie économique maximale, mais en s’abstenant de cet interventionnisme verbal édenté et peu crédible, afin de pouvoir ensuite, sur une base solide et dans une position de force et de crédibilité réelles, défendre le droit et la justice également à l’étranger.

    Or, nous en sommes très loin, d’autant plus que l’élite politique européenne actuelle a perdu tout sens de la géopolitique ou s’est laissée instrumentaliser par des lobbies influents qui poursuivent leurs propres objectifs et n’ont que très rarement à cœur le bien de la civilisation occidentale dans son ensemble.

    Le monde de l’avenir, voire déjà du présent, est dominé par de grandes zones économico-politiques qui s’efforcent certes d’exercer une hégémonie relative sur leurs périphéries, mais n’ont aucune possibilité de parvenir à une véritable domination mondiale à long terme. La Chine, l’Inde, la Russie, les États-Unis et le Brésil sont devenus les cœurs de nouveaux empires multilatéraux qui, au mieux, maintiennent un équilibre précaire et ne se frottent qu’à leur périphérie, mais qui, au pire, pourraient plonger dans des conflits autodestructeurs.

    L’Europe doit reconnaître cette situation ; qu’elle le veuille ou non, elle doit se considérer comme un autre joueur dans ce nouveau « Grand Jeu » très dangereux et se doter des institutions appropriées pour jouer ce jeu activement et efficacement afin de ne pas devenir une quantité négligeable. Pour ce faire, il est bien sûr nécessaire d’éclairer ces irréductibles qui croient encore qu’une Europe de 40 minuscules États-nations en brouille permanente aurait la moindre chance dans cette situation, et de démasquer au grand jour le fait que ceux qui, aujourd’hui, prétendent protéger l’Europe vendent en fait les intérêts occidentaux au plus offrant.

    Mais cela ne peut se réaliser que par une prise de conscience collective de notre identité historique commune, car sans cette identité, l’espoir de solidarité et ainsi de cohésion politique restera chimérique. Il s’agit donc là du véritable levier du futur de l’Europe au XXIe siècle.

    David Engels (Visegrad Post, 14 mai 2021)

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  • Hold-up végan sur nos assiettes...

    Les éditions de L'Aube viennent de rééditer au format poche l'enquête de Gilles Luneau intitulée Steak barbare - Hold-up végan sur l'assiette.  Journaliste, Gilles Luneau a publié plusieurs essais, notamment avec José bové, comme Le monde n'est pas une marchandise ( La Découverte, 2000), Hold-up à Bruxelles - Les lobbies au cœur de l'Europe (La découverte, 2015) ou L'alimentation en otage (Autrement, 2015).

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    " Ce livre est la première enquête indépendante et approfondie sur l’agriculture dite « cellulaire ». Ce terme tient de la novlangue en ce qu’il annonce comme relevant de l’agriculture la production d’aliments – plus particuliè­rement des produits animaux – à partir de cellules souches cultivées en laboratoire ou de substituts végétaux assemblés avec des protéines de synthèse.
    Viandes, œufs, laitages, poissons, fruits de mer, gélatines, cuirs, soies… sont (ou seront bientôt) fabriqués indus­triellement… sans passer par la ferme ! L’enquête, menée aux États-Unis et en Europe, s’attache aux ­start-up de cette nourriture artificielle, aux financeurs, aux fondations qui les portent et aux mouvements que ces fondations ­soutiennent, notamment le mouvement végan. On ne met pas trois cent vingt-cinq mille dollars dans un « steak » sans idées ­derrière la tête… Ce livre-document lève le voile sur ces pratiques et l’idéologie qui les anime. Il alerte sur la ­rupture de civilisation qui est à l’œuvre. Il était temps ! "

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  • Les quatre plus grandes erreurs du féminisme idéologique...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous une intervention de Julien Rochedy dans laquelle il évoque le féminisme idéologique et ses erreurs...

    Publiciste et essayiste, Julien Rochedy est une figure montante de la mouvance conservatrice et identitaire. Auteur d'un essai intitulé Nietzsche l'actuel, il publie un nouveau livre, L'amour et la guerre - Répondre au féminisme.

     

                                                   

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