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macron - Page 28

  • Les snipers de la semaine... (193)

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    Au sommaire cette semaine :

    - sur son blog La pompe à phynances, Frédéric Lordon dézingue les robots macroniens qui nous gouvernent...

    Contre « la-démocratie »

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    - sur son site, Michel Onfray prend dans son viseur la loi Avia, qui traduit une dérive liberticide du système...

    L'épuration théorique

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  • Feu sur la désinformation !... (265)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous, dans son nouveau format, un numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours de Nicolas Faure.

    Au sommaire :

    • 1 : L’image de la semaine
      Pour commencer un I-Média, quoi de mieux qu’un sondage aux résultats faussés présenté par BFM ? Un bobard classique mais efficace !
    • 2 : Manif contre la loi Bioéthique : le déni médiatique
      Dimanche 19 janvier, les opposants à la loi bioéthique ont réussi un nouveau tour de force en réussissant à mobiliser massivement dans les rues de Paris.
      Mais les médias ont évidemment cherché à minorer ce succès !
    • 3 : Revue de presse
      Au sommaire de la revue de presse de la semaine : une adolescente menacée de mort et insultée par des milliers de personnes suite à une critique de l’islam, une conférence de Geoffroy Lejeune de Valeurs Actuelles annulée à Science Po Lille, un prix pour Tommy Robinson… et bien d’autres actualités médiatiques !
    • 4 : Taha Bouhafs, journaliste ou activiste ?
      L’attaque du théâtre parisien dans lequel se trouvait Emmanuel Macron a relancé la polémique. Taha Bouhafs, cet ancien candidat France Insoumise, est-il journaliste ou militant ? Peut-on être les deux à la fois ? C’est ce à quoi nous tenterons de répondre dans ce nouvel I-Média.

     

                                   

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  • Le modèle Macron, le peuple n’en veut pas !...

    Nous reproduisons ci-dessous entretien avec Alain de Benoist, cueilli sur Boulevard Voltaire, dans lequel il évoque la fronde autour de la réforme des retraites. Philosophe et essayiste, directeur des revues Nouvelle École et Krisis, Alain de Benoist a récemment publié Le moment populiste (Pierre-Guillaume de Roux, 2017), Ce que penser veut dire (Rocher, 2017) et Contre le libéralisme (Rocher, 2019).

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    Alain de Benoist : « Grève contre la réforme des retraites ? Le modèle Macron, le peuple n’en veut pas ! »

    En matière de retraites, Emmanuel Macron veut nous vendre un « régime universel » qui soulève une vive opposition, mais auquel on ne comprend pas grand-chose. Entre le « bonus » et le « malus », l’« âge pivot » et la « clause du grand-père », de quoi s’agit-il exactement ?

    Le dossier des retraites est en effet compliqué. Essayons donc d’aller à l’essentiel. Comme vous le savez, il faut déjà distinguer deux grandes catégories : le système par capitalisation, qui est d’essence individualiste (chacun pour soi), et l’actuel système par répartition, qui repose sur le principe de la solidarité des générations. Pour justifier la nécessité de réformer ce dernier, on invoque l’allongement de l’espérance de vie et la diminution régulière du nombre des actifs par rapport à celui des retraités. Concernant l’augmentation de l’espérance de vie, on oublie trois choses : d’abord que si la durée de vie augmente, la durée de vie en bonne santé n’augmente pas forcément au même rythme ; ensuite que, par définition, la durée de vie actuelle ne nous dit rien de ce que sera la durée de vie de la prochaine génération ; enfin que l’espérance de vie n’est pas la même pour tout le monde, puisqu’elle varie selon le sexe (les femmes vivent plus longtemps que les hommes, mais personne n’envisage de leur demander de travailler plus longtemps) et selon la classe sociale (l’espérance de vie d’un ouvrier est inférieure de six ans à celle d’un cadre). Quant à la diminution du nombre des actifs, on ne doit pas oublier non plus que la productivité d’un actif est aujourd’hui très supérieure à ce qu’elle était dans le passé, puisque l’on produit toujours plus de biens et de services avec toujours moins d’hommes.

    Le régime « universel » de Macron ? Dès qu’on parle de rendre quelque chose « universel », il faut se méfier. Vouloir supprimer tous les régimes spéciaux est, par exemple, parfaitement stupide et, d’ailleurs, sans doute impossible à réaliser. Il y a des régimes spéciaux qui n’ont pas (ou plus) de raisons d’être, et il faut les supprimer, mais il n’y a aucune raison de toucher à ceux qui sont parfaitement justifiés.

