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Métapo infos - Page 324

  • Eloge de la viande...

    Le numéro 51 du mensuel conservateur L'Incorrect est en kiosque. On peut notamment découvrir à l'intérieur un dossier central consacré à la viande, un dossier politique sur l'union des droites, des entretiens avec Guillaume Zeller, avec Bérénice Levet et avec Olivier Dard ainsi que les rubriques habituelles "Monde", "Essais", "Culture", et "La fabrique du fabo"...

    Le sommaire complet est disponible ici.

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  • Les paradoxes de Raymond Abellio...

    Dans ce nouveau numéro de l'émission de TV Libertés, « Les idées à l’endroit », Rémi Soulié, pour évoquer la figure de l'écrivain Raymond Abellio, reçoit Jean-Charles Roux, membre du bureau de l'association "Raymond Abellio, Recherches et Études" (ARARE) et Raphaël Juan, conservateur des bibliothèques.

    " Étrange Raymond Abellio (1907-1986) : issu d’un milieu très modeste, il intègre la prestigieuse École Polytechnique ; d’abord "homme de puissance", engagé dans l’action politique qui le mènera de la gauche socialiste révolutionnaire au collaborationnisme, ensuite, "homme de connaissance", métaphysicien et romancier voué à l’étude des sciences sacrées traditionnelles. L’Occident, d’après lui, n’a pas dit son dernier mot : et si la pensée philosophique moderne et la recherche scientifique renouaient avec la plus ancienne sagesse ? "

     

                                              

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  • La révolution antipolitique ?...

    Les éditions Magnus viennent de publier le nouvel essai de Laurent Obertone intitulé Game over - La révolution antipolitique. Journaliste, Laurent Obertone est l'auteur de trois enquêtes essentielles, La France Orange mécanique (Ring, 2013), La France Big Brother (Ring, 2015) et La France interdite (Ring, 2018), qui ont contribué à ébranler l'édifice du politiquement correct, ainsi que du récit Utøya (Ring, 2013) et des roman de politique-fiction Guérilla - Le jour où tout s'embrasa (Ring, 2016) et Guérilla - Le temps des barbares (Ring, 2019).

     

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    " C'est à ce jeu infernal que nous perdons tout.

    C'est à ce jeu maudit que nous devons l'immigration de masse, l'ensauvagement des rues, le conditionnement médiatique, l'étranglement des libertés, l'effondrement économique, la dépression sociale, la persécution idéologique, morale et fiscale...

    C'est à ce jeu odieux que nous devons notre crépuscule.

    Et si une autre voie était possible ? Et s'il fallait agir autrement ?

    Et si pour cesser de perdre, il fallait cesser de jouer ?

    Bienvenue dans le livre le plus anti-démocratique de tous les temps.

    Auteur à succès de constats devenus centraux dans le débat public, Laurent Obertone pulvérise le cirque électoral et livre son « testament antipolitique ». Ou comment résoudre point par point les problèmes du pays, reprendre en main notre destin, retrouver notre âme. Sans parti, sans État, sans élections. Et sans leur permission. Voilà Game Over : un manifeste radical et nécessaire. Un essai furieusement juste et délicieusement révolutionnaire. "

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  • Les Chinois, grands gagnants de la guerre en Ukraine...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Renaud Girard cueilli sur Geopragma et consacré à la position chinoise concernant la guerre russo-ukrainienne. Grand reporter au Figaro, Renaud Girard est membre du comité d'orientation stratégique de Geopragma.

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    Les Chinois, grands gagnants de la guerre en Ukraine

    « L’Amitié entre le peuple chinois et le peuple russe est solide comme un roc et les perspectives de coopération future sont immenses » a affirmé devant la presse, le lundi 7 mars 2022, le ministre chinois des Affaires étrangères. C’est une inflexion majeure de la politique chinoise qui, jusqu’à présent considérait le respect de l’intégrité territoriale des États comme la pierre angulaire des relations internationales. 

    En leur for intérieur, les dirigeants communistes chinois n’approuvent pas l’invasion de l’Ukraine décidée par Vladimir Poutine. La séquence russe actuelle contre l’Ukraine leur rappelle trop la séquence japonaise contre leurs grands-parents. Le Donbass de 2014 leur rappelle l’invasion de la Mandchourie de septembre 1931. L’invasion générale de l’Ukraine leur rappelle l’agression japonaise de 1937 et la prise de Pékin dès le mois d’août 1937.

    Mais les hiérarques chinois taisent leur réprobation, afin de s’enfoncer dans la brèche stratégique que leur a ouverte le président russe. Les sanctions générales décidées par les Occidentaux contre la Russie vont à moyen terme faire d’elle un vassal économique de la Chine. Les stratèges de Pékin ne pouvaient pas laisser passer une pareille aubaine.

    Quand vous entrez dans un grand magasin à Moscou, les étalages sont parfois mieux garnis qu’à Paris. Mais la plupart des produits sont importés d’Europe, d’Amérique du nord ou de Chine. Le problème pour les Russes est désormais qu’ils n’ont plus accès aux services financiers de l’Occident (paiements Swift, cartes de crédit internationales, prêts en euros et en dollars, virements sécurisés, etc.). Donc ils devront passer par la Chine pour importer les produits qui leur manqueront. Les Russes rêvent d’un système financier mondial qui ne soit plus sous la coupe des États-Unis. Ils veulent créer, avec les Chinois, un système de paiements internationaux alternatif à l’hégémonie du dollar. Mais ce nouveau système sera forcément chinois. 

