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Métapo infos - Page 201

  • La naissance du patriotisme...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous l'émission Passé présent de TV Libertés, diffusée le 24 janvier 2023 dans laquelle Philippe Conrad reçoit Michel De Jaeghere pour son ouvrage La mélancolie d'Athéna (Les Belles Lettres, 2022). Journaliste, rédacteur en chef du Figaro Histoire, Michel De Jaeghere a notamment publié Les derniers jours - La fin de l'empire romain d'Occident (Les Belles Lettres, 2014) et Le Cabinet des antiques - Les origines de la démocratie contemporaine (Les Belles Lettres, 2021).

     

                                              

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  • De Jeune Europe aux Camps Hobbit...

    Les éditions Ars Magna viennent de publier un essai de Giovanni Tarantino intitulé De Jeune Europe aux Camps Hobbit - 1966-1986, vingt années d'expériences mouvementistes au-delà de la droite et de la gauche. Sicilien, l'auteur est journaliste et auteur de plusieurs essais.

     

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    " De Jeune Europe aux Camps Hobbit de Giovanni Tarantino donne à son lecteur (et aussi aux chercheurs, compte tenu de son niveau) une carte lui permettant de s’orienter à travers l’archipel complexe d’une jeune droite italienne qui se réinventa entre 1966 et 1986.
    Si les références italiennes de celle-ci sont majoritaires, on croise aussi dans ce livre un Belge : Jean Thiriart ; des Français : Alain de Benoist, Guillaume Faye et Jack Marchal ; et une série d’écrivains anglo-saxons non directement politiques : Jack Kerouac, Ezra Pound et John Tolkien.
    La lecture de cet ouvrage permettra de comprendre tant la mutation du MSI en Alliance nationale, que le substrat idéologique sur lequel est né Casa Pound.
    Last but not least, ce livre regorge d’exemples concrets qui restent d’actualité et qui peuvent être transposés, hic et nunc, d’Italie en France."

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  • La Terreur, une ZAD historique pour la gauche ?...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un point de vue de Thierry Lentz cueilli sur Figaro Vox et consacré à la polémique montée par les médias de gauche autour du film Vaincre ou mourir, de Vincent Mottez et Paul Mignot, qui met à l'honneur le chef vendéen Charette.

    Historien, directeur de la Fondation Napoléon, Thierry Lentz est l'auteur de nombreux ouvrage sur l'Empereur et le 1er Empire, dont dernièrement Pour Napoléon (Perrin, 2021). Mais, on lui doit également une enquête passionnante sur l'assassinat du président des Etats-Unis John Kennedy ainsi qu'une étude intitulée Le diable sur la montagne - Hitler au Berghof 1922-1944 (Perrin, 2017).

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    Pour une certaine gauche, la Terreur reste une ZAD historique intouchable

    Les déconstructeurs de l'histoire de France, pour qui il n'y a en l'espèce qu'un « roman », qu'une intoxication séculaire voire un outil d'extrême-droitisation des esprits, ne dorment jamais, nous le savons. La chasse à tout ce que le général de Gaulle aurait trouvé « grand, beau et généreux » dans notre passé ne doit jamais s'arrêter. Et lorsque le cinéma produit un long métrage qui permet de cracher encore un peu plus dans la soupe nationale, la presse de gauche (qui se croit la seule à avoir de la hauteur et à parler vrai) se régale et se gargarise du « courage » du réalisateur ou de l'acteur. Foin des qualités et défauts cinématographiques ou esthétiques, pas question de tenter de trier le bon grain de l'ivraie historique : le film est forcément une œuvre qui échappe à l'examen critique et provoque l'extase obligatoire. Œuvre de l'esprit, œuvre de l'artiste car œuvre militante… du bon côté.

    Pourtant, dans ce jeu de massacre de notre histoire, il reste encore quelques ZAD auxquelles il est défendu de toucher. En histoire contemporaine, avec la révolution bolchévique et le Front populaire, la Terreur et ses œuvres sont au cœur de ce camp retranché. Ici, de vaillants et grincheux défenseurs résistent encore et toujours à la critique ou aux recherches récentes, lorsqu'ils ne nient pas des faits établis depuis des lustres. Ils sont peu nombreux et rarement à jour, mais dès qu'une proie se présente, ils sortent du bois en meute et, à la guerre comme à la guerre, ne reculent devant rien pour préserver la zone.

    On en a eu la preuve cette semaine avec la campagne menée par les médias privés et publics de gauche contre le film Vaincre ou mourir, consacré aux guerres de Vendée et à l'un de leurs « géants » (Napoléon dixit), Charette.

    Même adversaire des républicains, nul ne peut contester à François-Athanase Charette de La Contrie d'avoir été un des grands chefs vendéens lors du soulèvement de cette contrée (plus large que le département actuel) dans lequel il fut presqu'entraîné à son corps défendant. Chef courageux et généreux envers ses adversaires, il fut finalement capturé et fusillé par les « Bleus ». C'est cette épopée romantique que raconte Vaincre ou mourir. Pas de quoi fouetter un chat me direz-vous : de la guerre, de l'amour et un héros, de quoi faire un bon film. Mais il y a plusieurs hics.

