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Métapo infos - Page 1007

  • Feu sur la désinformation... (95)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés, consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours d'Hervé.

    Au sommaire :

    • 1 : Brexit gagnant malgré l’exploitation du meurtre de Joe Cox

      Le Brexit en Angleterre, une campagne électorale marquée par le meurtre du député Joanne Cox et par la médiatisation de scénarios catastrophes.

    • 2 : Le zapping d’I-Média.

    • 3 : Propagande LGBT et anti raciste à tous les étages

      Propagande LGBT sur Youtube, Aides lance sa campagne en mode Benetton, Licra et DILCRA diffusent leurs messages « antiracistes » sur internet et dans le métro. C’est la propagande à tous les étages.

    • 4 : Tweets d’I-Média.
    • 5 : Guerre civile : L’Express agite l’épouvantail de l’ultra droite

      Patrick Calvar, le patron de la DGSI évoque un risque de Guerre civile, l’Express agite l’épouvantail de l’extrême droite. I-Média décrypte.

     

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  • L'idéal de Jean Lartéguy...

    Les éditions Via Romana viennent de publier un essai de Guillaume Malkani intitulé L'idéal de Jean Lartéguy. Homme d'action, journaliste et correspondant de guerre, Jean Lartéguy a également été un écrivain prolifique et talentueux auquel on doit, notamment, Les Centurions et Les Prétoriens, deux romans qui se déroulent dans le cadre de la guerre d'Algérie, mais aussi Les Baladins de la Margeride ou Le mal jaune. Hubert le Roux, le préfacier de cet essai, lui a récemment consacré une biographie intitulée Jean Lartéguy - Le dernier centurion (Tallandier, 2013).

     

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    " Lartéguy : un demi-siècle d'aventures, de combats et d'écriture flamboyante. Un anticonformiste inclassable animé d'un idéal auquel il a consacré toute son œuvre : la défense des valeurs d'une civilisation qu'il savait sur le déclin. Prix Albert Londres 1955, pionnier des grands reporters de guerre, il est l'un des écrivains les plus lus et les plus controversés de son époque.
    Son sens inné et novateur du journalisme, sa rigueur, son honnêteté et sa lucidité d'historien servi par une plume épique ont la vérité du terrain comme leitmotiv et l'honneur pour guide.
    Qui s'en souvient aujourd'hui, cinq ans seulement après sa mort ?
    L'analyse de son œuvre, à laquelle se livre ici Guillaume Malkani, dépasse le cadre de la seule étude littéraire. Elle vient à point rappeler que les grands auteurs ne meurent pas et que les leçons tirées de leur travail n'ont rien à voir avec les phénomènes de mode.
    Entrez dans la légende et retrouvez Lartéguy : comme si l'éclat vibrant de sa voix résonnait encore."

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  • Pour garder le pouvoir, la super-classe mondiale est prête à toutes les violences !...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Michel Geoffroy, cueilli sur le site de Polémia, qui rappelle, exemples à l'appui, que l'oligarchie au pouvoir est n'est pas disposée à reculer. quand sa mainmise sur le système menace d'être remise en cause...

     

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    Pour garder le pouvoir, la super-classe mondiale est prête à toutes les violences

    Pour garder le pouvoir, la super-classe mondiale est prête à tout car en post-démocratie les électeurs ont encore le droit de changer de gouvernement mais plus celui de changer de politique. A bon entendeur, salut !

    Petit rappel de l’actualité

    En 1990, la France découvre avec horreur la profanation du cimetière de Carpentras, profanation immédiatement imputée, directement ou indirectement, au Front national alors en pleine progression électorale. Cette imputation politico-médiatique – qui ne sera pourtant jamais confirmée par l’enquête judiciaire – sert à accoler au Front national l’étiquette antisémite. Ce qui contribuera à un isolement politique dont il n’est jamais sorti.

    En 2003, la ministre sociale-démocrate suédoise des Affaires étrangères, Anna Lindh, est assassinée par un « déséquilibré » quatre jours avant le référendum pour ou contre l’adhésion à l’euro. Anna Lindh était partisante du oui et son meurtre suscite une émotion dûment médiatisée. Mais finalement le non l’emportera au référendum à près de 56% des voix.

    En Grèce, le parti nationaliste, identitaire et anti-immigration – considéré donc comme néo-nazi par les médias – Aube Dorée devient aux élections européennes de 2014 le troisième parti grec, devançant le Parti socialiste. Il obtient 16% des voix aux élections municipales d’Athènes. Peu de temps après, tous ses responsables perdent leur immunité parlementaire et font l’objet de poursuites judiciaires pour différents motifs et notamment du chef de « participation à une organisation criminelle ». Ce dont se félicitent les responsables de l’Union européenne.