    Pour faire baisser la part des retraites dans le PIB (aujourd’hui 13,8 %, mais la Commission européenne voudrait la ramener à moins de 12 %) et éviter le déficit qui s’annonce (qui est, en réalité, surtout dû à la non-compensation des exonérations de cotisations sociales par l’État et à la baisse de la masse salariale de la fonction publique), le gouvernement a choisi d’imposer le modèle de la retraite à points, que réclamaient en chœur le patronat et la Commission européenne, sans oublier Laurent Berger et Thomas Piketty. C’est le pire qui existe. Dans ce système, ce n’est plus le salaire de référence mais le nombre de points accumulés qui sert de base pour chiffrer la pension. Au lieu de travailler durant un certain nombre d’années pour obtenir une retraite complète, on cotise pour acheter un certain nombre de points, la valeur de service du point n’étant connue qu’au moment du départ en retraite. Par ailleurs, toute la carrière est prise en compte dans le calcul des retraites, et non plus seulement les quinze dernières années d’activité, ce qui pénalise les carrières morcelées, notamment celles des femmes.

    On assure que la valeur du point ne baissera pas, mais cette promesse n’a aucun sens dans la mesure même où cette valeur dépend de l’évolution de la conjoncture, laquelle est largement imprévisible. En cas de crise financière généralisée, la valeur du point diminuera automatiquement. Dans les faits, tous les pays qui ont adopté le système à points ont vu la situation des retraités se dégrader. En Suède, pays cité en exemple par Macron, le montant des retraites représente, aujourd’hui, 53,4 % du salaire de fin de carrière, contre 60 % il y a encore vingt ans, et le taux de pauvreté des plus de 65 ans a atteint, en 2018, 15,8 % (contre 7,3 % pour les Français). Ce taux de pauvreté des seniors atteint 18,7 % en Allemagne, et même 21,6 % au Royaume-Uni ! En France, l’adoption de ce système devrait entraîner, pour pratiquement toutes les catégories de population, à quelques rares exceptions près, une baisse moyenne de 20 % des pensions par rapport aux salaires des actifs, ce qui incitera bien entendu à travailler toujours plus longtemps (pour acquérir un plus grand nombre de points) ou à se tourner vers la capitalisation.

    Tel est, d’ailleurs, sans doute, l’objectif réel de la réforme : inciter les salariés à jouer leur retraite en Bourse et vendre le marché des retraités aux compagnies d’assurance, aux fonds de pension et aux marchés financiers. Le 10 mars 2016, parlant devant un parterre d’organisations patronales, François Fillon avait vendu la mèche : « Le système de retraite par points, en réalité, ça permet une chose qu’aucun homme politique n’avoue : ça permet de baisser chaque année la valeur des points et donc de diminuer le niveau des pensions. »

    Hostile au système de la retraite à points, vous soutenez donc la grève ?

    Je la soutiens à fond, bien entendu. Non seulement je la soutiens, mais j’aimerais la voir déboucher sur une grève générale ! Mais, je dois l’avouer, ce qui me choque le plus, c’est l’attitude de ces petits-bourgeois droitards qui ne manquent pas une occasion d’entonner la ritournelle des méchants grévistes qui « prennent les usagers en otages » et veulent « ruiner le pays ». Ce sont les mêmes qui condamnaient aussi les gilets jaunes. Ces gens-là, qui s’imaginent que les travailleurs en grève se privent de deux mois de salaire pour le simple plaisir d’embêter le monde, n’ont toujours pas compris que la cause majeure de nos problèmes vient de ce que nous vivons dans un monde capitaliste, dans un système de marché et dans une société d’individus. Ils ont voté Fillon, qui voulait privatiser la Sécurité sociale (ou instaurer un système de santé à deux vitesses dont profiteraient les assureurs privés), ils voteront demain Macron parce qu’à la justice sociale, ils préféreront toujours le désordre établi. S’ils le pouvaient, ils supprimeraient le droit de grève et tout le modèle social français. Ce qu’ils veulent surtout éviter, ce sont les barricades et les violences de rue. S’il y a une révolution, j’espère qu’elle les emportera.

    Après des mois de contestation des gilets jaunes, Macron doit maintenant faire face à des syndicats d’autant plus revendicatifs qu’ils sont poussés par leur base. Qu’est-ce que cela nous dit de l’état actuel du pays ?

