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Métapo infos - Page 297

  • Tour d'horizon... (223)

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    Au sommaire cette semaine :

    - sur la Lettre de Communication & Influence du mois de janvier 2022, Bruno Racouchot interroge Eric Branca, journaliste et historien, sur le recyclage d'une partie des ex-élites du IIIe Reich par les Américains et les Soviétiques...

    Recycler ses ex-ennemis pour optimiser sa puissance et son influence : un cas pratique décrypté par Eric Branca

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    - sur Le Grand Continent, le publiciste et chercheur Lorenzo Castellani, évoque le nouvel ordre qui, avec la crise du Covid et la guerre en Ukraine, prend forme sous nos yeux...

    Un nouveau brouillard de guerre

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  • Feu sur la désinformation... (369)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, et Jules Blaiseau.

    Au sommaire :

    • 1 - L'image de la semaine
      Emmanuel Macron, après avoir copié les photos de J.F Kennedy et B. Obama, reprend les clichés de Volodymyr Zelenski. Jean-Yves Le Gallou revient sur le président-narcisse qui aimait se contempler.
    • 2 - Les plus gros bobards de guerre
      Lorsqu'il y a guerre, il y a bobard. Pire encore, pour qu'il y ait guerre, il doit y avoir bobard. Jean-Yves Le Gallou et Jules Blaiseau reviennent sur 5 bobards de guerre où les gouvernements et médias ont menti au monde entier pour justifier des bombardements, des invasions et des conflits. Koweït, Kosovo, Irak, Lybie et Syrie : tant d'exemples qui nous invitent à traiter les informations en temps de guerre avec recul et prudence.
    • 3 - Revue de presse
      Débat sans débat, le CSA rééduqué par Fatima, un académicien installe le malaise sur le plateau de la 5.
    • 4 - La Corse flambe, les médias détournent le regard
      Jean-Yves Le Gallou revient pour vous sur les affrontements violents qui opposent manifestants corses et forces de l'ordre et sur le traitement de faveur dont jouissait Franck Elong Abe, l'agresseur d'Yvan Colonna, en prison.

                               

     

     

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  • Houellebecq politique...

    Les éditions Flammarion viennent de publier un essai de Christian Authier intitulé Houellebecq politique. Écrivain, journaliste et cinéphile, Christian Authier est notamment l'auteur de De chez nous (Stock, 2014), de Soldat d'Allah ( Grasset, 2014), du Dictionnaire chic de la littérature française (Ecriture, 2015) ou de Les mondes de Michel Déon (Séguier, 2018).

    Son livre viendra compléter les essais d'Emmanuel Dion, La comédie économique - Le monde marchand selon Houellebecq (Le Retour aux sources, 2014), de Bernard Marris, Houellebecq économiste (Flammarion, 2014) ou de Michel Onfray, Miroir du nihilisme - Houellebecq éducateur (Galilée, 2018).

     

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    " Dans la lignée du Houellebecq économiste de Bernard Maris, Christian Authier propose un Houellebecq politique en s'appuyant sur ses romans, depuis Extension du domaine de la lutte jusqu'à son dernier, Anéantir, mais aussi sur les entretiens de celui qu'on a cru voir dériver de la gauche antilibérale à la droite néoréac.Mais qui est donc le Houellebecq politique ? Est-il de droite ? De gauche ? Néoréac ? Islamophobe ? Pourfendeur de Mai 68 et de la libération des mœurs ? Apologue d'une sexualité débridée ? Souverainiste ? Décliniste ? Conservateur ? Dénonciateur implacable du libéralisme économique et de la mondialisation ? "

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  • Comment arrive-t-on à la guerre ?...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un entretien donné par Pierre Conesa à Thinkerview, consacré à la situation internationale.

    Agrégé d'histoire et énarque, Pierre Conesa a fait partie dans les années 90 de la Délégation aux affaires stratégiques du Ministère de la défense. Il est l'auteur de plusieurs essais, dont, notamment, Dr. Saoud et Mr. Djihad - La diplomatie religieuse de l'Arabie saoudite (Robert Laffont, 2016), Hollywar - Hollywood, arme de propagande massive (Robert Laffont, 2018), et Le lobby saoudien en France - Comment vendre un pays invendable (Denoël, 2021).

     

                                             

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  • Algérie : le piège gaulliste...