    En septembre 2015, la photo du petit Aylan Kurdi mort sur une plage, mondialement médiatisée, vient à propos ébranler les dernières résistances européennes à « l’accueil des migrants », notamment à la mise en place de quotas de « réfugiés » que souhaite la chancelière allemande.

    En 2016, en Autriche, la victoire annoncée du candidat patriote (parti autrichien de la liberté) à l’élection présidentielle, Norbert Hofer, se solde finalement par une défaite électorale à quelques milliers de voix près – un résultat qui laisse suspecter des fraudes électorales et qui a conduit Norbert Hofer à saisir la justice.

    La Grande-Bretagne se prépare, en juin 2016, à voter par référendum son maintien ou non dans l’Union européenne. Le non semble l’emporter dans les sondages d’opinion. Mais la députée travailliste Jo Cox, partisante du maintien, est assassinée une semaine avant par un individu « d’extrême droite », ce qui « suscite l’émotion » et permet d’incriminer les partisans du « Brexit » pour le « climat de haine » qu’ils auraient suscité.

    Aux Etats-Unis, un Anglais vient d’être intercepté, le 20 juin, alors qu’il envisageait un attentat contre le candidat Républicain Donald Trump, un candidat dont les meetings sont systématiquement perturbés par l’extrême gauche américaine.

    Pas d’amalgame ni de complotisme !

    Tous ces faits n’ont, bien sûr, strictement aucun rapport les uns avec les autres et il ne faut faire ni « amalgame » ni « complotisme », comme le disent si bien nos médias de propagande.

    Néanmoins, force est de constater que lorsque les urnes sont susceptibles de donner un résultat contraire à ce qu’attend la super-classe occidentale, il se produit curieusement des événements propres à susciter l’émotion des électeurs et à changer le résultat.

    Et si, malgré cela, les électeurs persistent, alors on a recours à d’autres stratagèmes : les faire revoter ou bien faire entériner par le Parlement ce que les électeurs ont rejeté par référendum (comme on l’a vu avec le Traité de Lisbonne). Ou bien les menacer des pires catastrophes économiques et sociales, comme on le voit en ce moment avec la campagne politico-médiatique menée contre le « Brexit » y compris… en France ! Comme on menaçait hier les Irlandais de délocalisations massives s’ils persistaient à mal voter.

    En post-démocratie, en effet, les électeurs ont le droit de changer de gouvernement mais pas de politique.

    Silence le peuple !

    La super-classe mondiale ne tolère le peuple qu’à la condition que celui-ci lui donne périodiquement l’onction démocratique. Ensuite il n’a que le droit de se soumettre en se montrant une ressource humaine bien « flexible ».

    Sinon il devient un ramassis populiste, raciste et fascisant contre lequel les oligarques peuvent tout s’autoriser puisqu’ils prétendent incarner le camp du Bien et qu’il serait dans l’essence du Bien de détruire le Mal. Ce qui légitime l’usage de la violence – directe ou indirecte – contre ceux qui contestent leur pouvoir. Pas de liberté contre les ennemis de la liberté ! On connaît la chanson.

    Les candidats populistes mais surtout leurs électeurs doivent donc comprendre que désormais ils ne jouent pas le jeu politique avec les mêmes cartes que les oligarques au pouvoir – et que ceux-ci sont prêts à tout pour le conserver : coups tordus, provocations, chantage, manipulations de la loi électorale, poursuites judiciaires, fraudes, attentats ou même guerres.

    Rien ne les arrêtera.

    A bon entendeur, salut !

    Michel Geoffroy (Polémia, 21 juin 2016)

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  • Penser la guerre au futur...

    Les presses de l'Université Laval au Québec ont récemment publié un ouvrage collectif, dirigé par Richard Garon et intitulé Penser la guerre au futur. Officier des Forces armées canadiennes, Richard Garon est docteur en sciences politiques et professeur associé à l'université de Laval.

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    " La fin de la guerre froide et les événements de septembre 2001 ont engendré un débat fondamental qui divise les études stratégiques. Certains auteurs avancent que la nature de la guerre s’est transformée, alors que d’autres affirment que sa conduite s’est adaptée aux nouvelles conditions sans modifier les caractéristiques essentielles de la guerre. La réflexion portant sur la conduite des futurs conflits traite presque exclusivement des développements technologiques. Malgré le niveau technologique avancé de notre société, est-ce que cet aspect change significativement la nature et la conduite de la guerre ? Lors d’un conflit armé, est-ce que les aspects technologiques éclipsent désormais les autres considérations comme la doctrine et l’aspect humain ? À titre d’exemple, est-ce que la guerre des robots permettrait d’éliminer l’erreur humaine ou les considérations politiques qui semblent affecter l’efficacité des forces armées depuis des générations ? Cet ouvrage répond à ces nombreuses questions qui auront des répercussions sur la guerre de demain. "

