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occident - Page 33

  • Né en 1984...

    Les éditions Le retour aux sources viennent de publier Né en 1984 - Abécédaire pour une jeunesse déracinée, un essai d'Adrien Abauzit. Avocat, Adrien Abauzit dénonce dans ce livre le totalitarisme de marché qui règne autour de nous...

     

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    "1984…Dans son célèbre roman, Georges Orwell décortique une certaine version du cauchemar totalitaire.

    Nos démocraties contemporaines constituent apparemment l’exact opposé de la dictature orwellienne. Mais peut-être n’est-ce là que la surface trompeuse d’une eau pure, sous laquelle gît une boue infâme.

    Et si au contraire, nos sociétés ne se distinguaient des totalitarismes passés que par la perfection méthodologique de l’oppression ?

    La perfection de ce système d’oppression, c’est son ignorance par lui-même. Dans la logique du despotisme, l’ignorance, c’est la force. Donc ignorer qu’on a intériorisé cette maxime, c’est l’avoir poussé à ses plus extrêmes implications. Là réside la supériorité du totalitarisme de marché : pas ou peu de violences sur les corps, mais une insidieuse violence faite aux esprits. La quantité de violence n’a jamais été aussi grande, mais elle reste invisible.

    C’est la plus grande mystification de l’histoire : l’Occident prétendument démocratique est devenu une dictature parfaite, le premier totalitarisme viable.

    Un totalitarisme où le bon sens est considéré comme subversif, où l’évidence est déclarée extrémiste. Un totalitarisme où le Bien est le Mal et le Mal est le Bien, où l’annexe devient le principal et le principal devient l’annexe, où la vacuité triomphe pendant que l’intelligence est traquée.

    Un totalitarisme où, enfin, l’esprit public est constamment égaré, détourné des vraies questions et plongé dans les fausses. Un totalitarisme où les citoyens sont écrasés par le mal identifié par Simone Weil derrière le totalitarisme : le déracinement."

     

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  • Ben Laden, le bouc-émissaire idéal ?...

    Les éditions de la Différence publient cette semaine un essai de Bruno de Cessole intitulé Ben Laden, le bouc émissaire idéal. Critique littéraire à Valeurs actuelles, Bruno de Cessole a publié en 2011, chez L'Editeur, Le défilé des réfractaires, un recueil qui rassemble une cinquantaine de portraits d'écrivains insoumis.

     

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    "Tout pouvoir a besoin d’un ennemi. L’Amérique, première puissance mondiale, se trouve brutalement sans adversaire idéologique après la chute de l’URSS. Ben Laden, champion du fondamentalisme islamiste, que l’Amérique avait inventé et formé contre les Soviétiques, n’aurait-il pas pu combler le vide laissé par l’effondrement du communisme russe et symboliser « le meilleur ennemi » ? s’interroge Bruno de Cessole. Altérité d’autant plus facile à propager qu’elle réanime la très ancienne mythologie des croisades toujours vivace dans la mémoire collective. Cette équation a-t-elle sorti l’Occident de son nihilisme fondamental ou bien n’était-elle qu’un leurre trop fragile pour masquer l’avènement d’un nouveau rapport de force mondial qui révèle combien le déclin de l’Occident s’avère inéluctable ?"

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  • Tour d'horizon... (20)

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    Au sommaire cette semaine :

    - sur Les influences, Christophe Guilluy revient sur le malaise identitaire qui traverse les jeunesses populaires françaises...

    Pourquoi ces jeunes votent Marine Le Pen

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    - sur Atlantico, la rédaction s'intéressent aux thèses de l'historien anglais Niall Fergusson sur le déclin de l'Occident face à l'Asie...

    L'Occident sera-t-il englouti par l'Asie ?

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  • La fin des certitudes...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue cueilli sur le site de l'agence de presse russe RIA Novosti et signé par Hugo Natowicz, journaliste français installé à Moscou, qui tient le blog intitulé Impressions de Russie.

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    La fin des certitudes

    Un de mes premiers souvenirs liés à l'actualité est la chute du mur de Berlin, événement qui a, à juste titre, marqué les jeunes nés dans les années 1980. Par-delà les énormes bouleversements géopolitiques qu'il a induits, le démantèlement de l'Union soviétique a eu une conséquence psychologique majeure: ma génération, frappée à jamais par ces images, a grandi avec la certitude d'être née du bon côté de l'histoire.

    Ce sentiment était exacerbé par des décennies de confrontation entre deux blocs, l'URSS et les Etats-Unis. Un tête-à-tête anxiogène qui avait au moins un mérite: celui de tracer une géopolitique commode et compréhensible, sur le mode binaire. Le monde était prévisible, nettement organisé autour de la confrontation de deux camps hostiles.