    Les éditions Perrin viennent de publier une étude historique d'Henri-Christian Giraud intitulée Algérie : le piège gaulliste - Histoire secrète de l'indépendance. Journaliste, ancien directeur adjoint de la rédaction du Figaro Magazine, il a publié plusieurs solides études historiques, dont, en particulier, Une histoire de la révolution hongroise (Rocher, 2006) et De Gaulle et les communistes (Perrin, 2020).

     

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    " « Je ne me sens bien que dans la tragédie. » – Charles de Gaulle

    Au terme de sa longue traversée du désert, Charles de Gaulle s'empare de la cause de l'Algérie française pour prendre le pouvoir en 1958.
    Loin des hésitations et des tâtonnements que certains historiens prêtent au Général à cette époque, Henri-Christian Giraud dresse le portrait d'un homme déterminé, guidé par une idée qu'il suivra tout au long de l'affaire algérienne : l'indépendance ne fut jamais pour lui une concession accordée à contrecœur, pas plus qu'une noble initiative anticolonialiste placée sous le signe du temps. Elle fut un moyen, un prétexte pour la France de s'extraire d'une colonie dont elle n'avait plus rien à espérer.
    Convaincu de servir l'intérêt supérieur de son pays, de Gaulle doit faire face à de nombreux obstacles : l'armée, l'opinion publique, le gouvernement, le peuple français, la presse, les agitateurs, les Européens d'Algérie... Autant d'intransigeants que ce " prince de l'ambiguïté " entend surmonter à sa façon. Faisant miroiter l'association aux uns, la sécession aux autres, louvoyant entre représentants de l'URSS, du FLN, du GPRA et de son propre camp, de Gaulle orchestre d'une main de maître, et par une série de coups montés, le piège dans lequel tous les acteurs du conflit vont être amenés à glisser, jusqu'à la tragédie finale.
    Un document capital, fondé sur des archives inédites, notamment soviétiques, et des observations presque quotidiennes de nombreux témoins clés des événements. "

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  • Vers la fin d'un État central qui impose sa norme à tous les citoyens ?...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Michel Maffesoli, cueilli sur Figaro Vox et consacré aux émeutes en Corse, provoquées par la tentative de meurtre commise en prison sur Yvan Colonna par un détenu djihadiste.

    Penseur de la post-modernité, ancien élève de Julien Freund et de Gilbert Durand, Michel Maffesoli a publié récemment  Les nouveaux bien-pensants (Editions du Moment, 2014) , Être postmoderne (Cerf, 2018), La force de l'imaginaire - Contre les bien-pensants (Liber, 2019) ou, dernièrement, La faillite des élites (Lexio, 2019).

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    Michel Maffesoli: «L'autonomie corse ou la fin d'un État central qui impose sa norme à tous les citoyens»

    Les soulèvements, appelés à se développer, soulignent le refus d'une société aseptisée, dans laquelle ce qu'Étienne Balazs nommait la «bureaucratie céleste» impose, d'une manière abstraite, ce qu'elle considère comme étant le bien absolu. La verticalité du pouvoir surplombant n'est plus chose aisément admise. C'est bien ce que nous apprennent les nocturnes révoltes de l'Île de Beauté. Mais pour saisir ces phénomènes, il faut savoir prendre du recul.

    Le soulèvement en Corse a été déclenché selon un scénario maintenant habituel : un évènement tragique, l'agression d'Yvan Colonna par un détenu emprisonné pour terrorisme islamiste. Notons que cette agression d'un «condamné» par un terroriste n'a pas été vraiment relevée par les observateurs. Il montre tout simplement qu'un détenu n'équivaut pas à un autre détenu, il n'y a pas de fraternité entre des détenus issus de communautés aussi différentes. Le monde carcéral est le miroir des différentes tribus qui fragmentent notre société. Le service public de la pénitentiaire, obéissant aux principes du service public issus de la modernité, ne prend pas en compte ces différences, il considère que tous les usagers de la prison sont identiques. Certes il doit y avoir égalité de traitement entre tous les détenus[1], mais la vie en commun en prison doit tenir compte des amitiés et inimitiés possibles entre groupes différents et pas seulement du statut de détenu, dangereux, particulièrement surveillés etc.

    Cette agression d'Yvan Colonna a été le déclencheur d'un mouvement de protestation qui a emprunté les principaux symboles des soulèvements corses, notamment l'extrême violence. Même si les jeunes gens qui se soulèvent, brûlant voitures et bâtiments publics, sont d'une génération qui n'a pas connu les mouvements autonomistes violents et pour qui Yvan Colonna représente plus un héros d'une épopée passée qu'un chef de parti.