    Au sommaire :

    Chapitre 1  De quoi s’agit-il ? Guerre, conflit, intervention

    Chapitre 2 Prenez garde à la révolution dans les affaires militaires

    Chapitre 3  Du soldat antique au supersoldat de l’âge géopolitique posthéroïque, le modèle occidental de la guerre entre Achille et Iron man

    Chapitre 4 La guerre de l’information, concept polymorphe de la société de la connaissance

    Chapitre 5 La guerre comme principe du politique

    Chapitre 6 La gouvernance des alliances et du commandement

    Chapitre 7 Les drones du territoire à l’espace : la transformation de la machine de guerre américaine en chasseur technologique

    Chapitre 8 La part de l’homme

    Chapitre 9 Les leaders du futur au sein de la profession des armes

    Chapitre 10 L’humain, grand oublié du phénomène cyber ? Pistes de réflexion pour la cybersécurité

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  • Les journalistes ne sont pas les victimes de la censure mais ses vecteurs...

    Nous reproduisons ci-dessous entretien avec Alain de Benoist, cueilli sur Boulevard Voltaire et consacré à la presse en France...

    Directeur de la revue Krisis , dont le dernier numéro est consacré à la question de la modernité, et éditorialiste de la revue Éléments,  Alain de Benoist a récemment publié Survivre à la pensée unique (Krisis, 2015), un recueil de ses entretiens avec Nicolas Gauthier.

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    Alain de Benoist : « Les journalistes ne sont pas les victimes de la censure mais les vecteurs »

    La presse, en France tout au moins, se porte de plus en plus mal. Pourquoi ?

    La mauvaise santé de la presse, longtemps maintenue sous perfusion étatique et subventions publicitaires, est aujourd’hui à peu près générale : baisse du tirage et de la diffusion, plans sociaux et licenciements, réductions de la pagination, cessions de titres, concentrations tous azimuts. Avec l’explosion du numérique, les gens lisent de moins en moins. Mais la principale raison de la crise est que la presse est discréditée. Les gens ne croient plus ce qu’ils lisent, parce qu’ils constatent un trop grand écart avec ce qu’ils constatent autour d’eux. Ils ont cessé de croire les journalistes comme ils ont cessé de croire les hommes politiques. Alors, ils arrêtent de lire – sans pour autant cesser d’être vulnérables. Dans L’Enracinement, Simone Weil écrivait déjà : « Le public se défie des journaux, mais sa méfiance ne le protège pas. »

    La France n’arrive plus qu’en 45e position au classement sur la liberté de la presse publié depuis 2002 par Reporters sans frontières (RSF), où l’on n’hésite plus à parler de « disparition du pluralisme ». Cela vous étonne ?

    Autrefois, la pensée unique, c’était un journal unique publié sous le contrôle d’un parti unique. Aujourd’hui, même s’il ne faut pas généraliser (il y a toujours des exceptions), il y a une foule de journaux, mais qui disent tous plus ou moins la même chose. On peut en dire autant des chaînes de radio ou de télévision. L’emprise déformante des médias résulte en grande partie de cette unicité de discours, qui trouve son parallèle dans le recentrage des discours politiques. La raison en est que la plupart des journalistes appartiennent au même milieu, où l’information, la politique et le show-business s’interpénètrent. Ils y multiplient les relations incestueuses, si bien que leurs opinions, plus ou moins identiques, se renforcent mutuellement.

    Nous ne sommes plus, par ailleurs, à l’époque où les journaux étaient dirigés par des journalistes, et les maisons d’édition par des éditeurs. Aujourd’hui, les grands journaux sont dirigés par des banquiers, des hommes d’affaires, des industriels de l’armement, tous personnages qui ne s’intéressent à l’information que parce qu’elle leur permet d’orienter les esprits dans un sens conforme à leurs intérêts. L’homogénéité mentale des journalistes est en adéquation avec les bases matérielles de la production. Le pluralisme n’est plus, dès lors, qu’affaire d’apparence. Un seul exemple : au cours de son récent voyage en Israël, Manuel Valls était interviewé par quatre journalistes différents (Paul Amar, Christophe Barbier, Laurent Joffrin et Apolline de Malherbe) représentant quatre médias différents : i24news, BFM TV, L’Express et Libération. Or, ces quatre médias ont un seul et unique propriétaire : Patrick Drahi !

    Les gens sont de plus en plus conscients de la désinformation. Mais ils l’interprètent mal. En dehors de quelques désinformateurs professionnels, généralement payés pour faire passer des informations qu’ils savent être mensongères, la grande majorité des journalistes est parfaitement sincère. Elle croit ce qu’elle dit, parce qu’elle est prisonnière de ce qu’elle propage. Les journalistes sont persuadés d’être toujours dans le vrai parce qu’ils sont eux-mêmes victimes des stratégies de persuasion qu’ils relaient.