    Cela dit tout. Une grève de cinquante jours : du jamais-vu. Des gilets jaunes qui en sont à leur 62e semaine de revendications : du jamais-vu également. Les avocats jettent leur robe publiquement, les chefs de service hospitaliers démissionnent par centaines, les paysans se suicident, les policiers aussi, les pompiers sont dans la rue, tout comme les infirmières et les enseignants. Y a-t-il, aujourd’hui, une seule catégorie sociale qui ne bouillonne pas de fureur ou de désespoir ? Ce n’est pas un hasard si la majorité des Français soutient les grévistes, tout comme elle a soutenu (et continue de soutenir) les gilets jaunes, en dépit des gênes occasionnées par le mouvement. Sauf chez les actionnaires du CAC 40, premiers bénéficiaires de la financiarisation de l’économie (qui se sont vu verser, pour 2019, le montant record de 49,2 milliards d’euros de dividendes), le pouvoir d’achat stagne et la précarité s’étend partout. La part du travail dans la valeur ajoutée est passée, en Europe, de 68 %, en 1980, à 60 %, aujourd’hui. Emmanuel Macron, qui a été placé au poste qu’il occupe pour adapter la France aux exigences du capitalisme mondialisé et d’un libéralisme qui entend laminer les protections sociales et les services publics au nom de la concurrence mondiale et de l’ouverture des frontières, a tout fait pour dresser contre lui un corps social aujourd’hui en voie de « giletjaunisation ». Le choix du système de retraite dépend, en fait, du modèle social que l’on souhaite. Le modèle Macron, le peuple n’en veut pas.

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  • La Police est-elle en train de devenir la milice du Système ?...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Xavier Eman, cueilli sur le site de la revue Éléments et consacré à la violence de la répression policière face à la contestation politico-sociale. Une violence qui tranche avec la prudence habituelle de la réponse policière face aux émeutes récurrentes dans les banlieues de l'immigration...

     

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    La Police est-elle la milice du Système ?

    Ces derniers mois, à coups de primes et de promesse de conservation de régime spécial, la police française semble clairement s’être transformée en garde rapprochée de cette oligarchie qui a fait sécession, qui a rompu avec son propre peuple.

    La dénonciation des violences policières et la lutte contre celles-ci sont très longtemps restées l’apanage de l’extrême gauche et des activistes libertaires. Pour la « droite », les « condés » incarnaient avant tout les gardiens de cet « ordre » qu’elle chérit tant, ils ne pouvaient donc en aucun cas être critiqués et lorsqu’un manifestant se retrouvait la gueule en sang sur le trottoir, c’est qu’il l’avait « bien cherché ».

    Les choses ont un peu évolué avec la Manif pour tous, lorsque les Versaillais découvrirent avec stupeur et horreur qu’il n’y avait pas que les prolos et les « crasseux » qui pouvaient prendre des coups de matraque et se faire gazer. Il y eut alors un moment de flottement, les slogans : « La Police avec nous ! » s’étranglèrent dans les gorges et on assista même à quelques gestes d’exaspération face au zèle des CRS et des gardes-mobiles. On continuait à penser qu’ils ne « faisaient que leur travail », mais on trouvait quand même qu’ils avaient la main un peu lourde, surtout vis-à-vis de la sociologie de population qui leur était ordinairement la plus favorable.

    Mais la défiance ne fut que de courte durée et, dès les gardes à vue terminées et les quelques bosses soignées, l’amour immodéré de la droite pour la maréchaussée reprit le dessus. Ce n’était qu’un malentendu, il était temps de pardonner et de passer à autre chose…

    Pourtant, la répression relativement « musclée » de LMPT n’était que les prémisses d’une dérive qui devait atteindre son paroxysme face aux Gilets jaunes : la transformation des forces de police en garde prétorienne gouvernementale faisant usage d’une violence jamais vue depuis des dizaines d’années.

    En effet, depuis le début du mouvement des Gilets jaunes, prolongé par l’actuelle agitation sociale, pas une journée ne passe sans que soient diffusées une ou des vidéos rapportant des actes indéfendables commis par des membres des forces de l’ordre : tabassage collectif, tirs de LBD à bout portant, coups gratuits, ripostes disproportionnées, insultes… Le tout en bénéficiant à la fois de la plus parfaite impunité (un seul policier condamné jusqu’à présent pour le jet d’un pavé sur des manifestants…) et d’un invraisemblable silence médiatique. Les médias, jadis si prompts à hurler au loup et à mobiliser les belles âmes à la moindre gifle reçue par un voyou de banlieue, se montrent aujourd’hui d’une extrême discrétion quant aux innombrables exactions commises par des membres des forces de sécurité. Pour un peu, ils les justifieraient, et les excuseraient même. Il est vrai que les victimes ne sont au final que des sales populistes, des sans-dents haineux et rétrogrades qui cherchent à entraver la glorieuse marche progressiste initiée par le président Macron.