    C'est pourquoi ces soulèvements mettent en relief les différentes caractéristiques du changement d'époque que nous vivons, le passage de la modernité à la postmodernité, d'une société d'individus unis par le contrat social et la toute-puissance de l'État central à une société tribalisée dans laquelle le défi est la coexistence de ces différentes tribus dans un consensus à construire.

    Quelles sont les principales caractéristiques de ce soulèvement corse ?

    Tout d'abord, le combat corse est dirigé contre l'État, l'État central, l'État jacobin. Il n'est pas anodin de voir que les soulèvements contre l'État central et contre le pouvoir régalien (police, justice, pénitentiaire) s'exacerbent après deux ans d'une crise sanitaire interdisant tout rassemblement, voire toute mise en relation au-delà du tout petit cercle de la famille nucléaire. On le sait, la Corse est une région dans laquelle les solidarités familiales, avec la famille élargie, le «clan» sont fortes et on imagine que l'isolement des anciens dans les villages, sans visite des plus jeunes, a produit une forte irritation. La gestion autoritaire de cette crise sanitaire, la stratégie de la peur a entraîné de multiples soulèvements.

    Ce n'est pas la France qui est brocardée par les émeutiers, mais l'État central français. Et il importe de bien faire la distinction. L'homme politique Pupponi a dit récemment «l'État central n'a jamais aimé la Corse». On pourrait d'ailleurs dire qu'il n'a jamais aimé non plus l'Alsace, ni la Bretagne comme il n'aime en général pas toute affirmation d'un «idéal communautaire».

    Le nationalisme corse est emblématique de ce qu'est un nationalisme non étatique : nationalisme vient du latin, nascere, naître, on fait partie d'une nation parce qu'on est né ensemble dans ce lieu-ci. Comme je le dis souvent, le lieu fait lien. Mais il ne s'agit pas d'un nationalisme de la race ou du sang, mais bien d'un nationalisme du sol, du sol local. Ce nationalisme-là n'est pas tant un nationalisme individuel (je suis Corse), mais plutôt signe l'appartenance à un lieu, à une histoire, à un destin commun qui dépasse les individus.

    L'autonomisme corse, breton, alsacien, ne sont pas dirigés contre la France, mais contre l'idée que le seul représentant de la France serait l'État central.

    En ce sens la revendication d'autonomie touche l'étatisme centralisateur qui est rejeté par tous les Français, pas seulement ceux issus d'une région traditionnellement autonomiste. Le retour des territoires, du «terroir», de la ruralité participe de la même évolution.

    C'est le retour de l'idéal communautaire. Idéal communautaire largement hybridé : la Nation c'est là où on est né, ou plutôt là où l'on fait souche. Où l'on s'implante.

    Cette revendication de territoires ou de communautés d'appartenance est bien celle d'une autonomie : avoir pour sa communauté ses propres lois, en ce qui concerne la vie quotidienne : la langue parlée et enseignée à côté de la langue française, le respect des coutumes locales, du patrimoine local, le refus du rouleau compresseur d'un universalisme homogénéisant. Mais les territoires autonomes comme les communautés autonomes vivent dans un pays, voire un ensemble de pays qui peuvent former ce qui s'apparenterait à un empire, au sens non pas de l'empire napoléonien ou de l'empire colonial, mais plutôt de l'empire romain ou de l'empire austro-hongrois voire du Saint Empire romain germanique. Une constellation de nations.

    Cette vision rejoint d'ailleurs la question de l'idéal communautaire que j'ai largement développée : car les appartenances aujourd'hui sont multiples, loco-nationales au sens de ces autonomies, mais plus diverses et plurielles, religieuses, culturelles, sportives, altruistes etc. C'est d'ailleurs paradoxalement cette diversité qui pourra donner naissance au-delà de la République Une et Indivisible, à laquelle nous sommes habitués, à une res publica s'exprimant dans une sorte mosaïque. Les communautés diverses apprenant à se côtoyer, à se «frotter» les unes aux autres, à se supporter. Bien sûr, la revendication communautaire ou autonomiste est pour part excluante et le nationalisme corse ne manque pas d'affirmations de ce type d'intolérance à l'autre. Mais la question républicaine aujourd'hui est bien plus de trouver des formes de mise en œuvre de cet «idéal communautaire»[2] que de brocarder le «communautarisme». On peut être Français et Corse, et Alsacien, comme d'ailleurs on peut être musulman et amateur de foot, catholique et fan de tel ou tel groupe musical etc.