    Il n’y a que la droite la plus ringarde pour croire que les journalistes sont des « gaucho-communistes » ou d’affreux « trotskistes ». L’immense majorité d’entre eux adhèrent en fait à la vulgate libérale-libertaire, ce mélange d’idéologie des droits de l’homme, d’antiracisme de convenance, de « progressisme » niais, de révérence au marché et de politiquement correct. Ils en reprennent tous les mantras, unanimes à condamner le populisme, le protectionnisme, l’identité, la souveraineté, tous persuadés que les hommes sont partout les mêmes et que leur avenir est de se convertir au grand marché mondial. Résultat : alors que dans la plupart des pays les journalistes sont les premières victimes de la censure, en France ils en sont les vecteurs.

    Le journalisme n’est pas un métier facile. Il demande de l’humilité. Aujourd’hui, c’est un surcroît de prétention qui y règne. Il suffit de voir l’arrogance des journalistes face aux hommes politiques et leur complaisance face aux vedettes du star system pour comprendre que l’idée s’est répandue chez eux que la fonction qu’ils occupent leur donne une supériorité intrinsèque sur leurs interlocuteurs et un droit absolu de diriger les consciences. Ingrid Riocreux décrit très bien cela dans son livre, La Langue des médias.

    Tandis que la presse papier se vend de moins en moins, les médias alternatifs, de Mediapart à Boulevard Voltaire, connaissent de plus en plus de succès sur Internet. Est-ce à dire que l’avenir de la « réinformation » passe par le numérique ?

    Marcel Proust écrivait, dans Jean Santeuil : « Les journalistes ne sont pas seulement injustes, ils rendent ceux qui les lisent injustes. » La contre-information, ou réinformation, que l’on trouve sur Internet constitue certes un utile contrepoids au « faux sans réplique » (Guy Debord) de la propagande officielle. Mais ce contrepoids s’exerce trop souvent par recours à une propagande en sens inverse, où le besoin de vérité ne trouve pas son compte. Un parti pris et son contraire, cela fait deux partis pris. Le grand problème des médias alternatifs est que, sur Internet, il n’y a pas de responsabilité de la part de ceux qui écrivent, et que le scepticisme peut y être facilement exploité par des détraqués : les réseaux sociaux sont un amplificateur naturel de fausses nouvelles. La « réinfosphère » vise à satisfaire ceux qui refusent la partialité des médias dominants, mais elle ne donne pas plus que les grands médias la possibilité de vérifier les informations qu’elle propose. Cela ne peut satisfaire ceux qui aspirent, non pas seulement à trouver quelque part le reflet de ce qu’ils pensent, mais à l’existence d’une vraie presse d’information.

    Alain de Benoist, propos recueillis par Nicolas Gauthier (Boulevard Voltaire, 22 juin 2016)

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  • Les sorcières d'aujourd'hui ?...

    Les éditions Camion noir viennent de publier un nouvel essai de Christian Bouchet intitulé La Wicca - Les sorcières d'aujourd'hui.  Docteur en ethnologie et spécialiste des mouvements spirituels marginaux, Christian Bouchet a publié chez Camion noir une biographie d'Aleister Crowley, auquel il avait consacré sa thèse et dont il est le meilleur connaisseur français, ainsi qu'une étude sur Georges Gurdjieff - Le maître caucasien.

     

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    "Il est des faits signifiants qui révèlent soudain des mouvements de fond que l’observateur inattentif n’avait pas perçus. En mars 2014 et en février 2015, de nombreux français, jeunes et moins jeunes, se sont pressés aux Conventions Charmed tenues à Paris et destinées aux nostalgiques de la série américaine Charmed qui fut diffusée sur M6, de 1998 à 2006 et qui narrait les aventures des sœurs Halliwell. Celles-ci, jeunes femmes fort télégéniques, y exerçaient des professions enviables, multipliaient les flirts avec des hommes jeunes, élégants et fortunés et ... étaient trois sorcières qui passaient leurs loisirs à combattre les manifestations du mal à l’aide d’un Livre des ombres. Tout cela est révélateur d’une réalité. Un nombre conséquent d’anglo-saxons - on cite des chiffres dépassant le million - déclarent être des witches, des membres de la wicca, et pratiquent dans des covens la religion wiccane, c'est-à-dire la sorcellerie. Ce livre, rédigé par un spécialiste des mouvements religieux minoritaire, fait le point sur ce courant, examine son histoire et la réalité de ses mythes, avant d'illustrer son propos par quelques rituels pratiqués par les wiccans. A ce titre, il sera un outil utile tant pour ceux qui se revendiquent de la wicca que pour ceux qui veulent uniquement satisfaire leur curiosité."

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