    En attendant, les grandes banques chinoises se montrent courageuses, mais pas téméraires. Comme elles ne veulent pas prendre le risque d’être interdites d’accès aux marchés du dollar et de l’euro, elles ne contournent pas au profit de la Russie les interdictions décidées à Washington et à Bruxelles.

    Les Chinois utiliseront la Russie comme leur premier fournisseur d’énergie et de métaux. Ils la gaveront de produits manufacturés. Ils feront de grandes réceptions diplomatiques pour louer leur partenariat avec Moscou. Mais ils auront l’intelligence de ne pas mettre tous leurs œufs dans le même panier. Pour les hydrocarbures, ils garderont des liens d’approvisionnement avec l’Iran et avec les pétromonarchies arabes du Golfe Persique. Les Émiratis font de moins en moins confiance aux Américains. Voilà pourquoi, aujourd’hui, ils ont choisi la France comme plan B en matière de sécurité, et la Chine comme nouveau client privilégié de leur pétrole et de leur gaz.

    Sur le long terme, la colonisation chinoise de la Sibérie continuera. Il sera en effet très difficile à Vladimir Poutine de refuser des visas aux Chinois désireux de résider en Russie.

    Bref les Chinois sont les grands gagnants de cette guerre absurde entre frères russes et ukrainiens. Ils l’observent calmement, constatant qu’elle n’est pas guerre de civilisation mais plutôt sanglante querelle de famille. 

    Les Chinois sont heureux de tirer toutes sortes de leçons. Ils voient la difficulté qu’a l’armée russe à avancer dans les villes face à un adversaire déterminé à se battre. Ils admirent le talent des Ukrainiens dans la communication. Ils constatent la capacité de l’Occident à resserrer les rangs dès lors qu’il est menacé. Ayant étudié tout cela, ils vont se montrer très prudents avant d’envahir Taïwan.

    Les Chinois sont les grands gagnants de cette affaire et ils sont les seuls. Les autres acteurs géopolitiques sont tous perdants, à des degrés divers et sous des formes diverses. Les Ukrainiens ont gagné la sympathie du monde occidental, mais ça ne leur rendra pas leurs morts, ni leurs immeubles détruits. Les Russes sont d’ores et déjà de très grands perdants car occuper un champ de ruines n’a jamais rien rapporté à personne. Leur économie va prendre un retard qui sera très difficile à rattraper par les jeunes générations post-Poutine. 

    Les États-Unis sont de très petits perdants, car ils pourront vendre du gaz de schiste à l’Europe. Plus que jamais guidés par leurs émotions, les Européens seront de grands perdants car ce sont eux – pas leurs alliés américains – qui faisaient beaucoup de commerce avec les Russes.

    L’imprudence des Occidentaux à n’avoir pas fermé définitivement, en avril 2008, l’accès à l’Otan, et l’agression folle de Poutine apparaissent comme un cadeau du ciel aux Chinois. Ils ne s’y attendaient pas le moins du monde.

    Renaud Girard (Geopragma, 9 mars 2022)

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  • Rush !...

    Les éditions Auda Isarn viennent de publier un roman de Julien Ruzé intitulé Rush sur le milieu des supporters ultra. L'auteur, qui a fréquenté activement le Kop de Boulogne au Parc des Princes, livre un roman que devraient apprécier ceux qui ont aimé Football Factory, La meute ou Aux couleurs de l'Angleterre, de John King.

     

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    " Le hooliganisme est une passion dévorante pour Nicolas. Il s’est choisi une famille, à la vie à la mort : celle qui tisse des liens que rien ne distend, ni le temps, ni l’éloignement géographique, ni les responsabilités que confère la paternité.

    En marge des matchs de football, les rixes violentes entre bandes rivales ne sont pas rares. Lorsque Gilles, le leader de la bande, est victime d’un lâche guet-apens, le séisme est tel que seule une terrible vengeance pourra éteindre la rage provoquée dans les cœurs et les esprits de ses compagnons de route.

    Rush est une plongée furieuse dans un univers méconnu et sombre, une quête d’adrénaline sur fond de contre-culture à fort accent britannique et de musique électronique ravageuse.

    Des coursives bétonnées des stades à l’arrière-salle d’un troquet, de la fosse bouillonnante du Bataclan à une forêt domaniale de la Marne, c’est une histoire singulière et rythmée, au langage cru et direct, qui ne laissera aucun lecteur indifférent. Un roman coup de poing s’inscrivant dans la lignée des livres de John King ou d’Irvine Welsh. "

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  • Sommes-nous tous Américains ?...

    Pour cette nouvelle édition de Cette année-là, Patrick Lusinchi, avec François Bousquet, rédacteur en chef d’Éléments, Olivier François, chroniqueur, et Christophe A. Maxime, rédacteur, évoque l'américanisation de la France...

     

                                            

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