    Force est de constater aussi que ce mouvement est largement répandu dans le monde : parlons des Écossais, des Gallois par rapport à la Grande Bretagne, mais aussi des territoires russophones de l'est de l'Ukraine justement. S'opposer à l'autonomie, vouloir brider cette énergie nationaliste risque, on le sait, de nous entraîner dans une spirale agressive voire guerrière. Bien sûr l'État français ne bombarde pas la Corse et celle-ci ne se fait protéger par aucune autre puissance, la comparaison s'arrête là.

    Autre caractéristique donc de ce soulèvement corse : son expression émotionnelle.

    L'expression émotionnelle, fût-ce sous forme violente est aussi dans l'air du temps. Et rien ne sert de vouloir la contenir à jets de satisfactions de pseudo-revendications. Le vouloir-vivre ensemble ne s'achète pas.

    Bien sûr les jeunes Corses peuvent se vanter «d'avoir obtenu plus en cinq jours d'émeutes que les élus autonomistes de l'île en cinq ans». Il n'empêche, comme le mouvement des «gilets jaunes», comme les manifestations contre le passe sanitaire, celles contre le masque, celles contre la politique sanitaire du gouvernement, ce sont des mouvements avant tout faits pour exprimer une énergie de l'être-ensemble, sa puissance, ce que j'appelle la puissance populaire.

    On retrouve les «Jacqueries de la Grande Peur» : alors même que la Révolution avait mis au pouvoir des représentants du Tiers État, le peuple n'a pas eu confiance en cette révolution institutionnelle et s'est imaginé qu'il y avait derrière cela un complot, celui des puissants, des aristocrates, du roi etc.

    La nuit du 4 août pensa y répondre, mais elle n'éteignit pas tout à fait la Grande Peur. Et ces soulèvements, ces émeutes ont été le prélude à une période de plus en plus violente, répression des Chouans, Terreur etc.

    Alors comment répondre à ces mouvements ?

    Sans doute une réponse d'en haut n'est-elle pas opérationnelle. Accorder le statut d'autonomie à l'île, sûrement, mais à condition que celui-ci ne soit pas une coquille vide institutionnelle, mais permette aux forces vives locales, corses d'exprimer ensemble leur puissance, leur créativité.

    Sachant aussi que nous sommes dans un monde mondialisé et nomade et que l'idéal communautaire ne peut pas se réduire à l'exclusion et à la purification des locaux. Doivent être Corses (ou Alsaciens, Bretons, Catalans, ou Occitans etc.) ceux qui symboliquement s'inscrivent dans cette «geste-là, dont l'initiateur en Corse fut Pascal Paoli.

    L'autonomie ne signifie pas seulement donner plus de pouvoir aux régions, aux départements. Elle ne signifie pas seulement leur donner compétence pour décider des lois relatives à l'éducation, à la santé, à tout sujet non régalien. L'autonomie appelle un profond changement de l'État central, du centralisme technocratique. Car ces soulèvements visent autant les hauts fonctionnaires, l'État profond que les représentants politiques. Ils en appellent autant à un changement du mode de gestion des services communs que des institutions. Il s'agit, ni plus ni moins de trouver des modes d'expression à la puissance populaire pour remplacer des élites et un pouvoir largement déphasé. N'est-ce point cela, ce que Vilfredo Pareto nommait la «circulation des élites» ?

    L'autonomie est, comme l'a bien montré Gaspard Koenig la simplification extrême, la discrétion de l'État, l'abolition des multiples normes nationales, européennes. C'est la restauration d'un régime de confiance plutôt que d'un régime de précaution et de défiance.

    L'autonomie c'est la fin d'un État qui dit, pense et impose le bien à tous les citoyens, fût-ce contre leur gré.

    En ce sens ce n'est pas un hasard si la «crise» corse suit la crise sanitaire, c'est-à-dire la gestion d'une épidémie par la peur et l'imposition, ce que j'ai appelé un «totalitarisme doux».

    Michel Maffesoli (Figaro Vox, 16 mars 2022)

    Notes :

    [1] Ce qui n'est d'ailleurs pas le cas d'Yvan Colonna à qui la libération conditionnelle est systématiquement refusée et qui n'a pas pu jusqu'alors être incarcéré au plus proche de sa famille comme c'est la règle pour les longues peines.

    [2] J'emploie ce terme au sens que Hannah Arendt donnait à «l'idéal démocratique» : l'idéal type qui structure une société. Aujourd'hui comme je le dis depuis plus de 30 ans, la société est tribalisée. Cf Le Temps des tribus (1988) 4e édition, La Table ronde.

     
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