    Le premier est que l'épisode des guerres de Vendée a eu lieu pendant la période de la Terreur, zone à défendre puisque c'est celle de Robespierre et de Saint-Just. Ajoutons-y que dans cette affaire, il n'y a pas de quoi glorifier la république jacobine, malgré sa victoire. Car une fois la guerre « chaude » terminée, la Convention et le Comité de Salut public ordonnèrent une impitoyable répression, avec le massacre systématique de 120 à 150 000 hommes, femmes, enfants et vieillards. Des villages furent rasés, les champs dévastés, on fusilla, on guillotina, on noya dans la Loire, on crucifia sur des portes de granges, on immola dans les églises (ce qui nous rappelle les douloureux souvenirs de la Deuxième Guerre mondiale). Ce fut ce que le révolutionnaire Gracchus Baboeuf appela un « populicide ». C'est ce que certains osent appeler un « génocide », provoquant les hauts cris des robespierristes. Traiter d'un sujet aussi sensible – est en soi une intolérable attaque contre le mythe de la Révolution en marche, la seule qui compte, celle des jacobins. Ce qui justifie donc que montent au créneau quelques gardes rouges journalistiques, plein de certitudes et vides des connaissances de base sur l'épisode.

    Ils se sentent d'autant plus en mission – voici notre deuxième hic - que la société de production à l'origine de ce petit film à 4 millions de budget est une filiale du Puy du Fou, l'extraordinaire parc historique et culturel créé par Philippe de Villiers et dirigé par son fils Nicolas. Il n'en faut pas plus pour hurler à la contre-révolution pis : à la zémmouri-lepénisation des esprits. Puisqu'il y a du Puy du Fou dans l'affaire, le film est forcément mensonger, bassement politique et subversif. Et le chœur des vierges rouges-vertes d'entonner un chant qui, dans leur gorge, sonne faux : défendons l'histoire de France, la vraie, la seule, la révolutionnaire ! On pourra ainsi lire dans un récent numéro de Libération, élégamment titré « Le Puy du Fourbe », un amoncellement de billevesées où l'erreur historique et la méchanceté gratuite en disputent aux arguments wokes les plus inattendus sur un tel sujet. Un régal pour les Insoumis et les Verts qui ont fait de Robespierre leur héros absolu (après avoir abandonné Trostky et Mao). Leurs féaux socialistes emboîtent le pas, tandis que la radio publique, qui s'était mise en quatre pour le film Tirailleurs, fait comme si Vaincre ou mourir était un simple documentaire égaré dans les salles obscures et indigne du prix d'une entrée.

    Si le film, par manque de moyens, n'est pas exempt de critiques esthétiques, si le choix de l'ouvrir par des interventions contemporaines rend le tout un peu inhabituel, on ne voit pas pourquoi ses thèses – d'ailleurs acceptables pour un historien - auraient moins droit de cité que celles d'autres productions cinématographiques.

    On devrait même se réjouir qu'enfin, le cinéma français traite un sujet pareil, ne serait-ce que pour continuer la discussion sur ces terribles et peu reluisantes guerres et exactions de Vendée. Mais la ZAD de la Terreur, sachant sa position historiquement faible, ne voudra jamais en entendre parler. C'est la seule chose qui est sûre.

    Thierry Lentz (Figaro Vox, 26 janvier 2023)

     

                        

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  • Résister au dénialisme en histoire...

    Les éditions Perspectives libres viennent de publier un essai d'Arnaud Imatz intitulé Résister au dénialisme en histoire.

    Fonctionnaire international à l’O.C.D.E. puis administrateur d’entreprise, spécialiste de l'Espagne, Arnaud Imatz a notamment publié  La Guerre d’Espagne revisitée (Economica, 1993), Par delà droite et gauche (Godefroy de Bouillon, 1996), José Antonio et la Phalange Espagnole (Godefroy de Bouillon, 2000) et Droite - Gauche : pour sortir de l'équivoque (Pierre-Guillaume de Roux, 2016).

     

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    " Jalons pour un savoir non contaminé par l’idéologie mondialiste.

    Les droits de l’homme sont-ils l’horizon indépassable de notre temps ? Comment penser le fascisme ? De Gaulle était-il un modéré ou un gentil centriste ? La démocratie est-elle devenue une religion séculière ? La gauche et la droite existent-elles encore ? Sur ces questions et sur bien d’autres cet ouvrage vous propose une vue historiquement documentée et dérangeante loin des idées reçues de la bienséance actuelle. Un petit manuel de désintoxication idéologique que vous ne devriez pas offrir à un ami woke. "

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  • Wokisme, un danger pour l'Europe...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous une intervention de David L’Épée consacrée au wokisme dans une réunion au parlement européen organisée par le groupe Identité et Démocratie, avec l’eurodéputée RN Patricia Chagnon, l’eurodéputée Susanna Ceccardi de la Ligue, l’eurodéputé Nicolaus Fest de l’AfD.