    Survenue il y a exactement vingt ans, la chute de l'Union soviétique signifiait la disparition du dernier obstacle à une dynamique qui, pensions-nous inconsciemment, devait naturellement finir par englober le reste de la planète telle une vague vertueuse. La géopolitique simpliste du temps de la guerre froide débouchait sur une autre certitude, une nouvelle commodité pour la pensée. Les rôles du gagnant et du perdant étaient nettement distribués: l'Occident sortait vainqueur de son conflit avec l'URSS.

    Baigné depuis l'enfance dans les valeurs occidentales, j'ai longtemps cru, comme de nombreux citoyens européens, que le système économique, politique et moral qui m'avait vu naître était la seule et unique voie possible. J'ai eu la chance de grandir dans un monde qui, s'il n'était pas dénué d'injustices, était mû par une dynamique simple, confortablement soutenue par ce "sentiment de victoire" sur l'Union soviétique.  

    Ce "monde occidental" dans lequel je suis né, comment le définir? A quel moment se produit la jonction géopolitique entre les deux rives de l'Atlantique? A cet égard, le débarquement des soldats américains à Omaha Beach a marqué un tournant majeur. Arrivé en libérateur, Washington bénéficiait du droit légitime d’implanter son système politique et économique. Une entreprise fondée sur le plan Marshall, un prêt censé aider l’Europe à se reconstruire et à se consolider face à l’ennemi communiste. Sous couvert d'aide, les USA s'assuraient un marché pour écouler leurs marchandises, et subordonnaient l'économie européenne. Dernier rempart de la souveraineté française, De Gaulle eut beau fustiger la suprématie du dollar, appeler au retour à l'étalon or, et accuser les Etats-Unis d'exporter leur inflation; il finit par quitter le pouvoir après avoir été chahuté par la révolte étudiante de mai 1968.

    Au niveau politique, la logique d'après-guerre s'est caractérisée en Europe par le fédéralisme politique, les efforts visant à enraciner le libre-échange et la soumission du politique à l'économique. Une dynamique menée au mépris de la volonté des peuples, qui s'y sont opposés lors de référendums à chaque fois bafoués. Militairement, la toute-puissance occidentale est adossée à l'Otan, qui continue de perpétuer la logique d'expansion propre à la guerre froide malgré la disparition de l'URSS.

     

    Demain la chute?

    Il est désormais bien loin, le temps des certitudes. L'économie, jadis moteur de la construction du "bloc" occidental, en est devenue le talon d'Achille. Alors que de nouveaux acteurs attendent de s'affirmer sur la scène internationale, le repère planétaire qu'est l'Occident s'enfonce dans une crise dont les répercussions sont encore imprévisibles. Une chose est sure: elles seront incommensurables. Derrière l'agonie de l'euro, dont l'aggravation continue augure un final dramatique, se dessine une autre crise, plus profonde. Vingt ans après celle de l'URSS, une nouvelle chute se dessine: celle du monde occidental tel qu'on l'a connu jusqu'à présent. 

    L'obsession des médias sur les turpitudes de la monnaie européenne forcerait presque à oublier les convulsions que connaît le véritable pilier de l'économie mondiale: les Etats-Unis. Les problèmes de ce pays sont plus qu'inquiétants: de grands Etats, comme le Minnesota, ont déjà fait faillite, et les finances de nombreuses villes sont à sec. L'Etat recule inexorablement, une tendance qui a également commencé à se manifester en Europe.

    Derrière ces phénomènes de surface, c'est le système consistant à créer de la croissance par la dette qui est à bout de souffle. Renflouement après renflouement, l'Europe se débat en "comblant" des déficits abyssaux par des emprunts colossaux, tandis que les Etats-Unis impriment du dollar à la chaîne. Conscients du cercle vicieux, nombreux sont les économistes qui assurent que le déclenchement d'un krach mondial n'est plus désormais qu'une question de temps. La crise débouchera-t-elle sur la victoire du fédéralisme européen et une soumission totale de l'Europe à la logique atlantiste ? Suscitera-t-elle au contraire un réveil des peuples et un découplage entre l'Europe et l'Amérique? Il est encore trop tôt pour le dire.

    Fait positif, une prise de conscience des dérives du système financier se manifeste notamment outre-Atlantique, comme en témoignent les manifestations "anti-Wall Street". Las d'être les instruments d'un système devenu fou, un nombre croissant d'Américains comprennent que rien ne changera tant que perdurera la toute-puissance des grandes banques américaines. Cette compréhension tardive a peu de chances d'atténuer les effets du krach qui se profile; elle constitue néanmoins un espoir indéniable pour l'avenir.

    Car dans l'effondrement qui menace le monde, on pourrait voir émerger des hommes éveillés aux quatre coins du globe. Conscients des incohérences du système dans lequel ils sont nés, ils auront la lourde de tâche de replacer l'humain au centre de l'économie.