    Pourtant, la radicalisation de la répression policière des mouvements sociaux n’a rien d’anodine ni d’anecdotique. D’une part, elle marque le raidissement du pouvoir, la dictature « soft » l’étant de moins en moins ; et de l’autre, elle entérine le divorce entre le peuple et les forces de l’ordre. Les policiers ne sont désormais plus des « gardiens de la paix », mais des fauteurs de guerre civile. Il faut avoir vu ce policier tirant en série au LBD en hurlant « a voté » à chaque fois qu’il touchait un manifestant, ou ces autres se masquant l’œil de la main, rigolards, en toisant les Gilets jaunes, pour en être convaincu.

    Ces derniers mois, à coups de primes et de promesse de conservation de régime spécial, la police française semble clairement s’être transformée en garde rapprochée de cette oligarchie qui a fait sécession, qui a rompu avec son propre peuple.

    Bien sûr, être policier est un métier « ingrat et difficile », nul ne le nie ; bien sûr, l’institution compte dans ses rangs des gens qui sont individuellement de « bonnes personnes », et, bien évidemment, aucun régime ne peut se passer d’une police. Mais ceci étant dit, rien ne peut expliquer – et encore moins légitimer – les comportements sadiques, les agissements de voyous, le zèle agressif et vindicatif que toute personne ayant participé à l’une ou l’autre des récentes manifestions a pu constater, si ce n’est par une rupture complète de la police avec son rôle premier, qui est la protection des « honnêtes gens », une rétractation sur-elle-même, sur un corporatisme étroit et calculateur, des considérations uniquement matérielles et carriéristes et un désintérêt total pour le reste de la population. Une situation particulièrement inquiétante et dangereuse pour ce qui reste de démocratie en France.

    Xavier Eman (Éléments, 14 janvier 2020)

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  • Les Voraces...

    Les éditions Robert Laffont viennent de publier une enquête de Vincent Jauvert intitulée Les Voraces - Les élites et l'argent sous Macron (Robert Laffont, 2020). Grand reporter à L'Obs, Vincent Jauvert est notamment l'auteur du livre intitulé Les intouchables d'état - Bienvenue en Macronie (Robert Laffont, 2018).

     

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    " Jamais autant de hauts fonctionnaires n'ont pantouflé à prix d'or dans le privé.
    Jamais autant de ministres n'ont été multimillionnaires.
    Jamais autant de responsables politiques, et non des moindres, ne sont devenus lobbyistes ou avocats d'affaires...
    Comment en est-on arrivé là ? Pourquoi la situation a-t-elle empiré sous Macron ?
    Après deux ans d'enquête et grâce à une quarantaine de témoignages inédits, Vincent Jauvert révèle les mœurs de ces élites si voraces qui ont pris le pouvoir dans le sillage du nouveau président de la République. Il décrit leur course à l'argent, leurs campagnes en coulisses pour dissimuler leurs véritables revenus et leurs conflits d'intérêts. Un document implacable. "

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  • Feu sur la désinformation !... (264)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous, dans son nouveau format, un numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours de Nicolas Faure.

    Au sommaire :

    • 1 : L’image de la semaine
      Après des mois d’une grève très dure mais peu relayée par les médias dominants, les personnels hospitaliers montrent encore un peu plus leur détermination.
    • 2 : France Inter contre Jésus : le blasphème à sens unique
      Frédéric Fromet, « humoriste » et chansonnier officiel de France Inter a récemment décidé de s’attaquer à Jésus, de qui il fait un « pédé » dans son dernier « sketch ». Habitué des propos christianophobes, Frédéric Fromet n’attaque jamais aussi violemment l’islam. Courageux mais pas téméraire !
    • 3 : Revue de presse
      Un vent de liberté à Sud Radio où un pédopsychiatre nous explique que les jeunes violents sont très majoritairement extra-européens … Des journalistes perdus face à des jeunes candidats patriotes… Emmanuel Macron pontifiant face à des journalistes… La semaine médiatique aura été chargée !
    • 4 : Djihadistes : enfin la prise de conscience médiatique ?
      Et si, enfin, les journalistes français comprenaient que les islamistes sont une menace pour les Français ? Si l’on écoute avec attention les débats autour de la question de la libération des soldats de l’Etat islamique, on sent poindre une lucidité bienvenue… mais très tardive !
    • 5 : Coup de chapeau
      Breizh-info révélait lundi matin l’agression sexuelle d’une jeune bretonne mineure par un extra-européen. Après cet article, les autorités ont été obligées de communiquer et la presse régionale dominante a été obligée d’évoquer l’affaire.

     

                                          

     

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