     

                                                

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  • Chine - Etats-Unis : l'Europe grande perdante du nouveau partage du monde...

    Le nouveau numéro de la revue Éléments (n°200, février - mars 2023) est en kiosque!

    A côté du dossier consacré aux séries télévisées, on découvrira l'éditorial d'Alain de Benoist, les rubriques «Cartouches», «Le combat des idées» et «Panorama» , un choix d'articles variés et des entretiens, notamment avec la philosophe Bérénice Levet,  l'ambassadeur de Chine en France, Lu Shaye, le spécialiste de l'intelligence économique Alain Juillet, le colonel suisse Jacques Baud, le philosophe politique Pierre-André Taguieff et Michel Marmin, bien connu des lecteurs de la revue...

    Et on retrouvera également les chroniques de Xavier Eman, d'Olivier François, de Laurent Schang, d'Hervé Juvin, de Nicolas Gauthier, de Bruno Lafourcade, de Guillaume Travers, d'Yves Christen, de Bastien O'Danieli, de Bernard Rio, d'Ego Non et de Slobodan Despot...

     

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    Éditorial

    Un nouveau paysage politique. Par Alain de Benoist

    Agenda, actualités

    L’entretien

    Bérénice Levet contre-attaque : l’esprit français contre le wokisme. Propos recueillis par François Bousquet

    Cartouches

    L’objet disparu : la 4L, voiture la plus populaire de France. Par Nicolas Gauthier

    Une fin du monde sans importance. Par Xavier Eman

    Carnet géopolitique : quand le monde se sépare. Par Hervé Juvin

    Cinéma : Yves Boisset, le dernier des vrais rebelles. Par Nicolas Gauthier

    Champs de bataille : bataille de Fontenoy, une guerre des nerfs (2/2). Par Laurent Schang

    Le saltimbank, 3e partie : capitaine Maroilles. Par Bruno Lafourcade

    Économie. Par Guillaume Travers

    Thomas Guénolé, la gauche telle quelle. Le regard d’Olivier François

    Bestiaire : lire les émotions animales, entendre pour comprendre. Par Yves Christen

    Sciences. Par Bastien O’Danieli

    Le combat des idées

    Chine-États-Unis : l’heure de la « bimondialisation ». Par Guillaume Travers

    Entretien avec Lu Shaye, ambassadeur de Chine en France. Propos recueillis par Pascal Eysseric

    Ci-gît le libre-échange : l’Europe face au protectionnisme des États-Unis. Par Georges Johanssen

    Alain Juillet : « Avec la guerre des devises, les difficultés économiques vont s’aggraver ». Propos recueillis par Daoud Boughezala

    La nouvelle gauche révolutionnaire : les illusions perdues du Comité invisible. Par Laurent Vergniaud

    Jacques Baud : les stratégies fatales de l’Occident en Ukraine. Propos recueillis par Laurent Schang

    Lecteurs d’Éléments, qui êtes-vous ? Par Alain Lefebvre

    Luc-Olivier d’Algange et Philippe Barthelet en quête de l’âme du monde. Par Olivier François

    Michel Marmin en état de poésie. Conversation avec Olivier François

    Pierre-André Taguieff : « J’ai horreur des dialogues interdits ». Propos recueillis par Olivier François

    Anachroniquement vôtre : histoire mondialiste de la Flandre. Par Gérard Landry

    Louis de Funès, le prince de Clermont tonnerre. Par Christophe A. Maxime

    Bruno Latour, la « cosmopolitique » à l’ère de l’Anthropocène. Par Élie Collin

    Dossier

    Géopolitique des séries

    Séries télévisées : brève histoire d’une défaite culturelle et géopolitique. Par Pascal Eysseric

    Quand les Français inventaient les séries. Par Lucien Chanteloup

    RDA, nid d’espions. Quand l’ostalgie souffle sur l’Allemagne. Par David L’Épée

    Ma vie devant Netflix. Par David L’Épée

    Volodymyr Zelensky, la fabrique d’un héros. Par David L’Épée

    Nos séries préférées. Le choix de la rédaction d’Éléments

    Panorama

    L’œil de Slobodan Despot

    Reconquête : la Vénérable et la Précieuse. Par Slobodan Despot

    La leçon de philo politique : José Ortega y Gasset. Par Ego Non

    Un païen dans l’Église : les serpents de Gigny. Par Bernard Rio

    La géographie sacrée selon Bernard Rio. Par François Bousquet

    C’était dans Éléments : Giorgo Locchi, l’homme du verbe. Par Alain de Benoist

    Éphémérides

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