    Hugo Natowicz (Ria Novosti, 23 décembre 2011)

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  • L'avertissement aux criminels...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue du directeur de B.I. Infos, Louis Dalmas, cueilli sur Enquête&Débat et consacré à la nécessaire révolte des peuples contre les oligarchies criminelles qui les dominent... 

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    L'avertissement aux criminels

    Comment faire entendre la voix des peuples ? Pour pouvoir écouter cette voix, il faut avoir une idée de ce qu’elle peut dénoncer, c’est-à-dire l’état de notre monde occidental actuel. Quel est cet état ? C’est simple. C’est un espace en trompe l’œil dirigé par des criminels qui ont recours au mensonge pour maintenir leur domination.

    Les mots peuvent vous paraître durs. Ils correspondent pourtant à une réalité. Je vais essayer de les justifier en les reprenant un à un..

    Un espace en trompe-l’œil. Nous vivons dans un monde de fausseté. Les prêcheurs de vertu sont de faux innocents, les engagements électoraux sont de fausses promesses, les stars “pipoles” sont de fausses idoles, les soi-disant philosophes sont de faux sages, l’érotisme médiatique est une fausse sexualité, la publicité est une fausse documentation, les nouvelles de journaux sont une fausse connaissance, les copies d’objets de luxe sont de fausses richesses. Tout,cela, on le voit tous les jours. Mais il y a beaucoup plus grave. Dans trois domaines.

    1) Un des deux ressorts les plus importants de l’activité humaine – l’autre étant le sexe – est l’argent. Or l’argent n’existe pratiquement plus sous une forme tangible. Sa représentation concrète – la monnaie – s’est peu à peu déréalisée. L’objet monnaie est devenu d’abord une image, avec les divers billets de la monnaie fiduciaire, puis un simple jeu d’écritures, l’enregistrement sur des machines de la monnaie scripturale, qui assure aujourd’hui 90 % des transactions dans le monde. L’argent n’a plus de présence matérielle : il alimente un formidable monde virtuel, qui est en lui-même une aliénation totale de l’instrument de nos échanges en société. Ce monde virtuel, qui ressemble à celui d’Alice derrière le miroir ou aux univers parallèles de la science-fiction, s’est gonflé en une sorte d’énorme cancer financier ayant perdu tout contact avec la réalité de la production et du travail.

    2) Deuxième domaine en trompe-l’œil : la représentation démocratique. La soi-disant “démocratie“ occidentale, sans cesse brandie comme garantie de civilisation, n’est qu’un leurre. Son exercice est réservé aux individus riches ou aux organisations puissantes, capables de financer des campagnes électorales qui coûtent cher. Les résultats de consultations populaires, comme des référendums, sont remis en question jusqu’à ce que le peuple vote dans le bon sens. Les principales instances de direction européenne ne sont pas élues. L’ONU et les parlements nationaux sont ignorés quand il s’agit de faire la guerre. La démocratie parlementaire n’est qu’un alibi servant à justifier l’existence d’une caste de politiciens professionnels plus soucieux de leurs carrières que des intérêts de la nation.

    3) Troisième domaine en trompe-l’œil : la démagogie faussement morale des “droits de l’homme“, de la “protection des civils“ (qui consiste à les bombarder) et du “devoir d’ingérence“, utilisée pour agresser les Etats manifestant des velléités d’indépendance.  Cette gigantesque fabrication morale, destinée à faire croire aux peuples que leurs gouvernements se battent pour la vertu contre le vice, pour le bien contre le mal, ne sert qu’à dissimuler les véritables buts économiques et pétroliers de la nouvelle colonisation impériale.

    Ce monde en trompe-l’œil est dirigé par des criminels. Un mélange de faux monnayeurs et d’assassins. Les faux monnayeurs – le terme n’est pas de moi, il est du prix Nobel français d’économie Maurice Allais – sont les banques qui ont volé aux établissements nationaux le pouvoir de création de la monnaie, qui ont remplacé les gouvernements à la tête des grands pays industrialisés et qui étranglent les Etats par les intérêts des dettes souveraines qu’ils les ont obligés à contracter.

    Leurs hommes, à l’image de ceux de Goldman Sachs par exemple, ont carrément pris le contrôle de pays entiers comme la Grèce, l’Italie et l’Espagne.

    Les assassins sont les matamores de Washington, Londres ou Paris, et leurs complices, qui déclenchent des guerres et tuent leurs opposants. Cinq guerres en deux décennies – Yougoslavie, Irak, Afghanistan, Côte d’Ivoire, Libye ; des dizaines de milliers de victimes civiles ; des Etats rayés de la carte ; des économies détruites ; des régions ravagées. Des meurtres d’individus ciblés, par des drones téléguidés ou des commandos spéciaux, comme les savants iraniens ou Oussama ben Laden. Des chefs d’Etats éliminés, ou en voie de l’être. Milosevic, qu’on a laissé mourir. Castro et Chavez, objets de multiples tentatives d’assassinat. Ceaucescu et Kadhafi, lynchés. Saddam Hussein, exécuté après une parodie de procès. Gbagbo renversé et emprisonné.

    Il n’est pas question de porter un jugement sur ces hommes, encore moins de prendre aveuglément leur défense. Il s’agit simplement de souligner la méthode sanglante désormais utilisée ouvertement, qui remplace un monde de justice par un monde d‘assassins se servant de l’OTAN et de tueurs à gages pour supprimer par la violence toute velléité d’opposition.

    Des criminels qui ont recours au mensonge pour maintenir leur domination. Le pouvoir des banques et le retour politique à la barbarie s’appuient sur une impressionnante machinerie de propagande dont on a peine à imaginer la portée et l’efficacité. Cela va d’un déluge de dénigrement des soi-disant “dictateurs“ dont on veut se débarrasser aux campagnes de justification des guerres impériales, en passant par l’entretien de la terreur d’un effondrement économique nécessitant le sauvetage des banques, tout cela bien entendu fabriqué de toutes pièces à coups de calomnies,  d’affirmations trompeuses et de manipulations des médias.

    Le résultat est qu’un gouffre se creuse tous les jours davantage entre les peuples et leurs gouvernants. C’est sans doute un des phénomènes les plus spectaculaires de notre actualité. J’ai évoqué longuement ce gouffre dans mes deux livres “Le crépuscule des élites“ et “Le bal des aveugles“. La perte de confiance dans les dirigeants de la société se manifeste par un sentiment d’impuissance (le désintérêt pour la politique et les abstentions aux consultations électorales) ou la montée de la colère (les printemps arabes, les révoltes de la faim dans le Tiers monde, les manifestations publiques et la rage des indignés dans de nombreux pays européens, etc.) Des signes avant-coureurs d’un soulèvement encore balbutiant et inorganisé, mais qui s’oriente peu à peu vers une fracassante explosion.

    La voix des peuples commence à se faire entendre. Elle est multiforme : spontanée, provoquée et entretenue par les gens qui ont intérêt à la subversion, infiltrée par les maîtres qui cherchent à la contrôler, mais elle s’exprime de plus en plus. A nous de l’aider à se rendre consciente, c’est-à-dire à formuler ses objectifs. Ces objectifs me paraissent clairs, bien qu’aucun politicien ne les précise avec rigueur : refuser de payer les intérêts des dettes souveraines : annuler ces dettes ou tout au moins les renégocier ; abolir le pouvoir des banques en séparant celles de dépôt de celles de spéculation (comme l’avait fait jadis la loi Glass-Seagall) ; rendre la main aux Etats en leur permettant d’emprunter à leurs banques nationales ; rejeter les mesures d’austérité qui étranglent les peuples et ne font que creuser de nouveaux trous à boucher ; prendre l’argent où ils se trouve (et où il y en  beaucoup) en imposant fortement les grandes fortunes ; sortir de l’entreprise de destruction massive qu’est l’OTAN ; récupérer les sommes colossales dilapidées dans les opérations militaires ; rejeter l’emprise des marchés et du système économique néo-libéral ; se libérer des contraintes de l’hégémonie impérialiste américaine en retrouvant la souveraineté de la nation. Ce ne sont que quelques idées parmi d’autres. Mais elles ont le mérite de se distinguer franchement des rustines appliquées par la droite et la gauche au pneu crevé du capitalisme occidental.

    Nous vivons dans un Occident économiquement pourri, dirigé par des gangsters, avec des peuples dupés par leurs maîtres. Il est grand temps de réagir. On nous demande “comment faire entendre la voix des peuples“ ? Ce n’est pas compliqué. Il faut soutenir ceux qui, comme nous, comme notre journal, comme nos livres, comme nos amis, font écho à cette voix. Avec un message limpide :  il faut cesser de faire payer par les pauvres les méfaits des riches. Le système actuel ne peut pas durer. La croûte des dominants danse sur un volcan. Nous devons leur faire craindre d’être balayés par son éruption.

    Louis DALMAS (Enquête&Débat, 29 novembre 2011)

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  • Tour d'horizon... (19)

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    Au sommaire cette semaine :

    - sur Metamag, Jean Bonnevey pose une bonne question à propos des élections en Russie...

    Poutine a-t-il vraiment perdu les élections russes ?

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    - sur Investig'Action, Grégory Mauzé analyse le rôle de vecteur de la pensée unique joué par les médias depuis le début de la crise...

    Les médias et la crise de l'Euro : inépuisable pensée unique

    jean bonnevey,poutine,occident

     

     

     

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